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saga africa

Chapitre 1

une arrivée mouvementée

Avec plusieurs hommes
Cette aventure remonte à plusieurs années. Les vacances de printemps approchaient.
J’étais restée en contact avec Carine, l’une de mes meilleures amies, et complice de mes premières exhibitions, inscrite elle aussi en fac, mais dans une autre ville. Carine est aussi blonde que je suis brune, et sa poitrine me fait crever d’envie (90c vs 85b : je ne fais pas le poids !)
Nous nous racontions nos aventures dans les moindres détails. Depuis quelques mois, Carine - toujours bi - s’était liée à Wendy, une étudiante, fille d’un ministre africain. Elle l’avait entraînée dans plusieurs soirées très chaudes, et elle l’avait initiée aux plaisirs saphiques.
Wendy avait beaucoup aimé, et les deux filles, tout en poursuivant des relations hétéros plus que libérées, se retrouvaient souvent pour faire l’amour. Carine lui avait raconté beaucoup de choses sur moi et, même si nous ne nous étions pas rencontrées, j’avais eu l’occasion de parler avec elle lorsque nous discutions sur WhatsApp.
Au printemps, Wendy invita Carine pour quelques jours chez elle, en Afrique, et elle me proposa de les accompagner. Je ne me fis pas prier !
Un mois plus tard, je me retrouvais avec Carine dans l’avion, Wendy étant partie un peu avant nous. Le vol était long et, après une première escale, nous avons embarqué dans un avion plus petit pour la dernière étape de notre voyage.
Un peu avant d’atterrir, le commandant de bord annonça au micro la température au sol de notre lieu d’arrivée : plus de 40° !
Il faisait plutôt frais lorsque nous étions parties de France : mon pull et mon jean n’étaient donc vraiment pas adaptés à la chaleur qui nous attendait. Heureusement, contrairement à Carine, j’avais glissé une tenue de rechange dans mon bagage cabine.
J’ai pris mon sac de voyage, et je suis allée me changer rapidement dans les toilettes avant d’être obligée de boucler ma ceinture pour l’atterrissage. J’enlevai mes vêtements et mon soutien-gorge, et j’enfilai juste une mini-robe blanche sur mon string.
En revenant à ma place et en me penchant, le large décolleté dévoila largement mes seins nus - pour le plus grand plaisir de quelques passagers - et Carine me lança en riant :
— Eh bien, tu nous donnes une petite idée de tes projets de vacances !
Je me contentai de sourire, sans me douter de l’aventure qu’allait me valoir cette tenue.
En effet, après l’atterrissage, nous avons attendu près d’une heure pour récupérer nos bagages, avant de passer à la douane.

Carine fut contrôlée avant moi, et les formalités se déroulèrent normalement. Mais quand mon tour arriva, les policiers, après voir fixé longuement ma robe, me demandèrent d’ouvrir ma valise. Ils la fouillèrent méthodiquement. Ils en sortirent deux godemichets, des boules de geisha, et un micro bikini dans son emballage d’origine sur lequel apparaissait un mannequin sexy ne laissant aucun doute sur l’exiguïté de ce maillot (Wendy nous avait parlé d’une superbe plage à proximité de chez elle).
— Vous ne savez pas que l’importation d’objets à caractère pornographique est interdite dans ce pays ? me demandèrent-ils sur un ton peu aimable.
Tous les passagers derrière moi me regardaient, et j’étais écarlate. Je bredouillais :
— Non, j’ignorais... Mais ce sont des objets personnels, je ne fais pas de commerce !— Ça ne change rien. Suivez-nous.
Ils me conduisirent dans un bureau au fond de l’aéroport, au bout d’un dédale de couloirs, pendant que Carine, me voyant disparaître, se demandait ce qu’il se passait.
Ils m’enfermèrent dans une pièce sans fenêtre. Après une attente qui me parut interminable, une femme en uniforme entra, et elle m’ordonna :
— Nous devons vous fouiller. Déshabillez-vous entièrement !
Le ton ne tolérait pas de résistance. Je n’avais pas grand-chose à enlever... La policière ne me quittait pas des yeux, et j’enlevai ma robe, puis mes chaussures et mon minuscule string.
Une fois nue, elle glissa un doigt dans ma chatte, sans doute pour vérifier que je n’y cachais pas de la drogue ou je ne sais quoi. Je me sentais humiliée, mais je n’arrivais pas à trouver désagréables les mouvements des doigts de cette fille, fouillant mon intimité.
Elle insista plus de temps que nécessaire, et je me rendais compte que, malgré moi, je commençais à mouiller.
Puis elle prit mes vêtements, et quitta la pièce en me lançant :
— Restez ici, ne bougez pas. On viendra vous dire si on peut vous relâcher.
Je me demandais ce qu’il allait m’arriver, et je pensais à Carine, qui devait être folle d’inquiétude. Je me reprochais de ne pas avoir demandé pour lui téléphoner.
Les minutes s’égrenaient, interminables. Il faisait une chaleur étouffante dans cette pièce, et la sueur perlait sur tout mon corps.
Enfin, la porte s’ouvrit. Un homme noir en civil, athlétique, entra et dans un réflexe de pudeur (ce qui ne m’arrivait pas souvent) je cherchai à cacher ma nudité.
L’homme se présenta.
— Je suis le responsable de la police des frontières. Votre cas se présente mal : les infractions que vous avez commises sont très graves, au regard de nos lois.— Mais ce que vous avez trouvé ne concerne que ma vie privée, m’exclamai-je.— Ce n’est pas ainsi que nous voyons les choses ici, répliqua-t-il sèchement.— Je connais des gens dans cette ville, laissez-moi téléphoner !— Ça ne servirait à rien... Mais il y a un moyen de régler tout ça amiablement, ajouta-t-il sur un ton plus aimable.
Je commençais à me douter de ce qu’il allait me demander...
— Nous pouvons peut-être nous entendre. D’après ce que nous avons découvert dans vos bagages, vous faites partie de ces touristes étrangères obsédées par le sexe. Vous devriez donc être prête à régler en nature la forte amende que vous devez, et ça vous évitera la prison - qui n’est pas vraiment confortable ici.
En me parlant, il avait fait basculer un lit intégré dans un placard. Il m’a prise par la main, et m’a fait asseoir, pendant qu’il se déshabillait. J’avais les yeux à la hauteur de sa ceinture, et j’avoue avoir eu une surprise très agréable lorsqu’il a ouvert son pantalon...
Je n’avais pas du tout apprécié la manière dont les choses s’étaient déroulées jusqu’à présent, mais la vue d’une superbe queue a toujours eu un effet instantané sur moi. Et comme beaucoup de femmes occidentales, je fantasme sur les énormes sexes attribués dans notre imaginaire aux hommes de couleur.
Il s’allongea sur le lit, et je pris sa verge dans ma main. Même si elle n’était pas vraiment en érection, sa taille était déjà intimidante.
Je m’assis au bord du lit pour caresser cette bite qui grossissait et durcissait lentement au creux de ma main. Elle n’en finissait pas de gonfler et de s’allonger, et je me demandais quelle serait sa taille lorsque je l’aurais excitée à son maximum. Bientôt, j’ai dû me servir de mes deux mains...
J’étais arrivé à mes fins : le type bandait maintenant comme un taureau. Une hampe impressionnante, parcourue de veines très apparentes, et un gland d’un rose foncé, que j’avais décalotté en le branlant. C’était sûrement le plus imposant sexe d’homme que je n’avais jamais vu.
Mais je ne pouvais m’empêcher de paniquer, en pensant à ce que j’endurerais si l’idée de me sodomiser le prenait !
Pour l’instant, ce n’était pas dans ses intentions. Il se releva, et m’obligea à m’agenouiller devant lui, sans avoir besoin de me brutaliser - en fait, j’imaginais ce qui allait suivre, et je n’y étais pas totalement hostile...
— Vas-y, suce-moi ! m’ordonna-t-il en prenant ma tête entre ses mains. Vu ce qu’on a trouvé dans tes bagages, ça devrait te plaire.
Je tenais toujours sa bite à deux mains, et je pris doucement le gland entre mes lèvres. Il avait dû prendre une douche avant de venir dans la pièce où j’étais prisonnière, car un parfum frais et agréable me chatouillait les narines.
Je libérais par moments son gland, pour l’exciter avec de petits coups de langue. Ça lui plaisait, si j’en croyais ses grognements sourds.
Puis mes lèvres descendirent sur la longue tige, mais j’étais incapable de la prendre en entier dans ma bouche.
C’était tout de même délicieux, et ce mec avait l’air d’être parti pour une longue séance de baise, vu la manière dont il se contrôlait.
Ma colère et mes craintes s’étaient un peu évanouies, et je ne pensais plus maintenant qu’à profiter aussi au maximum de ces instants de pur sexe. Je massais ses couilles tout en le suçant, et je sentais sa queue palpiter dans ma bouche. Et mon minou commençait à être inondé de cyprine.
J’étais complètement absorbée par cette fellation, lorsqu’un bruit me fit sursauter : un autre homme venait d’entrer.
C’était le flic qui avait découvert les godemichets dans mes bagages et, dans un nouveau réflexe stupide, je tentai de cacher mes seins... alors que tout le reste de mon corps s’offrait aux regards.
— Tu peux venir, Joseph, lui lança son chef. On ne s’était pas trompé, cette nana a l’air d’avoir le feu aux fesses. Fous-toi à poil, je suis certain que deux mecs, ça ne lui fait pas peur.
En un instant, Joseph se débarrassa de son uniforme, et je dois avouer qu’il me tentait aussi !
Le spectacle de ma nudité lui fit un effet immédiat, et il banda en un temps record. Je me retrouvai aussitôt avec une bite dans chaque main. Je pensais, pendant une seconde, à quelques nanas qui auraient aimé être à ma place. Surtout cette salope de Carine !
Je me mis à sucer les deux hommes, alternativement.
C’était un régal, et j’étais aux anges. J’aspirais leurs verges, en malaxant leurs couilles. Puis je jouais avec la pointe de ma langue sur les deux glands découverts.
— Tu avais raison, Baptiste - j’ai appris ainsi le prénom du "chef" - cette fille est sans doute la plus chaude que nous ayons contrôlée.
Mais Baptiste n’avait pas l’intention d’en rester là !
Il me fit étendre sur le dos, sans ménagement, et présenta son énorme pieu à l’entrée de ma chatte. Pour le guider, ses doigts effleurèrent ma fente.
— Mais elle est trempée ! Elle n’attend que ça, cette petite pute, s’écria Baptiste en riant.
Et il enfonça son dard dans mon abricot, pendant que je continuais à sucer Joseph en gémissant.
Il commença par aller et venir doucement, pour que ma grotte se dilate assez pour accueillir comme il faut un tel engin, et j’étais un peu surprise qu’il ne me prenne pas plus brutalement. Mais bientôt, le bruit humide qui s’échappait de mon minou lui ôta toute retenue, et il se mit à me pistonner avec force.
J’avais du mal à retenir des gémissements de plaisir, que la verge de Joseph plantée dans ma bouche étouffait heureusement.
C’est alors que Baptiste me fit changer de position. Il voulait que je m’agenouille, pour pouvoir me prendre en levrette.
Je m’exécutai, et Joseph me présenta aussitôt sa queue, pour que je poursuive ma fellation.
— Vas-y, ne t’arrête pas de me sucer. Prépare bien ma bite, avant qu’elle te fasse jouir.
Baptiste glissa une main sous mon ventre, pour m’obliger à me cambrer, et je sentis à nouveau son gland écarter les lèvres de ma petite chatte.
Je me l’avouais à peine, mais me faire prendre ainsi commençait à m’exciter plus que je l’aurais cru. Les allées et venues de Baptiste de plus en plus violentes dans mon intimité faisaient monter en moi un plaisir que je connaissais maintenant si bien. J’avais l’impression que sa bite me perforait jusqu’au nombril.
Un orgasme me surprit, mais, même si j’en avais envie, je me retenais de l’extérioriser par mes cris habituels, pour ne pas que les deux hommes découvrent à quel point je jouissais dans cette situation de soumission qu’ils m’avaient imposée. Je fermais les yeux, et je savourais malgré tout les frémissements qui parcouraient mes reins et mon dos.
— Laisse-moi la baiser aussi, demanda alors Joseph.— OK, lui accorda son chef. Allonge-toi, elle va venir te chevaucher tout en me suçant à mon tour.
Les deux mecs avaient l’air d’être inépuisables !
Joseph s’étendit, et je vins m’empaler sur son dard dressé, dur comme du bois. S’il était moins gros que celui de Baptiste, je goûtais tout de même chaque centimètre de sa progression en moi. Je ne pus retenir un cri de plaisir, lorsque son gland s’écrasa contre mon point G, provoquant une onde de plaisir qui irradia tout mon corps.
De nouveau, la verge de Baptiste, enduite de ma propre sève, investit ma bouche, pendant que Joseph donnait la cadence à mes allées et venues sur sa tige, en soulevant mes fesses à pleines mains.
Il n’eut pas besoin de me guider bien longtemps, car le désir m’enlevait maintenant tout tabou. Je redevenais la Chloé qui aimait tant faire l’amour, et j’arrachais des grognements à Joseph, en me soulevant et en me laissant retomber sur son pieu, de plus en plus vite, ou en frottant mon clito sur son pubis.
Baptiste voulut reprendre le contrôle de la situation. Il me força à me retourner, et il me saisit par les cheveux, pour m’imposer le rythme qui l’excitait.
Il enfonçait son énorme pieu jusqu’au fond de ma gorge, et lorsqu’il comprit que j’allais jouir, malgré mes haut-le-cœur, il me lâcha les cheveux. Je giclai, ma fente coulait comme une fontaine. Cette fois, j’extériorisai bruyamment mon plaisir !
J’offris aux deux hommes un concert de vocalises et de râles de chienne en chaleur.
Me voir jouir excita encore plus mes partenaires... Et leur donna d’autres idées !
— Elle aime se faire tringler, cette petite cochonne, commenta Joseph. A ton avis, ça lui plairait aussi, nos bites dans son petit cul ?
Cette question réveilla ma crainte, et je paniquai. J’avais l’impression de me vider de mon sang, et d’être sur le point de m’évanouir. Je ne m’imaginais pas subir sans être blessée les assauts de Baptiste dans mon petit trou.
En fait, c’est ce dernier qui me rassura.
— Vas-y toi, Joseph. La mienne est trop grosse et, chaque fois que j’ai voulu enculer une fille, ça s’est mal terminé. Je n’ai pas envie d’avoir des ennuis.
Sans me demander mon avis, Joseph se retira de ma chatte, et s’allongea.
Baptiste me prépara en inondant de salive le sillon séparant mes fesses. Alors, Joseph m’attira contre lui et, en douceur, voulut introduire son gland dans ma petite rondelle pour me pénétrer par-derrière.
Mon buste, en appui sur mes bras tendus, était renversé en arrière, et mes tétons pointaient vers le plafond. Baptiste les embrassait, les mordillait, tournait mon petit bouton entre ses doigts. J’éprouvais un mélange d’excitation et de douleur, car même bien lubrifiée par la salive et ma mouille qui avait coulé jusque-là, j’avais du mal à accueillir un tel engin dans mon anus.
Et puis, mon petit œillet s’est ouvert lentement. J’ai senti d’abord le gland gonflé forcer mon petit trou, puis disparaître soudain entre mes fesses, comme aspiré.
Progressivement, je me suis détendue, et quand j’ai commencé à gémir, Joseph m’a soulevée à nouveau en tenant mon petit cul, pour le faire coulisser sur sa verge. Ma bouche était maintenant libre, et je poussais de petits cris de plaisir en l’encourageant.
— Oh oui, c’est bon !— Ça te plaît hein, espèce de chienne ? me demanda Joseph.— Oui, oui ! Continue, enfonce bien ta queue dans mon petit cul... Ouiiii...— Eh bien, tu vas être servie ! répondit Joseph en se déchaînant.
Joseph me soulevait maintenant, pour me laisser retomber sur son pieu dressé. J’avais l’impression que mon anus allait exploser, mais chaque aller et retour de l’énorme membre augmentait mon plaisir. Je me mis à crier, sangloter. La sueur ruisselait sur mon corps nu.
Je sentais un nouvel orgasme venir. Des étoiles dansaient devant mes yeux. Dans un état second, je me mis à onduler des hanches, et à contracter mon anus, pour décupler mes sensations.
Je jouis une nouvelle fois, en rugissant comme une bête fauve, sans que Joseph ne cesse de m’enculer. C’était trop bon.
Mais Baptiste revint à la charge, sans me laisser récupérer...
— Je suis certain que se faire baiser par deux mecs en même temps ne lui fait pas peur. Ça te plairait ? me demanda-t-il.
Je murmurai un faible « oui »
— Alors, montre-moi ta jolie chatte, je crois qu’elle doit être inondée de mouille, m’ordonna-t-il.
Pendant que Joseph continuait de me sodomiser, j’ouvris largement les cuisses pour découvrir mon minou. D’une main, j’écartai mes petites lèvres, dévoilant mon clito dressé et ma fente baveuse.
Avec un regard halluciné, je vis Baptiste approcher son dard de ma vulve luisante de cyprine.
Puis il s’enfonça en moi. J’avais l’impression que sa progression dans mon ventre ne s’arrêterait jamais, tant son membre était long.
Depuis l’été précédent, durant lequel j’avais eu ma première expérience de double pénétration, je n’avais jamais eu l’occasion de m’offrir en même temps à deux types aussi bien montés - même si cette fois je n’avais pas cherché à me trouver dans cette situation.
Les deux hommes étaient déchaînés, et s’ils ne m’avaient pas tenue solidement, je serais tombée du lit.
Mon petit trou et ma grotte étaient en feu, tant ils les pilonnaient violemment, à un rythme fou. Je me laissais totalement aller. J’étais comme un jouet dans leurs mains, et j’aimais me sentir ainsi soumise, offerte.
Je poussais de petits cris inarticulés, et je sentais que j’allais jouir bientôt, une fois de plus. Je me demandais si je ne devenais pas nymphomane, mais Baptiste ne me laissa pas le loisir de réfléchir à des considérations métaphysiques.
Je n’aurais pas cru ça possible : il se mit à me labourer la chatte encore plus fort, à grands coups de reins, et je devinai qu’il n’allait plus résister bien longtemps.
Ces deux énormes queues qui me perforaient au plus profond de mon ventre me rendaient folle. Et je jouis, je jouis, je jouis... interminablement.
Les deux hommes poussaient eux aussi de petits cris sourds. Ils eurent quand même le temps de se retirer de ma chatte et de mon cul, pour faire gicler leur semence sur mon visage.
Durant cette longue séance de baise, ils avaient accumulé une quantité de sperme, et mon visage fut littéralement recouvert.
Nous nous écroulâmes tous les trois sur le lit, épuisés, le souffle court.
Comme dans un rêve, j’entendis frapper, et la porte du bureau, s’ouvrir. C’était la policière qui m’avait fouillée.
Elle considéra, sans paraître surprise, le foutre qui coulait sur mon visage et sur mes seins.
Elle se dirigea vers Baptiste pour lui parler à mi-voix à l’oreille ; mais je réussis à comprendre ce qu’elle lui disait.
— Je viens d’avoir un appel du palais : on a un problème. Cette nana est la copine de la fille du ministre, et ils exigent qu’on la relâche immédiatement.
Le visage de Baptiste se décomposa.
La femme sortit, pour revenir aussitôt, avec mes vêtements et une grande serviette immaculée, qu’elle me tendit sans un mot. J’essuyais tout mon corps couvert de sueur, et le sperme qui le maculait.
Les deux mecs s’étaient rhabillés, et Joseph est allé rechercher mes bagages, l’air paniqué. Baptiste me les tendit, avec des gestes pleins de déférence.
— Voilà votre valise et votre bagage cabine. Vous pouvez vérifier, rien ne manque.
Je remis mon string et ma robe, et je pris mes bagages avec un air hautain. Mon attitude l’inquiéta, et il essaya de m’amadouer.
— Nous vous présentons nos excuses, nous ne savions pas qui vous étiez.— Ce n’est pas une raison ! répondis-je sur un ton exaspéré. On ne fait pas subir de telles choses à une jeune fille.
Dans mon for intérieur, j’étais morte de rire en prononçant cette expression de ″jeune fille″.
Baptiste me raccompagna jusque dans le hall de l’aéroport, l’air penaud. En ressortant, Carine me sauta au cou.
— J’étais morte d’inquiétude. Heureusement, Wendy a téléphoné à son père, et ça a été efficace, puisque te voilà !
Wendy était assise sur un banc, près de la sortie de l’aéroport, dans une robe jaune courte, très sexy. Elle était particulièrement attirante.
Elle aussi vint m’embrasser, en s’inquiétant de ce qui avait pu m’arriver. Je lui racontai rapidement ma mésaventure - sans évoquer le plaisir que j’avais pris...
— Les salauds ! s’indigna-t-elle. J’avais déjà entendu parler d’histoires de ce genre dans cet aéroport. Quand je vais raconter ça à mon père, ils n’ont pas fini d’avoir des ennuis.
Nous sommes montées toutes les trois dans la mini-décapotable de Wendy qui nous a emmenées jusqu’à la villa familiale. La propriété de style colonial était magnifique, avec une grande piscine.
Son père était absent - comme la plupart du temps. Divorcé, il était remarié à une Française d’une trentaine d’années, qui était aussi en voyage.
Wendy nous a montré nos chambres - la mienne jouxtait celle de Carine - et j’ai pris une douche. En repensant à ma séance de triolisme à l’aéroport, ma main s’est un peu égarée entre mes cuisses... Mes orifices étaient encore sensibles, comme les pointes de mes seins.
Nous avons dîné toutes les trois sur la terrasse, servies par le personnel attaché au père de Wendy. L’air était délicieusement tiède, le vin était frais, et nous avons fait des projets pour les jours à venir.
Carine et moi, nous étions mortes de fatigue, et nous sommes allées nous coucher tôt. Mais avant de m’endormir, j’ai laissé mon esprit vagabonder, en pensant à l’un des domestiques, un jeune black que j’avais croisé et que je trouvais très, très attirant...
C’est en imaginant ce que je pourrais faire avec lui que je sombrai dans le sommeil, sans même avoir eu le temps de me caresser.

A suivre...
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