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Sacré Windows et ses pannes !

Chapitre 3

Amélie puis Mlle Jeanne

Lesbienne
Nous sommes vendredi. Depuis ses aventures, Liliane a pris goût à ces deux facettes des plaisirs sexuels que probablement le confinement a fait naitre. L’inceste avec son fils Tomas particulièrement bien membré et le plaisir saphique avec la jeune Amélie qui semble être une fieffée salope.Aujourd’hui, exceptionnellement Thomas a des travaux dirigés en présentiel à la FAC. Une bonne partie de l’après-midi est donc libre pour Liliane qui meurt d’envie d’appeler Amélie.
- « Allô Amélie, c’est Liliane. Je suis seule pour deux bonnes heures, j’ai terriblement envie de te revoir ! »- « Depuis notre rencontre, je n’ai cessé de penser à vous voire de rêver que vous me faisiez jouir de multiples fois dans la nuit. J’ai souvent trempé le string que vous m’avez laissé. Si vous avez envie, moi aussi, je peux être chez vous dans la demi-heure. »- « OK, mais comme tu m’as dit que tu voulais être mon jouet sexuel, je serai ta maîtresse et tu devras m’obéir »- « D’accord, je mouille en y pensant. »- « Pour commencer, tu viendras chez moi nue sous un manteau juste avec tes bas, ton porte-jarretelles et les seins libres, pas de culotte »- « Bien maîtresse, j’obéirai »
Lorsqu’Amélie s’annonce à l’interphone, Liliane lui demande :
- « Dès que tu es dans l’ascenseur, tu enlèves ton manteau et tu montes toute nue. Il n’y a personne sur le palier, ma porte sera ouverte »
Sans crainte, trop excitée à l’idée de se soumettre, dès qu’elle est seule dans l’ascenseur, Amélie se met nue.A l’entrée dans l’appartement, Liliane l’appelle pour venir la rejoindre au salon. Et là, elle trouve sa maîtresse campée sur ses talons aiguille juste vêtue d’une minijupe extra courte, le buste nu, pas de soutien-gorge. Elle tient à la main une sorte de cravache très courte, un collier attaché à une laisse et un imposant gode ceinture qui soulève sa jupe.
« Tu es ravissante ma chérie, hyper-sexy. Les garçons diraient « archi bandante ». J’adore ta toison bien fournie. J’en profite pour te dire que je ne supporterais pas que tu te rases. J’ai horreur de ces femmes que je vois dans les vidéos avec un entrejambe glabre »« Ne craignez rien maîtresse, j’aime trop jouer avec mes poils quand je me fais jouir en solitaire. »- « Approche, tu vas être ma chienne »
Amélie se laisse mettre docilement le collier autour du cou et enfoncer la cravache dans sa chatte.
- « Mets-toi à quatre pattes et rampe par terre autour de moi, laisse traîner tes seins sur le sol. Tu as vraiment un cul magnifique, il donne envie d’être bourré. Viens sucer ma queue et mets-moi un doigt derrière. Comment veux-tu que je te prenne, devant ou derrière ? »
- « Devant maîtresse, en même temps que la cravache que vous m’avez mise dans le con et quand j’aurai bien joui, prenez-moi derrière.- « Apparemment, tu as bien aimé que je t’encule. Est-ce que ça t’arrive aussi avec des garçons ? »- « Oui j’aime bien aussi. Le membre est moins dur que certains godes, mais une bonne queue bien bandée lorsqu’elle crache dans mes entrailles c’est sublime. »- « Tu le fais avec Thomas ? Il m’a dit qu’il baisait avec toi. »- « Vous parlez de cela avec votre fils ? »- « Oui et je sais qu’il est bien membré »- « Vous l’avez vu depuis qu’il est adulte ? »- « Oui et je me suis laissée baiser. »- « Avec votre fils ? Thomas ? C’est lui qui vous a demandé, il vous a violée ?»- « Non, il ne m’a pas violée, j’aurais bien aimé, c’est un jeu excitant, mais pour une première fois, je me suis laissée faire. C’est arrivé il y a très peu, il a été obligé de fouiller dans mon ordi à la suite d’un virus, il est tombé sur une de mes consultations de sites pornos, ça nous a excités tous les deux et de paroles en caresses, tout est allé très vite. Un peu comme avec toi quand tu m’as provoquée en venant me voir pour ton exercice de droit. J’ai un peu honte et je crains que d’avoir franchi le pas ne me rende addict, car non seulement il baise vraiment bien, mais il sait également me faire jouir de multiples fois. »
- « Vous me faites énormément mouiller en me racontant cela, si je prends le gode ceinture, je peux aussi vous faire jouir autant que vous pourrez le supporter. »
C’est donc au tour de la petite gouine de se harnacher avec le gode et en ayant bien relevé la jupe de sa partenaire, lui offre une pénétration qui lui fait monter un, puis deux, puis trois orgasmes, saisissant son corps sous des spasmes tremblants.
- « Tu étais vraiment bonne ma petite Amélie. Il me vient une idée : et si nous invitions Thomas à nos ébats. Serais-tu d’accord ?»- « Je ne suis pas certaine qu’il apprécierait de voir sa mère se gouiner particulièrement avec moi » - « Il suppose que tu es bi, c’est lui qui m’a dit que tu étais probablement gouine. Quand tu es venue pour ton devoir de Droit et que j’ai deviné cette poitrine agressive sous ton pull, tu m’as fait de l’effet alors que je ne n’avais jamais eu de rapport sexuel avec une femme. Ta jeunesse avec tes regards insistants sur l’ouverture de mon corsage puis tes jeux de jambes sous mon bureau ont déclenché la suite de nos rapprochements. Mais comment Thomas a-t-il supposé que tu puisses aimer les femmes ? »
- « Je ne sais pas. Vous savez, il se raconte n’importe quoi entre étudiants, mais il est vrai qu’Arielle dans ma classe, est toujours à côté de moi et peut avoir des attitudes équivoques quelques fois, je m’amuse à l’aguicher, mais rien de plus. Par contre, il y a une surveillante d’une quarantaine d’années, une vieille fille, Mlle Jeanne, bien potelée, avec une poitrine laissant imaginer de très gros seins toujours en tenue sexy avec des jupes à mi-cuisses que je regarde souvent avec envie et comme ça s’est bien passé avec vous, je vais essayer de l’approcher. »
- « Tu me tiendras au courant, ça peut être très excitant. Pour mon idée avec Thomas, tu es d’accord pour que j’essaie de le décider. ? »- « Oui, bien sûr, ce serait une bonne expérience. »

Le lendemain, de retour à la FAC un jour où la bibliothèque est accessible, car le confinement a été allégé, Amélie rencontre par hasard Mlle Jeanne au détour des rayonnages.Effectivement, toujours très sexy, la surveillante est debout, en train de consulter un ouvrage. Amélie s’approche et en passant esquisse une caresse sur les fesses de Mlle Jeanne qui se retourne avec un regard interrogateur mêlé de surprise. Amélie se rapproche à nouveau et applique une nouvelle caresse un peu plus appuyée en restant derrière Jeanne qui tourne la tête, mais ne manifeste aucune réprobation. Cela encourage notre jeune fille qui est maintenant collée à sa proie, promène ses mains sur ses cuisses et remonte dans l’échancrure de son corsage pour atteindre la poitrine. Elle lui souffle à l’oreille :- « Vous aimez mes caresses ? »
Jeanne se retourne en repoussant gentiment les mains d’Amélie.
- « Qu’est-ce qui vous arrive Mlle Amélie ? »- « Souvent, je fantasme sur votre corps votre poitrine me fascine, vous me paraissez très sensuelle et j’ai tenté ma chance en vous approchant. Vous ne vous êtes pas débattue, c’est bon signe. Etes-vous lesbienne ? »- « J’ai été très surprise par votre hardiesse à votre âge, mais j’avoue que vous m’avez donné des frissons. Vous aussi vous semblez avoir un beau corps. Et vous, êtes-vous lesbienne ? »- « J’aime tout ce qui peut me donner du plaisir, les attouchements solitaires avec toutes sortes d’objets, le contact des garçons, mais j’ai un penchant pour les femmes matures et comme je vous l’ai dit, votre corps est particulièrement attirant. Je ne suis pas lesbienne au sens très social de ce mot, je ne m’attache pas sentimentalement, mais j’aime me gouiner et je choisis mes partenaires de préférence plus âgées que moi »
Pendant ce bref échange, Amélie a porté une main sur une cuisse de Mlle Jeanne et remonte sous sa jupe jusqu’à atteindre l’entrejambe.
- « A travers votre culotte, je sens votre touffe mouillée Jeanne. Est-ce un signe d’excitation ? »- « Avouez que vous faites tout pour cela petite effrontée et maintenant vous me donnez envie de vous caresser à mon tour. »- « Le lieu n’est pas très propice à ce genre d’échanges, mais j’ai tellement envie de vous bouffer les seins. Il n’y a personne autour de nous actuellement. Jeanne ouvrez-moi votre corsage »
Un rapide déboutonnage laisse émerger une imposante paire de seins aux tétons pointés sur de larges aréoles brunes.
- « Qu’ils sont jolis et désirables. Vous ne portez pas de soutien-gorge ? »- « Non, je me trouve plus à l’aise comme ça, ils se tiennent bien à mon âge et je sais que les voyeurs aiment bien les voir danser quand je me déplace. »- « Donc vous êtes aussi exhibitionniste ? »- « Oui, ça m’excite de voir quelqu’un qui me mate et notre rencontre dans cette enceinte publique y contribue. Il m’arrive même de jouir rien qu’en voyant quelqu’un qui fixe avec insistance ma poitrine ou mon entrejambes et qui semble se branler en me regardant. Moi aussi j’ai envie de toi petite salope, donne-moi ta bouche que je bouffe ta langue. »- « J’aime que vous me traitiez de salope, mais le qualificatif me semble réciproque »
Très émoustillée, Jeanne attrape Amélie par les cheveux, lui renverse la tête en arrière et plaque sa bouche contre la sienne. Les dents desserrées, les langues s’entrelacent, les salives s’échangent. Amélie a introduit une de ses mains dans la jupe de Jeanne par la ceinture. Et fouille la toison jusqu’à atteindre le clito. Déjà très mouillée, sous la pression des caresses, Jeanne émet un nouveau jet de cyprine, ce qui a le même effet sur l’entrejambe d’Amélie.A ce moment, l’orgasme monte chez chacune d’elles et la jouissance est simultanée.
- « Dommage que je ne puisse pas vous déshabiller entièrement, j’ai tellement envie de votre corps. Si vous êtes d’accord, il faudra que nous nous revoyions. »- « Bien sûr, moi aussi j’ai envie, je n’ai pas l’habitude de petites salopes de ton âge tu es vraiment très excitante et désirable. Echangeons nos numéros de tél. N’hésite pas à m’envoyer des textos très hard, j’adore lire les histoires de lesbiennes. »
Cela dit, nos deux gouines se séparent avec un tendre baiser sur les lèvres.
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