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Saint-Tropez

Chapitre 3

Emilie

Hétéro
Fougueuse Emilie, tendre Emilie, inventive Emilie, explosive Emilie... Qui décide de prendre en main notre deuxième round de sexe alors que je suis couché sur le dos et elle la tête sur ma poitrine se met à passer sa langue sur mon torse en descendant doucement vers mon bas-ventre, passant sur mes abdos saillants, pour une caresse qu’elle semble avoir envie de me prodiguer.
Rien qu’à cette idée, ma queue déjà presque dure reprend une vigueur brutale et la main d’Emilie la saisit, pour la guider vers sa bouche tiède et suave. Elle doit, pour cela, ouvrir grande sa bouche, car mon sexe assez conséquent l’oblige quand même à vraiment faire un effort pour l’introduire dans son orifice buccal ; elle me prodigue alors une fellation extraordinaire de douceur et de plaisir tant sa langue agile et gourmande me révèle une Emilie dont je ne soupçonnais pas ce talent.
Elle avale en respirant bruyamment par le nez mon énorme sexe tandis que je lui caresse le dos et les fesses de ma main droite et la tête de ma main gauche...Je sollicite alors son bassin afin qu’elle le positionne sur mon visage et elle comprend de suite mon désir en se mettant tête-bêche sur moi afin que je puisse lui prodiguer cette caresse si agréable avec ma bouche.
Je peux admirer alors la beauté de son corps superbe, ces fesses bien tendres et fermes à la fois, ses lèvres vaginales saillantes donnent une impression de pétales de fleurs et son anus bien dessiné sombre et mystérieux que je pense bien visiter lorsque nous nous connaîtrons mieux, si elle en a le désir.
Je dévore son sexe doux et humide de cyprine et de salive mélangées, sont clitoris érigé bien dur de plaisir que je tête, la sentant crier intérieurement, ayant ma queue dans sa bouche bien remplie.Elle a un brusque orgasme que je perçois par le resserrement de ses cuisses sur ma tête, elle relâche mon sexe et pousse un bref feulement de jouissance animale, et reprend de suite ma queue dans sa bouche avide de me donner du bonheur.
J’introduis mon doigt dans son vagin pour lui donner envie d’une plus grosse introduction en effectuant un va-et-vient suggestif... elle doit comprendre, car elle quitte sa position pour se mettre face à moi et à cheval sur ma queue qu’elle guide elle-même dans son intimité humide de ma salive et de son plaisir.
Elle s’assoit brutalement sur mon bas-ventre en s’enfonçant d’un coup sur mon pieu hardant tout en poussant un cri rauque me signifiant son plaisir je sens très nettement le fond de son vagin et le contact avec son utérus. Elle reste un instant sans bouger en fermant les yeux de plaisir et me regardant elle commence à bouger elle-même de bas en haut sur ma bite en feu.
Je caresse ses seins devant mes yeux puis les tétons avec douceurs je pose mes mains sur ses fesses les écartant doucement pour lui faciliter encore plus ma pénétration dans son ventre avide de plaisir !
J’appuie bien sur ses fesses pour m’enfoncer en elle tout en caressant le sillon entre ses deux fesses, j’arrive à sa rosette anale et doucement je la caresse timidement pour voir sa réaction...
— Ouiiiii me dit-elle, je comprends alors qu’elle aime cette caresse et sans pousser trop loin mon introduction, je lui masse l’entrée lentement dans un mouvement rotatif qui s’appuie bien au fur et à mesure qu’elle accélère elle-même la cadence de son plaisir.
Un hurlement brutal me fait comprendre qu’elle vient d’avoir un second orgasme et elle s’abat sur moi me demandant doucement de la prendre par derrière, mais dans son vagin.Elle se couche en chien de fusil sur le côté et je comprends ce qu’elle veut et ce qu’elle aime, je la pénètre facilement vu son état humide et à genoux je me mets à la besogner assez virilement durant un temps semblant infini ; je la travaille à fond pour son plaisir et le mien qui monte, je le sens, et elle doit le sentir, car elle me dit :

— Vas-y jouis, oui, oui... un râle en forme de supplique qui finit par vaincre ma résistance et je lâche mon plaisir par de longs jets de sperme chaud dans le préservatif...
Je m’abats sur le côté derrière elle en restant enfoncé dans son ventre palpitant...Je perds la notion de temps, mais je dois somnoler jusqu’à ce que j’entende la douche couler. Emilie nettoie en elle les traces de notre plaisir et je me lève pour me nettoyer également.Elle termine justement et enfile vite son peignoir évitant ainsi une nouvelle poussé d’envie de ma part sans doute, mais j’ai également envie de passer en phase repos et je la laisse aller vers le lit, prenant une douche rapide et me couchant à mon tour, ma belle Emilie serrée dans mes bras, tête sur mon épaule...Des coups de sonnette lancinants me sortent de ma torpeur, je vois le soleil hivernal passer par la fenêtre Est de mon bureau j’en déduis qu’il est une heure avancée du matin ;
— J’arrive... ah c’est toi Xav.— Encore au lit... coquin.— Je dormais figure toi.— Nuit agitée sans doute qu’il me répond.— Pas plus que toi... vu le bordel autour de la piscine que j’ai pu mater que je lui rétorque... entre !— Non je voulais te dire le brunch est prêt, avec Francette on vous invite venez vite vous vous pomponnerais après, y a que nous et c’est sans cérémonie... il est en robe de chambre et j’en déduis que c’est vraiment sans cérémonie !— OK cinq minutes mon général on arrive.
Je me dirige vers la chambre, mais Emilie est déjà debout et a enfilé un peignoir plus épais, car elle a entendu l’invitation de Xavier et me dit tout de go :
— J’ai faim d’amour, mais aussi de brunch...
Je la prends par la main et resserrant mon peignoir par pudeur, nous sortons par mon jardin la fraîcheur hivernale ensoleillée nous fait du bien et nous éblouit.
— Ce n’est pas à Cody que tu ferais cela en décembre !— Hi, c’est nous je dis à la volée en entrant chez les "Fran-Zav", ainsi que je les nomme familièrement.
Une belle table de brunch est dressée, car Francette est une hôte très organisée et de qualité, elle cuisine toujours très bien et "l’Amerlock" que je suis apprécié énormément sa bonne nourriture.Ils sont tous deux en robe de chambre assez classique ce qui donne une vraie intimité à notre réunion gustative matinale ; il est onze heures et la faim me tenaille aussi je ne me fais pas prier pour manger avec plaisir afin de reconstituer mes réserves très entamées cette nuit.Il en est de même pour Emilie qui dévore...
— Et bien les tourtereaux, vous avez dû dépenser beaucoup de calories vu votre appétit, nous interpelle Zav.— Voyons Xavier rétorque Francette soit discret tu gènes "ta locataire" dit-elle en riant.
Emilie rosit légèrement et répond "qu’en fait, c’était plus calme chez moi pour dormir".
— Bob arrive à dormir quand il est avec une aussi belle femme ? Tu vieillis mon vieux Bob, me dit Zav...— Insiste espèce de Tropézien à la manque !
L’ambiance chaleureuse se poursuit jusqu’à ce que nos estomacs soient repus et que nous décidons, Emilie et moi de prendre congé prévoyant d’aller faire une balade pédestre sur Port-Grimaud.Emilie doit voir quelqu’un pour son boulot et m’a demandé de l’accompagner. J’en ignore la raison, mais me balader à son bras ne me déplaît pas du tout bien au contraire...Elle décide de prendre sa voiture et de m’emmener dans un premier temps en zone commerciale où nous entrons dans un laboratoire, elle semble en terrain connu, car elle se dirige vers un bureau ou elle frappe et entre avec moi derrière elle.
— Salut Franck, tu peux me faire des examens un peu express ?
L’homme, un gaillard costaud, la cinquantaine, grisonnante, bien bâti, la regarde tout sourire, et après lui avoir fait la bise, me serre vigoureusement la main...
— Tu les veux pour hier, je suppose ?— Tu comprends tout, lui répond-elle !— OK passez à côté, et nous entrons dans un petit local ou Franck nous prélève un échantillon de sang chacun en quelques minutes tel un professionnel, ce qu’il est manifestement... reviens dans deux heures tu auras cela.— Tu es un vrai ami tu sais lui répond-elle sourire charmeur "number one"— Tu peux me demander tout ce que tu veux tu sais lui répond-il en me regardant avec un clin d’œil !
Je souris pensant que ces deux-là ont manifestement de bonnes relations et c’est tant mieux, car les résultats de ces examens changeront notre prochaine soirée à Emilie et moi ce que l’ami Franck a déjà compris...
— Au fait je te remets ça, elle de lui tendre un carton d’invitation, c’est samedi prochain l’inauguration du nouveau quai, vient avec ton amie on pourra y boire un pot si tu es libre.— Avec plaisir je pense pouvoir en être.
Et nous prenons congé, Emilie décidant d’aller un peu marcher sur un "circuit vert" passant par l’extérieur de Port-Grimaud et qui va nous prendre un bon moment le temps d’avoir les résultats sanguins.
La balade est très agréable dans ce site assez exceptionnel, soleil hivernal aidant, Emilie me tenant la main avec tendresse, bien serrée contre moi comme une tendre compagne ; nous croisons quelques passants dans ma tranche d’âge ou plus, également en balade et qui nous regardent avec envie sans doute, la beauté d’Emilie provoquant quelques sentiments contradictoires à la vue de notre différence d’âge manifeste.
Emilie en profite pour faire quelques photos pour son activité professionnelle dans l’immobilier du tourisme...Je découvre une femme très active et volontaire sachant ce qu’elle veut et j’avoue que ça n’est pas sans me plaire, car je n’ai tendance à apprécier que ce type de femme depuis toujours ; sans doute dans la droite lignée de ce que fut ma chère mère...
Vers seize heures, nous repassons au labo où la secrétaire tend à Emilie une enveloppe scellée tout en lui précisant que "tout est parfait" ce qui apaise toute inquiétude dorénavant sur ma relation avec cette belle Emilie qui semble vouloir poursuivre avec moi un bout de chemin.
— Ce soir, je t’invite dans un resto que je connais bien, m’annonce Emilie comme pour signer un pacte entre nous !— Si tu paies alors je suis ton obligé, je souris...— On va au village ?— D’accord, j’adore Grimaud, c’est un site si exceptionnel que j’adore m’y rendre pour le plaisir des yeux et l’hiver le calme relatif des lieux incite vraiment à la contemplation.
Nous traînons ainsi jusque vers 19 heures et entrons dans le fameux établissement que Emilie connaît. Elle y semble chez elle et le patron nous installe dans un coin tranquille précisant :
— La table des amoureux...— Tu viens souvent ici ? Je demande.— En tant qu’"amoureux" tu es le premier, je viens plutôt pour des contrats d’affaires quand je veux mettre à l’aise mon financier ou mon partenaire de business... la bonne nourriture, ça aide dans les relations de la profession.— Sans être jaloux, comme un imbécile, je suis rassuré d’être le premier amoureux qu’elle amène ici.
Ce dîner de qualité ou Emilie se charge des choix me va bien, car j’aime les femmes de caractère : champagne, foie gras, gambas et fromage de chèvre du pays nous ravissent les papilles et je vois les yeux brillants de plaisir d’Emilie qui me fixe un peu trouble ; je la sens bien avec moi et j’avoue que moi également...Quelques couples, sans doute "amoureux" arrivent dans la salle qui se rempli doucement ; je sens la jambe de ma compagne qui se frotte doucement à la mienne durant le repas et une douce ambiance s’installe entre nous le champagne aidant.
— Nous rentrons me dit-elle une lueur trouble dans le regard.— Si tu veux, je rétorque à Emilie qui fait signe au patron qui acquiesce d’un air entendu, après qu’Emilie ait mis un billet dans le "cochon de service" sur le bar.
Retour chez Fra-Zav où Emilie m’invite dans son "studio de cent vingt mètres carrés" et me propose un petit tour dans piscine si je me sens en forme
— On dirait qu’il n’y a que nous me dit-elle en se mettant nue pour aller vers le bain.— Oui ils devaient partir quelques jours, qu’ils m’avaient averti je lui réponds, nous allons être les seuls ce soir pas comme hier soir.
Je me déshabille également sans pudeur et la fraîcheur de l’air me pousse à vite la rejoindre dans l’eau chauffée et sous le dôme de la piscine qui nous protège bien... déjà un début d’érection me tenaille le ventre sans doute que le corps si élégant de ma belle y est pour quelque chose.
Emilie prend l’initiative de se pendre à mon cou dans l’eau et entoure mes hanches de ses jambes longues et fuselées, je sens sur mon sexe déjà vertical le contact du sien ; l’eau aidant le glissement de nos deux peaux avide de plaisir.
Elle prend ma bouche avec tendresse et sa langue très aventureuse me fouille avec avidité.La saisissant aux hanches, je l’empale littéralement sur ma queue qui la plante jusqu’au fond de son ventre de manière assez brusque, ce qui lui fait pousser un cri rauque de plaisir et chavirer sa tête en arrière.
Je passe mes avant-bras sous la pliure de ses genoux et la positionne ainsi totalement ouverte à moi pour commencer dans son ventre une série de va-et-vient intenses, alors qu’elle gémit si fort que je sens son premier orgasme se déclencher...
Emilie est vraiment une jeune femme faite pour l’amour, tant elle s’active sans pudeur sur mon sexe dans une chevauchée violente, qui la mène vite à un deuxième orgasme -déchirant la nuit de cri de plaisir - que le dôme pvc de la piscine retient heureusement pour les voisins, qui doivent en avoir l’habitude de toute manière !
Manifestant son désir de changer de position, elle se défait de moi et me prenant par la main, me tire vers le bord de la piscine côté de l’escalier sur lequel elle se positionne à genoux, offrant à mes yeux cette croupe de rêve qui la caractérise.
Elle croit bon de me préciser comme la nuit passée : "prends-moi dans le vagin"J’aime cette manière sans pudeur d’exprimer son envie que je respecte et je n’aurais pas tenté une autre pénétration sans son consentement et sans préparation de toute manière.Je positionne mon sexe toujours très dur sur l’entrée de sa vulve et une simple poussée me plonge à nouveau dans son ventre bouillant de désir. Je la travaille ainsi sous ses cris durant quelques minutes sentant venir en moi l’envie d’éjaculer tant elle m’excite de la tenir ainsi par les hanches, en ayant une vue plongeante sur ses fessiers que je distingue nettement dans la lumière douce de la piscine.
— Oui, oui, me gémit-elle, vient !
Je me laisse alors aller à jouir à longs jets de sperme dans son ventre bouillant qui n’attend que cela alors qu’elle prend son plaisir pour la troisième fois en quelques minutes.Me retirant de son ventre je m’assois sur une marche immergée du bain alors qu’Emilie après quelques mouvements de nage dans la piscine revient vers moi et s’assoit sur mon ventre m’embrassant à pleine bouche :
— Que c’était bon, me dit-elle je n’ai jamais si bien joui tu sais... et sans plastique c’est si bon...
Tout homme normalement construit se sent toujours fier ou du moins heureux d’entendre cette phrase après l’amour...— J’avoue moi-même, avoir avec toi un plaisir pas ordinaire, tu vas finir par épuiser mes réserves d’abstinence. Il est vrai que j’ai été un peu sans amour depuis un mois que je suis arrivé de Cody.
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