À peine réveillé, vers 8h, je suis sur mon téléphone sur des sites de cul. Étant bien excité maintenant, logiquement une masturbation s’impose. Mais bizarrement je me lève et préfère aller courir, en gardant cette tension sexuelle que je n’ai pas pu assouvir. Je suis John, 22 ans, 1,85 pour 80 kg. Un corps plutôt musclé dû à mes nombreuses heures de sport. C’est le début de l’été, il fait beau, je suis de bonne humeur. Je m’habille et pars en direction de la forêt pour mon footing du matin. Ayant repris le sport il n’y a pas si longtemps, je fais à peine six kilomètres et je suis exténué. Au bout d’une dizaine de minutes, pendant ma marche pour récupérer et m’étirer, j’aperçois, dans un coin où il n’y a quasiment personne, une jeune femme qui m’interpelle : — Salut ! jeune homme tu as une minute, je peux te parler rapidement ?— Salut ! Oui bien sûr. — En fait, je t’ai vu passer tout à l’heure quand tu courais. Ça va ça a été ?— Oui, un peu fatigué, j’ai failli cracher mes poumons mais là je récupère tranquillement. En quoi je peux t’aider ?— Tu vas trouver ça complètement fou, mais je suis venue dans cette forêt pour trouver quelqu’un qui veut bien me baiser. Dit—elle avec un sourire coquin. Je tombe sur le cul, je bégaye. — Eh eh quoi ? Pardon ? — Bah j’ai envie de bites, de me faire baiser par un mec qui me plaît bien et pour l’instant c’est sur toi que la pièce est tombée.— Très drôle, je suis peut—être débile mais pas à ce point—là. Tu crois vraiment que je vais tomber dans le panneau. Une magnifique jeune femme dans les bois qui veut ouvrir ses cuisses aussi simplement ?! Je n’y crois pas trop.— Mais je te promets, c’est la stricte vérité, il n’y a aucun piège.— Hummm, bien sûr. Bon je te crois mais ce sera sans moi. Je passe mon tour mais merci.— Dommage pour toi, tu ne sais pas ce que tu as raté mon grand. Je n’arrive pas à y croire, elle veut vraiment faire ça dans un endroit pareil, en pleine journée et avec moi. Je lui dis bonne journée et pars.
— Bonne chance à toi, j’espère que tu trouveras un mec pour s’occuper de toi, mais moi je dois partir.— Dommage on se serait bien amusé mais merci. A la prochaine, dit—elle avec un petit sourire. Je prends la route pour rentrer mais je ne pense qu’à ce qui vient de se passer. Je me demande si elle était vraiment sérieuse ou si c’était un piège pour que je me retrouve sur internet, ou pire pour me faire chanter et me faire payer des sommes contre son silence. Mais bizarrement, l’idée de me dire que j’aurais pu prendre cette magnifique femme dans la forêt, commence à m’exciter. Merde faut que je me vide pour évacuer ça. Faut dire que la frustration de ce matin ne m’aide pas à me calmer. Je rentre à la maison, je passe sous la douche. Mais bien évidemment vous vous en doutez et je l’ai dit juste avant, une branlette s’impose.Je commence par me savonner, tout d’abord par le haut, les bras, le torse puis je descends lentement vers mon sexe. Une fois arrivé sur ma bite, je rajoute un peu de gel douche qui fera office de lubrifiant pour cette fois. Et c’est parti, tout doucement histoire de faire monter la sauce, je me caresse. Je me mets directement à repenser à cette belle femme qui m’a interpellé après mon footing. Elle devait faire environ un mètre soixante—cinq, cheveux blonds, une bouche pulpeuse, avec des formes où il faut, de belles rondeurs mais en même temps sportive. Une belle poitrine sous son haut, je dirais un 95C. Elle était habillée en tenue de sport, donc une brassière et un legging très moulant qui faisait apparaître un fessier des plus majestueux. Je lui donne 35 ans environ. Je continue à me palucher en pensant à cette bombe venue de nulle part. j’accélère la vitesse de mon bras quand j’imagine tout ce que j’aurais pu faire avec elle. Ce que j’aurais pu faire avec ses beaux seins cachés par sa brassière. Et là je ne tarde pas à voir mon plaisir arriver à son terme avec une belle jouissance. Ma petite affaire terminée, je prends ma douche et sors. Une fois sorti, je commence à m’en vouloir de ne pas avoir accepté cette initiative. Je me traite de con en me disant qu’une occasion pareille ne se reproduira sûrement pas une seconde fois. La semaine se passe. Mais malheureusement peu importe ce que je fais je n’arrête pas de penser à cette situation bizarre et a cette femme. Je me pose plein de questions. Le week—end arrive, je repars courir le même jour, a la même heure à laquelle j’ai fait mon footing le week—end dernier quand j’ai rencontré cette chaudasse. Je commence à courir en espérant à nouveau la croiser et cette fois je me dis que je ne laisserai pas passer ma chance. Je vais foncer la bite en avant, sans trop réfléchir cette fois pour éviter une deuxième frustration, enfin j’espère...Autant vous dire que je n’étais absolument pas concentré, disons que ma tête était ailleurs. Tout en courant je n’arrête pas de regarder les alentours en espérant la revoir.Et non, rien à l’horizon. Je termine ma course. Je marche comme la dernière fois pour récupérer. Et là, à un autre endroit dans la forêt je finis par tomber sur elle. Autant vous dire que j’étais content. Je ne le montre pas mais intérieurement j’ai la banane jusqu’aux oreilles. Je la laisse m’approcher pour ne pas lui montrer que j’ai envie d’elle. — Salut ! monsieur le coureur. Tu vas bien ?— Salut ! oui ça va et toi ma belle ?— Non, pas vraiment. Comme tu peux le voir je suis encore ici, donc j’ai toujours faim de bite mais il n’y a rien à se mettre sous la dent ou plutôt dans la chatte. Elle me dit ça en passant légèrement sa main droite sur sa vulve par—dessus son legging. Elle a mis une nouvelle tenue. D’une couleur rose bonbon, faut croire qu’elle veut vraiment se faire remarquer cette salope qui doit avoir l’entrejambe en feu. — Mais pourquoi tu viens forcément dans cette forêt pour trouver un mec qui veut bien s’occuper de ta chatte ?— En fait, j’ai un kiffe qui peut paraître spécial. Elle a l’air gêné, bizarre pour quelqu’un qui vient ici pour se faire prendre par le premier venu.— Ah bon ? tu m’intrigues maintenant. Quel est se kiffe spécial ?— J’aime énormément sucer les mecs qui viennent de finir leur sport. L’odeur que dégagent leurs bites humides de sueur me rend totalement folle. Tu n’imagines même pas à quel point. Rien que de te le dire là, ça m’excite. Regarde mes tétons qui commencent à pointer. Effectivement, ses tétons ne trompent pas. Elle commence à chauffer la coquine. — Ehh oui, je vois ça très très bien. Mais effectivement, spécial je ne m’attendais pas à ça comme kiffe mais je t’avoue que je m’attendais à pire. Dis—je en souriant.— Tu ne veux vraiment pas t’occuper de moi mon chéri ? Vraiment j’ai la chatte en feu, je suis excitée comme une pute… eh une puce. Elle rigole de son lapsus.— Je fais mine d’être encore réticent. Tu me promets que ce n’est pas un piège ?— Ah ! Tu ne dis pas non direct cette fois coquin. Oui je te le promets, ce n’est pas un piège.— Bon, vu que je suis d’humeur généreuse aujourd’hui je vais me sacrifier et venir à ton secours.— PUTAIN ! Enfin un qui va s’occuper de moi. Tu entends ça toi, le bon samaritain qui est là va nous aider. Dit—elle à sa chatte en passant sa main sur celle—ci encore une fois.— On ne va pas le faire ici, on risque de se faire griller direct. Mais je suppose que tu as déjà pensé à un endroit tranquille à l’abri des voyeurs, n’est—ce pas ?— Mais bien sûr. Tu crois quoi ? Suis—moi le sportif et j’espère que tu as bien transpiré, surtout au niveau de la bite et des couilles ! Je suis cette femme en restant derrière elle, tout en matant son magnifique cul. Putain ! Mais quel cul.Elle ne cesse de remuer son cul devant moi. Elle commence à me chauffer je crois.D’un coup, elle se retourne rapidement et me surprend en train de reluquer son fessier. D’un sourire aguicheur elle me lance : — Tu aimes ce que tu regardes actuellement ? Il n’est pas trop petit et plat ?Elle me nargue. Ma seule réponse fut un sourire.— On est encore loin de ta tanière ma belle ?— Non, c’est bon c’est juste là. Normalement personne ne passe ici, on peut être tranquille. Un drap est étendu sur les herbes pour nous éviter toute gêne. A côté je vois un petit sac, dans lequel il y a des jouets pour s’amuser : un gode, un plug anal, un gode ceinture, un lubrifiant, de quoi fermer une bouche. Je suis étonné de voir un tel attirail mais je ne pose pas de question. — Allez, on s’y met, j’ai trop longtemps attendu. Elle me rapproche d’elle et m’embrasse à pleine bouche sans trop demander mon avis, mais je ne suis pas contre.Tout en se roulant des pelles, je profite pour glisser une main dans son dos pour débuter une exploration qui prend fin une fois que j’atteins ce cul de malade. Putain quel cul, mais quel cul, je vais me régaler à le prendre en main et faire tout ce qui me passe par la tête. La partie de bouche contre bouche prend fin et je la vois descendre lentement tout en caressant mon corps de face. Une fois son visage au niveau de mon sexe elle passe ses deux mains derrière, sur mes fesses pour les caresser et les malaxer. Chacun son tour apparemment. Elle revient sur le devant de la scène et baisse mon jogging. Mais continue à faire durer ce moment. Elle saisit ma bite au travers de mon boxer et commence à me branler avec des petits va et vient. Elle lève la tête, me regarde et me sourit. — Tu es prêt à te faire bouffer ta belle bite mon chou ? Ce n’était pas vraiment une question qui attendait une réponse, vu qu’elle a déjà baissé le boxer qui la gênait. Elle tient toujours ma queue dans ses mains et commence à la sentir. Elle la renifle sous tous les angles, sur les côtés et même les couilles. — Bordel que j’aime cette odeur, elle est très forte je ne suis pas déçu, loin de la même. Putain je kiffe, quel bonheur. Je la sens transcendée.— Je dois avouer que ça fait bizarre de se faire sentir la bite de cette façon mais si c’est ton délire fait toi plaisir.Elle me regarde et sourit de nouveau.— T’inquiète pas pour moi je vais me faire plaisir. Elle me renifle encore un court instant et me prend en bouche. Elle commence à me lécher la bite lentement pour bien profiter de son moment. D’abord sur les côtés puis s’attaque à mon gland, deux trois coups de langue pour encore plus m’exciter. Ensuite elle fait des tours sur mon gland avec sa langue. Et tout d’un coup elle fait disparaître ma queue au fond de sa bouche : elle vient de débuter une séance de pompage comme il faut et elle sait très bien s’y prendre. Quel pied ! — Putain que c’est bon, wow tu es une sacrée suceuse, une bouche en or.— Merci mais tu n’as encore rien vu. Elle change de rythme, elle accélère ses va et vient sur ma bite. Bordel de merde quelle suceuse on croirait qu’elle a fait ça toute sa vie. Je sens que je vais en prendre plein la gueule enfin plein la queue.
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