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Un sacré coup de pédale

Chapitre 1

Gay
J’étais à la fac sur Grenoble...

L’avantage de cette ville est de se retrouver en montagnedés qu’on en sort... j’avais donc emmené mon vélo ce qui me permettait d’allerà la fac à moindre coût et le samedi il m’arrivait fréquemmentde partir essayer de faire un col... je jouais aussi au rugbyà la fac et par la force des choses m’étais rapprochéde plusieurs équipiers...
Farid jouait donc avec moi et je lui avais parlé de mes sortiescyclistes.... intéressé il avait proposé de m’accompagnerle week-end suivant.... j’acceptais avec joie...
On se retrouve donc en fin d’après midi au point de rendez-vousen bas de la montée prévue... sans se concerter on se retrouvedans la même tenue : un simple t-shirt blanc, un cyclistenoir, chaussettes blanches et baskets... nous voila doncpartis sur nos 2 vélos de route.... la montée est assez longuemais pas trop pentue.... l’effort est bien sur solitaireet on se parle très peu... on s’encourage juste un peuen se relayant régulièrement... Grenoble se découvrelentement sous nos yeux... j’aime à me retrouver derrièrelui surtout quand il se met en danseuse pour se relancer...bientôt nos t-shirts se retrouvent roulés sur nos nuques
et je peux admirer à volonté son torse imberbe à chaque foisque je le relaye... il a ce qu’on peut appeler les tablettes... il est très finmais bien musclé, il doit faire 60 kg pour 1m75... pas toutà fait comme moi qui fait plutôt 80 kg pour 1m75 et qui a beaucoupplus de mal à monter ma carcasse en haut du col... je ne saispas grand chose de lui, juste qu’il joue au rugby etqu’il aime bien faire la fête... il me semble qu’enplus de ses études il s’occupe d’un site Internetassez "osé"... les autres de l’équipequi le connaissent un peu mieux l’appelle très finementle Zob Master"... L’humour du rugbyman m’étonneratoujours...
On arrive enfin au bout d’une bonne heure en haut denotre col... toute la vallée grenobloise s’offreà nous... on se ravitaille tout en admirant ce spectacle...les T-shirts rabaissées nous entreprenons la descentepar la même route... en effet nous avions été un peu tropoptimistes sur la durée de la boucle que nous avions prévude faire... on se relaye aussi assez fréquemment dans ladescente car c’est de loin l’exercice le plusdangereux... au bout d’un quart d’heure nousavons fait les 2 tiers de la descente... nous attaquons maintenant la partie la plus sinueuse...Farid prend son relais et me passe donc devant... Au boutde 2 virages, un grand virage à gauche le surprend et le voilàdroit sur les freins... tout ce serait bien passé si desvicieux n’étaient pas venu mettre des gravillons...heureusement étant donné le peu de pente sous le virageil ne comporte pas de barrières mais juste de petits plots...Farid n’arrive donc pas à s’arrêter et je le voisdisparaître entre 2 plots... j’arrive heureusementà m’arrêter et regarde la fin de descente de Farid aumilieu de la sorte de terrain vague... je prends mon vélosur l’épaule et commence à le suivre à pied quand ilfinit enfin sa descente... il était depuis plus de 10m enéquilibre instable sur son vélo et un petit muret rattrapantune différence de niveau a eu raison de lui... par chancele muret ne fait pas bien plus de 1 m de haut et je retrouveSébastien étalé sur le dos en train de gémir et son vélo 10m plus loin en piteux état je lui demande si ça va... il merépond que ça pourrait être mieux... il me dit qu’ila mal à la hanche gauche, je constate effectivement qu’ila du râper par terre car son cycliste est déchiré mais laplaie n’a pas l’air bien importante... par contreil se plaint beaucoup de son entrejambe car il a perdu lespédales au départ de sa sortie de route et est tombé sur sabarre transversale.... je m’agenouille à sa gaucheet lui demande ou il a mal... il m’indique son haut de cuisse gauche... je prendsson mollet gauche dans ma main et lui lève sa jambe... ilne gémit pas trop... je la fais tourner autour de son axe...pas trop de réactions... ça ne doit pas être trop grave...je continue à essayer de savoir ce qu’il a exactement...je palpe son haut de cuisse, sa hanche, son aine... toujourspas de réactions... du moins pas celle prévue... le cyclisteétant assez moulant soit il est en semi érection soit ilest très bien membré ce que je n’avais jamais remarqué...
Je palpe maintenant son entre cuisse vers l’os qu’onappelle le sacrum je crois... je sens sous mes doigts la base de sa verge gonflée et mesyeux qui ne peuvent plus quitter son sexe me confirme sonérection... mes doigts s’enhardissent à caresserla partie de son sexe comprise entre ses bourses remontéespar le cycliste est son petit cul... il recommence à gémir mais c’est plus près du ronronnementque de la douleur... son sexe est maintenant tendu sous le cycliste... je suissubjugué par ce sexe réagissant à mes simples caresses...je dois dire que je n’avais jamais eu à l’époquede relation homosexuelle quelle qu’elle soit...mais la vue de ce sexe érigé commençait à me faire bouilliret il me semble que je commençais à bander aussi... inconsciemmentje me penche sur Sébastien qui commence à onduler des hanches...mes faibles caresses lui font un gros effet... je me retrouvemaintenant à 20 centimètres de son bas ventre... aprèsune brève hésitation je saisis avec mes dents son sexe sousle tissu... ma main gauche prend alors ses bourses en mainet pousse son sexe vers ma bouche... je mordille sa vergede haut en bas toute en lui caressant les burines... ses mainsviennent bientôt m’aider et je sens le tissu glisserle long de ses hanches... sa bite longue et raide s’offreà mes yeux... il a une très fine toison pubienne qui met en valeurla finesse de sa queue... je ne tarde pas à l’engloutirà nouveau... ma main gauche vient le masturber en même tempsque je le suce... sa main gauche vient caresser mes cuisseset mon sexe tendu tandis que sa main droite appuie sur matête me forçant à l’engloutir non sans mal... sa têtese relève vient, cherche assez vite ma queue m’obligeantà abandonner la sienne... toujours à genoux je me retrouvele cycliste mi cuisse en train de me faire sucer par ce beaumec presque inconnu... il se retrouve assez vite à 4 pattesdevant moi, les 2 mains sur mes fesses me tirant à lui pourque je le pénètre le plus possible... je passe à un rôle complètementpassif ne pensant même plus à le caresser appréciant cemerveilleux traitement buccal... je vois en face de moiles lumières de la ville qui s’allument et je croism’envoler tellement ce moment est délicieux. .. Farid m’abandonne 2 secondes et je le vois fouillerdans sa banane que j’ai décroché en arrivant près delui... il en ressort assez vite un préservatif qu’ilm’enfile en 3 secondes ce qui a pour effet de renforcermon érection... l’idée de ce qui va arriver me faittrembler les jambes... Sébastien ne met pas longtempsà se réoccuper de moi et continue sa pipe... mes mains se portent sous ses oreilles et je m’enfournecomplètement... aucune protestation ... je me fais dubien 3, 4 coups et le relaisse prendre la direction des évènements...après 2, 3 minutes de savantes caresses buccales il se relèveface à moi... il me roule une pelle merveilleuse se porte à mon oreilleet me murmure : "lèche moi..." sur ce il se retourne toujours à 4 pattes m’offrantson petit cul... le cycliste le recouvre encore partiellementet je ne tarde pas à le découvrir... pas un poil 2 superbesfesses blanches qui ondulent et son anus qui m’appelle...je lui bouffe maintenant sauvagement le cul et apparemmentça lui plaît... son odeur, la sueur son excitation me rendefou.... ma langue fouille son sphincter.... je lui lèchecopieusement la raie les 2 mains sur les fesses... je l’entendsmurmurer... ses fesses viennent rencontrer ma langueet la font pénétrer son anus qui se dilate de plus en plus...il me dit quelque chose que je ne comprends pas.... ses mainsviennent se poser sur les miennes et il se cambre en hurlant: "DEFONCE MOI" si tu le dis... j’approchemon sexe de sa raie ... il se remet à 4 pattes en ondulant toujoursdes fesses... mon sexe m’a aucun mal à trouver l’entréeet je m’exécute : je le défonce... il pousse un cri...je me retire et le pénètre avec force... il repousse un cri...j’hésite ayant peur d’avoir tout gâcher en luifaisant mal...puis j’entends un minuscule : "encore...." si tu le dis... je ne me fais pasprier et le fait encore hurler 5 ou 6 fois... puis les criss’estompent... je sens son anus m’accepter complètementet je me sens coulisser dans ce cul complètement offert...la vue de Grenoble illuminée devant nous et ce coït limitebestial ne tarde pas à nous faire jouir tous les 2.... Jeme retire doucement... me penche sur lui et lui embrassel’entre fesses... le léchant pour refroidir le feude la pénétration... il se retourne m’embrasse etm’attire à lui dans l’herbe... nous restons commeça un bon bout de temps enlacés regardant Grenoble, en T-shirtles cyclistes à mi cuisse... son vélo inutilisable nousavons mis une bonne demi-heure à rentrer à pied... maiscomme dit un proverbe de bon vivant : "le temps paraitmoins long les bourses vides...."
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