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Sabrina!

Chapitre 1

Divers
Sabrina : la honte de ses parents ?

Samedi.
« Toc-toc-toc »...« Clac, clac... »
— Bonjour Olivier, comment vas-tu ?— Oh ! Salut Aaron ; ça va, et toi ? Entre…— Non, je te remercie, je n’ai pas vraiment le temps, je suis venu te demander un petit service... Voilà, je dois partir immédiatement pour rejoindre ma femme. Je sais que ce soir était prévu l’anniversaire de Sabrina, mais...— Elle va bien ?— Je ne sais pas, je n’ai pas bien compris ce qu’elle essayait de me dire, elle avait l’air un peu perdu !
Aaron et Claire étaient mes voisins de palier depuis deux ans. J’avais fait connaissance avec eux petit à petit ; n’étant pas d’un naturel très sociable, je ne laissais que très peu de gens m’approcher. Mais avec le temps, des liens avaient fini par se créer entre nous.
— J’espère que ce n’est pas trop grave. Si je peux vous aider... dis-je sans réfléchir.— Eh bien, j’ai essayé de joindre Sabrina plusieurs fois depuis que Claire m’a appelé, mais elle ne répond pas ; ça m’inquiète un peu. J’aurais bien aimé lui parler avant de partir afin de la rassurer. Si je n’arrive pas à la joindre avant qu’elle ne rentre chez nous, pourrais-tu la mettre au courant de la situation ? Et puis, comme nous t’avions invité ce soir pour son anniversaire, tu pourrais t’occuper d’elle, histoire de voir si cette nouvelle ne la perturbe pas.— OK, y a pas de soucis, je ferai de mon mieux pour lui expliquer.— Merci, Olivier. Excuse-moi d’arriver comme ça sans trop d’explications et de te demander ça...— Il n’y a vraiment pas de soucis, répétai-je.— Encore merci... Bon, il faut que j’y aille...— Rappelle-moi quand tu auras plus d’explications.— OK.

Il tourna les talons et partit. Je regardai ma montre : 10 h 32. Je repensais à ce qu’il venait de me dire, et en fait je me demandais bien ce que j’allais pouvoir expliquer à leur fille quand elle rentrerait ? Tout avait été si rapide et confus !Je tournai un peu en rond et me mis devant la télé en attendant son retour.
C’est aux alentours de midi que le bruit de la porte commune à nos deux appartements se mit à grincer. J’ouvris ma porte et dis bonjour à Sabrina pendant qu’elle introduisait sa clef dans la serrure.
— Oh, salut Olivier. Comment ça va ? me dit-elle avec un grand sourire.— Beeen, il faut que je te parle... Tu n’as pas reçu les messages de ton père ? dis-je d’un ton mal assuré.— Non, j’ai laissé mon téléphone à la maison, il est en charge. Qu’y a-t-il ?
Je lui racontai donc le peu que son père m’avait dit...
— Tu sais, en ce moment entre mes parents et moi, ça ne va pas très bien, je ne peux pas tout t’expliquer car c’est assez personnel. Tout ce que je peux te dire, c’est qu’avant-hier mes parents se sont disputés. Ma mère est allée chez une amie pour se changer les idées, pour se calmer... C’est déjà arrivé quelques fois.— Tu n’es pas trop inquiète ?— Non, pas vraiment. Je suis même rassurée de savoir que mon père est parti pour rejoindre ma mère.— Bon, eh bien tant mieux... Mais si tu sens que ça ne va pas, si tu as besoin de quelque chose, surtout tu n’hésites pas, tu viens me voir. Et puis ce soir nous devions fêter ton anniversaire, si tu en as toujours envie malgré ça et ce qui a pu se passer la semaine dernière ; je veux dire à propos de ce que je t’ai dit...— Plus que jamais ! Tu sais, je ne suis pas aussi fragile que j’en ai l’air ! Ne t’inquiète pas pour moi ou mes parents, j’ai déjà vécu ce genre de situation avec eux... je gère ! me dit-elle en me faisant un clin d’œil et un sourire en coin charmant, en ajoutant « Ne t’inquiète pas pour ce que tu m’as dit l’autre jour, c’est du passé, c’est oublié et je suis impatiente... D’ailleurs, pourquoi attendre ce soir ? Viens dès que tu le souhaites ! Je vais me préparer... je t’attends vite ! » en me faisant un bisou sur la bouche.

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Sabrina avait 16 ans lorsque je fis la connaissance des ses parents ; c’était une petite fille bien sage, et tout comme moi, assez timide. Aaron et Claire ont toujours été assez discrets en ce qui la concernait, ce que je trouvais assez étrange parfois. J’avais l’impression qu’ils la cachaient, qu’ils la protégeaient... un peu trop ! Elle ne sortait pas, n’allait pas en boîte de nuit, n’avait que quelques copines, pas de copains, et encore moins de petit ami. Lorsque j’abordais le sujet avec ses parents, ils arrivaient toujours à détourner la conversation ; ils semblaient gênés.
Malgré mon âge, quelque part dans ma tête je me sens toujours une âme de vieil ado, et c’est peut-être cette ambivalence qui a fait que nous nous sommes rapprochés. Je ne sais pas vraiment, mais ses parents m’ont souvent fait remarquer qu’elle m’aimait bien. Elle m’invitait parfois dans sa chambre, « son antre secret » ; c’est ainsi qu’elle l’appelait. Divers posters étaient fixés sur les murs, et c’est en parlant de ceux-ci que nous avons commencé à discuter de ce qu’elle aimait. Je remarquai notamment l’affiche du film "Batman Begins". Moi, je l’avais apprécié pour l’action ; elle, c’était pour le côté psychologique du personnage.
Je découvris aussi sa passion pour la chanteuse Nicki Minaj qu’elle me fit écouter et voir dans différents clips sur le net ; je n’aimais pas spécialement le genre musical, mais je dois bien avouer que son physique ne me laissait pas indifférent. J’aime les femmes un peu rondes, et quand cette dernière remue son "petit" popotin tout en arborant un TRÈS large décolleté dans des tenues sexy, grrrr… ça fait plus que m’émoustiller!Sabrina aimait aussi la nature et sortait de temps en temps prendre des photos.

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Puis vint le jour de ses 18 ans, anniversaire auquel je n’avais pas été invité. Je ne l’ai d’ailleurs pas vue pendant plus de trois mois à compter de cette date. Durant cette période, j’ai bien demandé à Aaron et Claire où elle était, ce qu’elle devenait ; mais comme à leur habitude, ils sont restés assez vagues en ce qui la concernait. Je les trouvais même plus distants que d’habitude. J’ai bien essayé de la joindre par téléphone, mais en vain... Peut être que quelque chose de grave s’était passé ? Bien que me posant des questions, j’ai respecté leur silence ainsi que celui de Sabrina. Ils ne faisaient pas la gueule, mais ils m’ont fait comprendre qu’ils avaient besoin de rester seuls "en famille" pour le moment.

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Après cette période de calme plat, je fus finalement invité chez eux pour son anniversaire quelque peu décalé. J’étais heureux de savoir que j’allais la revoir : je m’étais attaché à elle au fil de nos discussions. Je décidai de lui faire un cadeau pour ses 18 ans.Je décidai, afin de ne pas me tromper, pour lui faire vraiment plaisir, de demander conseil à ses parents. Je frappai à la porte.
— Salut, Aaron. Étant donné qu’on fête l’anniversaire de Sabrina la semaine prochaine, j’aimerais savoir ce qui pourrait vraiment lui faire plaisir comme cadeau.— Eh bien, je pense queeee... Attends, je pense que tu devrais plutôt en parler à ma femme, c’est plus un truc de... de filles, tu vois ?
J’étais un peu surpris par sa réponse. D’ailleurs, Aaron semblait toujours plus gêné que sa femme lorsque nous parlions de Sabrina. N’était-il pas fier de sa fille ?
— Claire !— Oui, chéri ?— Olivier a quelque chose à te demander.— Bonjour, Claire.— Bonjour, Olivier.
Je reposai la même question... Elle semblait gênée elle aussi, mais sa réponse fut directe et surprenante :
— Tu pourrais peut être lui acheter de la lingerie... sexy ?
Je me sentais devenir tout rouge... ce qui n’échappa pas à Claire.
— Écoute, Olivier, j’imagine que cette réponse peut te paraître bizarre, mais si pendant ces années tu as trouvé que notre relation avec notre fille n’était pas normale, c’est pour une bonne raison ; je ne peux pas te l’expliquer moi même, ni Aaron d’ailleurs... SABRINA ?— Oui maman ?— Olivier est là... C’est pour ton anniversaire.— Chuuut, je voulais lui faire une surprise !
Quelques secondes passèrent et je vis Sabrina en jogging et tee-shirt accourir et me sauter au cou.
— Oooh, salut Olivier. Tu m’as manqué, tu sais !
Elle s’était agrippée à moi comme un chaton après sa mère ; elle me paraissait moins légère qu’avant. Mes mains étaient posées sur ses hanches, et j’avais du mal à la retenir ; je la sentais glisser sur mon bas-ventre. Afin de ne pas me retrouver dans une situation embarrassante (je me souviens d’une fois où, dans la même position pour me faire un câlin affectueux, elle, bras autour de ma nuque, ventre contre ventre, ses jambes croisées sur le haut de mes cuisses, j’avais senti pointer le début d’une érection pendant qu’elle faisait gesticuler ses petites fesses par saccades pour me faire des bisous sur les joues), je la soulevai d’un petit coup sec et la retins fermement de ma main droite plaquée sous sa fesse gauche, tandis que mon autre bras venait s’enrouler dans son dos, la plaquant un peu plus fermement contre moi. Et là, dans cette position je sentis les changements que son corps avait subis.
— Oh, mais dis donc, tu as pris du poids...— Tu me trouves grosse ?
Et me rendant compte de l’erreur de mon propos face à cette adolescente qui s’était transformée en une bien jolie petite femme, j’essayai de me rattraper :
— Non tu n’es pas grosse : je voulais dire que tu as pris de belles formes pendant ton absence. Tu es devenue une vraie petite femme, tu es très jolie !
Elle desserra à peine l’étreinte de ses bras pour me regarder et me sourire.
— Merci Olivier, ça fait plaisir de se sentir soutenue par quelqu’un, surtout venant de toi. J’étais impatiente de te revoir pour savoir si tu aimerais mon nouveau corps...— Sabrina ! gronda son père.
Et une fois de plus je vis le regard de ses parents se baisser, comme s’ils avaient honte.Je n’avais pas remarqué, vu la rapidité de l’action, que quelque chose avait changé chez elle, quelque chose qui ne m’avait jamais frappé jusqu’à présent... Je sentais sa poitrine palpitante contre mon torse, une poitrine à la fois tendre et ferme, une poitrine généreuse ! J’avoue que j’étais très surpris.
— Hé, doucement, Sabrina ! lui dis-je pendant qu’elle m’embrassait sur la joue, tout en sentant ses seins venir s’écraser un peu plus fortement à chacun de ses petits bisous.
Elle lâcha son emprise, reposa ses pieds sur le sol et recula d’un pas.
— Tu n’aimes pas quand je te fais des câlins ?— Si... si, bien évidement ! dis-je sans vraiment la regarder dans les yeux.— Bon. Eh bien, nous allons vous laisser, dit Aaron.— Euh, oui, rentrons chez nous, ajouta Claire en claquant la porte.— Tes parents... ils ont parfois un comportement vraiment étrange !— Oooh, ne t’inquiète pas pour ça ; c’est parce que je suis une fille un peu spéciale… me dit elle en souriant.
Il me semblait que cette phrase n’avait pas été dite innocemment ; mais mis à part cette poitrine que je remarquais pour la premières fois, je ne voyais pas ce qu’elle entendait par là.
— Je voulais te faire une surprise pour ton anniversaire, mais tes parents ont tout gâché...— Non, pas du tout : c’est moi qui leur ai dit que si tu venais à leur parler de ça, je voulais être avec toi pour choisir.— Comment savais-tu que j’allais te faire un cadeau et leur en parler? dis-je en rigolant.— Eh bien, je suis une femme... Tu n’as jamais entendu parler de notre sixième sens ? rétorqua-t-elle en gloussant.— Aaaah, c’est donc ça qui te rend "spéciale" ? Tu as des dons de voyance !— Toi, si tu te fous de ma gueule, je vais te dé... te coller une baffe !— Allez, trèfle de plaisanterie comme dirait un lapin dans un carré de luzerne ; allons faire ces achats !

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Malgré ces deux mois passés sans nous croiser, nous n’avons quasiment pas parlé dans la voiture ; nous ne sommes pas du genre bavard, tous les deux... Peut-être un autre point commun qui fait que l’on s’entend bien.
Nous fîmes les magasins tout l’après midi, et franchement je ne comprenais pas pourquoi sa mère m’avait parlé de lingerie sexy ; ce n’est apparemment pas ce qu’elle recherchait. Elle était plutôt sportive, et je la voyais partir courir de temps en temps. C’est dans ce genre de tenue qu’elle s’habillait le plus souvent : joggings assez amples ainsi que shorts et tee-shirts. Peut-être était-elle complexée par son corps ? Peut-être était-ce à cause de la taille de ses seins qui n’avaient pas grandis en même tant qu’elle ?
Ses seins, justement... Je me doutais bien qu’ils n’étaient pas apparus par magie ; comment aurais-je pu ne pas les remarquer auparavant ? Je n’arrêtais pas de les regarder. N’étant pas expert en la matière sur les tailles de soutiens-gorge mais bien plus en actrices porno dû a un célibat un peu trop poussé, je me mis à penser à ces femmes en essayant de deviner laquelle pouvait lui correspondre le mieux.
— Ils te plaisent ?— Hein ? Euh, oui ! Tes seins me plaisent beaucoup! dis-je sans réfléchir tout en secouant la tête nerveusement.— Ce n’est pas de ça que je parlais, andouille ! me dit-elle en rigolant.
Oh, putain c’était la boulette ! Tellement obnubilé par ses nouveaux atouts, je ne m’étais pas rendu compte qu’elle tenait dans ses mains les habits qu’elle avait choisis.
— Ah oui, euuuh... ça a l’air ravissant ; et puis ça change des vêtements que tu portes d’habitude. J’aime beaucoup !— C’est vrai, ils te plaisent ?— Oui, je pense que cela va t’aller comme un gant.— Je vais aller les essayer.
Le large sourire qu’elle me donnait remplissait mon cœur d’une joie indescriptible. Quelque chose de naissant venait petit à petit envahir mon esprit... Je n’avais pas compris pourquoi je pensais si souvent à elle pendant ces deux mois d’absence, tout comme je n’avais pas compris pourquoi j’en souffrais... et c’est en la voyant me sourire en cet instant que je compris : je la trouvais belle... J’en étais amoureux !Elle est apparue devant moi...
— Olivier ?
Comme une vision...
— Olivier, ça va ?
Je m’évanouis.
BAM !... Je sentais quelqu’un me donner de petites gifles sur la joue. J’entrouvris les yeux comme pour essayer de me sortir d’une nuit trop courte ; je me demandai ce que je faisais là, allongé au milieu de tous ces gens qui me fixaient. Puis j’entendis une voix familière :
— Ça va mieux, Olivier ?— Oui, mon ange, je vais mieux, répondis-je toujours un peu dans le cirage.— Bon, écoute : je te laisse cinq minutes, le temps que j’aille me rechanger. En attendant, repose-toi, et après on rentre chez nous. Tu m’as fait très peur, tu sais !
Quelques minutes s’écoulèrent et je retrouvai peu à peu mes esprits. Les gens autour de moi s’étaient dispersés et je vis Sabrina revenir d’un pas rapide. Nous rencontrâmes les pompiers qui, après m’avoir inspecté et posé quelques questions de routine, conclurent que j’allais bien, me disant que c’était dû à un petit coup de chaleur.
— Nous allons vous laisser partir, me dit l’un des pompiers, mais nous vous conseillons de rentrer chez vous et de vous reposer.— Bon, eh bien rentrons ! dit Sabrina d’une voix autoritaire qui me surprit un peu. Merci et bonne fin de journée, Messieurs... Je vais bien m’occuper de lui, ajouta-t-elle aux pompiers, qui visiblement estimaient la taille de ses nibards.— Oui, c’est ça : occupez-vous bien de lui… reprit-il d’un ton ironique et salace. Au revoir.
Ils repartirent.J’avais remarqué que Sabrina ne tenait plus les habits qu’elle avait choisis.
— Tu n’as pas les vêtements que tu as essayés ?— Non, avec ce qui vient d’arriver, je n’en ai plus vraiment envie ; ce n’est pas important.— Ça l’est pour moi. Il faut que tu les prennes ; il faut absolument que je te revoie dedans.
Elle me sourit et partit les chercher. Une fois les achats payés, je nous ramenai chez nous. Il régnait une certaine tension dans la voiture. Je la voyais me regarder de temps en temps, sans doute inquiète que je ne retombe à nouveau dans les pommes ! Elle posa doucement sa main sur la mienne qui tenait le levier de vitesses tout en me demandant :
— Ça va ?— Oui, je vais beaucoup mieux à présent.
Nos mains restèrent ainsi jusqu’ à la fin du trajet.
Rez-de-chaussée ; nous montâmes dans l’ascenseur, elle appuya sur le bouton. Étage 1... 2... 3 ; nous sortîmes. J’habite dans l’appartement 332, elle et ses parents dans le 333.
Nous avons discuté quelques instants ; je lui fis comprendre que j’étais fatigué, que j’allais me reposer. Elle me demanda de ne pas fermer ma porte à clef afin de pouvoir y pénétrer sans avoir à me réveiller et ainsi voir si j’allais bien. Avant de nous quitter, je l’embrassai sur la joue. Elle tourna légèrement la tête et me fit un baiser du coin de sa bouche tendre et pulpeuse et me dit :
— Tu sais, tout à l’heure au magasin, tu m’as appelée "mon ange"...
Je lui souris bêtement. Ses yeux me fixaient : oh, mon Dieu… SES YEUX ! Avez-vous déjà ressenti au plus profond de vous l’intensité d’un regard ? Cela m’est déjà arrivé avec quelques-unes de mes partenaires quand nous faisions l’amour. C’est quelque chose qui vous transperce le cœur, quelque chose qui vous fait oublier que le monde existe autour de vous. Une sensation extraordinaire qui vous transporte, comme si vous n’étiez plus dans votre corps : vous êtes au-dessus de tout, une sorte d’élévation spirituelle! Le Paradis peut être ?Pour en revenir à Sabrina : un regard félin, de longs cils, des pupilles dilatées, des iris d’un vert très clair, et sa peau chocolat faisant ressortir le blanc de ses yeux...
— Je t’ai appelé "mon ange" ? Sûrement le choc dû à l’évanouissement.
Mais je sentais bien que ce regard que je lui renvoyais en répondant trahissait l’envie et le désir profond que j’avais pour elle. Je voulais l’embrasser, sentir ses lèvres sur les miennes, mettre ma langue dans sa bouche, tel le désir que l’on ressent lorsque notre pénis s’apprête à s’introduire dans l’entrecuisse de notre partenaire : sexes chauds et humides s’effleurant, s’écrasant l’un contre l’autre, des corps qui se tendent, s’étreignent pour finalement ne faire plus qu’un, l’un sur l’autre, l’un DANS l’autre.
Oooh, Sabrina, si tu savais à quel point j’ai envie de toi, de ton corps, après t’avoir vue dans ces habits que tu as essayés aujourd’hui, moulant parfaitement les formes de tes courbes, mettant en avant ta poitrine généreuse... Un bassin et un cul que j’ai envie de bouffer ! Des jambes qui n’en finissent pas et que j’écarterais bien volontiers ! Et ce visage... oui, ce visage, si souriant lorsque tu me regardes, tes yeux, ton petit nez, et ta bouche... cette bouche si rose, si pulpeuse, béante et accueillante...
— Argh ! fis-je en mettant ma main sur mon sexe bandé sous le tissu léger de mon short blanc tout en manquant à nouveau de tomber à terre...
Elle me rattrapa en me plaquant contre le mur, ses bras sous mes aisselles ; je pouvais sentir mon cœur battre contre sa voluptueuse poitrine. Je la pris dans mes bras, la serrant un peu plus fort contre moi et, sans réfléchir, je l’embrassai pour la première fois, à pleine bouche, à pleine langue !
— Humm ! fit-elle en sentant ma bite venir frotter contre sa jambe...
Je ne porte que très rarement de sous-vêtements lorsque j’étais seul. J’aime cette sensation de liberté.
— Est-ce que tu m’aimes ? me demanda-t-elle.— Je te désire...
Elle me repoussa presque violemment.
— Tu me désires ? C’est tout ?
Elle me laissa là comme un con, la bite en érection, le visage rouge d’envie, envie de la prendre là sur le palier, et rentra chez elle. Un sentiment de culpabilité m’envahit : j’avais gâché un instant magique ! Je repensai à ce qu’il venait de se passer, le sexe débandé par la tristesse, le regret... Je venais peut-être de la perdre.
Après un léger repas, je m’endormis assez rapidement malgré la douleur, le sentiment de ne plus pouvoir attirer dans mes bras celle qui avait fait à nouveau ressentir en moi la bienfaisance de l’amour, ce puissant sentiment que personne au monde ne peut retenir lorsqu’il vient vous envahir, que ce soit votre corps ou votre âme."Votre âme"... Je suis damné : j’en rêve, de cet amour !Je l’aime, de tout mon corps, de tout mon être, et je pleure de cette frustration qui m’envahit...Rêve ? Réalité ? Qu’ai-je dit exactement ? Qu’ai-je réellement pensé dans cet état de semi-conscience ?

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« Clac… » Je me réveillai doucement, la tête pleine de rêves et de pensées floues, et à en croire les palpitations de mon sexe, ceux-ci avaient dû être plus qu’érotiques. Je me redressai fébrilement, calant mon dos sur les oreillers, et je sentis alors quelque chose de chaud et visqueux sur mon ventre. Je regardai, et mes yeux s’entrouvrirent un peu plus : j’avais joui abondamment ! Tout en regardant ces flaques de sperme dégoulinant sur mon corps et perlant sur le drap, j’essayais de me souvenir de mes rêves... Sabrina !
Juste quelques bribes très vagues me revinrent. Il me semblait que j’avais rêvé d’elle la prenant dans ce magasin où, pour la première fois de ma vie, j’avais perdu connaissance. J’étais assez troublé, car ce rêve était celui d’un pervers : j’étais là, derrière elle qui se tenait les jambes écartées, les avant-bras posés sur un banc d’essayage ; mes mains tenaient fermement ses hanches, mes yeux regardant son cul et sa tête qui se faisaient secouer à chacun de mes coups de reins plus que brutaux. Je la baisais, JE LA BAISAIS COMME UN CHEVAL EN RUT ! Mon sexe, bien que je le trouve trop petit pour combler pleinement une femme (hochement de tête), avait atteint des proportions exagérées... J’avais vraiment les atouts d’un étalon lors de cette... de cette baise en public ! Oui, tous les gens qui passaient par là, dans cette allée de magasin, pouvaient voir mon chibre lui labourer le cul ! C’était effectivement plus un rêve porno qu’autre chose : je la défonçais littéralement !
Je pris un mouchoir pour m’essuyer le ventre et, voyant que cela ne suffisait pas, je dus me résigner à prendre l’une de mes taies d’oreillers pour tout éponger : j’étais vraiment étonné par la quantité ! Et puis cette odeur... un doux parfum "sucré poivré" que je n’avais senti jusqu’à présent, mis à part peut-être en ayant fourré mon visage entre les cuisses d’une femme pour en butiner le nectar.Je décidai d’aller prendre une douche, mettant au passage le linge souillé dans la machine à laver.

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Je n’ai revu Sabrina que très brièvement, une fois ou deux par jour durant la semaine qui a suivi, et à chaque fois que je la voyais je repensais à ce rêve et au résultat qu’il avait donné. Je repensais aussi à mes paroles : « Je te désire » et à la déception que son visage avait affiché à cet instant.
Puis arriva le samedi, jour d’anniversaire retardé de Sabrina, et le moment où Aaron frappa à ma porte pour me dire qu’il devait partir rapidement pour rejoindre sa femme qui semblait un peu perdue, me demandant de tout expliquer à sa fille et de prendre soin d’elle, etc. puis Sabrina terminant sur cette phrase : « Je t’attends vite. »

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Je n’ai pas mis trop longtemps à me préparer ; ayant pris une douche le matin, j’enfilai rapidement un pantalon de jogging gris clair, un tee-shirt blanc et une paire de baskets... Oui, je sais, pour son anniversaire, j’aurais pu m’habiller mieux ; mais bon, comme je l’ai déjà dit, j’aime bien me sentir libre de toute contrainte en dehors de ma vie publique, c’est plus fort que moi ! Et puis Sabrina porte elle aussi ce type de vêtements. Allez, avouons-le, je dois dire aussi que de me sentir nu sous cette matière me procure du plaisir ; un peu exhibitionniste peut-être ?
« Ding-dong… »
— Entre.
Je ne l’entends pas : sa chanteuse favorite couvre sa voix dans les haut-parleurs.
« Ding-dong… »
— ENTRE ! me dit-elle en criant.
J’ouvre la porte ; le son devient encore plus fort.
— Sabrina?— Ouiiii ! Deux secondes, je finis de m’habiller... Baisse le son de la chaîne.
Ce que je fais. Je l’entends crier :
— Oh, putain de meeeerde !— Ça va ?— Euh, oui, oui, tout va bien. J’ai du mal à faire passer ma b...brosse dans mes cheveux... ils sont emmêlés.
Sabrina avait de longs cheveux noirs, épais mais doux au toucher ; j’avais déjà passé mes mains dedans, j’aimais les caresser lentement tout en effleurant sa joue avec mon pouce. Ce contact me ravissait car elle me regardait étrangement lorsque je faisais cela.
Plusieurs minutes s’écoulèrent avant qu’elle n’apparaisse (enfin !) à mes yeux.J’avais pris place sur une chaise dans la salle à manger. Assis nonchalamment, je la regardais, ou plutôt, je la dévorais du regard... Elle portait les vêtements que je lui avais offerts la semaine précédente !La peau de son corps, faisait ressortir la blancheur du tissu qu’elle portait. Elle était magnifique, divine dans ce top court sans manches, et le pantalon de jogging qu’elle portait était plus léger que le mien, moins épais, plus fin, je veux dire par là que je voyais par transparence au travers de celui-ci, tout comme son top, d’ailleurs !Elle ne portait pas de chaussures ; pieds nus, elle s’avançait vers moi lentement...
— Sabrina, je, je...— Eh bien, mon petit Olivier, tu me sembles aussi perturbé que la semaine dernière... Ne t’évanouis pas, je t’en prie ! dit-elle tout en me souriant.
Elle s’assit sur ma cuisse droite tout en m’enlaçant dans ses bras, posant sa joue contre la mienne. Je n’arrivais plus à bouger ; je sentais son souffle léger sur ma nuque qu’elle caressait avec tendresse de sa main droite. Quant à son autre main – à présent sous mon tee-shirt – elle la faisait glisser du bout des ongles le long de ma colonne vertébrale. Mon Dieu, quelles sensations ! Je me sentais comme un enfant que sa mère essaie de consoler. J’en eus presque les larmes aux yeux de ressentir autant de tendresse entre ses bras.
— Sabrina... je...— Oui ?— ... Je t’aime.
À ce moment-là, il y eut dans ma tête comme une rupture du temps. Ces mots sortirent de moi comme étouffés, comme si je n’aurais pas dû les dire. Sa main gauche se figea quelques instants ; je la sentis se crisper puis, petit à petit, venir se planter dans ma chair. Cela ne me faisait pas spécialement mal ; au contraire, j’aimais la sensation que ses ongles me procuraient...
— JE T’AIME, Sabrina...
Une vague sensation de douleur m’envahit lorsque ses ongles pénétrèrent ma chair... Elle était là, tout contre moi. Je respirais son parfum les yeux fermés, la tenant à présent moi aussi dans mes bras, caressant son dos, puis l’une d’elle osa toucher ses fesses au travers du tissu, jusqu’à en attraper une fermement. Sa respiration se faisait de plus en plus longue, de plus en plus saccadée. Elle inspirait fortement, et je pouvais sentir contre ma nuque ses lèvres entrouvertes expirer un souffle d’air chaud qui me procurait une agréable sensation... Je revins à la réalité lorsque je sentis le bout de mon sexe tendu contre son genou...
— Sabrina ?— Oui, mon amour ?— Qu’est-ce qui est arrivé à ton corps ? demandai-je très maladroitement.
Sa respiration cessa ; ses mains arrêtèrent de me caresser. Puis, lentement, son corps se détacha du mien, et d’un ton hésitant elle me dit :
— Olivier... tu veux boire un verre ?
Ce n’était pas du tout la réponse que j’attendais, mais je sentais qu’elle avait quelque chose d’important à me dire et qu’elle n’en avait pas le courage, du moins pour le moment...
— Oui, je veux bien. Tu as quoi ?— J’ai préparé du punch, hier... et j’ai ajouté un ingrédient spécial aujourd’hui, rien que pour nous deux !
Elle alla au frigo, en sortit un récipient qu’elle posa sur la table ainsi que deux grands verres qu’elle remplit à ras bord en prenant soin de ne pas mettre de fruits dedans.
— Rien que pour nous deux ? Et tes parents ?— Tais-toi et trinquons à mes 18 ans... passés de quelques mois.
Elle me tendait son verre tout en me défiant du regard pour finalement le boire d’un trait !
— À ton tour : cul-sec pour le premier !
Je portai le liquide à mes lèvres, en respirai un instant le parfum, puis l’avalai.
— Humm, c’est délicieux ! C’est toi qui l’as fait ?— Oui. Comme je te l’ai dit, je l’ai préparé hier ; j’ai mélangé différents alcools, découpé des fruits frais, ajouté quelques épices et d’autres choses, et j’ai laissé macérer en remuant le tout de temps en temps.
Nous avons discuté quelques minutes de son breuvage tout en en rebuvant un second. Elle y avait mis quelques fruits cette fois-ci : pommes, bananes, mangues, kiwis, oranges, ananas, le tout découpé en petits dés. En bouche, c’était doux et sucré, et parfois de petits morceaux de citrons apportaient une légère note d’acidité. Mais une fois dégluti, une petite pointe de chaleur envahissait le palais à cause des épices qu’elle y avait ajoutés ; c’était un mélange très subtil.
Trente minutes plus tard, nous finissions notre cinquième verre, et j’avoue que cela commençait à me monter à la tête. Elle était allée chercher son ordinateur portable pour me montrer des photos qu’elle avait prises durant ses sorties. Me laissant seul à les regarder, elle s’était mise à danser. Je la regardais de temps à autre faire bouger son corps au rythme de la musique. Tantôt de dos, tantôt de face, je matais son cul puis ses seins, parfois son nombril qui allait et venait sous les ondulations de son bassin. Son sourire était radieux ; son regard semblait exprimer du désir lorsqu’il croisait le mien.
Remarquant que je la fixais, elle passa un doigt dans sa bouche tandis que son autre main caressait son ventre, puis son bas-ventre, pour finalement aller sur son pantalon entre ses cuisses, mimant des caresses. C’était torride !Quand la chanson fut finie, elle s’approcha de moi, m’embrassa et me dit :
— Ne bouge pas, je vais aller me mettre un peu plus à l’aise.
Elle me fit un clin d’œil avant de ma laisser. Je me replongeai difficilement dans ses photos, essayant tant bien que mal de faire cesser le processus d’érection qu’elle avait déclenché ! J’avais beau essayer, je n’y arrivais pas, comme si mon sexe avait sa volonté propre, pompant le sang de mon corps dans ses tissus. Des vagues de chaleur m’envahissaient ; je pris ma tête entre mes mains, ayant l’impression que mon cerveau était en ébullition. Et ma bite, telle un vampire qui n’arrêtait pas de se gorger de sang, je la sentais palpiter de plus en plus fort : elle aussi était en feu ! Plus je la sentais grossir, plus j’avais du mal à regarder les photos de Sabrina.
Je lâchai prise pour me laisser aller à l’imaginer. Comment allait-elle revenir ? « Me mettre plus à l’aise. » avait-elle dit... Peut-être était-elle en train de se déshabiller ? Peut-être allait-elle venir et s’empaler sur mon sexe comme ça, sans prévenir ? Je pensais à sa chatte ; je l’imaginais chaude et humide, rasée. J’imaginais ce fluide dégoulinant sur mon sexe pendant que nous nous embrasserions. J’imaginais mes deux mains sur ses seins, l’une d’elle pinçant un téton, lui procurant un plaisir certain. J’imaginais le bruit de nos corps lorsque mes couilles viendraient fouetter son sexe et mon bas-ventre claquer sur son cul...
C’est sous l’emprise de cette pulsion intense et incontrôlable que je vis Sabrina réapparaître. Je la regardai, la tête rougie par le sang ; je ne voyais rien de changé dans sa tenue.Elle regardait mon visage et devina exactement mon interrogation :
— J’ai juste retiré mon shorty... me dit-elle tout en me le jetant à la figure.
Je l’attrapai au vol de ma main gauche et le portai à mon nez en prenant une profonde inspiration. Quant à mon autre main, elle se trouvait sur mes cuisses serrées. C’est sur celle-ci que Sabrina s’attardait.
— Je devine que mon petit cocktail à fait son effet !
Elle se dirigea vers la chaîne hi-fi avec une démarche inhabituelle, puis l’éteignit. La musique laissa place à un silence de plomb !
— Tu bandes, Olivier ?
À cette question directe, je ne pus répondre qu’un oui gêné.
— Retire la main de ton bermuda, que je puisse deviner ce que tu as entre les jambes... Détends-toi ; tu es tout rouge, on dirait que tu vas exploser ! dit-elle avec un rire taquin. Attends, je vais t’aider.
Et toujours avec cette démarche étrange, elle vint vers moi, prit ma main dans la sienne pour m’inviter à me mettre debout, libérant ainsi mon sexe coincé entre mes cuisses : le tissu très ample de mon vêtement parvenait tout juste à cacher avec peine mon état d’excitation. Dans le même mouvement, Sabrina s’était mise de dos, et tout en se penchant en avant, elle avait commencé à frôler ma verge tendue de ses fesses rebondies. Malgré les vêtements que nous portions tout deux, je sentais parfois le bout de mon gland toucher son orifice. Ses mains posées sur la table du salon, elle ondulait ainsi doucement, tout contre moi, et tout en continuant cette danse elle remplit à nouveau nos verres... Nous les avons bus d’un trait, comme si nous étions assoiffés ! Nous l’étions, en effet, non pas par l’envie de boire, mais par le profond désir que nous ressentions pour le corps de l’autre.Je voulus passer ma main dans son pantalon pour poser mon index sur sa fente et titiller son clitoris, mais sa main saisit mon poignet pour m’en empêcher.
— Non, pas encore : buvons-en encore un... dit-elle en gémissant.
Un peu refroidi par ce refus, je "trouvai compensation" en passant ma main sous son top, prenant son sein gros et ferme, je pinçai aussi son téton dur et long.
— Nous allons être saouls ! répondis-je en buvant quand même.— Ce sera mieux ainsi... Tu sais, ce punch... je l’ai fait pour toi, mais aussi pour moi. J’ai mis quelque chose de spécial dedans... et ça me rend folle de désir, tout comme toi.— Un aphrodisiaque féminin ? demandai-je en rigolant.— Est-ce que tu m’aimes, Olivier ? Est-ce que tu m’aimes vraiment ?
Elle avait cessé de faire bouger son corps, et au ton de sa voix j’ai bien senti qu’elle commençait à pleurer. Je la pris par les hanches pour qu’elle se retourne ; effectivement, elle pleurait : de petites larmes coulaient sur ses joues. Je les essuyai tendrement.
— Sabrina, tu le sais bien que je t’aime ; pourquoi me poser encore cette question, et pourquoi pleures-tu ?
Elle recula d’un pas, toujours avec cette démarche étrange... Cuisses serrées, elle baissa la tête tout en reniflant ses larmes et me dit timidement :
— Non…
Je n’ai pas compris le sens de sa réponse, et face à mon silence elle poursuivit :
— Non, je n’ai pas mis d’aphrodisiaque féminin.
Et tout en desserrant très lentement ses cuisses, elle ajouta :
— Je te l’ai dit : c’est pour toi et pour moi, ce que j’ai mis dedans. Je ressens le même désir que toi.
Elle releva la tête et, dans l’intensité de son regard, sur les traits de son doux visage je pus lire la tristesse imprégnée de détresse qui s’en dégageait. Et, dans un dernier mouvement, elle écarta complètement les jambes...Bien abruti par l’alcool, je regardais ce "truc" qui pendouillait entre ses cuisses ; Sabrina ne quittait pas mon visage des yeux pour voir ma réaction. Je crois qu’en cet instant, mon esprit refusait la réalité de ce que mes yeux voyaient pourtant très clairement.
— Tu t’es mis un sextoy dans la chatte ? lâchèrent mes lèvres avec une voix complètement stupide.
Son visage changea subitement, exprimant une colère que je n’avais encore jamais vue chez elle. Je n’ai pas eu le temps de réagir (sans doute à cause du punch) : je me suis pris une grande baffe, suivie de coups sur le torse et d’un croche-pied, ce qui me fit tomber sur le sol. Elle continua dans son élan à califourchon sur mon ventre tout en me disant :
— Mais tu es vraiment con ou quoi ? Tu le fais exprès ?
Je me débattais comme je le pouvais ; je n’ai jamais été du genre violent, et c’est avec peine que je me défendais. Ses coups devenaient de moins en moins forts, et elle se remit à pleurer. J’en profitai pour la saisir d’un bras par la nuque, collant sa joue contre la mienne. Elle se calmait petit à petit tout en sanglotant.
Ses poings ne m’avaient pas vraiment fait mal, mais ils avaient eu pour effet de me faire reprendre un peu mes esprits. C’est à ce moment-là alors que nous étions blottis l’un contre l’autre, que j’ai senti quelque chose de long et chaud contre mon bas-ventre. Je détournai ma tête de la sienne pour regarder d’où provenait cette douce chaleur, et ce que je vis me fit un peu peur : dans la chute et la bataille, le pantalon de Sabrina avait glissé légèrement sur ses cuisses, laissant échapper non pas un jouet, mais un sexe bien réel !
Elle sanglotait toujours un peu, et malgré une certaine appréhension je me décidai à l’embrasser tendrement, passant une main dans ses cheveux tandis que l’autre effleurait sa hanche du bout des doigts. J’ouvrais les yeux de temps à autre ; les siens restaient clos, et ses sanglots avaient peu à peu fait place à de fortes inspirations. Accoudée au sol, ses avant-bras bloquaient ma tête, ses mains étaient posées sur mon front. Avec le poids de son corps sur mon ventre, je ne pouvais faire un mouvement, pris comme dans un étau, dominé !
Nos tendres baisers sont devenus fougueux ; nos langues fouillaient l’autre, et notre plaisir buccal devenait de plus en plus humide. Elle mordait parfois mes lèvres, suçait ma langue, devenant un peu plus vorace à chaque minute qui passait.C’est alors que je la sentis se pencher un peu plus, sa poitrine venant se plaquer contre la mienne. Nous nous embrassions si fort, si intensément que nous pouvions sentir nos cœurs battre l’un contre l’autre. Mon sexe avait repris toute sa vigueur dans cette étreinte passionnée... le sien aussi, d’ailleurs !
Quelle étrange sensation que de sentir tout contre moi une femme avec un attribut qui, me semblait- il, était plus long et plus gros que le mien. Elle avait commencé à mimer un acte sexuel, frottant sa verge sur ma bedaine, et dans ces mouvements de va-et-vient son jogging avait fini par "tout lâcher" : conclusion faite lorsque je sentis sur ma peau comme deux grosses noix !
Ma petite Sabrina m’embrassait toujours ; les seuls moments de pause qu’elle m’accordait étaient pour reprendre son souffle, un souffle long et chaud que j’inhalais lorsque moi aussi je respirais. Les longs baisers qu’elle me donnait allaient avec le rythme des ses hanches. Elle se mit aussi à me lécher le visage, telle une chatte avec son petit, m’embrassait dans le cou, puis me fit des suçons... Jamais une femme ne m’avait fait tout cela à la fois et de manière si... si... Elle me bouffait, littéralement !
Sabrina relâcha finalement son emprise et se redressa lentement. Je pouvais distinguer au travers de sa chevelure défaite un large sourire ; je voyais aussi sa poitrine se gonfler d’air, la rendant encore plus volumineuse à chacune de ses inspirations.
— Je suis essoufflée ! me dit-elle tout en faisant glisser ses cheveux sur le côté. Prenons une petite pause, tu veux bien ?
J’acquiesçai en faisant un signe de la tête, puis elle s’est relevée. Mes fesses entre ses pieds, elle est restée ainsi quelques secondes en me dévisageant, et je n’osai quitter son regard quand elle leva un pied, puis l’autre, laissant choir son pantalon sur le sol. Elle se mit de dos pour retirer le top qui emprisonnait ses seins, ne me laissant rien voir de son anatomie intime. À présent, elle était totalement nue.
— Tu devrais peut-être en faire autant ; je me sentirais plus sereine face à toi, dit-elle timidement.
Je me relevai à mon tour. Je n’étais pas très à l’aise lorsque je retirai mon tee-shirt. Pas très sportif, et à 40 ans passés mon corps n’était plus ce qu’il était à une époque ; et puis je la trouvais tellement belle comparée à moi ! Qu’allait-elle penser en voyant ce corps grassouillet ? Je me posais aussi d’autres questions en laissant tomber mon bermuda sur le sol. Bien que tendu à l’extrême, mon sexe atteignait péniblement les 16 centimètres. Oh, j’avais déjà bien fait jouir des femmes, mais là n’était pas la question, le problème. C’est ce que j’avais senti contre moi qui me faisait douter. C’est Sabrina elle-même, ou plutôt la taille de son "engin" que j’avais imaginé, deviné lorsqu’il était plaqué contre moi.Elle tourna un peu la tête pour voir où j’en étais et, me voyant dans le plus simple appareil, fit le tour de la table pour s’asseoir sur un tabouret.
— J’ai la gorge sèche. Un dernier pour la route ? proposa-t-elle.
Je m’assis en face d’elle.
— Prenons notre temps ; dégustons-le à petites gorgées, dit-elle tout en poussant sur le côté les affaires qui se trouvaient sur la table en verre.
Je m’attardais sur son visage tout en sirotant le punch quand elle se détourna de moi, son attention semblant être attirée par la porte-fenêtre entrouverte qui donnait sur le balcon. J’en profitai pour jeter un bref coup d’œil à sa poitrine. Je ne pus m’empêcher de penser à Rocki Roads (une star du X des années 90) en la voyant. Je compris que Sabrina avait eu recours à la chirurgie durant ces mois d’absence. Mais ses seins semblaient malgré tout naturels.Je perçus un mouvement de sa tête et relevai la mienne aussitôt : elle but une gorgée, me sourit, et retourna à sa fenêtre.
En fait, ce qui me troublait, ce qui attirait le plus mon regard, c’était la taille de ses tétons. Pas de cicatrices apparentes ; ils semblaient parfaitement naturels, épais et longs... Deux vrais petits volcans semblant au bord de l’éruption !Pris dans mes pensées, je n’avais pas remarqué que Sabrina me regardait elle aussi. Mais son regard, lorsque je le surpris, était posé sur moi bien plus bas, au travers de la table en verre. Je me demandai ce qu’elle avait pu trouver comme aphrodisiaque. Du Viagra ? Des pilules achetées dans un sex-shop ? Tout ce que je savais, c’est que je ne débandais plus depuis un long moment déjà ; ça commençait même à me faire mal. Je pouvais sentir chaque afflux de sang dans ce corps spongieux, le faisant sautiller... ce qui fit sourire Sabrina.Je remarquai que sa tête commençait à osciller doucement, puis le haut de son corps.
— Ça va, Sabrina ?— Je crois bien que j’suis un peu bourrée, dit-elle d’une voix un peu grave tout en baissant la tête pour regarder entre ses cuisses.
Mon regard suivit le sien ; elle faisait ce que je me retenais de faire depuis un petit moment, par pudeur : elle se touchait ! Il était à peu près 16 heures au moment où le téléphone sonna, et c’est la queue à la main qu’elle se leva pour aller décrocher l’appareil.
— Allô ?— ... — Ah, c’est toi papounet ; comment ça va ?— ... — Oui, Olivier m’a tout raconté ; il est avec moi en ce moment, nous fêtons mon anniversaire.— ... — Maiiis non, bien sûr que je ne bois pas... trop ! Tu te rappelles comment ça a fini le jour de mes 16 ans ? Toute nue sur le balcon en train de m’astiquer… Hi hi hi ! Et maman, elle va bien ?— ...
J’étais quelque peu médusé par ce que je voyais et ce que je venais d’entendre. Sabrina restait cramponnée à sa bite, et apparemment son père l’avait déjà vue faire ce que peu de personnes n’osent faire en public, et encore moins devant ses parents !
— Bon, tout l’monde va bien alors ?— ... — Moi aussi je vous embrasse ; à demain, bisous.
Elle reposa le téléphone sur la tablette de la cuisine américaine.
— Mes parents vont bien, ils vont rester chez l’amie de ma mère et rentreront demain soir.— Euh, oui, tant mieux ! dis-je en sortant de ma torpeur.— Tu veux manger quelque chose ?— Oui, je veux bien. Qu’est ce que tu proposes ?— Un fruit ? Il m’en reste deux que je n’ai pas découpés pour le punch.
De là où j’étais, je ne la voyais pas. Je décidai d’aller la rejoindre dans la cuisine. Elle avait la tête dans le frigo, attendant ma réponse.
— Un petit en-cas nous fera du bien après tout ce que nous avons bu ! dis-je en me collant contre elle et en la prenant par la taille.
Elle eut un petit sursaut.
— Je t’ai fait peur ?— Non, pas vraiment ; c’est juste que... ta queue…
Je n’avais pas fait attention lorsque, me collant à elle, mon gland était entré en contact avec son anus.
— Oups, désolé.— Ce n’est pas grave, dit-elle tout en fermant la porte du frigidaire. Je suis juste un peu sensible à cet endroit...
Elle se retourna.
— Tu veux la grosse ou la petite ? proposa-t-elle en tenant une banane dans chaque main.— La grosse me paraît plus mûre. Miam ! dis-je avec gourmandise tout en l’épluchant pour la dévorer.
Elle regardait mon sexe, et moi le sien ; nos regards se sont croisés. Nous nous sommes souri, puis un fou rire réciproque éclata lorsque nous avons réalisé le sens métaphorique de ce que nous faisions en mangeant ces deux fruits !
Une fois les bananes finies et que les rires se furent estompés, elle me prit par la main pour m’emmener dans sa chambre. Elle me fit asseoir sur le bord de son lit recouvert d’un simple drap blanc. Elle se retourna, m’offrant ainsi son joli petit cul que je pris dans mes mains. Je me mis à l’embrasser un peu partout. Mes mains palpaient ces deux rondeurs, les massaient pour en ressentir la texture ; un peu molles, elles devenaient fermes quand Sabrina contractait ses muscles. Sa peau chocolat était douce comme de la soie, un léger parfum de fleurs s’en dégageait.
Je m’aventurai un peu plus vers le sillon, jusqu’à ce que mes pouces se touchent, puis délicatement je repliai ceux-ci pour ouvrir l’endroit où se cachait son intimité la plus sombre. J’y mis le nez en premier, afin de humer. J’ai eu un peu peur juste avant d’inspirer... Je laissai finalement mes poumons s’emplir d’air. Non, rien d’écœurant : toujours ce parfum de fleurs. Alors ma langue s’approcha timidement pour le toucher, puis retourna dans ma bouche pour le goûter... encore et toujours des fleurs.
Alors je décidai d’aller un peu plus loin, un peu plus profond et, écrasant mes lèvres et mes dents sur sa peau, je commençai à titiller son aréole. Je sentais Sabrina se crisper sous mes coups de langue qui tentaient de forcer le passage étroit. Je dus y mettre un peu plus de salive pour y parvenir... J’étais maintenant en elle !Elle poussa un petit gémissement quand son petit trou s’ouvrit sous la pression de mon organe et, au travers de son bassin, je pouvais ressentir de légers à-coups lorsque sa main venait buter contre son pubis. Ma main droite quitta sa fesse pour prendre son avant-bras, l’accompagnant ainsi dans le plaisir qu’elle se donnait. Je fouillais la moindre parcelle de sa grotte, comme pour essayer d’y trouver un trésor caché. Ma mâchoire redoublait d’efforts pour épouser ses formes, tenter de gagner quelques millimètres ; j’étais ancré si profondément dans son cul que je pouvais sentir son anus entre mes dents !
— Humm ! Haaan, haan !... Ne t’arrête pas, bouffe-moi le cul !
Sabrina avait arrêté ses caresses, sans doute pour ne pas jouir. Je la tenais toujours par l’avant-bras quand elle me tendit l’autre. Je la saisis fermement par les poignets en la tirant à moi ; la pression se fit encore plus forte. Elle se cambra d’un coup lorsque ma tête se mit à vibrer et que ma langue la baisait sauvagement !
— Ah-Haaan !... Ouiiii !
Un long râle de plaisir envahit la petite chambre pour aller se répandre dans l’appartement ;j’en fus moi-même surpris ! Je relâchai ses bras et retirai ma tête de sa lune. Toujours penchée en avant, ses jambes s’étaient mises à trembler ; elle avait posé ses mains sur ses genoux afin de pouvoir tenir debout, m’offrant par la même occasion un cul encore plus bombé ! Elle resta ainsi pendant plusieurs secondes, le temps de laisser passer l’orgasme. Puis elle finit par se redresser tout en faisant pivoter son corps. Elle prit ma tête entre ses mains et la redressa pour me dire :
— Je te l’avais dit que j’étais très sensible à cet endroit…
Puis elle se pencha pour m’embrasser. À la fin de ce baiser, Sabrina se redressa ; et comme elle tenait toujours ma tête entre ses doigts effilés, je me rendis compte que mes lèvres se trouvaient à quelques centimètres de son sexe humide de plaisir : un fin filet translucide et visqueux pendait au bout de son gland.
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