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saga africa

Chapitre 3

sea, sex and sun

Orgie / Partouze
Durant deux jours, nous sommes restées dans la propriété du père de Wendy, à profiter de la piscine. Au programme, bronzage intégral – Wendy s’y était convertie – dégustation de plats africains. Mais pas que...
La chaleur du climat avait un effet aphrodisiaque sur moi. A n’importe quelle heure, il m’arrivait d’avoir envie de jouir, et les partenaires de manquaient pas : Carine, Bertrand, et je fis l’amour pour la première fois avec Wendy.
Je ne sais pas si c’était seulement Carine qui l’avait initiée, ou si elle était naturellement douée, mais elle m’a procuré quelques orgasmes somptueux !
Nous avons essayé toutes les combinaisons possibles. Sauf pour Wendy, qui s’est refusé de se donner à un employé de son père.
Arriva enfin le samedi, jour de l’invitation d’Antoine à participer à une soirée chez lui. C’était la première fois que Wendy acceptait une invitation à une de ses "parties", entourées d’une réputation sulfureuse dans la ville. En réalité, elle nous avoua qu’elle n’avait jamais participé à une partouze, mais elle commençait à ressentir une certaine curiosité, et l’envie d’essayer.
— C’est vous qui me dévoyez, nous dit la jolie black, mimant la jeune fille timide.— Faut-il que je te rappelle que c’est toi qui m’as entraînée dans ta chambre hier, et qui m’as jetée sur ton lit en exigeant que je te fasse jouir ? lui rappela Carine.— Et une heure après, tu en voulais encore, surenchéris-je. Tu m’as littéralement sautée dessus, au bord de la pisci...— Stop ! s’exclama Wendy. Au départ, il y a eu Carine, à la fac. C’est elle la cause de tout !
Un joyeux brouhaha s’installa, chacune coupant la parole aux autres, au milieu d’éclats de rire.
Nous étions attendues chez Antoine vers 20 heures. Wendy nous a proposé de partir après le déjeuner, et de passer l’après-midi sur une superbe plage, voisine de la propriété du père d’Antoine.
Après le repas, nous avons glissé dans un sac nos tenues pour la soirée, et nous sommes parties dans un Range Rover conduit par Wendy.
Au bout d’une petite heure sur une mauvaise route, nous avons atteint une longue plage de sable fin, vraiment idyllique.
Carine et moi, nous ignorions si nous pouvions faire de l’intégral sur cette plage, et j’avais opté pour un micro bikini zippé : il avait cet avantage de ne rien cacher, si j’ouvrais les petites fermetures du string et des bonnets.
Un peu moins audacieux, le bikini de Carine était tout de même hypersexy, et cachait tout juste le minimum. Mais ma mésaventure lors de notre arrivée à l’aéroport l’avait rendue prudente !
Bien qu’il y ait peu de monde sur la plage, quelques personnes étaient proches de l’endroit où nous avions déroulé nos tapis. Nous étions curieuses de découvrir le maillot de Wendy, mais celle-ci conservait sa robe blanche.
— Alors, tu n’oses pas te déshabiller, c’est nouveau, lui lança Carine.— Son bikini est peut-être plus petit que le mien, ajoutai-je sur un ton narquois.— Chloé a un peu raison... répondit-elle avec un sourire énigmatique.
Elle nous fit languir un petit moment pour ménager son effet, et elle baissa les bretelles de sa robe. Décidément, elle avait des seins superbes. Depuis que je les avais découverts, j’en étais jalouse. Leur forme pleine en poire, leur fermeté, ces aréoles sombres, avec leurs petits tétons érigés...
J’imaginais que Wendy avait décidé de faire du topless, mais je ne comprenais pas pourquoi elle n’avait pas encore enlevé sa robe. Petit à petit, elle la fit glisser sur ses hanches... pour finalement découvrir qu’elle ne portait rien dessous.
Nous avons applaudi Wendy, attirant l’attention de nos voisins de plage, et elle fit quelques allers et retours le long de l’eau pour nous faire admirer sa plastique, en nous charriant :
— Alors, je croyais que c’était vous deux, les filles libérées !
Nous étions piquées au vif !
— Tu t’es convertie au nudisme ? lui demanda Carine. Tu m’avais caché ça !— En vérité, j’ai débuté hier au bord de la piscine avec vous deux. Mais j’ai trouvé l’expérience très agréable, et j’avais envie de la renouveler en public. Et j’avoue que je trouve la situation vachement excitante.— Mais on ne voit personne à poil sur cette plage, lui fis-je remarquer.— Parfois, il y a des femmes d’expatriés qui se mettent nues pour bronzer. De toute façon, l’endroit n’est pas surveillé.
Nous avons pris des raquettes avec lesquelles nous avions emporté pour jouer, et nous avons échangé quelques balles. Jusqu’à ce que Carine dénoue mon soutif. Et je lui rendis aussitôt la pareille.
Dans la foulée, je sentis ses doigts tirer sur le lien de mon string, et nous nous sommes retrouvées finalement toutes les deux en tenue d’Eve.
Nous n’étions qu’au printemps et, en France, je n’aurais pas pu m’offrir une telle séance de bronzage. Je savourais la chaleur du soleil africain sur ma peau nue, qui avait déjà pris une belle couleur ambrée, depuis nos journées au bord de la piscine.
A notre tour, tous les regards convergeaient vers nous. Nous avons posé nos raquettes sur le sable, pour nous étendre toutes les trois au bord de l’eau, papoter, et nous rafraîchir.
L’après-midi s’écoula tranquillement, entre séances de bronzage, baignade, et rafraîchissements sous les cocotiers.
Seule Wendy eut une surprise, durant ce moment de farniente.
Elle sortait de l’eau, lorsqu’elle se retrouva face à face avec Alice, une de ses anciennes amies de lycée, toute surprise de la trouver dans le plus simple appareil. C’était une jeune black aussi superbe que Wendy, et elle portait un tout petit bikini qui mettait en valeur sa chute de reins, très cambrée.
Les deux copines se mirent à discuter, mais nous n’entendions pas ce qu’elles se disaient. Sans doute échangeaient-elles des souvenirs et des nouvelles. Sans doute d’autres choses, car Alice, encouragée par Wendy, enleva son maillot.
Elles restèrent toutes les deux au bord de l’eau, pendant une petite heure. Puis Alice remit son maillot et s’éloigna.
Nous n’avons pas vu le temps s’écouler, et la nuit tombe vite sous les tropiques. Nous avons admiré toutes les trois le coucher du soleil, avant de nous habiller pour la soirée chez Antoine.
Les heures passées nues en public sur cette plage avaient émoustillé ma sensualité, et je dois avouer que j’avais envie d’une bonne séance de sexe. Je me suis rendu compte un peu plus tard que mes deux amies étaient dans les mêmes dispositions...
Les tenues que nous avions choisies, sans nous consulter, en disaient d’ailleurs long sur nos intentions : de petites robes, aussi courtes que légères, aux décolletés vertigineux. Rien que d’enfiler la mienne, j’ai senti mon minou s’humidifier.
Peu après 20 heures, nous avons sonné au portail de la propriété familiale d’Antoine, protégée par un garde et toute une installation de vidéo surveillance. Notre hôte est venu nous accueillir, lorsque nous sommes descendues du Range Rover, et nous sommes rentrées à l’intérieur de la somptueuse villa, où il nous présentait à ses invités.
Il y avait là un mélange de noirs, membres de l’élite locale, et de blancs expatriés. Comme dans presque toutes les soirées de ce genre, les femmes étaient toutes jeunes et sexy, et nous avons eu la surprise de découvrir, parmi elles, Alice, la copine de Wendy que nous avions rencontrée sur la plage.
La pièce de réception était immense, avec des recoins assez sombres dans lesquels on devinait des matelas et des coussins étalés sur le sol, et elle s’ouvrait sur une terrasse bordant une grande piscine. De jeunes serveuses nous apportaient, à volonté, des petits fours, du champagne, des cocktails et plein d’autres alcools. Elles portaient toutes la même tenue, blanche : une mini-robe en maille dévoilant leurs seins libres, sur un string.
La soirée a démarré de manière très classique : présentations, compliments sur la beauté et la toilette des femmes, banalités, passage des serveuses dans les groupes pour distribuer - généreusement - boissons et toasts.
Il était plus de 22 heures quand le niveau de la sono a commencé à monter et, petit à petit, la piste de danse improvisée dans le salon s’est remplie. Avec Carine, nous avons rejoint les danseurs.
Je regardais depuis un petit moment un groupe de mâles, que je trouvais vraiment à mon goût, et je commençais à fantasmer.
Il ne fallut pas très longtemps pour que les danseuses, à l’occasion d’un slow, se fassent aborder par des hommes. Pour ma part, j’ai eu le plaisir d’être invitée par Marc, l’un des mecs que j’avais remarqués.
C’était un excellent danseur. Il s’était collé contre moi - ou je m’étais collée contre lui, je ne sais plus - et sa main descendit au creux de mes reins. Mes seins étaient plaqués contre sa poitrine et, en l’absence de soutien-gorge, je sentais son torse contre mes seins à travers la mince étoffe de ma robe. Sa jambe se glissait entre mes cuisses, et pressait mon pubis.
Marc me parlait à l’oreille d’une voix grave, et j’étais incapable de résister. Il s’en rendit compte. Il m’invita à m’asseoir, et me tendit une flûte de champagne.
L’alcool que j’avais absorbé produisait ses premiers effets, et je pris l’initiative d’approcher ma bouche de la sienne. Sa langue s’insinua entre mes lèvres, ses mains commencèrent à explorer mon corps à travers le tissu de ma robe.
Autour de nous, la température était montée de plusieurs crans. Et je ne parle pas du thermomètre... Plusieurs couples étaient déjà très occupés, et certaines femmes commençaient à se dénuder un peu.
Nous relevâmes un moment la tête, et nos regards furent retenus par Wendy. Elle aussi était manifestement désinhibée par l’alcool et, assise sur un canapé, elle regardait fixement un groupe d’hommes, d’un air provocant.
Sans les quitter des yeux, elle se mit debout, se tourna, et fit glisser la fermeture de sa robe.
Lentement, la robe descendit sur son buste, ses hanches, ses jambes, et tomba sur le sol. De la pointe de sa chaussure, elle la lança au loin, et se retourna vers ses admirateurs, pour leur présenter ses jolis seins durcis par l’excitation. Elle resta ainsi un moment, avant de poser ses mains sur l’élastique de son string, et fit mine d’hésiter.
Un instant plus tard, le string alla rejoindre la robe sur le sol. Wendy se rassit sur le canapé, dans une position qui dévoilait ses fesses cambrées, et sa chatte épilée.
Des hommes commencèrent à s’approcher d’elle, mais Marc ne voulait pas que nous nous laissions distraire trop longtemps !
Il m’entraîna vers l’une des alcôves sombres, ouvertes sur la pièce de réception. A ma grande surprise, un éclairage violent s’alluma, dès que nous sommes entrés, transformant l’endroit en une sorte de scène bien visible des autres invités.
En un instant, ma robe disparut, et je me retrouvais nue, car j’avais choisi de ne mettre aucun sous-vêtement qui aurait marqué sous ce fourreau collant à mes formes. Mon corps devint le point de mire de l’assistance : ce n’était bien sûr pas pour me déplaire !
Marc commença par déboucler la ceinture de son pantalon. Je pris aussitôt le relais, pour dégager sa queue, qui avait déjà atteint une certaine rigidité. Je la pris dans ma main, pour la branler doucement, je découvris lentement le gland, sur lequel je donnai de petits coups de langue, et je lui demandai avec un sourire gourmand :
— As-tu envie que je te suce devant tout le monde ?— Et toi, as-tu envie de me sucer ? Si j’en crois les bruits qui circulent sur toi, tu adores le sexe...
Il semblait donc que tout se sache ici, mais je ne perdis pas de temps à me poser des questions sur l’origine de ces indiscrétions : cette bite me faisait vraiment envie, et je la pris dans ma bouche.
Marc se dégagea un court instant pour se dévêtir, et dès qu’il se fut étendu sur un canapé, je me mis à lécher sensuellement l’extrémité de son gland. Je l’entourai de ma langue, je m’attardai sur le méat d’où jailliraient plus tard de longs jets de sperme, tout en jetant des coups d’œil vers les autres convives.
Sous mes caresses, le sexe de Marc avait pris des proportions imposantes, et j’avais hâte qu’il me pénètre. Mais je fis durer le plaisir, le prenant tout entier dans ma bouche, le pompant avec force, le mordillant.
Marc poussait de petits grognements de plaisir, et les voyeurs s’approchaient. Ne résistant pas à mon goût pour l’exhibition, je m’agenouillai, reins bien cambrés, pour leur offrir le spectacle de mon petit cul, et de ma fente maintenant bien humide.
Je poursuivis cette fellation pendant de longues minutes - Marc s’avérait être un partenaire très endurant - jusqu’à ce qu’il me fasse m’installer sur lui, en 69. Je sentis aussitôt ses doigts et sa langue se lancer à l’assaut de mon minou.
Il était d’une adresse diabolique, semblant deviner les caresses que j’attendais. Il n’eut aucune difficulté pour débusquer mon clito, qu’il aspira, titilla tant et si bien que je dus me retenir pour ne pas succomber à l’orgasme. J’appréciai donc encore plus quand je compris qu’il avait décidé de défoncer mon minou affamé.
Je me ruai alors littéralement sur Marc, enjambant son corps, et empoignant sa verge pour mieux contrôler la suite des évènements.
Il me caressait, m’embrassait les seins, tout en m’encourageant :
— Oui, c’est ça, vas-y ! Viens t’empaler sur ma bite, espèce de petite salope... Tu la sens bien, rentrer dans ta chatte ?— Oh, oui, c’est trop bon, murmurai-je tout en gémissant. Je la sens me remplir... Oh, comme j’aime ça !
C’est toujours un moment indescriptible pour moi, quand un gland gonflé envahit lentement ma grotte lubrifiée par le flot de cyprine de mon désir. Les mains de Marc, écartant mes fesses cambrées pour le plus grand plaisir des invités qui nous regardaient, décuplaient ces sensations.
C’était parti pour une folle chevauchée ! Bien calée sur mes genoux, j’imprimais moi-même le rythme de ses allées et venues au dard qui me remplissait. J’accélérais, je ralentissais, je contractais mes muscles autour de la queue plantée en moi, je me soulevais - comme pour mettre un terme à ce coït - pour me mieux laisser retomber d’un coup.
Marc parvenait à se contrôler, je ne sais comment, mais je me laissai submerger par le plaisir, criant sans retenue.
Mon partenaire attendit que j’aie fini de jouir, pour me faire changer de position, et m’agenouiller à quatre pattes. Aussitôt, je sentis son sexe s’insinuer dans mon abricot gonflé, sous les commentaires des voyeurs :
— Vas-y, Marc ! Baise-là bien à fond, elle ne demande que ça !
Ces commentaires, loin de provoquer en moi un sentiment de gêne, fouettaient mon désir. Marc se mit à pilonner ma chatte, et je soulevai une de mes jambes, pour que mes spectateurs n’en perdent pas une miette.
J’étais sur le point de jouir de nouveau, mais Marc avait une autre idée en tête. Il se releva, me prit dans ses bras. Accrochée à son cou, je l’embrassais longuement, pendant que sa bite retrouvait naturellement le chemin de ma fente.
Debout, il me soulevait pour provoquer de petits mouvements qui me faisaient coulisser sur sa hampe. Le frottement de mes seins durcis sur son torse me rendait folle.
— Je crois que tu aimes aussi te faire prendre par-derrière, me dit-il à l’oreille.— Non, mais, qu’est-ce qui t’a raconté ça ? protestai-je... pour la forme.— Ça n’a aucune importance, répondit-il sur un ton autoritaire. Tu aimes te faire enculer ou pas ?— Eh bien... oui, avouai-je vaincue, à voix basse.
Je ne compris pas tout de suite ce qu’il avait en tête, quand il s’allongea, et voulut que je le chevauche de nouveau. Mon sexe vint s’emboîter sur le sien, et c’est alors qu’il me dit :
— Je veux que tu prépares toi-même ton petit trou, et que tout le monde te voie.
Je réalisai aussitôt. Je mouillai mes doigts avec ma salive, et glissai mon majeur dans ma rosette, pendant qu’il écartait mes fesses.
Une nouvelle excitation m’envahit, mon doigt sentant à travers la mince paroi les allées et venues du gland de Marc dans ma chatte. Mon index rejoignit bientôt mon majeur, et je me mis à pousser de petits cris, puis à supplier Marc :
— Viens, je t’en prie... J’ai envie de te sentir dans mon cul.— A toi de venir sur moi, et de montrer à tout le monde quel genre de fille tu es.
Sans me faire prier, et oubliant toute pudeur (mais je crois que je n’en ai plus aucune dans ces situations) je vins moi-même placer mes fesses à l’aplomb de sa bite, et m’empaler lentement.
Depuis ma découverte des plaisirs de la sodomie, j’y avais pris goût, et je savais profiter maintenant de ce moment délicat, où un sexe mâle investit mon petit trou. Ma cyprine, qui couvrait en abondance le gland de Marc, et mon excitation, facilitaient sa progression en moi, millimètre par millimètre.
Mes gémissements et ses grognements accompagnaient la scène et, après avoir marqué quelques courtes pauses, mes fesses vinrent s’appuyer sur son pubis. Je me mis à aller et venir, tout doucement, puis un peu plus vite. Je sentais le plaisir monter, et je commençai à caresser mon petit bouton, pour multiplier mes sensations.
Marc empoigna mes fesses, pour me faire brutalement sauter sur sa queue, qui perforait mon anus. C’était un feu d’artifice dans ma tête et dans mon ventre, et un orgasme foudroyant me tétanisa.
Nous nous laissâmes tomber, et Marc jouit enfin à son tour. Un premier jet de sperme jaillit dans les profondeurs de mon ventre, puis un second, encore plus puissant, vint éclabousser mes fesses et le creux de mes reins.
J’avais l’impression que Marc était inépuisable, et lorsque je pris sa verge dans ma bouche, je recueillis encore sur ma langue quelques gouttes de foutre.
Il nous fallut plusieurs minutes pour récupérer. Marc m’a embrassée sensuellement et m’a félicitée, et c’est alors seulement que j’ai repris conscience de ce qui se passait autour de nous.
Le petit spectacle que nous avions offert, et l’alcool faisaient de plus en plus d’effet sur les invités. Certaines filles se livraient à des strips très excitants, des groupes s’étaient déjà formés et s’activaient. Je repérai Carine, au milieu de l’un d’eux. Elle se faisait prendre, debout, par un homme nu qui la tenait par les hanches. Elle me fit un clin d’œil, en me souriant, entre deux petits cris aigus.
Pour ma part, la partie de jambes en l’air que je venais de m’offrir, en public, avec Marc m’avait donné beaucoup de plaisir, mais je ne me sentais pas rassasiée. J’avais jeté aux orties depuis longtemps mes tabous, et je n’avais plus honte de mon insatiable envie de jouir.
Je cherchais maintenant Wendy du regard, me demandant comment elle pouvait réagir dans cette ambiance de partouze. D’après ce que Carine m’avait dit, elle avait du goût pour le sexe - autant avec une fille qu’avec un homme -, mais elle n’avait pas d’expérience du sexe en groupe, et le poste de son père devait rendre sa situation ici délicate.
Je pensais la trouver isolée, dans un recoin sombre de la salle de réception, ou sur la terrasse, mais lorsque je la découvris enfin, je n’en crus pas mes yeux : Wendy était sur une sorte de podium recouvert d’un matelas et de coussins, éclairé par des spots, entouré de spectateurs. Allongée sur le dos, intégralement nue, elle était en train de se faire baiser par Antoine.
Ses petits seins aux pointes sombres et dardés vers le plafond tressautaient au rythme des coups de reins de son partenaire. Elle poussait de petits cris très suggestifs, mais elle se contrôla un instant pour me dire, en souriant :
— Qu’est-ce que c’est bon de baiser comme ça ! Je t’ai vue tout à l’heure, Chloé, et tu m’as trop donné envie... Oooohh ! Oui, comme ça, Antoine... Fais-moi jouir, vas-y !
Et elle partit dans un orgasme spectaculaire. Elle resta étendue, haletante, et Antoine s’agenouilla à côté d’elle, en se branlant, jusqu’à ce que sa bite, secouée de spasmes, déverse un sperme épais sur le visage et la poitrine de Wendy, radieuse.
J’étais sidérée, et je pensais qu’elle allait en rester là. Mais Wendy avait l’enthousiasme des débutantes.
Un homme, au garde à vous s’approcha de nous et, dans une sorte de réflexe, j’empoignai son sexe pour le sucer.
Wendy posa ses lèvres sur la longue tige, puis se tourna vers moi.
— S’il te plaît, tu peux me le laisser ? J’ai trop besoin de faire encore l’amour.
Je ne pouvais pas lui refuser ce plaisir ! Mais d’autres mâles n’avaient pas perdu une miette de la scène et, connaissant la position de Wendy, se réjouissaient de sauter la fille d’un ministre, surtout que celle-ci avait l’air d’une chienne en chaleur.
Bientôt, elle fut entourée par trois mecs en érection, sans que la situation semble l’inquiéter. Elle se mit à les branler et à les sucer, en me regardant avec une expression de triomphe.
Les trois hommes ne s’attendaient pas à un tel traitement, et savouraient ces caresses et cette fellation, dignes de la cougar la plus expérimentée.
Wendy se démenait pour exciter ses amants d’une soirée, et l’un d’eux finit par l’installer en levrette, au bord d’un canapé. Devinant ce qui l’attendait, elle se cambra pour offrir sa moule luisante de mouille, à la pénétration de l’énorme sexe.
Elle poussa un petit cri de plaisir, lorsque le gland franchit la porte de son intimité, se cambra davantage, et continua de caresser et de sucer les deux autres hommes.
Un attroupement s’était formé autour du quatuor, et le spectacle était grandiose.
Au bout de plusieurs minutes, un des deux types voulut échanger sa place. Wendy lui demanda de s’allonger, et elle vint le chevaucher.
— Oui, c’est bon comme ça... Oh, comme je la sens bien, criait-elle, tout en s’enfonçant sur le pieu dressé.
Et elle reprit les deux autres queues, dans sa main et dans sa bouche.
La vue de Wendy s’offrant à ces hommes était d’un érotisme torride, et j’étais de plus en plus excitée. Cela devait se voir, et deux types s’approchèrent de moi. Ils commencèrent à me peloter, et je dus prendre sur moi pour tempérer leurs ardeurs.
— Pas tout de suite. Je veux regarder ma copine se faire baiser par tous les trous.
Ce spectacle leur plaisait aussi, et nous nous sommes assis sur un canapé. Je les branlais, pendant qu’ils malaxaient mes seins durcis par le désir.
Pendant ce temps, Wendy avait changé de position. Elle s’était assise sur son troisième partenaire, et celui-ci était en train d’investir son petit trou. Elle n’avait guère pratiqué la sodomie, et était visiblement crispée, pendant que la bite disparaissait petit à petit entre ses fesses.
Mais bien vite, le plaisir la submergea, lui arrachant à nouveau des cris.
— Tu aimes te faire enculer, avoue ! lui lança l’un des deux autres hommes.— Oh oui ! J’aime ça... C’est bon... C’est trop bon, cette queue dans mon petit trou.— Alors, suce-moi encore, et je prendrai sa place après.
Pendant un long moment, Wendy se fit sodomiser par les trois hommes, puis ils décidèrent de la prendre en sandwich.
Elle acceptait tout, secouée à intervalles réguliers par des orgasmes. Après chaque vague de plaisir, elle semblait reprendre davantage de force, pour se donner avec encore plus d’énergie à ses partenaires.
Le quatuor fut enfin épuisé, et Wendy s’agenouilla entre les types qui, l’un après l’autre, se branlèrent au ras de son visage, jusqu’à ce que le foutre jaillisse, et finisse dans sa bouche, sur son visage, et coule sur ses seins.
Elle me regarda, avec un grand sourire, et s’écria :
— Putain ! Je n’avais jamais joui aussi fort, quel pied ! Carine m’avait raconté vos soirées, mais je ne croyais pas que c’était aussi génial.
Je félicitai Wendy, mais la voir se faire prendre ainsi par trois mecs m’avait excitée au dernier degré. Je ressentais un besoin de sexe, porté jusqu’à son paroxysme, et je ne pouvais pas compter sur les deux types que j’avais branlés en regardant Wendy : ils n’avaient pas résisté au show de la belle et jeune Africaine et à mes caresses, et ils avaient déchargé l’un après l’autre, dans mes mains.
Je me retenais pour ne pas me jeter sur les invités - hommes ou femmes - qui étaient disponibles. Mais en regardant autour de moi, je découvris que nombreux étaient ceux qui étaient déjà... occupés !
C’est à ce moment que Carine vint me rejoindre. Elle avait assisté, elle aussi, à la ″performance″ de Wendy, et était également en manque.
— As-tu fait l’amour, ce soir ? lui demandai-je.— Oh oui ! avec un superbe black, et j’ai pris un pied d’enfer. Mais je ne compte pas en rester là.
Nous nous sommes raconté notre début de soirée, et nous avons décidé d’attirer l’attention sur nous, en nous livrant à un petit numéro de lesbiennes.
Carine s’est à demi étendue sur un canapé, et je suis venue sur elle, pour l’embrasser langoureusement. Sa langue explorait ma bouche, et je lui rendais son baiser. Elle me fit me soulever, pour pouvoir caresser ma chatte, et sucer les pointes de mes seins, qui durcirent immédiatement.
Plusieurs personnes s’approchèrent, pour admirer notre duo, et nous nous sommes assises, pour qu’elles puissent mater nos sexes gonflés, tout en poursuivant nos caresses.
Notre petite exhibition porta rapidement ses fruits : nous avons réveillé le désir de nos spectateurs - beaucoup étaient du sexe masculin - et nous nous sommes retrouvées bientôt entourées de queues plus ou moins dressées.
Très occupée par nos caresses sensuelles et agréables avec Carine, j’entendis une voix grave, sans pouvoir identifier qui parlait :
— Alors, mesdemoiselles, vous êtes totalement lesbiennes ? ou seriez-vous tentées par de belles bites bien dures ?
En nous relevant, nous découvrîmes trois superbes verges, une noire et deux blanches, déjà dressées. Sans nous consulter, Carine s’agenouilla au milieu du trio, en même temps que moi, et nous avons commencé à les caresser avec gourmandise.
Sans hésiter, je pris une tige bien raide dans ma bouche. Avec plaisir, je goûtai les effluves d’une autre fille que le mec avait baisée sans doute avant moi, mélangées au parfum de son sperme. Loin de me rebuter, ces saveurs renforçaient mon désir.
De son côté, Carine suçait le gland rose, décalotté, qui terminait la longue hampe noire du sexe de l’un de nos nouveaux partenaires. Notre ″quintet″ était devenu, à son tour, un centre d’attraction pour de nombreux invités, et des spots vinrent renforcer l’éclairage de l’endroit où nous nous trouvions, comme si un régisseur de théâtre avait suivi nos faits et gestes.
Bien vite, les trois verges atteignirent une taille impressionnante, pour le plus grand plaisir de Carine et le mien. Il ne faisait aucun doute qu’elles étaient à même de nous satisfaire, et je sentais déjà des gouttes de cyprine couler à l’intérieur de mes cuisses.
Nos partenaires étaient du genre décidé, et l’un d’eux nous demanda :
— J’ai l’impression que vous aimez vous faire baiser, toutes les deux. Je me trompe ?— Non, répondit Carine, avec un sourire mutin.— Et toi ? insista l’homme, à mon intention.— Non, j’adore ça, répondis-je à mon tour, prenant une expression encore plus allumeuse que Carine, avec l’espoir de me faire prendre plus sauvagement par ces mecs.— Et vous aimez vous faire prendre par-derrière ? intervint le black.— J’adore ! s’exclama Carine, qui voulait reprendre l’avantage.— Alors, vous allez être servies !
En effet, aucun des trois hommes ne s’intéressa - du moins dans un premier temps - à nos chattes. Ils savaient ce qu’ils voulaient ! Je me retrouvais agenouillée, en levrette, avec une superbe queue sombre dans la bouche. Je sentis qu’un autre homme derrière moi lubrifiait ma rosette et, sans plus de préliminaire, son gland se glissa entre mes fesses.
Malgré l’absence de tout romantisme dans cette approche, il ne me serait pas venu à l’idée de protester. Au contraire, j’étais excitée par la situation, par le fait que nous n’étions plus, tous les cinq, que des sexes affamés, en quête d’un plaisir brut.
Mon partenaire était, malgré tout, attentif à mes réactions. Il s’introduisit lentement, et je sentais son gland s’enfoncer en moi avec délectation. Lorsque son pubis vint s’appuyer sur les globes de mes fesses, il attendit un moment avant de commencer à me pistonner, et c’est lorsque je l’implorai :
— Vas-y, maintenant ! baise mon cul ! Je te veux, j’ai envie de jouir !! qu’il se mit à aller et venir, de plus en plus vite.
Je poussais de petits cris, et j’entendais, derrière moi, les gémissements de Carine, sans voir ce qui se passait - mais en le devinant facilement. Mon partenaire se retira, et échangea sa place avec celui qui enculait Carine, et celle-ci se retrouva à son tour avec la bite du black dans la bouche.
La pénétration de cette nouvelle queue provoqua en moi une sorte de décharge électrique, et un orgasme soudain, imprévisible, me secoua.
L’homme avait soulevé l’une de mes jambes, qu’il maintenait en hauteur, pour que chaque invité puisse profiter du spectacle de ma fente luisante de mouille, et de mon anus dilaté par les mouvements de sa verge.
La position était fatigante et, sans nous désunir, nous nous sommes retrouvés assis. Agrippant mes fesses, il me soulevait maintenant avec une force impressionnante, et j’étais devenue un jouet entre ses mains.
Ainsi installée, je voyais Carine. Secouée par des spasmes de plaisir, elle offrait maintenant son petit trou au black, qui la sodomisait violemment en grognant de satisfaction.
Mon partenaire se rendit compte que l’exhibition de Carine m’excitait. Il m’installa de nouveau en levrette, et m’ordonna :
— Tu vas lécher la bite de mon copain et le petit cul de ton amie.
C’était d’un érotisme torride. Cette vision décuplait les sensations provoquées par le dard qui continuait à pilonner mes fesses, pendant que je me cambrais pour qu’il me pénètre profondément. A ce rythme, Carine et moi nous ne pouvions résister bien longtemps à la montée d’un orgasme, qui nous fit crier toutes les deux ensemble.
A priori, le trio avait décidé de se concentrer sur Carine.
Je me sentis un peu frustrée, mais je me doutais qu’elle appréciait ! Et, bonne joueuse, je décidai de continuer à jouer le jeu.
L’un des mecs s’allongea, et Carine vint s’empaler sur lui, reprenant aussitôt dans sa bouche l’homme qui venait de me sodomiser. Elle offrait son cul au troisième, mais celui-ci voulut que je le suce, avant de s’enfoncer entre ses fesses.
Je le léchais et je le pompais avec enthousiasme, et j’aurais aimé le faire décharger dans ma bouche, mais ce n’était pas son intention, et il se maîtrisait parfaitement.
Lorsqu’il le décida, je pus voir en gros plan le gland et la longue hampe sombre disparaître dans la rondelle d’une Carine aux anges, ignorant ma frustration.
Bientôt, j’entendis les cris de mon amie monter dans les aigus.
J’étais dans un état de manque indescriptible, et les regards que je lançais autour de moi devaient trahir mon désarroi.
Je ne vous décrirai pas ma joie et mon excitation, quand je vis un petit groupe d’Africains s’approcher. Leur nudité me permettait d’admirer leurs corps - et surtout leurs sexes ! Trois d’entre eux m’entourèrent.
— J’ai l’impression que tu es une sacrée cochonne, et que tu as envie de beaucoup de sexe ce soir. Ça te plairait de faire l’amour avec nous ? me demanda le plus entreprenant.— Peut-être, répondis-je en minaudant un peu.— Génial ! Mais je ne t’ai pas précisé : c’est avec nous trois, en même temps, précisa-t-il.— Oooohh ! m’exclamai-je, pour les chauffer. Je ne sais pas si je vais pouvoir accueillir d’aussi grosses queues !— Pour l’instant, mets-toi à genoux, les mains derrière le dos, et contente-toi de regarder.
Je m’exécutais, et je me retrouvais agenouillée, avec leurs sexes à la hauteur de mon visage. Ils ne bandaient pas, mais leurs verges affichaient déjà des proportions impressionnantes. Ils tournaient autour de moi, leurs glands oscillant sous mes yeux, et ils se branlaient fugitivement de temps en temps.
Ce spectacle me mettait en transe. Mes ongles s’enfonçaient dans mes poignets, tant j’avais envie de caresser ces pieux sombres qui me provoquaient et, involontairement, je passais ma langue sur mes lèvres. Et puis, n’y tenant plus, j’empoignai une première bite.
Pendant que le deuxième homme se masturbait, le troisième approcha son gland découvert de ma bouche, et la pointe de ma langue l’effleura,
Pour m’exciter encore un peu plus, il se recula, mais je pus saisir et engloutir dans ma bouche la superbe verge du premier, qui commençait à gonfler et à se dresser.
Jamais je n’avais autant apprécié le contact et la saveur d’un sexe masculin. Il palpitait contre mon palais, jusque dans ma gorge. Il avait dû baiser une autre fille avant, car il me semblait reconnaître un parfum de cyprine.
J’étais sur un petit nuage, et c’est alors que le deuxième réclama à son tour une fellation. Tout en continuant de caresser le premier, je pris son dard dans ma bouche.
Très vite, je me déchaînai, caressant, léchant, suçant les trois blacks à tour de rôle, sentant des mains parcourir tout mon corps, mes seins, mes fesses... C’était délicieux.
Je gémissais de plaisir depuis un moment, lorsque celui qui prenait l’initiative dans le trio de mes partenaires - et le plus généreusement membré - décida de passer aux choses plus... sérieuses.
— Allez-y les gars ! Elle est bien chaude. Commencez à la baiser tous les deux, et quand elle criera bien fort, on la prendra tous les trois ensemble. Je veux qu’elle se rappelle de l’Afrique toute sa vie, la petite Française.
Des mains grandes et fortes m’empoignèrent, m’installèrent sans ménagement à genoux sur un canapé, et l’un de mes partenaires s’assit pour m’offrir sa queue à pomper. Je ne fis aucune difficulté et l’instant suivant, je sentis une verge dure comme le bois effleurer ma fente dégoulinante de sève. Je me cambrai aussitôt.
Je la sentis s’enfoncer en moi, avec ravissement. Elle était grosse et raide à souhait, me remplissait lentement et, si ma bouche n’avait pas été prise, j’aurais encouragé de la voix mes deux partenaires.
Mais ils n’en avaient pas besoin. Le pubis de celui qui occupait ma chatte venait battre contre mes fesses, au rythme de ses coups de reins, et je poussais des cris étouffés. J’étais sur le point de jouir, quand il me retourna, comme si mon corps ne pesait rien.
— Écarte tes jambes, et tiens-les par les chevilles pour les maintenir bien ouvertes, que tout le monde te voit te faire enculer ! m’ordonna-t-il d’une voix forte.
Subjuguée, le plaisir annihilant chez moi toute fierté, je m’exécutai. Au contraire, j’attendais avec impatience son assaut dans mon petit cul.
Je ne fus pas déçue. Le gland lubrifié par ma mouille passa sans difficulté ma rosette serrée, et ma sensibilité à cet endroit de mon anatomie décupla mon plaisir.
J’avais cessé de sucer l’autre verge que je branlais maintenant, libérant ma bouche pour manifester bruyamment mon excitation :
— Ouiiii ! J’adore, vas-y, mets-moi toute ta bite... Ooooh, comme c’est bon !— C’est ça, gueule bien fort, je sais que tu vas jouir.— Aaaah ! oui, je jouis, c’est trop bon.
Le troisième black nous avait rejoints. Il avait manifestement décidé de prendre part à cette séance de sexe !
L’homme que j’avais sucé s’allongea sur le canapé, et je vins le chevaucher. Tout doucement, je me suis empalée sur lui, goûtant pleinement ce moment que j’aimais tant quand un membre s’enfonçait dans mon ventre, distendant les lèvres de mon minou.
Lorsque je fus complètement prise de ce côté, le nouveau venu pénétra mon petit trou préparé par son copain.
Je sentais sa progression, son sexe séparé par une mince cloison de celui de mon autre partenaire. J’étais tétanisée, sans réaction, attendant et redoutant à la fois le double assaut qui était maintenant inévitable.
Et ce moment arriva. Les deux hommes se déchaînèrent d’un seul coup, m’arrachant un long cri de surprise et de plaisir.
J’avais l’impression que mon corps, secoué d’avant en arrière au rythme de ce fabuleux coït, n’était plus qu’une chatte et un cul. Cette sensation, les mains posées sur mes fesses et mes hanches me transportaient malgré moi. Mes gémissements et les grognements de mes partenaires avaient attiré de nombreux voyeurs, et tous ces regards posés sur moi m’excitaient un peu plus.
Les deux phallus qui me perforaient semblaient inépuisables, et un orgasme énorme me submergea, sans que mes partenaires faiblissent.
Bien au contraire, ils se retirèrent un court instant, pour un changement de position.
L’homme qui avait investi ma fente en premier vint s’allonger sur le canapé. Il n’avait pas débandé, et on me fit asseoir sur lui. Presque naturellement, son gland se logea entre mes fesses, trouvant sans difficulté l’accès dilaté de mon anus.
Aussitôt, il me renversa en arrière, et le grand black qui venait de me sodomiser pénétra ma chatte, pendant que le troisième mec présenta sa queue pour que je la suce.
J’étais prise par tous mes orifices, par trois bites dont la seule vue aurait suffi à me faire mouiller ! Je me sentais comblée, et je savais que je ne pourrais jamais connaître de situation plus excitante.
Je me mis à onduler des hanches, donnant ainsi à mes amants d’un moment, le signal que je m’offrais totalement à eux, sans réserve ni tabou. Et ils en profitèrent largement...
Les deux blacks qui remplissaient mon minou et mon petit trou avaient empoigné mes hanches et mes chevilles. Ils coordonnaient maintenant leurs gestes, et je coulissais sur les dards qui me perforaient.
J’étais épuisée. J’avais rarement ressenti un tel plaisir, et la sueur ruisselait sur mon corps. Ce n’était pas vraiment un orgasme, mais c’était aussi fort, et les vagues qui se succédaient semblaient ne jamais devoir s’arrêter. Je suçais avec gourmandise mon troisième partenaire, même si j’étais obligée de le délaisser parfois quelques secondes pour crier mon plaisir.
Et puis, j’ai joui vraiment, à deux reprises coup sur coup. Alors seulement, à demi inconsciente, je sentis des flots de sperme gicler en moi. Celui qui me sodomisait se retira le dernier, et les trois hommes m’abandonnèrent.
Je découvris alors seulement que Carine me photographiait avec son portable. Je la regardai, haletante, les paupières gonflées par le plaisir, et je soulevai ma jambe pour offrir à l’objectif mes deux trous, d’où s’écoulait un foutre épais. Lorsque je revois cette photo aujourd’hui, je ressens des fourmillements familiers entre mes cuisses et dans le bas de mon ventre...
J’étais à bout de forces, courbaturée, mais infiniment heureuse.
Wendy m’indiqua le chemin d’une des salles de bain de la propriété, dans laquelle je pourrais récupérer tranquillement, car j’étais incapable d’un autre ébat sexuel !
Je restais un long moment sous la douche, et l’eau fraîche me permit de récupérer peu à peu.
Le jour se levait, et nous devions rentrer chez Wendy.
Seul problème : ma robe était introuvable ! C’est donc entièrement nue que je remontai dans le Range Rover...
Et je me rappellerai longtemps l’étonnement du personnel de la maison de Wendy, en découvrant ma nudité à ma descente de voiture !
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