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Le Sacrifice de la Princesse - Innocence contre Tyrannie

Chapitre 2

Déchéance de l'Ange

SM / Fétichisme
NDA : Merci de suivre mon histoire, après un long moment, je poste enfin la suite, je sais que le début était vraiment moyen, voire médiocre, je m’en excuse, j’ai pris en compte vos commentaires et me voilà avec une suite qui je l’espère, sera qualitative !
La pluie s’abattait avec tumulte sur les dalles de pierre qui formait le sol du château, à la fenêtre, on pouvait apercevoir une jeune femme regardant à l’extérieur, son regard bleu aussi voilé que le ciel pluvieux. Cette jeune femme n’était autre que la Princesse Alénora, héritière du trône d’Asmorah, le Royaume le plus puissant du pays, ou du moins ce fut le cas dans le passé. Les Ivreins, un peuple guerrier pratiquant une sombre forme de magie firent leur apparition quelques années plus tôt, des conquérants imposant leur domination, il soumettait tous les autres, violant les femmes, les mariant de force, tuant les hommes et les enfants et pillant les richesses. Ils étaient les maîtres de toutes les contrées qu’ils foulaient.
Cette colonisation barbare donna naissance au puissant Royaume d’Elmandium, trouvant à sa tête la redoutable famille Holps, une lignée militaire surentraînée. Bien entendu, par ambition, le jeune héritier de cette lignée voulait asseoir son contrôle sur le seul Royaume qui leur tenait encore tête, celui d’Asmorah et puis, pourquoi ne pas posséder en plus la magnifique jeune fille qui en était l’héritière ? C’est avec cette volonté qu’il demanda la main de la princesse avec comme contrepartie la paix, voulant se sauver de la destruction, la Reine Aurore et le Roi Zénithus acceptèrent l’arrangement, sans se douter des terribles intentions du vicieux Victor. Il voulait briser sa compagne, qu’elle ne soit plus que son jouet sans âme, sans volonté, mais ce n’était pas une mince affaire, Alénora avait une forte volonté et un caractère des plus explosifs.
— Votre Majesté ? intervient une voix hésitante, je suis navrée de faire irruption de la sorte dans votre chambre, mais... il est l’heure de vous préparer pour le dîner...
La noble se retourna lentement quand on interrompit le fil de ses pensées, à l’encadrement de la porte se tenait Tamara, sa servante attitrée. Elle était aussi la sœur cadette de Victor, ayant échoué durant une bataille, elle était désormais recluse de sa famille, ayant perdu tous ses titres et le respect qu’on lui accordait autrefois. C’était une magnifique jeune demoiselle, d’un an son aînée, celle-ci possédait une longue chevelure ébène brillante, lui tombant en cascade dans le dos, une peau légèrement bronzée et des yeux d’un vert sombre. Elle faisait tourner plus d’une tête tant elle était belle. Sa silhouette était fine, mais elle avait quelques formes plutôt généreuses, mises en valeur par une robe crayon assez décolletée, au tissu fin et satiné.
— Entre donc, soupira lasse la royale, ne reste pas planter devant la porte.— Je vous remercie, murmura timidement la domestique en s’exécutant, comment vous portez-vous Princesse ? Vous me semblez vraiment épuisée depuis hier soir.
L’évocation de cette soirée fit remonter l’amertume de l’elfe, comment avait-elle pu se faire humilier de la sorte ? Où était passée sa chasteté ? Et le serment d’avant une union qui stipulait que ce genre de comportement inapproprié était interdit ? Le Prince de cette stupide contrée était un malotru qui allait au contraire de toutes les traditions et de tous principes, il était insupportable et arrogant ! Elle les maudissait, lui et toute sa lignée... sa lignée ? Elle posa son regard bleuté vers la nouvelle venue, une colère grandissante la faisant frémir. Elle aussi avait ce sang impur en elle. Corrompue par toutes les morts qu’ils avaient gravées au plus profond de leurs âmes, elle pourrait au moins se venger, songea-t-elle soudainement.
— Ferme la porte à clef, ordonna Alénora sèchement, apporte ensuite cette même clef avec toi et rejoins-moi dans la salle de bain.— Je ferais à votre guise, acquiesça la servante un peu perdue, ça ne me prendra pas longtemps.
La blonde était quelqu’un de bon, elle tenait la violence en horreur et était quelqu’un de généreux. Son peuple la décrivait souvent comme un ange tombé du ciel, presque à raison, elle avait ses défauts, mais était un modèle de vertu que tous admiraient. Pourtant, elle en avait désormais conscience, pour survivre aux mauvais traitements et à la malveillance de son époux, elle se devait de changer. Elle punirait ce peuple et étoufferait la lignée des Hops, mais pour cela, elle devait se durcir, trop naïve et ayant trop tendance à pendre les autres en pitié, elle ne pourrait rien faire pour les stopper. Sauf si... sauf si... elle devenait comme eux.
Cette triste constatation lui donna envie de s’enfuir en courant, de mourir sur-le-champ, mais elle avait un devoir et y consacrerait sa vie. Pour la survie des siens, elle devait pouvoir faire du mal, briser un autre être, tuer aussi. Tamara serait la victime de ce changement, personne ne dirait rien, après tout, elle était déjà déchue de toute humanité ici, qu’elle soit l’exutoire de la frustration de celle qu’elle servait ne consternerait personne après tout. De toute façon, elle en était convaincue, la jeune femme n’en dirait rien. En parlant du loup, celle-ci la rejoint, tendant avec hésitation la clef d’argent à sa future bourrelle, qui s’en empara brusquement, un sourire cruel étirant ses lèvres roses. Le jeu commençait maintenant.
— Retire tes vêtements, commanda-t-elle, ne me fais pas attendre.
Le regard confus, Tamara défit le lacet arrière de sa robe, la faisant glisser à ses pieds, elle dévoila sa peau douce et scintillant doucement sous la lueur des torches. Elle essayait tant bien que mal de masquer ses parties intimes à peine couvertes de tissus, ses joues rougies par la gêne, mais sous le regard insistant de la princesse, se découvrit entièrement, dévoilant son corps sous son plus simple appareil.

— Qu’est-ce que tout ça signifie ? marmonna-t-elle, nous n’avons que quatre heures avant le dîner, vous savez...— Quatre heures seront suffisantes, objecta la future reine, tu tairas d’ailleurs tout ce qui se passera quand tu te trouveras avec moi. C’est ton devoir d’assumer ton sang, misérable.— Si j’ai bien compris, soupira la déchue, mon frère vous maltraite et donc, vous assouvissez votre vengeance sur moi ? C’est très bas de votre part, princesse. Vous ne valez donc pas mieux que lui ?
A peine sa phrase eut-elle été prononcée, la fille aux cheveux sombre reçut une gifle, l’envoyant valser contre le mur. Si au départ, la demoiselle tenait en pitié cette damnée, ses paroles l’avaient mise hors d’elle, c’est donc sans remords qu’elle assouvirait les pires sévices à la jouvencelle, elle aurait dû tenir sa langue, il était désormais trop tard.
— Désormais, tonna la blonde, tu ne seras pas autorisé à parler sans mon accord, pas autorisé à te mouvoir sans mon accord, pas autorisé à te toiletter, te changer, exécuter des corvées, sans mon accord. Tu m’appelleras maîtresse et ne seras pas autorisé à avoir d’autres contacts ou t’éloigner de moi sans mon consentement. Compris ?
En se redressant péniblement, elle hocha piteusement la tête, retenant les larmes qui lui montaient aux yeux. Cet endroit rendait même la plus douce des créatures aussi laides que ses occupants, c’était désolant.
Le répit était de courte durée, puisque d’un tour de poignet, la Princesse usa de sa magie pour relever sa domestique, elle était désormais assise sur un buffet, près du robinet de levier. L’adossant contre le bois, Alénora s’approcha, parcourant d’une légère caresse le corps de Tamara, qui frémit. Elle avait très peur de la suite, mais était en réalité bien loin de savoir toutes les horreurs qui l’attendaient.
S’attardant sur ses seins, elle en fit rouler un entre ses doigts, malaxant doucement, avant de suçoter son téton, d’y passer la langue de façon circulaire. Le plaisir semblait montrer crescendo puisque l’ancienne guerrière commençait à mouiller, c’est pour cela que la princesse mordit soudainement son bouton de chair, exerçant une forte pression sans pour autant la faire saigner.
Son geste arracha un cri de surprise et de douleur à sa concernée, qui n’osa rien dire, se concentrant pour ne plus hurler dans le but de ne pas subir plus.
Sans s’arrêter pour autant, la royale promenait sa main libre sur le ventre de sa servante, descendant progressivement jusqu’à son entrejambe. Elle frôla délicatement son clitoris, reprenant sa caresse pour y revenir, elle continua ce manège plusieurs fois puis s’y attarda vraiment. Faisant d’abord enduire son index de la salive de Tamara, elle appuya légèrement sur le bout rose et tendu par les caresses, commençant un mouvement rond et sensuel, accompagné d’une légère pression qui augmenta au fur et à mesure. Les gémissements de la domestique se firent plus réguliers, plus forts, elle avait du mal à les étouffer, son souffle aussi se fit plus court, elle avait une respiration profonde et rauque. Quand elle fut bien humide, la Princesse présenta son index à la peau pâle devant l’entrée intime de la Hops, le rentrant doucement, d’abord une phalange, puis deux et enfin la troisième, avant de le ressortir et le re-rentrer plusieurs fois à la suite.
— J’ai l’impression que mon corps va exploser, supplia Tamara, je vous en prie.
Bien entendu, elle fit sourde à la demande et introduit même son majeur dans l’orifice, la sensation était étrange, l’intérieur était chaud, humide et un peu collant. Elle n’avait jamais exploré quelque chose de semblable.En plus, le plaisir que semblait ressentir la mage était sans nul doute intense, quand elle se mit à bouger à l’intérieur d’elle en mimant un mouvement de ciseau, celle-ci se contracta soudain en se penchant en avant, la respiration sifflante, elle poussa un gémissement intense. En effet, elle venait de jouir.
Sa peau était luisante de transpiration et elle n’avait pas encore repris son souffle, pourtant Alénora n’en avait pas fini. Elle continua de la doigter, à nouveau accompagné de gémissements réguliers, sans prévenir, elle lâcha le sein droit de la pucelle et pinça son clitoris, le tordant dans tous les sens. Douleur et plaisir se mêlaient, la pauvre Tamara ne savait plus où donner de la tête, est-ce qu’elle appréciait ce traitement ? Elle n’en savait rien, pourtant les doigts fins de l’héritière étaient habiles et lui faisaient beaucoup de bien.
C’est ce qu’elle crut, jusqu’à ce que de la cire chaude lui recouvre les tétons, l’entrée du vagin et le clitoris, la douleur était intense, insoutenable. Elle hurla à s’en déchirer les cordes vocales, ce qui lui valut une violente gifle. Alénora bougeait toujours à l’intérieur d’elle et, l’embrassa soudainement, sans doute pour la faire taire, leurs langues dans une danse endiablée tournoyaient à l’unisson, leur coupant un souffle déjà bref. Quand la noble mit fin au baiser intense, un filet de salive les reliait encore, Tamara se sentait étrange, la douleur avait laissé place au plaisir, la brûlure de la cire se transformant en douce chaleur. Elle se sentait venir encore une fois, avait-elle apprécié ce traitement ? Aimait-elle donc la douleur ? En observant l’air triomphant de sa maîtresse, elle comprit que son supplice ne faisait que commencer, encore plus quand soudainement, on lui griffa le dos.
Sa macabre soumission commençait.
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