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Saint-Valentin avec ma sœur

Chapitre 2

Sur un nuage

Inceste
Notre second baiser est beaucoup plus long que notre premier. Et vu que ma sœur en est l’initiatrice, elle ne peut plus feindre la surprise. Elle mêle sa langue à la mienne avec tendresse. Aucun de nous ne semble vouloir que ce baiser prenne fin. Si je devais donner une estimation, je pense que nous nous sommes embrassés pendant deux à trois minutes sans que nos langues ne quittent la bouche de l’autre. Pour ma part, c’est mon plus long baiser et de très loin. Mais pour ma sœur, j’ignore si c’est également le cas.
L’excitation s’amplifiant à mesure que ce baiser s’éternise, je commence à passer mes mains sur des parties du corps de ma sœur qui, en tant que frère, ne devraient pas m’être accessibles. Pourtant, mes mains ne rencontrent aucune barrière et celles de ma sœur se font également exploratrices de zones où elles n’avaient encore jamais osé aller. C’est toutefois ma sœur qui interrompt ce que nous sommes en train de faire.
— On devrait rentrer avant que les choses n’aillent trop loin.
C’était trop beau pour être vrai. Ma sœur ne souhaite pas aller plus loin que nos caresses et baisers. Un peu déçu, je remets mes vêtements en ordre et je grimpe dans la voiture. Mais alors que je crois que notre incartade va s’arrêter là, une fois que nous quittons le parking, ma sœur déboutonne mon pantalon et s’empresse de libérer mon sexe turgescent et l’empoigne dans sa main.
— Chez toi ! dit-elle simplement sans relâcher ma barre de chair.
À aucun moment durant la petite demi-heure du trajet qui paraît bien plus long qu’à l’aller, ma sœur ne m’a masturbé, même légèrement. Pourtant, mon érection n’est pas retombée une seule fois. Arrivés sur le parking devant chez moi, je coupe le moteur de la voiture. Maintenant que la route n’est plus un danger, ma sœur retire sa ceinture et se penche aussitôt sur ce que sa main n’a pas lâché un seul instant. Sa bouche coulisse sur mon sexe et je suis au paradis. Je pourrais me laisser aller et remplir cette bouche de mon sperme, mais dans un effort difficile, j’interromps ma sœur.
— Attends, ne me finis pas. J’ai envie d’être en toi.
Elle aussi semble avoir du mal à arrêter, car il lui faut encore cinq ou six aller-retours pour que sa bouche quitte mon sexe plus dure que jamais. Avec beaucoup de mal, je range mon matériel dans mon pantalon, même si je ne parviens pas à dissimuler la bosse proéminente. Nous ne prenons même pas l’ascenseur par crainte de perdre du temps s’il devait être dans les derniers étages et nous empruntons directement les escaliers. Dans la précipitation, j’ai du mal à trouver le trou de la serrure, ce qui finalement nous fait perdre du temps. Et ma sœur ne fait rien pour m’aider puisque l’une de ses mains est de retour dans mon pantalon. Finalement, après plusieurs longues secondes, j’arrive à ouvrir la porte. Une fois refermée, il nous faut très peu de temps pour nous déshabiller mutuellement. Ma sœur ne portant rien de plus que sa robe et un string en dentelle de la même couleur que sa robe, elle est donc dévêtue plus rapidement que moi.
Nous nous dirigeons ensuite dans ma chambre où ma sœur n’hésite pas à prendre possession du lit. Elle s’allonge et écarte les cuisses, offrant à ma vue le formidable spectacle de son fruit mûr imberbe qui ne demande qu’à être dévoré. Je mets ma tête entre ses cuisses et je savoure ce mets raffiné au goût des plus succulent. Après quelques minutes, ma sœur jouit une première fois, puis une seconde quelques minutes plus tard, puis deux autres orgasmes viennent la foudroyer. Même si je pourrais continuer de la déguster ainsi toute la nuit, je me redresse et présente ma barre à l’entrée de sa cavité chaude et humide. Et au premier coup de rein me faisant pénétrer cet antre de plaisir, je me sens parfaitement bien accueilli. Je vais et viens à l’intérieur de ma sœur pour la toute première fois et je sais déjà que j’aurais envie d’y revenir le plus souvent possible. En moins de cinq minutes, emporté par cette avalanche de plaisir plus intense que tout ce que j’ai pu connaître auparavant, je me bloque au fond d’elle et me déverse dans ses entrailles. Un ultime baiser vient clôturer ce moment féerique.
— Je t’aime, lui dis-je officiellement pour la toute première fois.
Nos corps sont en sueur et les draps sont trempés suite à ce moment mémorable. Je m’allonge à côté de ma sœur et elle vient poser sa tête sur mon torse qui est pourtant collant de sueur.
— On ne m’avait encore jamais fait l’amour comme ça, m’avoue-t-elle. C’était vraiment très bon.— C’est pareil pour moi. Aucune femme ne m’avait fait l’amour comme toi.— Il faut que tu saches deux choses, m’annonce ma sœur en relevant la tête.— Lesquelles ?— La première, je pense que tu l’as sentie après ce que nous venons de faire, c’est que moi aussi je t’aime. Depuis moins longtemps que toi d’après ce que j’ai compris, mais tout ce que tu m’as dit au restaurant, je l’ai ressenti aussi. Alors quand tu m’as embrassée, j’espérais que ce n’était pas anodin. Et la seconde chose que tu dois savoir et pour laquelle tu m’en voudras peut-être, c’est que je ne prends pas la pilule en ce moment et que c’est ma période d’ovulation.— Non, je ne t’en veux pas. Si tu devais tomber enceinte, j’assumerais pleinement mon rôle. Et si tu veux dire la vérité aux parents sur le père de ton bébé, je ne me défilerai pas et j’assumerai devant eux aussi. Je pense que j’étais si bien en toi que même si tu m’avais prévenu avant, j’aurais quand même fini en toi.
Nous ne disons plus rien pendant quelques minutes. Une de mes mains caresse la tête de ma sœur tandis qu’une autre caresse son corps et plus particulièrement, ses seins. Tandis que de son côté, ma sœur caresse mon ventre, descendant parfois jusqu’à mon sexe pourtant couvert de nos sécrétions qui commencent à sécher à l’air libre.
— Alors, est-ce que ça veut dire que maintenant, nous sommes ensemble ? demande-t-elle. — Si tu as besoin de prendre du temps pour réfléchir à notre relation, alors je te laisserai tout le temps dont tu as besoin, lui dis-je. Mais si tu es déjà sûre de toi, alors oui, ça veut dire que nous sommes en couple.— Ça fait bien trop longtemps que toi et moi n’osons pas assumer nos sentiments, donc je ne veux clairement pas perdre plus de temps à me demander si nous sommes ensemble ou non. Pour moi, après ce que nous venons de faire, c’est très clair dans ma tête. C’est avec toi que je veux être.
Après avoir échangé encore quelques baisers, nous changeons les draps du lit qui sont trempés et nous nous allongeons nus l’un à côté de l’autre. Nous nous blottissons dans les bras de l’autre et, dans la plénitude absolue, nous nous endormons paisiblement.
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