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Sacrée journée

Chapitre 1

SM / Fétichisme
— Aujourd’hui, tu porteras ton œuf toute la journée, tu recevras mes instructions tout au long de la journée ma petite putain !
Voici le message que j’ai reçu à mon réveil de la part de mon maître. Ma journée s’annonce humide au niveau de ma culotte.Je lui réponds :
— Merci Maître.— Envoie-moi une photo pour être sûr que mon ordre est suivi.
Après avoir pris ma douche, j’attrape mon œuf, l’enduit de lubrifiant et l’introduit au creux de mon intimité. Je prends une photo de mon vagin déjà dégoulinant et l’envoie au Maître. Et je connecte l’œuf à l’application qui permet au maître de le contrôler à distance.
— Bien petite pute, bonne journée.
Le message est accompagné d’un émoji de diable.

Je finis de me préparer, l’œuf commence à vibrer gentiment. Aujourd’hui, j’ai juste une matinée de cours quatre heures d’histoire avec mes étudiants.Pendant le trajet, l’œuf fait des vagues dans mon vagin. Heureusement dans le métro, personne ne l’entend et on ne remarque pas que je suis en train de prendre du plaisir. Arrivée à l’université pendant que je bois un café avec mes collègues, je sens une forte vibration. C’est l’œuf et mon téléphone qui m’indiquent que j’ai un message du Maître.
— Petite catin, je veux que tu m’envoies une photo de tes magnifiques seins avant que tu commences ton cours.
Je m’éclipse aux toilettes, je déboutonne mon chemisier et laisse apparaître mes seins. Je ne porte pas de soutien-gorge. Je prends ma photo et l’envoie.
— Bien mon objet sexuel, bon cours. — Merci Maître.
C’est parti pour une matinée de cours, aujourd’hui, on parle des dieux grecs et romains. Et il faut le dire, c’était de gros chauds lapins.Pendant le cours, mon œuf bien logé en moi est en mode binaire. Soit éteint, soit allumé. Quand il est allumé, j’ai du mal à me concentrer. Mais je n’ai pas l’impression que mes étudiants remarquent quoi que ce soit. A la fin de ces quatre heures de supplice, mon téléphone vibre à nouveau.
— Ta journée de travail est terminée, maintenant commence celle de catin. Voici mes ordres : tu vas trouver dans ton casier une surprise et tu vas la porter en plus de ton œuf. Puis tu vas aller t’acheter une tenue de bonne petite pute, dans la boutique d’une amie. — Merci Monsieur.
Arrivée en salle des profs, j’ouvre discrètement mon casier. Dans une boîte, je trouve un plug et du lub.
— Envoie une photo du plug en place.
Je ne sais pas comment il a fait pour savoir que j’ai trouvé sa surprise et encore moins comment il a eu accès à mon casier. Je vais aux toilettes insérer le plug et je prends ma photo pour le maître.
— Bien petite catin, maintenant rends-toi à cette adresse, tape trois coups à la porte et attends qu’on vienne ouvrir.
Je reçois le point GPS et le lien pour une playlist hot, j’ai une heure de transport pour y aller. Je mets mon casque et lance la musique, l’œuf dans mon intérieur se met à vibrer au rythme du son. Le voyage va être éprouvant. Je sens ma culotte et mon pantalon s’humidifier tout le long du trajet, j’arrive enfin. Me voilà devant la façade d’une maison plutôt classique, je frappe trois coups et me recule. Après quelques minutes d’attente, une femme m’ouvre, elle est vêtue d’un corset, d’une jupe crayon et de cuissardes.
— Tu dois être l’objet sexuel de Maître Archibald.— Oui madame.— Bien, entre je vais m’occuper de toi petite salope.
Je comprends que le maître m’a envoyée chez une dominatrice. Elle m’emmène dans une grande pièce où il y a plein de tenues et de jouets. Il n’y a pas de cabine, mais une estrade centrale. Sur les murs il y a plusieurs miroirs, je suppose qu’ils sont sans teint. Mes essayages vont être épiés par des inconnus. Peut-être que le maître est présent. Elle me tend une lettre.
— Laisse-toi guider par la Maîtresse des lieux, pour payer tes achats, tu feras tout ce qu’elle te dit.— Maintenant, déshabille-toi et retire tes jouets ! Et sois sensuelle pour nos spectateurs !— Oui, Maîtresse.— C’est bien, ton maître t’a bien éduquée.
Je m’exécute. Doucement, je défais mon chemisier et le laisse tomber à terre. Puis je défais mon pantalon qui me colle à la peau. Une magnifique culotte de dentelle apparaît, je la fais glisser le long de mes hanches puis de mes jambes. Je présente mon cul aux miroirs pour retirer le plug, puis ma chatte pour extraire l’œuf.
— Bien à quatre pattes maintenant, je vais choisir ta tenue.
Elle revient avec un harnais de corde, elle me l’enfile. Il y a une corde qui passe le long de mon vagin et qui remonte entre mes fesses. Elle la serre fort et elle prend soin de faire dépasser mes grandes lèves de chaque côté. Cela m’excite beaucoup. Elle me tend ensuite une robe, le haut est en dentelle et a un décolleté à la fois devant et derrière, le bas est une jupe crayon en simili cuir et très courte. Je l’enfile. Elle me va parfaitement. Elle finit par me tendre une paire de cuissardes.
— Voici ta nouvelle tenue. Tu la porteras la prochaine fois que tu verras ton maître. Maintenant, on va passer au paiement.— Oui, Madame.— Tu vas de nouveau te mettre nue pour que je puisse emballer ta nouvelle tenue d’escorte.
Je m’exécute.
— On va monter dans mon donjon à quatre pattes et avec une laisse de soumise.
Elle ouvre une porte, je la suis. Nous longeons un couloir puis nous arrivons sur une porte en fer. Elle l’ouvre. C’est une grande pièce, avec un lit qui dispose de plein de points d’attache. Il y a une croix de Saint-André sur les murs, il y a plein d’accessoires et à nouveau un miroir. Elle me place au pied du lit à genoux. Elle me tresse les cheveux, va chercher une corde et un crochet avec une extrémité boule.
— Présente-moi ton cul, catin !
Elle m’enfonce le crochet dans l’anus et le relie à ma tresse. Ma tête est maintenue légèrement en arrière si je veux la redresser, le crochet rentre plus profondément en moi.
— Maintenant on va tester ton endurance. Debout !
Elle attrape des pinces. Les place sur mes tétons et sur mes grandes lèvres. Elle les relie avec une chaîne. Puis elle commence à y mettre du poids. Mon excitation monte. Le poids se fait sentir sur les quatre pinces. Elle continue à ajouter du poids. Je ne vais pas tenir longtemps.
— Maîtresse, je n’en peux plus.— Silence Salope !
Sa main s’abat sur mes fesses. Je suis au bord des larmes. Cela l’amuse, elle arrête de mettre du poids. Mais tire sur la chaîne pour me placer face au plus grand des miroirs.
— Baisse la tête devant mes invités.
Elle sait qu’en faisant cela, le crochet va rentrer plus profond en moi. Je m’exécute, en me mordant la lèvre.
— Bien, maintenant tu vas t’occuper de moi, je sais que tu meurs d’envie de bouffer une chatte.

La maîtresse remonte sa jupe, elle ne porte pas de sous-vêtement, elle s’assoit au bord de l’estrade et approche un petit tabouret équipé d’un gode. Elle claque des doigts me désigne le tabouret. Je m’approche et m’empale sur le gode. La maîtresse me retire les poids, mais laissa les pinces.
— Maintenant, fais ça bien petite pute, ou je n’hésiterai à te châtier. Tu peux utiliser tes doigts, mais attention pas touche à mon anus. Je suis une maîtresse pas une pute.
Alors je me mets au travail, je commence à lécher son bouton. J’humidifie mes doigts et en rentre un en elle. C’est à ce moment-là que le gode en moi se met en marche. Il vibre et tourne en moi. Avec difficulté, je me reconcentre sur la Maîtresse. Je la sens prendre du plaisir sous ma langue. Je lèche et aspire son clito, tout en enfonçant mes doigts en elle. Elle finit par pousser un long gémissement et remplir ma bouche de sa mouille. Je prends soin de tout lécher et de nettoyer la Maîtresse avec ma langue.
— Bien, tu es une bonne petite salope. Ton maître t’a bien éduquée. Maintenant, je vais t’autoriser à jouir, je veux que tu te fasses entendre dans tout le manoir.

Elle met le gode à fond, puis elle vient parcourir mon corps avec ses doigts. Je suis au bord de l’évanouissement, la journée a été éprouvante. Dans un dernier effort, mon corps explose de plaisir. Je pousse un cri de plaisir à réveiller les morts. Et m’effondre au sol. A demi consciente, je sens qu’on retire les pinces et le crochet. On me couvre d’un peignoir de soie et qu’on me pose sur un lit. Je ne sais pas combien de temps je suis restée dans cet état, quand je reprends connaissance, un thé est posé à côté du lit. Je ne suis plus dans le donjon, mais dans une chambre somme tout classique. Sur une chaise, il y a un paquet cadeau, je devine qu’elle contient la tenue choisie plutôt. Un mot est posé dessus.— Tu as été une parfaite putain, je te félicite. Une voiture t’attend pour te ramener chez toi. A bientôt dans cette magnifique tenue. Signé le Maître.
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