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Sacrée journée

Chapitre 2

la rencontre

SM / Fétichisme
Quelques jours après cette sacrée journée, le maître m’a donné rendez-vous pour passer la soirée ensemble. Je pars donc me préparer, en suivant les consignes du maître. J’installe un magnifique plug avec un diamant rouge à son extrémité, et mes pinces à tétons circulaires. Je passe ma nouvelle robe, avec son haut en dentelle, on aperçoit mes tétons encerclés des pinces à tétons dorés. Le bas de ma robe met mon fessier en valeur. Je glisse dans mon sac mon harnais de corde. Je finis par enfiler mes cuissardes et je passe mon trench.Je suis prête à aller rejoindre le Maître. Je dois le rejoindre dans une galerie d’art. Sur le trajet, je sens les regards du chauffeur de taxi sur mon look.
Le chauffeur m’arrête devant un immeuble ancien, je paie et descends du taxi. La galerie se trouve au rez-de-chaussée, j’entre dans la galerie. Une jolie blonde m’accueille et me propose d’enlever ma veste. J’hésite, mais à ce moment-là, je croise le regard du maître et je comprends que c’est dans mon intérêt de l’enlever. Je dévoile ma tenue, plusieurs personnes dévisagent et je me dirige vers mon maître.
— Bonsoir petite catin.— Bonsoir Maître.— Tu es sublime, Madame Elena a bien choisi. Laisse-moi te montrer l’exposition, je suis sûr qu’elle va te plaire.
Le voilà qui me guide, depuis mon arrivée, je n’avais pas encore jeté un œil sur les œuvres. Je me rends compte que c’est une exposition photo, ce sont des photos de corps nus, pour la plupart féminins. Elles sont magnifiques, l’artiste joue avec la lumière et des voilages. Elles ne sont pas vulgaires.
— Tu aimes ?— Oui Maître. — Je vais te présenter les artistes.

Nous nous dirigeons vers un couple, lui porte un costume trois-pièces gris foncé, et elle une robe fourreau bleu nuit. Ils sont magnifiques, lui a l’air d’avoir un corps d´Apollon et elle a de belles formes.
— Bonsoir je vous présente Aurore. Aurore voici Ronan et Elena.

Au moment où la femme se retourne vers moi, je reconnais la maîtresse qui m’a accueilli quelques jours plus tôt. A leurs sourires, je comprends qu’ils sont contents de leur effet de surprise.
— Bonsoir, cette tenue te va à ravir.
— Merci Madame.— C’est bien, elle est respectueuse en public. L’exposition te plaît ?— Oui beaucoup, votre travail est magnifique.— Merci, ravie que ça te plaise. Pour les invités spéciaux, nous avons une suite à l’exposition. J’espère qu’elle te plaira aussi.
Le Maître m’entraîne vers le fond de la galerie, nous arrivons au pied d’un escalier. Je précède le maître, je sais qu’il adore reluquer mes fesses quand je monte des marches. J’arrive dans une pièce plongée dans la pénombre, seules les photos sont éclairées. Un tout autre spectacle s’offre à moi. Je me retrouve face à des photos beaucoup plus subjectives. Les corps toujours nus sont entravés ou menottés pour la plupart. Il y a un gros plan sur des seins enserrés de corde, un anus décoré d’un rosebud, un corps recouvert de semences. Malgré le côté plus sexuel, elles sont toujours très artistiques. J’entends des pas dans l’escalier, c’est Elena et Ronan.
— Alors ça te plaît ?— Oui beaucoup.— Nous avons une proposition à vous faire, ta soumise nous plaît beaucoup, est-ce que vous accepteriez une séance photo.— Avec plaisir, je suis sûr que vous saurez mettre en valeur ma soumise. On organise cela. — Super, si cela ne pose pas de problème, j’aimerais voir l’œuvre en entier afin d’avoir des idées de photos.
Tous les regards convergent vers moi. Je comprends qu’il faut que j’enlève ma robe et mes cuissardes. Je m’exécute. Ronan attrape son appareil et commence à prendre quelques photos. Il s´attarde sur mes seins encerclés de leurs pinces. Maîtresse Elena m’attrape par les épaules et me guide jusqu’au bureau qui se trouve au fond de la pièce. Elle me fait coucher le buste contre le bureau et me fait me cambrer, mon cul ressort avec mon rosebud logé de dedans. J’entends l’appareil qui immortalise ma croupe. Puis on me fait monter à quatre pattes sur le bureau, ma chatte est exposée à l’objectif du photographe. Je sens que ma chatte mouillée exposée comme cela, je suis excitée.
— Bien j’en ai assez pour aujourd’hui, on se recontacte pour notre séance.
Je vais pour me rhabiller, mais le maître m’arrête.
— Non pas cette tenue.

Il me tend mon sac, je saisis mon harnais de corde. Il m’aide à le mettre, il passe une corde le long de mon vagin et remonte le long de ma raie. Il la serre, ce qui a pour effet d’enfoncer un peu plus profond mon rosebud. Je remets mes cuissardes et Madame Elena me tend mon trench. Malgré mon manteau, je me sens exposée aux yeux de tous. Nous prenons congé de nos hôtes et redescendons les escaliers. Nous traversons la salle d’exposition, je sens les regards sur moi. La voiture du maître nous attend devant. Nous montons tous les deux à l’arrière. Une vitre teintée nous sépare du chauffeur. Le Maître fait glisser le trench de mes épaules, je me retrouve en body et cuissardes.
— Tu m’as excité toute la soirée avec tes tenues de catin. Malheureusement pour toi je n’ai pas le temps de te profiter de mon objet sexuel. Mais avant de te reposer chez toi, tu vas vider mes couilles comme tu sais si bien faire.
J’ouvre son pantalon et glisse ma main dans son boxer pour sortir sa magnifique verge. Je commence à gober son gland, je glisse ma main jusqu’à ses couilles. Je sens le maître réagir à l’assaut de la bouche et de la main. Il attrape mes fesses et les claque. J’accélère mes mouvements au rythme de ses claques. Je sens qu’il va exploser dans ma bouche. Ça ne manque pas, il me remplit la bouche de sa semence. J’avale et prends le temps de nettoyer la verge de mon maître.
— Nous arrivons, je te tiens au courant pour la séance photo. En attendant, interdiction de te donner du plaisir. Je veux que tu sois en frustration pour la séance, ton explosion ne sera que plus belle. — Bien Maître.
La voiture ralentit, j’attrape mon trench, le pose sur mes épaules. Quand la voiture s’arrête, je descends. Le maître me souhaite une bonne nuit et je me retrouve seule face à mon immeuble, frustrée de ne pas avoir été touchée et de devoir me retenir jusqu’à la séance photo.
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