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Sacré Windows et ses pannes !

Chapitre 6

Visite chez Amélie et sa mère +Roxy

Lesbienne
 Note de l’Auteur : Pour cet épisode, c’est Liliane la mère de Thomas qui sera le personnage central et c’est elle qui parlera.
Ayant récupéré la vidéo de mon action solitaire sur une clé USB comme je l’avais demandé à Thomas, je me suis empressée d’envoyer le document par internet à Amélie.La réaction ne s’est pas fait attendre. Elle m’appelle au tel : « Liliane, c’était formidable, je me suis branlée pendant tout le visionnement. J’ai joui trois fois, j’étais trempe de cyprine. J’ai une envie folle de vous voir malheureusement, j’ai promis à ma mère de l’héberger quelques jours à mon appartement. Avec le confinement, elle a pris quelques congés. Je n’oserai pas trop m’absenter mais vous pourrez venir nous voir en tout bien tout honneur bien sûr. Ma mère se doute que je suis gouine mais nous n’en avons pratiquement pas parlé. »- « Pratiquement me dis-tu mais ça veut dire que vous avez évoqué la chose ? »- « Je vous en parlerai, j’ai aussi beaucoup d’autres choses à vous raconter. Je sens que je deviens un vraie petite chienne. »- « Moi aussi, en ton absence je me suis bien dévergondée. Thomas qui m’a fait entrer dans le monde de l’inceste et toi dans le monde saphique, m’avez appris à jouir avec mon corps et je crois que je suis devenue nympho. Je recherche toutes les occasions »- « Il ne faut pas vous culpabiliser, comme on dit couramment, il n‘y a pas de mal à se faire du bien. Dans la quête du plaisir, nous n’en sommes qu’au début. Je sens que nous allons bien progresser. » Arrivée chez Amélie, la porte s’ouvre sur une belle femme plantureuse aux formes bien marquées mises en valeur par un corsage et une jupe mini très ajustés. - « Bonjour Mme. Liliane je pense. Ma fille vous appelle toujours par votre prénom quand elle parle de vous. Elle semble avoir beaucoup de considération pour vous depuis que vous l’avez aidée pour son travail. Amélie est sortie faire prendre l’air à Roxy mon chien. Elle m’avait prévenue de votre visite. Elle ne devrait pas tarder à être de retour. Finissez d’entrer. » Depuis que j’ai goûté aux plaisirs lesbiens, je ne regarde plus les femmes comme avant et cela à cause d’Amélie qui m’a tant faite jouir au cours de nos deux rencontres à la maison. Cette femme qui m’accueille, qui doit avoir à peu près le même âge que moi, je la trouve très attirante mais c’est surtout Amélie que je suis venu voir. Nous avons beaucoup de choses à nous dire. - « En attendant Amélie, je peux peut être vous offrir un café ou un thé ? »- « C’est gentil, je prendrais bien un thé. » Assise en face de moi dans un profond canapé, j’ai tout le loisir d’admirer les belles jambes galbées et gainées de noir de mon hôte.  La découverte du haut de ses bas tenus par un porte jarretelles me rend un peu fébrile. - « Alors Mme Liliane, vous avez dû envouter ma fille. Elle ne tarit pas d’éloges sur vous. Je crois savoir qu’elle a un penchant lesbien et comme vous êtes une belle femme, n’a-t-elle pas essayé de vous séduire ? »- « Merci pour le compliment mais pour le reste, encore faudrait -il que moi aussi je sois lesbienne. Vous aussi vous êtes ravissante, nous devons avoir à peu près le même âge et vous devez beaucoup plaire aux hommes et peut être aux femmes puisque nous étions sur ce thème de discussion. Qu’est-ce qui vous fait penser qu’Amélie pourrait être lesbienne, elle est bien copine avec Thomas mon fils ?»- « Oh, vous savez, cela ne veut rien dire, j’ai ma petite idée là-dessus. Je vois que votre regard se porte avec insistance sur mes jambes qu’est-ce qui vous intrigue ? »
- « Je me demande pourquoi votre jupe est remontée si haut sur vos cuisses. Est-ce la position sur le canapé qui vous amène à dévoiler une partie de votre anatomie ? De même que l’échancrure de votre corsage qui laisse deviner une poitrine généreuse qui se tient bien sans soutient gorge. Est-ce une attitude de relaxation ?  Après nos brefs échanges sur le lesbianisme, je m’interroge. »- « Me trouvez-vous indécente. Vous aurais-je troublée ? Vous pouvez m’appeler Jacqueline, c’est mon prénom »- « Non-Jacqueline, je vous trouve plutôt excitante »- « Autant que ma fille ? »- « Que voulez-vous dire ? »- « Amélie est toujours habillée très sexy et à voir la façon dont vous me déshabillez du regard, je doute que vous soyez insensible à ce qu’on pourrait appeler son charme. »- « J’avoue qu’effectivement c’est une très belle fille. Pour son âge, elle a comme vous de très belles formes. Elle me semble très sensuelle. Mais pourquoi toutes ces questions ? »
Plus la discussion avançait, plus je me revoyais faisant l’amour avec sa fille et de là à transposer mes pensées sur cette femme qui m’excitait avec ses jeux de jambes et ses seins bien marqués, il n’y avait qu’un pas à franchir. A mon tour, avec mon penchant exhibitionniste, je jouais insensiblement sur la longueur de ma jupe pour voir sa réaction. - « Il y a un instant, vous m’avez dit : « il faudrait que moi aussi je sois lesbienne », et un peu plus loin vous m’avez ajouté que vous me trouviez plutôt excitante » Venez près de moi. » L’invitation était inespérée. J’allais donc basculer de la fille à la mère. Je contourne la table basse qui nous sépare et vient me camper les jambes écartées devant Jacqueline. Sans un mot, elle se lève, se colle à moi, caresse mes jambes en faisant crisser mes bas, remonte sur mes fesses puis sur ma poitrine et m’attrape par les cheveux en me renversant la tête pour plaquer sa bouche sur la mienne. S’ensuit un baiser fougueux où les langues se lient, se délient dans un échange abondant de salive. Nous mouillons de la bouche ! Mes mains pénètrent dans le corsage de celle qui est maintenant ma partenaire à la recherche des tétons bandés comme des clitos. - « Bouffe moi les seins Liliane. Mets une main sur ma chatte et caresse-moi, fais-moi jouir » En relevant plus sa jupe, je constate qu’elle n’a pas de culotte et rencontre une touffe bien fournie et trempe de jus qui coule le long de ses bas. Un bon massage de son clito dressé comme une petite bite ne tarde pas à déclencher un puissant orgasme qui fait trembler tout son corps. - « C’était bon Liliane. Tu sembles être experte. As-tu beaucoup de copines lesbiennes ? »- « Non, c’est une jeune femme qui m’a faite découvrir ces plaisirs il y a peu de temps et je crois que je suis devenue accro à tel point qu’avec son accord j’en ai fait ma soumise. C’est une vraie salope. »- « Et si je te disais que je crois connaître cette jeune fille »- « Quoi ? vous avez deviné ? »- « Oui, Amélie m’a raconté vos rencontres. Elle m’a même montré la vidéo que tu lui as envoyée. »- « C’est pas possible, vous discutez de cela avec votre fille ? »- « Tu peux me tutoyer, notre relation me semble bien avancée. Oui, elle m’en parle et je m’en délecte. J’en redemande tellement elle m’excite en me parlant de toi. Je pense que souvent elle fantasme. Je sais qu’elle est très salope et portée sur le sexe avec un femme plus âgée qu’elle. Maintenant c’est moi qui vais posséder ton corps. Je veux te voir toute nue, déshabille-toi je veux ta chatte et tes seins, boire ton jus. Zut, j’entends du bruit ce doit être Amélie qui revient remettons de l’ordre dans nos tenues. » Amélie apparait dans le salon précédée d’un imposant labrador noir qui s’empresse de faire la fête à sa maitresse en lui léchant les jambes. - « Du calme Roxy. Oui je t’aime bien tu es un bon chien chien mais laisse-moi nous avons une invitée. »
Roxy se dirige vers moi et tourne autour de ma jupe en me caressant avec son museau. J’avais lu que les chiens sont très excités lorsqu’ils sentent qu’une chienne est en chaleur. Peut-être que les effluves de nos chattes trempées de mouille l’ont attiré. Je le repousse en même temps qu’Amélie rappelle Roxy. - « Bonjour Liliane. Ne t’inquiète pas, il n’est pas méchant il est surtout très affectueux. »- « Bonjour Amélie ; Tu as fait une bonne promenade ? »- « Oui, il fait beau, c’est très agréable. Tu as eu le temps de faire connaissance avec maman ? » Jacqueline me regarde en passant sa langue sur ses lèvres. - « Oui elle est très affectueuse aussi ! mais elle m’a appris des choses que je n’imaginais pas. Tu as un peu trahi ma confiance. »- « Je saurai me faire pardonner. » Amélie s’est rapprochée de sa mère et lui caresse les seins en en sortant un de son corsage. --« Vous voyez Liliane cette poitrine aussi agressive que la vôtre et ce sein gonflé de désirs, j’en ai eu envie un jour, je peux dire que j’ai pratiquement violé ma mère qui ne s’est pas trop faite priée et depuis nous faisons l’amour aussi souvent que possible. Quand elle est déchainée c’est une vraie chienne au sens propre du mot. »- « Que veux-tu dire « au sens propre du mot ?- « Elle m’a appris à caresser Roxy »- « Tu ne vas pas me dire que vous avez des pratiques zoophiles ? »- « Ne dites pas ça avec dédain. Si vous saviez quel plaisir procure une langue râpeuse sur un clito. La langue de nos amis canins et plus grande et plus agile que celle des humains. Se laisser fourrer la chatte avec cet organe est divin. Voir le sexe de Roxy grandir et sortir de son fourreau donne vraiment envie de s’amuser avec. Vous avez vu comme il s’est approché de vous. Vous deviez avoir mouillé en entendant les paroles de Jacqueline et peut être sous ses caresses, je savais qu’elle voulait vous séduire, et Roxy il l’a bien senti »- « En venant vous rendre visite, c’est de toi Amélie dont j’avais envie. Quand je pense à toi, je ne peux m’empêcher de me toucher mais je dois reconnaître que ta mère m’excite terriblement. J’aimerais vous voir vous gouiner. »- « Et avec Roxy ? »« Je ne sais pas, j’hésite j’ai l’impression de franchir un énorme pas »« Nous vous aiderons. En attendant Liliane, sauf lorsque je suis votre soumise, j’aimerais vous tutoyer c’est plus intime »« Je te permets. Nous pouvons essayer d’être tour à tour soumise et maitresse. Notre maitresse commune pourrait alors être Jacqueline »  Pendant cette brève conversation, mon regard s’égarait fréquemment sur Roxy qui, sous l’ordre de Jacqueline, s’était tapi dans un coin du Salon en me regardant fixement.Jamais je n’aurais imaginé être confrontée à cette situation. Dans toute ma quête de plaisirs pour faire jouir mon corps, même si je suis devenue vraiment nympho l’idée de regarder un animal comme un partenaires ne m’étais jamais venue. Soudainement un frisson parcourt mon corps. Je ne sais si c’est de réprobation ou de désir ? - « Maman, j’ai envie de Roxy, nous allons montrer à notre invitée comme c’est bon la baise canine. »« Viens mon Roxy, ta chienne d’Amélie a envie de toi » Je me souviens que dans notre dernière communication téléphonique, Amélie disait : « Je sens que je deviens un vraie petite chienne. » C’était donc ça qu’elle voulait dire ?La chienne d’Amélie commence à se déshabiller, relève sa jupe très haut sur ses cuisses. Comme souvent elle n’a pas de culotte. Debout, elle offre son abondante touffe brune à Roxy qui arrive très vite. — « Oui viens me bouffer mon chien, tu vas sentir ma mouille, je veux que tu la lapes et que tu mettes ta langue bien profond. » Léchant les jambes de sa proie, l’animal remonte sa truffe jusqu’au sexe d’Amélie et s’affaire vigoureusement. Les caresse que reçoit Roxy sur le dos puis sous le poitrail ont un effet immédiat qui le font bander. Son sexe est sorti de son fourreau et la tête rouge se dresse comme une bite avide de contact. Jacqueline s’est approchée de Liliane, lui caresse les seins et la croupe. - « Regarde Liliane comme Roxy aime bien ma fille, regarde sa queue bandée, je suis sûr qu’il a envie de la prendre comme une chienne. Quel effet ça te fait ?»- « Je ne m’habitue pas bien vite. Je sens que je mouille abondamment mais c’est peut être tes caresses qui m’excitent. »-Si tu mouilles bien, quand il aura fini avec Amélie il va sentir ta chatte comme une chienne en chaleur et si tu te laisses faire, tu vas pouvoir jouir avec lui. Va le caresser, branle le. »
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