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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans

Chapitre 3

SM / Fétichisme
La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode 3)
Lors de mon arrivée au château, quelques heures plus tôt, j’avais immédiatement été conduit dans une chambre. Avant de pouvoir entrer dans la grande bâtisse dont je ne connaissais que quelques recoins, on m’avait bandé les yeux.
Ainsi fermement maintenu par l’un des hommes de mains du Marquis, j’avais été poussé à l’intérieur par ce que je supposais être l’entrée principale, puisque nous avions dû gravir plusieurs marches de pierre avant d’accéder à un perron duquel on accédait à l’intérieur.
je ne voyais rien, mais je tentais de deviner... sous mes pieds soudain j’avais senti un tapis. Et nous avions marché longuement avant de parvenir à un nouvel escalier sur lequel j’avais failli trébucher, m’attirant immédiatement une claque sèche et appuyée sur la nuque de la part de mon "guide"
Nous étions ensuite parvenus à un palier et j’avais été poussé vers la gauche. Finalement la poigne de fer de l’homme avait saisi ma nuque et serré pour me faire comprendre que je devais stopper. j’avais entendu le frottement d’une porte que l’on ouvre et j’avais été poussé à l’intérieur d’une pièce. Enfin, on avait retiré mon bandeau. Il s’agissait d’une chambre carrée, d’assez petite taille, dans laquelle trônait un vaste lit à baldaquin. ce lit imposant était l’unique meuble de la pièce dont les murs étaient nus, seulement ornés, à intervalles réguliers d’un mètre environ, par d’épais anneaux d’acier scellés dans la pierre à environs deux mètres de hauteur.
Sans ménagement, l’homme m’avait poussé dos au mur et saisissant une corde qui pendait à sa ceinture, il avait entrepris d’attacher l’un de mes poignets à un des anneaux, puis l’autre à l’anneau le plus proche. j’étais désormais ainsi exposé, poignets liés aux anneaux, les bras étirés vers le haut, le corps nu et totalement exposé... offert... exhibé...
La fatigue et la tension commençaient à rendre mes muscles douloureux lorsque j’entendis une rumeur derrière l’épaisse porte de bois qui fermait la pièce où jeme tenais... Celle-ci s’ouvrit violemment et une jeune femme nue fut littéralement projetée à l’intérieur. Elle finit sa trajectoire en heurtant brutalement le sol et le bas du lit... A sa suite, deux hommes entrèrent à leur tour. L’un d’eux était Walter, le majordome de Sir Evans. Il portait une culotte de cheval et des bottes cavalières de cuir noir qui luisaient sombrement... une chemise blanche et un gilet noir. A la main, il brandissait une cravache. Juste derrière Lui, venait un homme de forte carrure que je n’avais jamais vu. il était très carré d’épaules et son corps musclé tendait le tissus de la chemise qu’il portait sur un pantalon noir de style culotte de cheval...
je vis avec effroi que le corps de la fille était strié de marques rouges. Elle avait manifestement été battue et d’ailleurs la façon dont elle restait prostrée au sol en sanglotant en disait long sur ce qu’elle avait dû subir.
Walter se pencha et saisit brutalement la masse épaisse de ses longs cheveux blonds emmêlés. Il tira et la força à se relever. La femelle ne put que se soumettre, mais elle tentait encore de protéger son corps avec ses mains...
le deuxième homme vint se placer derrière elle et lui saisit les bras, les tirant en arrière avec force et libérant ainsi l’accès à son visage et à sa poitrine. Walter la gifla ! La fille ne bougeait plus, elle gardait la tête basse, couverte de ses épais cheveux qui tombaient en cascade sur sa poitrine... L’homme qui la maintenait riait, Walter fulminait... Il s’approcha de moi et je baissai les yeux. Mais il me gifla à mon tour et hurla :
— "Regarde moi chienne !"je levai les yeux vers lui, craintif...— "Tu es ici pour apprendre... Tu dois savoir ce qui t’attends (il désigna la fille du doigt) Cette putain a osé rechigner lorsqu’on lui a dit qu’elle devait offrir son cul ! Tu imagines ? Alors regarde bien (et il pointa ses yeux directement dans les miens)... et apprends !"
Il me délaissa alors et revint vers la fille. A deux, ils la poussèrent sur le lit. Elle fut installée à quatre pattes puis Walter la força brutalement à abaisser son visage jusqu’à l’enfouir dans les draps tandis qu’elle devait cambrer sas reins et faire saillir sa croupe. la fille ne résistait plus, elle sanglotait doucement mais se montrait aussi docile qu’une poupée de chiffon que ses Tourmenteurs pouvaient manipuler à Leur guise.
Lorsqu’elle fut bien en position, le deuxième homme défit sa braguette et fit saillir un sexe de belle taille, déjà rigide et bien dressé... il approcha de la fille, posa son gland contre la rosette offerte appuya un très bref instant et lâcha un râle de satisfaction lorsque sa queue trouva le chemin du fondement de la fille qui, en harmonie poussa un cri déchirant... Le cri tourna en hoquet lorsque l’Homme commença à lui labourer l’anus avec violence. A chaque coup de reins bien appuyé, la fille laissait échapper une sorte de petit gloussement tandis que celui qui l’enculait méthodiquement ahanait régulièrement.
Walter regardait le spectacle avec une visible satisfaction... Certes la fille gémissait encore trop et je voyais bien que cela l’irritait. Mais elle se laissait enculer sans aucune résistance, manifestement réduite à la soumission par le traitement qu’elle venait de subir. Tandis que l’Homme musclé labourait toujours aussi méthodiquement la soumise, Walter s’approcha de moi et, sans un mot, me détacha pour me contraindre à me mettre à genoux, avant de lier à nouveau mes poignets toujours entravés par la corde nouée aux anneaux du mur
Walter saisit mes cheveux d’une main ferme et me força à bien regarder la scène qui se déroulait sur le lit : la fille, immobile, s’appliquant à garder sa pose d’offrande totale, se faisait toujours enculer bien profondément par le Complice du Majordome. l’Homme prenait visiblement plaisir à faire durer le plaisir, il savait parfaitement gérer son rythme, ralentissant lorsque sans doute la jouissance approchait, puis reprenant de plus belle enfonçant son sexe long et épais jusque dans le fondement de la femelle servile dont il soulevait parfois le corps tout entier lorsqu’il accélérait et appuyait ses pénétrations... pendant encore de longues minutes, la fille fut ainsi pénétrée, défoncée, possédée sans ménagement et même avec la plus extrême bestialité, jusqu’à ce que dans un long et puissant râle, l’Homme jouisse en elle.
Il se retira alors et s’approcha de moi... Walter souriait. Il dit :— "Voilà ! Après la putain femelle, voyons un peu ce que tu vaux... Déjà, la queue poisseuse forçait mes lèvres et je la sentais qui s’enfonçait dans ma bouche.
Le sexe s’enfonça jusqu’au fond de ma gorge, presque à m’étouffer. Je serrai mes lèvres à la base, sentant les testicules qui frottaient contre mon menton et je compris ce que j’avais à faire... Lentement, l’Homme allait et venait entre mes lèvres, sa queue couverte de sperme et des sécrétions de la soumise me baisait la bouche et moi, de mes lèvres, de ma langue, je la nettoyais. Mais alors que je suçais humblement, je sentis Le Sexe qui durcissait à nouveau. L’homme bandait et m’étouffait un peu plus encore... je ne pus retenir un bref regard affolé vers Walter qui, à deux pas de là, souriait en nous regardant...
La queue avait retrouvé toute sa rigidité et sa vigueur et l’homme allait et venait entre mes lèvres, s’enfonçant profondément dans ma bouche et jusqu’au plus profond, frottant contre le fond de mon palais, allant et venant en moi sans aucune retenue, ne tenant aucun compte des râles que je laissais échapper en essayant de retrouver l’air dont j’étais privé à chaque fois qu’il s’enfonçait ainsi...
Cet Homme était décidément insatiable... Après avoir si longuement enculé la femelle, il passa à nouveau un long moment à baiser ma bouche à grands coups, jusqu’à ce qu’un nouveau flot de son jus épais et salé ne m’inonde, s’écoulant lentement dans ma gorge. Lorsque les ultimes spasmes de Son Plaisir furent calmés, je dus encore longuement le sucer afin de bien nettoyer Sa Queue avant qu’il ne daigne enfin se retirer, quittant alors la pièce sans un lot de plus, nous laissant seuls, Walter, la soumise et moi.
Walter vint près de moi :— "Bonne pute... Mais on verra ce soir ce que tu vaux vraiment..."
Sur cette remarque sibylline, il retourna vers la fille et la fit descendre du lit pour qu’elle se tienne à quatre pattes sur le sol. Il fixa une courte laisse en maillons au collier de chienne qu’elle portait autour du cou et sortit de la pièce en la forçant à le suivre à un bon rythme malgré la croupe qui semblait si endolorie et rendait sa marche à quatre pattes quelque peu ridicule... Mais la fille suivait docilement Le Majordome qui l’entraînait vers je ne savais encore quelles futures épreuves. Et j’ignorais à ce moment là que j’allais, très vite, les partager avec elle...
Le silence... Dans la pièce où je demeurai agenouillé et attaché, le calme s’était installé. Finis les sanglots de la soumise qui avait été emmenée, les mots sévères et les ricanements de Walter le Majordome... j’étais seul et je le restais durant un long moment dont j’étais incapable de mesurer la durée... une heure ? Des heures ? je ne savais déjà plus évaluer le temps et peu importait d’ailleurs, puisque ce temps n’était plus mien mais la propriété Du Maître qui en disposait à Son gré.
J’attendais donc, tentant de trouver un peu de repos et de délassement malgré la position fort peu confortable, avec les bras étirés vers le haut dans laquelle j’avais été abandonné. Dans ce silence qui m’entourait, je trouvai finalement plus d’angoisse que d’apaisement.
Les cris, les gémissements, les lamentations, le claquement des châtiments infligés remplissaient le vide dans lequel j’étais plongé. ils me ,rappelaient que j’existais. de la plus misérable des façons, certes, puisque je n’étais qu’une chose, un objet entre Des Mains sans pitié, mais j’existais. Alors que ce lourd silence me renvoyait à mon néant, me faisait prendre conscience de ma totale insignifiance : je n’étais rien d’autre que ce que l’on voulait que je sois, je n’avais d’existence que si l’on daignait m’en accorder une. Sinon je n’étais qu’un vulgaire ustensile, que l’on remisait sans plus lui prêter la moindre attention, dès lors qu’il n’avait pas d’utilité immédiate.
Ainsi, malgré la crainte de ce qui m’attendait, malgré l’angoisse de ce qui me serait infligé, c’est avec un réel soulagement que j’entendis soudain des pas résonner dans le couloir. Un instant plus tard, deux hommes pénétraient dans la pièce... je les connaissais bien, c’était deux des hommes de main qui m’avaient ramené au château. Leur venue dans cette pièce et leurs sourires carnassiers ne laissait rien présager de bon... je savais combien ils pouvaient être cruels et brutaux.
— "Alors la chienne, envie de prendre un peu l’air ? " lança l’un d’eux sur un ton enjoué. Et ils rirent en échangeant un regard de connivence. En se penchant vers moi, l’un d’eux découvrit un épais collier de cuir noir, garni de clous et d’anneaux qu’il entreprit de fixer autour de mon cou.— "Et voilà, la chienne a enfilé son costume" dit l’autre tandis que je sentais le cuir épais et brut enserrer mon cou.
Ils firent quelques pas en arrière afin de contempler l’effet du collier qui était bien ajusté, serré mais sans pour autant entraver ma respiration. Sans un mot de plus, ils fixèrent une courte laisse en maillons de métal à l’un des anneaux du collier et détachèrent les liens qui me liaient aux anneaux du mur. Immédiatement, je me tins à quatre pattes et tentai de prendre une attitude telles que celles que j’avais vu adopter par les soumises déjà dressées pour avancer à quatre pattes, tenues en laisse.
Les deux brutes s’amusèrent de ma tentative et un coup de pied au cul me fit avancer sans ménagement...— "Regarde cette chienne ! (ils riaient) elle ne sait même pas marcher et elle s’y croit déjà"
Celui qui tenait la laisse tira dessus et je fus contraint d’avancer à quatre pattes à un rythme bien trop soutenu pour mon inexpérience. ce qui rendit ma marche à quatre pattes particulièrement ridicule, m’attirant les nombreux sarcasmes des deux hommes. je les suivis tant bien que mal à travers des couloirs, qui nous menèrent jusqu’à une sortie de service du château.
Là se trouvait déjà Walter et celui qui complétait le trio des "hommes de main" du château. En Leur compagnie se trouvait la soumise que j’avais vue se faire enculer quelques heures auparavant. je savais qu’il s’agissait de plusieurs heures, car le soir tombait déjà...
La fille se tenait droite, elle était nue mais était dressée sur de hautes chaussures à talons. Elle portait le même collier de chienne que moi et Walter tenait négligemment la laisse, tandis qu’il devisait avec son acolyte. A proximité, une fourgonnette blanche stationnait, les portes arrières largementouvertes. En nous voyant arriver, Walter tira sur la laisse et la soumise suivit docilement Ses pas jusqu’à la fourgonnette dans laquelle il la fit entrer par les portes arrières et je suivis, toujours à quatre pattes.
L’intérieur de la fourgonnette était sommairement aménagé. Au plafond étaient fixés des crochets et sur les côtés, des banquettes avaient été installées. Une paroi opaque séparait cette partie arrière de la cabine.
Rapidement et sans ménagement, la fille et moi eûment les poignets attachés avec des cordelettes qui furent ensuite fixées pour chacun à des crochets tout proches. Nous étions ainsi totalement exposés et maintenus en équilibre sur la pointe des pieds. A nos cous pendaient encore les laisses qui n’avaient pas été détachées de nos colliers. deux des hommes prirent place sur les banquettes, tandis que le troisième et Walter gagnaient la cabine de conduite après avoir fermé les portes arrières. Et la fourgonnette démarra...
je regardai la soumise dont le corps se balançait au rythme des cahots qui agitaient la fourgonnette. Nous étions bien fixés aux crochets, mais incapables de nous maintenir immobiles et nous étions comme deux pantins agités de mouvements que nous ne contrôlions pas. les seins de la fille tremblaient et sursautaient de façon très suggestive... son visage fin au petit nez retroussé restait fermé et son regard fixé sur le sol, jamais elle ne le leva vers moi tandis que je ne pouvais détacher mon regard des zébrures qui sillonnaient son corps à la peau si fine et si pâle. Elle avait manifestement été lavée et les traces avaient été traitées. Elle avait aussi été coiffée, légèrement maquillée et même parfumée. des effluves d’un parfum printanier et juvénile dont le nom m’échappait flottaient en effet dans le fourgon. et ce n’était certes pas l’un des deux Cerbères qui portait une telle fragrance !
Les deux hommes nous regardaient avec un sourire mauvais. Parfois ils échangeaient quelques mots en chuchotant. Ils auraient pu parler à haute voix, puisque nous n’étions que des esclaves et que l’on pouvait devant nous s’exprimer sans gène ni retenue. Mais ils s’exprimaient de façon tout à fait inaudible, en nous lançant parfois des regards amusés. j’étais sur qu’ils faisaient cela pour faire monter l’angoisse qui me tenaillait l’estomac et qui, sans doute infligeait à ma compagne de soumission une angoisse identique. Ils le savaient et s’en amusaient.
Cela ne faisait que monter encore de plusieurs degrés ma crainte du futur le plus proche. Le trajet dura je ne sais combien de temps, une heure sans doute, pendant laquelle ma compagne d’infortune et moi même fumes balancés de-ci de-là par les à-coups de la fourgonnette et que, de temps en temps, nos gardiensprofitaient de la situation pour laisser leurs grosses mains calleuses venir s’égarer sur nos croupes ou entre nos cuisses. Même pas dans un but précis,mais juste parce que la situation leur en offrait l’occasion, comme on accorde une caresse négligeante au chien qui somnole à nos pieds. Ils semblaient presqueblasés de voir ainsi nos deux corps totalement offerts, privés de toute possibilité d’échapper au moindre geste, à tout attouchement plus poussé qu’ils auraient pu vouloir nous infliger...
Finalement, la fourgonnette s’immobilisa et le troisième gardien ouvrit les portes. On détacha nos poignets et on nous fit sortir du véhicule. La soumise qui restait toujours aussi silencieuse descendit la première, bien droite perchée sur ses hautes chaussures, tandis que je suivais à quatre pattes sans savoir encore où nous étions et ce qui nous attendait...
Lorsque je fus jeté au sol je sentis sous mes genoux du gravier... Soudain, je sentis venant de derrière moi la lueur des phares de la fourgonnette qui éclairaient une partie du lieu où nous avions fait halte. Toujours à quatre pattes, je levai légèrement la tête... Nous étions sur un parking, j’entendais au loin le bruit des voitures filant sur une autoroute, mais je ne pouvais voir, car une véritable haie de poids-lourds formait un rideau qui nous coupait du reste du monde.
Déjà, Walter faisait avancer la soumise qui le suivait docilement. Ils s’éloignaient accompagnés de l’un des sbires, tandis que les deux autres restaient avec moi. je commençais à mieux discerner ce qui m’entourait : un parking d’autoroute, cela je l’avais compris... à l’abri du "mur" de camions, un groupe d’hommes attendait et je voyais le rougeoiement de leurs cigarettes. Ils étaient cinq et Walter s’avançait vers eux en tenant la soumise en laisse, nue, seulement vêtue de son collier de chienne et des escarpins à hauts talons qui la forçaient à adopter une démarche déhanchée...
je tentais de saisir plus de toute la scène, mais on tira sur ma laisse et je fus obligé de suivre à quatre pattes les deux hommes qui me gardaient. Ils m’entraînèrent jusqu’à une pelouse où étaient installées des tables et des bancs de pique-nique, une sombre aire de verdure entourée d’arbres...
je fus trainé jusqu’à l’un de ces arbres, le plus proche des tables et mes gardiens m’installèrent à genoux, dos au tronc, les mains liées , fortement tirées en arrière. je dus écarter largement les cuisses, laissant mon sexe offert et sans aucune protection, mes chevilles étant également liées par une corde qui faisait le tour du tronc. les deux brutes restées en ma compagnie se moquèrent de la tension qui avait gagné mon sexe. Ils ne firent pas de commentaire, mais leurs regards et leurs rires étaient sans ambiguïté. Une fois encore, cette situation avilissante m’excitait. je ne pouvais pas y échapper. Etre humilié, traité comme un chien ou une putain, cela m’excitait et je ne savais même pas me retenir. j’étais réduit à l’état d’un animal soumis à ses plus bas instincts, à ses plus viles sensations. Tandis que l’un des deux hommes s’éloignait vers la fourgonnette, je tentais de voir ce qui se passait plus loin.
Walter avait rejoint le groupe d’hommes près des camions et il semblait leur présenter la soumise. Il l’avait poussée au centre du cercle que formaient les fumeurs et ceux-ci la contemplaient, tandis qu’elle demeurait immobile au milieu de ces hommes aux regards que je ne pouvais qu’imaginer, mais qui devaient peser sans aucune retenue sur le corps fin et délicat de la femelle.
Tandis que je restais concentré sur la scène, les hommes commençant à resserrer leur cercle autour de la fille, le gardien qui s’était éloigné revenait vers moi entenant un objet que je ne parvenais pas à définir. Je compris lorsqu’il fut tout près de moi et commença à le fixer sur mon visage. Il s’agissait d’une sorte de cercle de fer qui fut fixé à mes lèvres et mon menton, tandis qu’une lanière de cuir venait se refermer sur ma nuque. c’était comme un bâillon de métal, mais un bâillon ouvert. la façon dont il étirait ma bouche m’interdisait toute parole, mais maintenait ma bouche grande ouverte. je respirais à grands coups et commençais à sentir ma salive couler abondamment...
Pendant ce temps, le groupe réuni autour de Walter avait fait mouvement et s’approchait de nous. la fille était toujours tenue en laisse et les hommes l’entouraient. Ils laissaient leurs mains s’égarer sur sa croupe, ses seins... Et Walter maintenait un pas très lent, afin de leur permettre de profiter au maximum de ce beau corps livré à leurs grosses mains calleuses.
Ils arrivèrent à la table la plus proche de l’arbre où j’avais été entravé... Walter donna une tape sèche sur la croupe de la fille et celle-ci monta sur la table où elle s’installa à quatre pattes, la croupe tournée vers l’extérieur. Celui qui allait avec Walter commença à lui attacher les membres en les reliant aux pieds de la table. Il maniait ses cordes avec une agilité, une rapidité et une précision qui soulignaient une grande pratique. En quelques minutes, la femelle étaient totalement bondagée sur la table, les membres liés, les cuisses largement écartées, le visage et le torse plaqués contre le bois du plateau de la table, mais les reins cambrés et la croupe bien relevée. Immobilisée, elle était devenue une parfaite offrande pour les hommes qui parlaient à voix basse en la contemplant ainsi totalement ouverte...
L’un d’eux se détacha du groupe et s’approcha de la fille. Il prit place derrière elle et sans préliminaire ou hésitation dégagea sa queue et l’enfonça dans l’anus de la soumise... Elle n’émit aucun son. Aucune plainte, aucun gémissement... l’homme s’appliquait à l’enculer profondément. Il donnait de violents coups de reins et ahanait sous l’effort. On aurait cru qu’il voulait parvenir à faire bouger la table par la seule force de ses coups de boutoir dans le trou du cul de la femelle.
Mais la table était parfaitement rivée au sol et c’est la fille qui recevait toute la puissance mise par l’homme dans son déhanchement sodomisateur. Cela dura de longue minutes, jusqu’à ce que l’homme lâche un long râle rauque...
La fille n’avait toujours pas émis le moindre son... seul flottait dans l’air des rires gras des hommes qui assistaient à la scène en attendant leur tour. ce que je compris alors, c’est à quoi j’étais destiné. celui qui venait de se soulager s’approcha de moi, le sexe toujours sorti, poisseux de son sperme et des sécrétions anales de la soumise. Il vint tout près et enfonça sa queue dans ma bouche que le mors métallique maintenait largement ouverte.
Le sexe de l’homme allait et venait, s’enfonçait dans ma bouche, jusqu’au fond de ma gorge. je sentais son jus qui se déposait sur ma langue, partout à l’intérieur de ma bouche... tandis qu’il nettoyait ainsi son sexe, un autre camionneur avait déjà entrepris d’enculer la fille à son tour.
L’homme qui prenait le cul de la femelle était bruyant et il prononçait des mots sans doute crus dans une langue dont j’ignorais tout mais me semblait plutôt slave. je n’en revenais pas de penser à cela ... je servais de trous à bittes pour nettoyer le sexe d’hommes qui venaient d’enculer une femelle et mes pensées étaient pour tenter de saisir leurs paroles !
La séquence dura, dura, dura longtemps... les cinq hommes se succédèrent ainsi, d’abord dans le cul de la fille, ensuite dans ma bouche, y déversant leur jus épais et leur plaisir nocturne....
(à suivre ...)
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