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Sabine renaissance

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Mr Martin était d’humeur maussade. Entre son divorce qui lui coutait un bras et l’annonce d’un contrôle fiscal il ne se sentait pas dans une période faste. Seul dans son bureau directorial, il hésitait. Il avait ouvert sa braguette et sorti son sexe mou auquel il tentait de donner de la consistance en se masturbant sans enthousiasme. Il envisageait de faire venir Sabine, sa secrétaire et de lui ordonner de lui faire une gâterie. Il l’imaginait accroupie devant lui, peut-être entièrement nue. Mais ça ne marchait pas ! Ses pensées retournaient toujours au chèque qu’il devait faire à son avocat et à son futur contrôle. Du coup son sexe restait flasque. Dépité il rentra sa queue ferma sa braguette et décida de rentrer chez lui…
Sabine se dit que, que tout de même, la vie est belle. Depuis que sa sexualité s’est épanouie, que son mari a retrouvé une vigueur d’adolescent, elle a pris un peu de poids et cela lui va bien. Elle s’habille différemment et sent de nouveau des regards masculins s’intéresser à elle ce qui lui donne de brusques bouffées de chaleur. Elle est même un peu inquiète : elle a l’impression de ne penser qu’au sexe et se demande si elle ne serait pas un peu nymphomane… En tous cas, pour le moment, alors que ses idées tournent dans sa tête, elle savoure l’instant présent : penchée en avant, elle contemple sa culotte de dentelle qui git sur le sol. Son corps tremble sous les coups de boutoirs qui la feraient choir si elle n’était solidement tenue aux hanches par des mains puissantes. Celles de Léonce, le manutentionnaire antillais amateur de culturisme…
Léonce est aux anges. Sabine Dumont, la secrétaire du patron est là, devant lui penchée, sa jupe relevée, rabattue sur son dos, les fesses dénudées. Et lui, Léonce, manutentionnaire, est en train de la baiser. Il la pilonne depuis cinq bonnes minutes, ses deux mains sur ses hanches, plaquant en rythme son ventre musclé sur les fesses très blanches de la dame puis se retirant et admirant le contraste entre son membre noir et les chairs laiteuses…. C’est tout de même mieux que faire l’inventaire !
Tout a commencé lorsque Sabine, excitée comme elle l’est de plus en plus souvent attendait la convocation de Monsieur Martin son patron. Elle s’imaginait dans leur rituel habituel : Mr Martin lui demanderait une fellation puis la prendrait sur le bureau. Avec peut-être une variante, qui sait ? Mais hélas, pas de convocation dans le bureau directorial. Puis Sabine frustrée avait vu Mr Martin sortir de son bureau, la saluer d’un petit signe de la main puis gagner le parking ou sa voiture l’attendait…Sabine décida que pour elle aussi la journée était terminée. Pourtant elle décida d’aller jeter un œil dans l’entrepôt. La petite société était en plein inventaire. Elle se demanda qui lui avait soufflé cette idée ; sa conscience professionnelle ou l’envie de voir Léonce, le nouveau manutentionnaire antillais dont l’allure physique la faisant fantasmer. Adepte de fitness, le garçon s’était sculpté un corps très attirant. Et il n’était pas sot… Ils avaient échangé quelques mots à la pause de midi et elle avait senti que le garçon lui faisait une cour discrète. Pas le dragueur lourd, mais le garçon bien élevé qui a de la conversation et de l’humour. Alors qu’elle lui demandait si son travail n’était pas physiquement trop dur, le garçon avait gonflé des biceps impressionnants et dans un éclat de rire il lui avait répondu que dans sa salle de sport il payait pour soulever de la fonte alors que l’entreprise le payait pour soulever du carton…Maintenant, Sabine se dit qu’elle le reverrait avec plaisir. Elle gagna donc l’entrepôt et y trouva Léonce, seul, qui malgré l’heure avancée s’occupait de l’inventaire. En cette fin d’après-midi, le temps était lourd et il portait une sorte de salopette à bretelle qui mettait en valeur un torse puissant luisant de sueur. Sabine se sentit immédiatement troublée. Le garçon était penché au-dessus d’un haut carton ouvert, la tête et les épaules dans la grande boite.— Re bonjour Léonce, ça avance cet inventaire ? Le garçon sursauta et se redressa souplement— Ha c’est vous Madame Sabine, pour un peu vous m’auriez fait peur !— Je suis effrayante que cela ?— Oh non Madame, mais je comptais les boites dans ce carton et je ne m’attendais pas à de la visite— Vous êtes seul ? Ou est votre apprenti ?— A la douche et je ne vais pas tarder à faire pareil. Mais je voulais finir ce carton et il y a des boites au fond dont j’ai du mal à lire les étiquettes.Il est vrai que l’entrepôt est un peu sombre. — Attendez, Léonce, je vais essayer, j’ai peut-être une vue plus perçante— Attention, Madame de ne pas toucher le carton avec votre robe blanche, vous pourriez vous salir…Elle se pencha et sa tête disparut dans le carton au fond duquel se trouvait des boites dont les références, inscrites en petits caractères étaient à moitié effacées. Sabine sentait la proximité de Léonce, prêt à enregistrer les codes si elle pouvait les lire. Elle sentait aussi sa robe, tendue sur ses fesses par cette position équivoque et son trouble s’en trouva amplifié. Elle se trémoussa, se hissa sur la pointe des pieds pour se pencher plus pour déchiffrer les lettres minuscules— Attendez Madame Sabine, je vais vous aiderElle sentit les larges mains la saisir aux hanches et elle put se pencher plus et déchiffrer le code qu’elle énonça d’une voix frémissante. Puis elle se releva et se trouva dans les bras de Léonce. Elle était rouge d’avoir eu la tête en bas elle eut un léger vertige. Elle se laissa aller son dos plaqué sur le torse puissant.Léonce se plaqua contre elle de tout son corps. Elle sentit son sexe contre ses fesses, et les lèvres du garçon sur une de ses épaules. Elle décida de se laisser aller.Le jeune homme ne perdit pas de temps. Elle eut l’impression qu’il possédait quatre mains qui explorèrent ses hanches, caressèrent ses sein par-dessus sa robe, frôlaient ses hanches, caressaient ses fesses, relevait sa robe….Elle se trouva rapidement avec sa robe troussée sur ses hanches ! Sa culotte tomba sur ses chevilles et en deux petits pas elle s’en débarrassa et se pencha de nouveau en avant, offrant son intimité au garçon qui fébrilement enfilait un préservatif tiré de sa poche. Elle n’eut pas le temps de s’interroger sur la présence de cet ustensile dans une salopette de travail, qu’elle sentit un sexe déterminé se présenter à l’entrée de son ventre ou il n’eut aucun mal à trouver un chemin abondamment lubrifié.Léonce la pénétra de toute sa longueur lui arrachant un gémissement de plaisir et se mit à la besogner vigoureusement, l’agrippant aux hanches de ses mains puissantes….
Sabine ne sait plus depuis combien de temps elle subit les délicieux assauts de Léonce. Le garçon est endurant… Plusieurs fois elle a senti la vague de l’orgasme la submerger puis refluer puis revenir encore. En d’autres circonstances elle se serrait laisser tomber sur le sol au mépris de la blancheur de sa robe mais la poigne de fer de Léonce la maintient fermement. Elle entend ses gémissements, son souffle saccadé et le souffle puissant et régulier du manutentionnaire.Elle a soudain une étrange sensation. Quelque chose a changé dans l’atmosphère de ce hangar sombre. Elle tourne la tête et sursaute : un jeune garçon les regarde. Léonce a senti son sursaut. Il ralentit son rythme— C’est Momo, pas de soucisEffectivement Sabine a reconnu l’apprenti manutentionnaire, Mohamed, alias Momo. Celui-ci les regarde avec des yeux ronds. Il ne porte qu’une serviette autour des reins car il sort visiblement de la douche. Il a une main devant ses cuisses comme pour cacher la bosse qui grossit sous la serviette.Sabine aurait voulu se cacher, reprendre une attitude décente, partir, mais comment faire pour échapper à la délicieuse étreinte quand des mains d’acier immobilisent vos hanches ?Momo s’approche lentement de Sabine et celle-ci ne le quitte pas des yeux. Elle voit que le garçon lance un coup d’œil interrogatif à Léonce. La réponse silencieuse de celui-ci dut être explicite car Momo lâche sa serviette qui tombe sur le sol dévoilant un sexe au garde-à-vous. Sabine ferme brièvement les yeux car Léonce vient d’accélérer son rythme. Lorsqu’elle les ré-ouvre le sexe de Momo est sous son nez et le garçon le tend comme une offrande. Résignée autant qu’excitée, Sabine ouvre la bouche et enfourne cette queue qui sent la savonnette.Sabine a maintenant deux sexes qui s’activent en elle, un dans son ventre et un dans sa bouche. C’est ce dernier qui explose le premier. Elle sent l’odeur âcre contre son palais, le flot de sperme qui envahit sa bouche. Elle déglutit plusieurs fois tandis que le garçon, qui a posé une main sur sa tête, donne d’ultimes coups de rein. Puis Léonce accélère ses mouvements puis s’enfonce complètement et s’immobilise. Il semble à Sabine que la queue du garçon grossit encore alors que le manutentionnaire pousse un long grognement. Elle sent ensuite qu’il se retire lui laissant une étrange sensation de vide. Les mains relâchent se hanches et elle se redresse. Momo se laisse aller sur le sol, nu, adossé aux cartons. Elle s’assit à côté de lui, sur sa serviette, en sueur, rouge, le souffle court. Léonce vient les rejoindre, sans prendre la peine se refermer la large braguette de sa salopette sous laquelle il est nu. Son corps étincelle de sueur et Sabine découvre le sexe qui l’a si bien contenté mais qu’elle n’a encore jamais vu. Un sexe de belle allure…Tous les trois ont le souffle court.Seule Sabine est décente car elle a rabattu sa jupe sur ses cuisses alors que Momo est nu et Léonce a sa salopette béante. D’un mouvement irraisonné elle pose chacune de ses mains sur les sexes au repos. C’est Léonce qui reprend le plus vite de la vigueur sous ses caresses. Sabine a de nouveau le ventre en feu. Elle lâche les deux sexes, se leve en enjambant Léonce, elle s’accroupit au-dessus du membre en érection. S’empaler dessus est une formalité. Elle pousse un long soupir de plaisir en sentant le sexe la pénétrer lentement jusqu’à ce qu’elle se retrouve assise sur les cuisses musclées du garçon. Elle s’immobilise un instant, puis elle se met à onduler du bassin, de plus en plus vite, comme entrainée par une houle puissante, incontrôlable…A côté d’eux, Momo les regarde, un peu frustré car la jupe de Sabine, déployée en corolle autour de ses hanches lui cache un spectacle dont il aurait aimé jouir en se masturbant puisque lui aussi désormais exhibe une érection triomphante. Il se lève et passe derrière Sabine. Il relève la jupe sur les hanches afin de profiter d’une vision de rêve : des fesses blanches allant et venant sur un membre noir qui s’engouffre dans un sexe accueillant et luisant de cyprine.Sabine est cambrée et son anus apparait au gré de ses mouvements. Momo enduit son index de salive et commence un mouvement circulaire sur le trou étroit en y appliquant une pression insistante. Sentant cette caresse nouvelle, instinctivement Sabine ralentit la houle qui agite ses hanches puis s’immobilise lorsque le doigt inquisiteur la pénètre. Elle visionne dans sa tête certaines vidéo qui son mari ramène à la maison ou l’actrice se fait prendre par deux hommes en même temps. Elle s’était toujours demandé si elle en serait capable. C’est l’occasion rêvée de le savoir ! Elle se cambre un peu plus pour faciliter l’exploration de Momo, lequel comprend que le cul de Sabine n’est pas un terrain interdit. Il ne peut savoir que Mr martin, son patron a déjà investi les lieux !D’une reptation sur ses genoux il s’approche et d’une main guide la pointe de son sexe vers l’anus convoité. Lorsqu’elle sent la pointe du sexe se faufiler entre ses fesse, Sabine se concentre pour se décontracter, se cambre au maximum et recule ses fesses vers le sexe pour signifier son accord. Son mouvement a pour conséquence de l’empaler à fond sur le sexe de Léonce. Momo a déjà introduit son gland assez facilement. Mentalement il remercia le fabriquant de préservatifs pour la qualité du lubrifiant et se jura de rester fidèle à cette marque. Ca y est : il est abuté en elle, enfoncé de toute sa longueur dans le cul de Sabine et ses hanches pressent les fesses blanches. Sabine sent les deux sexes qui remplissent son sexe et son intestin. Elle ne peut plus bouger. C’est Momo qui prend l’initiative de bouger, avec précaution, lentement, presque timidement. Il commence un va et vient prudent qu’il amplifie en prenant de l’assurance. Léonce reste immobile. Le mouvement de Momo se répercute sur Sabine qui se met à onduler de nouveau au rythme de Momo, coulissant ainsi sur le sexe de Léonce. Il ne leur faut que peu de temps pour trouver un tempo commun. Sabine sent l’orgasme monter par vagues successives comme la mer sur la plage. Elle respire de plus en plus fort, puis se met à gémir et son gémissement se transforme en un long cri de plaisir lorsque ‘orgasme la submerge Elle est cambré et ses muscles sont tétanisés, , Elle reste quelques secondes bandée comme un arc puis se relâche brusquement. Les deux garçons, fous de désir se démènent sans retenue et ils ne tardent pas à la rejoindre dans son plaisir. Elle les sent exploser dans son ventre et dans son intestin.Ils restent un long moment immobiles et silencieux. Puis, le trio reprend vie. Momo se laisse aller en arrière, sortant dans le même mouvement son sexe devenu mou d’entre les fesses de Sabine qui se relève péniblement. Sa jupe retombe le long de ses jambes et elle redevient instantanément la secrétaire de direction qu’elle est. Elle regarde Léonce, toujours allongé, le sexe au repos offert au milieu de la salopette débraillée. Elle a un frisson en pensant que quelques secondes plus tôt ce sexe était en elle. Sans un mot elle tourne les talons et sorte de l’entrepôt leur abandonnant sa culotte comme souvenir..Le temps est à l’orage et il fait sombre, presque nuit. Elle regagne sa voiture et s’y installe, les muscles aussi douloureux que si elle avait passé deux heures dans une salle de sport. Elle réfléchit un instant en laissant chauffer le moteur puis décide de ne pas raconter son expérience à son mari. Tout d’abord, si il s’excitait il risquerait d’exiger sa part de plaisir, et d’autre part elle sent que son mari réagit surtout lorsque son patron, Monsieur Martin la forçe. Et là ce n’avait pas été du tout le cas. Elle décide que cette expérience serait son jardin secret. Un jardin qu’elle entend bien cultiver…
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