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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans

Chapitre 22

SM / Fétichisme
L’arrivée de esclaveCléliaMDE au château
Quand j’avais envoyé mes instructions à esclaveCléliaMDE pour sa venue au château, je lui avais dit que personne ne lui ferait obstacle, et qu’elle ne verrai absolument personne pour l’accueillir, de l’entrée du parc à la grille du château jusqu’à sa chambre. Laquelle chambre je lui avais indiqué le chemin via un fléchage précis au travers les allées du parc. Puis de l’entrée du château, prendre tel et tel couloir jusqu’à telle chambre. Un fois arrivée à la porte de ladite pièce, elle devais entrer puis enlever ses vêtements, gardant seulement son soutien-gorge, ses bas et ses talons… Elle devrait mettre un bandeau, bien serré sur ses yeux. Et se mettre à quatre pattes, dans la chambre, les fesses tournées vers la porte qui donnait à un salon. Ainsi offerte, à ma vue, complètement offerte, soumise comme une petite chienne en chaleur. Les bras baissés, la tête au sol, la croupe redressé. Elle allait s’offrir à qui bon me semblera… Mais voici comment cela se passa exactement … :
… Oui ma belle petite chienne Clélia, cette crainte qui monte en toi au travers ce fléchage via ces longs et luxueux couloirs, ce destin inconnu qui fait peur mais qui renforce ce désir, ce projet que tu espères voir devenir enfin réalité, être esclave, c’est aussi le dessin de ton Maître de te faire parvenir à cela. Oui c’est l’ambition de ce châtelain de la vieille noblesse de France, celui de cette soumission à ce fameux Marquis d’Evans, c’est la personne que tu attendais depuis tant années et que tu venais enfin de trouver, enfin tu l’espérais. Tu le savais honnête et droit, il te plaisait et ses mots te parlaient … Oui, tu sentais que c’était lui, celui qui partageait tes envies, tes plaisirs, tes désirs qui pourront enfin se réaliser … Alors tu acceptais et te retrouvais là, sans ne pouvoir rien dire, sauf que tu étais enivrée par cette attente et elle te maîtrisait maintenant…Tu savais en jouir d’avance tellement tu l’espérais… Un bruit de porte, un grincement qui annonce le début des festivités… Tu l’attendais ce moment, le redoutais même, mais c’était maintenant et trop tard pour changer, alors tu t’y soumettrais avec tant de plaisir et de désirs, d’ailleurs positionnée ainsi à attendre …
Puis des bruits de pas sur le plancher du salon, le bruit d’un sac jeté par terre, et des secondes qui déjà duraient des heures. Tu te concentrais en espérant comprendre ce qui se passait. Des bruits de fer, certainement des chaînettes, un bruit de plastique, une poche sûrement … Les pas se rapprochent, tu me sens là derrière toi, le silence et d’or. Tu n’oses rien dire à moi ton Maître, attendant que je parle comme une preuve de respect. Je voyais enfin ce corps, là, plus beau encore que je ne l’avais espéré. Je me laisse le temps, le temps de savourer ces premiers instants. T’accorder aussi ces minutes, pour caler une respiration. La laisser redescendre, ton pou battait une cadence infernale, et je voulais qu’il diminue pour mieux remonter. Je fis le tour de toi, tu sentais mes pas ou les imaginais. Quelques minutes si longues et si courtes à la fois, où j’explorais le moindre centimètre carré de ton corps sans te toucher, juste du regard. Tu me sentis alors me rapprocher, plus prêt encore, accroupi sur le coté, près de ton visage. Et d’une voix à la fois douce mais sûre, posée, de quelqu’un qui voit en toi une beauté, mais une beauté animale, une chienne dans tout son éclat. D’une voix calme, comme si le temps s’était arrêté, une voix de quelqu’un qui aime jouer de ces instants, quelqu’un de confiant, confiant de lui, confiant de toi, de cette rencontre… Ma voix te dit alors :
— « Alors chienne Clélia, c’est bien ! Je te trouve dans cette belle position, comme je te l’avais exigé »— « Ou… Oui Maître, dis-tu en balbutiant, craintive de ce moment tant attendu et enfin arrivé
Mes doigts caressants, à la cadence de mes mots. Sur ton dos d’abord, te faisant frissonner une première fois, puis viennent dégager tes cheveux, pour mieux voir ton visage, ma main douce frôle ta joue, puis délicatement, elle vient caresser tes bras et sans se décoller de ta peau, file sur ton dos en se dirigeant vers tes fesses, impatient de sentir la douceur de cette peau plus fine encore, puis continuant sa route, ma perverse main glissant sur l’intérieur de tes cuisses, arrivant sur tes mollets et finissant sur tes pieds. Mes doigts quittent ta peau, tu aurais envie qu’ils continuent, ils t’avaient rassuré, tu appréciais ces caresses, cette douceur. Puis je me décide de donner une orientation plus dominatrice à mes caresses alors c’est de ma main plus sèche qui replongea dans ta crinière, caressante encore, elle montait l’intensité. Elle plongeait jusqu’à ton crâne, saisissait tes cheveux avec une jolie poigne, forçant ton visage à s’aplatir un peu plus au sol. Une poigne plus dominante, ou différemment au moins. Ma voix elle aussi plus ferme, te dit d’un ton qui ne te laissait le choix :
— « On va s’amuser, maintenant chienne ».
Tu ne disais mot, attendant la suite avec fébrilité mais tu sentais un sourire vicieux se dessiner sur mes lèvres, un sourire partagé, un sourire qui laissa vite la place, à un désir, qui tendait la peau de ton visage empli d’excitations. Ma main agrippant alors ta crinière la releva et ma voix te dit :
— « Je vais te traiter comme la petite salope que tu es et qui deviendra chienne. Je vais jouer de toi, tu seras mon jouet, mon jouet de fantasmes, mon exigence de te sentir soumise et humiliée »
En guise de réponse, n’osant parler, tu acquiesçais d’un ton d’envie, d’un désir, de m’appartenir en faisant mouvoir ton bassin et tes fesses de droite à gauche tout en gémissant de plaisirs. Alors mes doigts de mon autre main se mirent à caresser ton dos, en laissant la douceur de ma peau par la griffure de mes ongles. Les caresses étaient lentes, mais appuyées. Un dernier geste plus sec de mon autre main, tenant ta chevelure, devenait plus vicieux, comme si mes deux mains surenchérissaient une douce violence. Puis elles prirent une distance, tu me sentis me relever. Et savais qu’une étape était passée, chacun de mes gestes était maîtrisé, précis et pervers.
Je retournais plus loin, sans que tu saches vraiment où, mais tu devinais que c’était près du lit. Tu entendis le bruit de cette poche qui se vidait, dont les bruits mélangeaient, le scintillement du métal, celui du plastique, d’où se libéraient ces instruments vicieux, et ces bruits plus glauques de jouets que tu aimais, mais appréhendais. Tu sentis d’un coup sec, deux sensations qui se complétaient, celle d’une gifle, de cette claque, mélangeant et ayant les sensations de la cravache, plus douce, plus subtile, mais avec un effet giflant plus fort et le bruit qu’elle renvoyait, un bruit doux et sec raisonnant plus encore dans ce château. Un temps se passe, plaisir du moment, reprise d’un souffle. Et voilà que je sors ma queue grosse, épaisse qui te caresse, prétentieuse, joueuse et provocante. Elle connaît son pouvoir ou tout au moins le plaisir qu’on lui laisse, que l’on prend d’elle, ou celui, qui est donné à celui qui en tient le manche. Ma bite revient sur ce fessier, sait le caresser, on s’en aurait douté, mais qui plus est, remonte, promenant encore et pour le meilleur, arrive plus haute, sur tes épaules maintenant, osant dépasser cette limite même d’une peau plus sensible encore, celle d’un cou, celle du visage, pour se glisser dans ta bouche t’obligeant même à l’embrasser, comme pour la remercier.
Tu t’exécutes, ne pouvant même t’empêcher d’en jouer. De ce fait, je te laisse la caresser d’une bouche ouverte, soumise, tes lèvres lui rendent pareil, un plaisir de la considérer, de la respecter … Tes dents la mordillent légèrement avec la douceur qu’elle mérite. Ta langue la lèche pour ne dire l’embrasse, voluptueusement, autant que mon sexe s’endurci de ce plaisir que tu lui accordes. Après quelques succions que tu te délectes à me donner, je me retire. Et cette bite si raide maintenant se remet à te caresser, elle se rapproche de ton fessier. Elle le dépasse, ou plutôt vient en son centre pénétrer cette chatte offerte, largement ouverte et qui dégouline de plaisir, Mon pouce pendant ce temps frôle, pénètre et appuie ton anus, puis se retire… pénétration de courte durée, certes, mais annonciatrice d’une prochaine certainement plus intense, plus profonde, plus bestiale. Cette courte pénétration n’est juste qu’un préambule à ce qui va suivre, tel un coup de tonnerre avant l’orage. Une claque te rappelle ma domination, elle rougit tes fesses, tu prends à l’évidence du plaisir.
Une autre claque vient et ta bouche ne peut à chaque instant cacher ce moment, ce moment qui te rappelle à cette position fesse en l’air, croupe présentée. Puis tu sens une main saisir une des tiennes et l’amener repliée dans ton dos, la seconde rejoint la première et le temps de reprendre tes esprits, suite à ces claques sur ton fessier, tu te retrouves, les deux pouces bloqués dans cette paire de menottes métallique.
Ton visage plus posé encore, contre se plancher brut. Mon pied dénudé se pose au niveau de ton cou, te plaque un peu plus au sol, appuyant, faisant distraction sur les points nous liants. Ce pied, humiliant, tendre cependant, venait glisser sur tes joues, cherchant ta bouche, tu le comprends maintenant. Alors ta langue joueuse, ta bouche gourmande, s’en amuse un par un, tu lèches, suces, mordilles. Une fellation de ces orteils, de mes orteils, commence alors. Je sentais de toi ce dévouement. Quel symbole même, de te voir, là, lécher mes pieds.
Le plaisir devient danse, de cette langue coquine, le rythme s’accélère, tes lèvres se frottent, humides quelles sont, glissantes deviennent. Je retire, mon pied de ta bouche, caresse ton oreille, comme si mon gros orteil voulait la pénétrer. Il se retire, enfin, laissant quelques secondes, au temps, le temps de revenir, plus vicieusement. Mes mains joueuses, viennent caresser ton visage, saisir ton menton, le relève. Te voilà dressée sur tes genoux. Ta poitrine devient beauté, mettant en avant des seins que je devine magnifiquement bandant. Tes tétons fins et délicats, m’excitent un peu plus encore. Si durs, ils semblent être, pointant, provoquant même. Alors ma main remonte encore ton menton, et offre une vue imprenable sur ton cou avec sa peau bronzée. Ta bouche, tes lèvres, me laissent quelques instants de glace réchauffée comme une braise incandescente. Je sais alors qu’un baiser, un contact de tendresse serait opportun. Ma langue remonte ce cou, mes lèvres y posent des baisers, doux, sensibles, je les veux. Mes lèvres humides se laissent caressantes, impatientes peut-être, sûrement. Mes dents ne peuvent se priver de cette fête et commencent une danse, mélangeant sensualité et dégustation de la chienne. Ma bouche plus gourmande happe ta peau, aspirante, vient s’approprier cette partie de ton corps. Une trace, une première se voit naître sur ta belle peau …
(A suivre …)
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