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Sacré Windows et ses pannes !

Chapitre 2

Amélie

Inceste
Assis devant mon PC, je me prépare à lancer le logiciel « Zoom » pour la conférence du prof de Droit Européen. J’avoue que j’ai du mal à me concentrer. Mon esprit est totalement accaparé par le souvenir de la soirée d’hier. Ma mère qui m’abandonne son corps et me demande de la baiser, c’était un fantasme que je n’imaginais pas réaliser. Malgré sa demande d’oublier et de considérer que « ce n’était qu’un accident » et qu’il « fallait mettre cela entre parenthèses » il me semble que je ne pourrai pas résister à la provoquer à nouveau.
La conférence se passe très bien et je réussis à avoir une matinée studieuse.11h00, mon téléphone sonne : - « Bonjour Thomas. C’est Amélie. J’ai un problème sur un exercice de conflit de voisinage. Je dois rendre le devoir jeudi. Crois-tu que ta mère pourrait m’aider ? Elle doit souvent traiter ce type de dossier dans son cabinet ? »
- « Elle n’est pas là en ce moment, je lui en parle et je te rappelle »- « Merci. Je te fais la bise. »
Au retour de Liliane, Thomas demande donc à sa mère.
- « Bien sûr, je veux bien, mais ne crois-tu pas que c’est une excuse pour venir te voir toi ? »- « Non, non, elle avait l’air sincère et embêtée pour rédiger son travail »- « D’accord, dis-lui qu’elle peut venir vers 16h00 » - « Je ne la verrai peut-être pas, car j’ai rendez-vous chez le dentiste »
16h00 Amélie s’annonce à l’interphone.
- « Bonjour, c’est Amélie »- « Monte. Je t’attends, tu connais la maison ? »
A l’ouverture de la porte de l’appartement, Liliane est en présence d’une belle fille qu’elle connaît, mais qu’elle regarde différemment compte tenu de ce que lui avait dit Thomas : « Je la soupçonne d’être également gouine »
Amélie est habillée d’un pull rouge moulant bien sa poitrine qu’on devine avantageuse. Naturellement pour une jeune de son âge, contrairement à beaucoup de ses copines qui sont toujours en pantalon plus baskets, elle porte une minijupe écossaise, très courte, des bas noirs et des talons hauts.
- « Bonjour Amélie, tu es ravissante. Dommage que Thomas ne soit pas là, il m’a raconté que vous étiez très copains ! Alors, tu as besoin de mes services ? »- « Oui madame, vous aussi vous êtes ravissante dans cette tenue d’intérieur. J’ai expliqué à Thomas que j’avais un devoir pour jeudi et que je souhaitais votre aide pour rédiger mes conclusions. »- « C’est gentil d’avoir pensé à moi, je vais voir si je peux t’aider, mais il ne faudrait pas que nous écrivions un texte qui sentirait trop le professionnel. Viens, passons dans mon bureau. »
En s’acheminant vers le bureau, Liliane ne peut s’empêcher de détailler l’anatomie de sa visiteuse et d’être attirée par le profil de sa poitrine bien soulignée par son pull.
- « Assieds-toi à côté de moi, ce sera plus facile pour lire ce que tu as fait et éventuellement amender ton texte. »
La position assise d’Amélie remonte très haut sa jupe jusqu’à découvrir la lisière de ses bas, ce qui semble attirer l’attention de Liliane.Au cours de la lecture du travail de son « élève », les jambes des deux femmes se touchent et s’éloignent dans un ballet à l’allure sensuelle. A chaque contact, Liliane fixe les yeux d’Amélie, sans paroles. La correction du travail continue jusqu’à ce qu’Amélie fasse remarquer qu’il fait très chaud dans la pièce.
- « Mets-toi à l’aise. Enlève ton pull si tu veux « - « Oh, ce ne serait pas correct madame, je n’ai rien dessous. »- « Tu n’as pas de soutien-gorge ? »- « Si, bien sûr, mais je n’ai pas de corsage »- « Ce n’est pas bien gênant, nous sommes entre femmes »- « Oui, c’est vrai d’ailleurs, j’aperçois votre poitrine à travers votre corsage transparent. C’est mignon. Vous n’avez pas de soutien-gorge ?»
Les regards, les yeux dans les yeux, se font plus incisifs. En enlevant lentement son pull, c’est effectivement une splendide poitrine qui se dévoile du buste de la jeune fille. Un geste malencontreux fait sortit un sein de son bonnet.
- « Oh excusez-moi ! »- « Ce n’est pas grave Amélie, il est très joli »- « Vous n’êtes pas fâchée ? »- « Non ! et si j’osais, j’aimerais bien voir l’autre. »- « Donnant donnant, si vous me montrez les vôtres et si vous m’autorisez à les caresser. »- « Mais dis donc, tu m’as l’air bien effrontée. Je comprends mieux tes jeux de jambes de tout à l’heure, tu me sembles très sensuelle »
Effrontée, la jeune fille l’est assurément, car elle fixe son regard sur sa « prof » d’un jour en passant sa langue sur ses lèvres.
Liliane se lève, vient se placer derrière son élève, lui caresse les cheveux, descend ses mains le long de son cou jusqu’à les placer sur chacun des seins entièrement sortis de leur soutien en dentelle. Les tétons sont dressés, bien raides. Amélie rejette sa tête en arrière comme pour demander un baiser qu’elle obtient, car la bouche de celle qui devient sa partenaire se plaque sur la sienne et s’ensuit un jeu de langues passionné avec échange de salive.
- « Mets-toi debout Amélie que j’aie tout ton corps pour moi. Je suis sûr que tu mouilles depuis un moment. Ecarte les cuisses »- « Oui, j’ai commencé à mouiller quand vous m’avez accueillie et que j’ai deviné vos seins à travers votre corsage. Les quelques fois où je suis venue voir Thomas, vous m’aviez fait de l’effet et aujourd’hui, j’ai senti que l’occasion de faire l’amour avec une femme mature était à ma portée. C’est une chance que votre fils ne soit pas là. Continuez vos caresses, je sens la cyprine couler le long de mes cuisses. Donnez-moi vos seins, j’ai envie de vos tétons. »
Le corsage grand ouvert, Liliane offre sa poitrine tout en promenant une main sur la touffe velue et le string trempés de sa partenaire.
- « Bouffez-moi Liliane, faites-moi jouir. J’ai trop envie. »- « Toi aussi tu vas me faire jouir. Je crois que je vais avoir un orgasme même sans que tu me touches la chatte tellement tu m’excites. Je ne pensais pas qu’une jeune comme toi pouvait être une vraie salope. Tu es toute chaude sous ta jupe et tu es bien mouillée. »
La bouche de Liliane est maintenant sur le string d’Amélie qu’elle écarte d’une main pour fouiller la toison et extraire le clito qu’elle suce et aspire goulûment.
- « Oui, c’est bon, encore, ma chatte est en feu, je sens que je vais partir. Ça monte. Ça y est, je jouis ! »
Le corps tout tremblant, la petite gouine éclate dans un râle bestial en laissant échapper un puissant jet de cyprine qui inonde le visage de sa partenaire. Cet orgasme décuple l’excitation de Liliane qui à son tour est parcourue d’un spasme orgasmique.
« Ma petite chérie, tu vas me laisser ton string plein de ton jus. Je le porterai en souvenir pour garder ton odeur »- « OK faisons échange ».
- « J’entends du bruit, ce doit être Thomas qui revient. Rhabillons-nous et remettons-nous au travail. Soyons prudentes et discrètes. Ce que j’ai lu de ton travail est convaincant. Tu peux le rendre tel quel en relisant bien pour les fautes d’ortho. »
- « Vous êtes là les filles ? vous n’avez pas terminé ? »- « Si, c’est bon. Amélie avait bien travaillé. »
En sortant du bureau après avoir remis de l’ordre dans leurs habits, nos deux complices retrouvent Thomas dans le salon.
- « Salut Thomas. J’aimerais bien rester un peu plus longtemps, mais j’ai promis à ma mère de lui ramener quelques courses. Il faut que je file »- « Dommage, tu aurais pu prendre un pot. Ce sera pour une autre fois »
Après avoir fait une bise sur le front de son copain, Amélie se dirige vers la sortie, accompagnée de Liliane qui lui chuchote à l’oreille : « J’espère que tu as eu ce que tu voulais petite gouine. J’aimerais bien te revoir pour jouir de ton corps entièrement nu. »- « C’est réciproque madame, j’aimerais être votre jouet sexuel. Appelez-moi quand vous serez seule, vous me ferez peut-être découvrir d’autres plaisirs »
C’est avec une caresse furtive de chacune sur l’entrejambe de l’autre que nos deux complices se séparent.

A son retour, maman vient s’assoir sur le canapé en face de moi. Sa jupe remontée au haut de ses bas du fait de sa position assise. Sa poitrine bien visible sous son corsage mal reboutonné trahit l’érection de ses tétons.
- « Alors Thomas, ta séance chez le dentiste s’est bien passée ? »- « Oui je n’ai pas eu mal, j’étais obnubilé par la tenue de l’assistante. Sa blouse blanche n’était pas complètement fermée et j’ai pu apercevoir ses seins qui gonflaient son soutien-gorge et son porte-jarretelles soutenant ses bas noirs. J’en suis encore très excité surtout en voyant ce que tu me montres. »- « Je ne te montre rien, c’est toi qui me déshabilles du regard »- « Maman je bande, j’ai envie de te baiser »- « Tu recommences, je t’avais dit d’oublier que cette nuit n’était qu’un incident et qu’il fallait refermer la parenthèse »- « Oui, mais moi j’ai envie de la rouvrir, regarde la bosse de mon jean »- « Ecoute, je veux bien te soulager en te masturbant, mais c’est tout. Approche »
Campé devant ma mère, les jambes écartées, je me laisse baisser le pantalon. Immédiatement, ma queue se dresse hors de mon boxer. Liliane la saisit, la caresse et amorce les va-et-vient.- « Maman, suce-moi, tu sais si bien faire. Fais-moi jouir. »
Pendant qu’elle est penchée sur moi pour prendre mon engin en bouche, j’ai le regard plongé sur ses seins et je ne peux m’empêcher d’approcher mes mains de son corsage. Trop occupée à me sucer, elle ne réagit pas. A-t-elle envie de mes caresses ?
« Je suis sûr que tu mouilles. Laisse-moi toucher. »

Elle ne réagit toujours pas. Ses mains sur mes fesses, elle accompagne les va-et-vient. En se reprenant, elle s’est relevée pour me reprendre manuellement, ce qui me permet de passer une main sous sa jupe et effectivement je trouve une chatte plus que mouillée.
(Thomas ne se doute pas que la mouille est augmentée de celle d’Amélie qui lui avait donné son string à la suite de leur gouinage.)
- « Tu es archi trempée, c’est ma queue qui t’excite ? »
- « Oui à mon corps défendant, car je voulais juste te soulager et ne plus penser à cette nuit, mais c’est difficile de résister, je sens que je suis chaude, pourtant il ne faut pas que nous recommencions. »- « Mais si tu as envie, laisse-toi baiser. Moi j’ai envie de ton corps, de ta chatte. Arrête de te torturer l’esprit, je vais te faire jouir »- « Non Thomas, laisse-moi me caresser pendant que je te suce. Tu déchargeras sur mes seins, je te promets une bonne partie quand je me serai déculpabilisée d’une attitude incestueuse. »- « OK mam. J’irai te dire bonne nuit quand tu seras prête. »
Dans l’action, je sens que maman est prise d’un orgasme qui secoue tout son corps. Au moment où je vais jouir, elle relève sa jupe et se ravise :
— Décharge dans mon string que je mêle ton sperme à ma mouille.
Je lui envoie une bonne dose qu’elle enferme bien contre sa chatte.
— Bon, maintenant Thomas, reste tranquille jusqu’à ce que je te fasse signe. Nous pouvons peut-être prendre un apéritif pendant que je prépare le dîner ? — C’est une bonne idée.
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