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Sagesse

Chapitre 4

Second roound

Hétéro
Il me caressa encore furtivement les seins, puis le haut des fesses alors que je quittais le lit. J’enfilai sa chemise, largement trop grande pour moi et j’allumai une cigarette sur le balcon. Il disparu dans la salle de bain quelques secondes et revint en boxer, le visage rafraichit, et les cheveux mouillés.
— Tu veux une serviette.— Non, ça va, mais je veux bien un autre verre.— Tu permets que je termine ma clope ?— Je peux t’en piquer une ?— T’as tout gagné ce soir. Tu vides mon bar, et tu fumes mes cloppes, et tu sautes la maitresse de maison ! Le paquet est sur la table basse.
Et j’ajoutai
— N’allume pas la lumière surtout, j’suis quasiment à poil sur le balcon.— Ahhh ce serait drôle.— Non pas vraiment. J’habite là depuis douze ans, et les voisins n’ont pas l’habitude de me voir nue à la fenêtre, surtout avec un homme quand mon mari n’est pas là… Tu trouves ?
Il n’osa pas me rejoindre, et resta dans l’encadrement de la porte-fenêtre
— T’as du feu ?— T’as pas pris le briquet ? — Euh… non. Comme à l’armée, je suis venu avec ma bite et mon couteau.— Le couteau, j’sais pas. Mais la bite, je témoigne, elle est présente ce soir.

Il y a bien longtemps que je n’avais plaisanté avec ce genre de vocabulaire. Je me sentais bien avec lui, tout était simple et léger, comme la fumée de cette cigarette. Et je savais que ce n’était qu’une parenthèse dans nos vies, dont le cours allait reprendre dès que je l’aurais écrasée dans le cendrier.
— Arrête !

Il soulevait la chemise laissant apparaitre mon cul, et s’amusait à le mater en se mordant les lèvres.
— C’est ma chemise, je fais ce que je veux.— Tu ne l’as pas assez vu, mon cul ?— Bah non, en fait. Si tu te remémores nos ébats, je ne l’ai pas vu tant que ça.— Allez finis ta clope et viens.

Il me suivit jusqu’à la cuisine, où je lui servis un second gin-orange. Puis je m’éclipsais à mon tour dans la salle de bain.
En rouvrant le rideau de douche, je le trouvai assis dans l’encadrement de la porte, une vue imprenable sur mon anatomie complète.
— Ne te gène pas surtout !— Bah quoi, je pense le connaitre ton corps maintenant… — Oui, mais pas en pleine lumière !— Ca change quoi ?— Je n’aime pas qu’on me regarde, je me trouve moche.
Je m’enroulais rapidement dans mon peignoir en éponge.
— Moche ? Mais tu plaisantes ! Comment aurais-je pu te faire l’amour avec autant de…
Je me tournais vers le miroir au dessus du lavabo.
— Oui, mais maintenant, je me trouve moche.— Tu aurais besoin de venir faire un tour sur une plage naturiste, pour faire disparaître tes complexes.— Ahhh surement pas ! Quel horreur !
Il s’était levé, et dans mon dos, avait posé sa tête contre la mienne.
— Ce que je vois dans la glace est très beau.
Il m’embrassa à nouveau. La joue, l’oreille, le cou…Il ouvrit doucement le peignoir, et me fit admirer mes seins que je trouvais trop petits
— Ils ne sont pas petits, regarde, juste la taille de ma main.— Dans tes bras, c’est vrai, je suis un peu moins moche…
Son bras descendit lentement sur mon ventre et disparue du miroir, masquée par la vasque. Il caressait à nouveau mon minou. Je serrais les cuisses pour l’empêcher de s’y introduire. Il me troussa lentement je sentis une verge déjà revigorée contre ma croupe. Etait-il possible qu’il veuille déjà remette ça ? Ou était-ce juste un petit jeu ? Je me cambrai pour le tenter un peu plus. Il ne lui en fallut pas plus pour finir de l’exciter. Il sorti son engin du boxer et me le carra entre mes deux hémisphères charnus. Par petits mouvements il se fraya un chemin, trouva la porte interdite. J’étais curieuse de savoir s’il pouvait encore tenir un round, mais je n’étais pas prête à une sodomie. A mon grognement, il comprit ma réticence et descendit vers l’entrée « conventionnelle ». Je me penchai un peu plus pour l’aider, creusai le dos. Il m’enfila par à-coups et finit par me pénétrer complètement. C’était dingue, mais visiblement nous étions repartis pour un tour gratuit.
Il fit d’abord de petits aller retour en moi, sans me toucher et puis accéléra… Il me débarrassa complètement de mon peignoir. Je m’accrochais au lavabo et offrit mon cul à ses assauts. Je mouillais de nouveau. Dans le miroir j’aperçu son visage qui grimaçais dans l’effort, et mes petits seins qui ballotaient. Son ventre rebondissait sur ma croupe tendue à chaque cout de boutoir. Maintenant accroché à mes hanches il se démenait pour me défoncer la chatte. Je me penchais plus pour lui offrir. De petits cris rythmés s’échappaient de ma bouche. Parfois il ralentissait, et venait m’embrasser le cou ou me mordiller l’épaule, me faisant frissonner de plaisir. Puis il reprenait de plus bel. Plus je me penchais, plus il me fouillait profondément. La buée avait maintenant envahi la glace. Lorsqu’il remonta ses mains sur ma poitrine, je sentis mes jambes trembler. Lorsqu’il prit mes seins à pleine main, j’ai senti une vague se créer dans le bas de mes reins. Et mes dernières paroles furent :
— Oh putain… tu vas encore me faiIRRE JOUIIIIIIIR !
Il me cria :
— Attends-moi, attends MOIIIIIIII ! Et il se retira pour éjaculer entre mes fesses.
Il répétait en reprenant son souffle :
— En même temps ! En même temps ! Ca c’est rare, t’es une fille géniale.
J’avais très envie de le croire. En sentant son sperme chaud me parcourir la raie, je pris conscience du risque que je venais de prendre. Il m’avait prise par derrière sans préservatif. Je me retournai, et lui dit sans grande conviction.
— Ne recommence jamais ça.— Tu n’aimes pas ?— Le préservatif !— Cool, relax, je maitrise, tu as vu.
Devant tant d’aplomb, mais aussi tant de plaisir, je lui répondis par un profond et interminable baiser.
Nous avons alors repris une douche, ensemble cette fois. Et la température de l’eau que j’avais volontairement minorée pour nous rafraichir, contrastait avec les caresses torrides et savonneuses que nous avons longuement échangées.
A suivre…(4/9)
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