Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 317 J'aime
  • 13 Commentaires

De sainte coincée à la dernière des catins

Chapitre 1

La rencontre

Hétéro
Bonjour à toutes et tous,
Voilà, je prends enfin le clavier pour confesser mes péchés...
Je vais vous raconter comment de mère de famille bien rangée et un peu coincée, je suis devenue une accro au sexe... et tout cela je ne le dois qu’à une seule rencontre, un seul homme...
Bref, plantons le décor !
Moi c’est Emilie (oui c’est bien mon prénom), je suis aveyronnaise, juriste dans une entreprise, maman de deux jeunes enfants de 11 et 8 ans. J’ai 36 ans, mariée depuis 10 ans avec mon époux Laurent. Je mesure environ 1m60, je suis toute fine, les cheveux mi-longs noir corbeaux, des jambes fines surplombées d’un petit fessier en forme de cœur, et à mon grand regret, je n’ai que peu de poitrine... Mes deux grossesses n’ont pas eu la gentillesse de me laisser des seins d’une taille correcte...
Je suis plutôt féminine, même si je pense m’habiller plutôt comme une maman sage plutôt que comme une fille de mon âge. Malgré tout, j’essaye de me mettre en valeur notamment avec le port de talons tous les jours et un penchant certain pour la lingerie coquette. Je ne porte d’ailleurs que des tangas ou des strings, ce qui met mon postérieur en valeur. A défaut d’avoir une sculpturale poitrine, je mets en valeur mon attribut de derrière.
Bref, je menais une petite vie tranquille, sans fantaisie, éducation des enfants, travail, cuisine, ménage, peu de batifolage sexuel avec mon époux, mais cela me suffisait, du moins je pensais que cela me suffisait. Mon époux Laurent est un bon père, un bon mari, un peu plus âgé que moi, mais éduqué à l’ancienne, il ne fait pas grand-chose à la maison et me laisse tout faire...
Je surnageais dans ma petite vie tranquille avec des préceptes d’un autre âge, j’étais cucul...
Puis à mon travail, une arrivée a tout changé...
En 2018, mon service juridique s’est étoffé d’un nouveau collaborateur. Alexis... Un homme, un vrai. Charmeur, souriant, bien habillé, style Hipster, barbe, tatouage sur les bras, un peu rond, mais ça lui va bien. Je le regardais comme on regarde un buffet de desserts dans un restaurant à volonté...
Mais ses pensées inconvenantes furent vite chassées de mon esprit. Comment une femme mariée peut trouver un homme inconnu séduisant ?? Non ce n’est pas normal. J’ai donc réfréné mon envie de dessert et j’ai repris le boulot. Les semaines passées, j’en ai appris plus sur lui au cours des déjeuners de midi, il était marié, blagueur, rugbyman, un peu beauf sur les bords, mais c’était son sens de l’humour, car il était en dehors de cela, gentleman, courtois, très poli.
Le voir tous les jours me faisait de l’effet, mais je m’interdisais d’y penser, je m’étais convaincu que j’étais contente de retrouver son enthousiasme et sa bonne humeur communicative.
Puis un jour, tout a changé... Il se rapprochait petit à petit d’une de mes collègues, Eva, plus jeune, plus sexy, avec des seins comme des pamplemousses prêts à vous exploser au visage. Elle était ravissante, mais, grand dieu, ils fleuraient ensemble, pas de doute.
Comment un homme marié peut-il faire cela ? C’est grandement gênant et inconvenant ! Quel mufle, quel piètre mari !
Lors des congés d’Alexis, j’ai donc pris mon courage à deux mains pour parler à Eva de leur relation. Dans quel but ? Les séparer bien sûr, car on ne fait pas cela quand on est marié! Mais à postériori, si j’avais fait cela pour éloigner Eva ?
Elle me raconta qu’elle et Alexis couchaient de temps en temps ensemble, qu’il était incroyable, très à l’écoute des désirs féminins... Bref j’en avais assez entendu, il fallait que je les sépare !
J’ai donc mis mon plan à exécution et j’ai menacé Eva de tout divulguer à son copain si elle ne prenait pas ses distances, chose qu’elle a faite sans rechigner. Voilà, les choses étaient rentrées dans l’ordre ! Tout allait bien dans le meilleur des mondes... Du moins, je le pensais.
A son retour de congé, Alexis est venu dans mon bureau, et m’a demandé une entrevue le soir à la fin de notre journée.
Croyant qu’il s’agissait de dossiers importants j’ai donc accepté, le rendez-vous était pris le soir même à 18h30 dans mon bureau. Une fois parti, j’ai ressenti une étrange sensation dans mon bas-ventre... Une chaleur intense et dévorante... Puis une humidification de ma lingerie... (J’ai dû boire trop de thé...). Quel est donc cela ? Je n’avais jamais ressenti un tel désir ? Alexis et son ton grave m’ont chamboulé...
La journée s’est passée très lentement... Il me tardait de retrouver mon fantasme euuuuh mon collègue. A 18H15, un petit tour aux toilettes pour parfaire mon make up et me rafraichir un peu. Il va sûrement être très proche de moi pour analyser les dossiers et donc hors de question de sentir la petite fille négligée.
18h30 : il apparaît sur le pas de ma porte, frappe et me demande la permission de rentrer. (Quel tact, j’adore).
Je fais semblant de terminer un courrier et lui dis de s’installer dans le fauteuil en face de moi.
Mon Dieu, il était là... de quoi va-t-on parler... comment me trouve-t-il ? Dans mon tailleur strict, mes petits talons et mes collants noirs ? Euh non concentre-toi ma fille.
Je commence à ouvrir la bouche, il me dit :
— Attends, ne dis rien, c’est moi qui vais parler, je pense que l’on a des choses à se dire toi et moi, enfin surtout toi...
Il se leva et ferma la porte.
J’étais estomaquée, plus moyen de parler, de quoi voulait-il parler ?
— Emilie, malgré ta tentative de m’éloigner d’Eva, nous avons discuté elle et moi. Dis-moi pourquoi as-tu fait cela ? — Mais enfin c’est évident, tu es marié, elle est en couple, c’est gênant et inconvenant ! Non ce n’est pas bien ! Quand on est engagé dans une relation unique, on ne fait pas cela ! — Je vois, et cela n’a rien à voir sur le fait que tu craques sur moi et que tu rêves d’être à la place d’Eva ? — Moi, mais je... Non enfin tu es malade ! Je suis une femme mariée et maman en plus. Tu crois que j’ai envie de tromper mon mari ? Tu te trompes grandement aussi charmant que tu sois. — Donc je suis charmant ? — Oups euh non enfin oui enfin je sais pas... Tu me mets mal à l’aise là...
Il se lève et s’assoit sur bord de mon bureau, je suis rouge comme une tomate... Il m’a percé à jour... en plus d’être beau, il est perspicace !
— Emilie, tu as trois ans de plus que moi, on est plus ou moins de la même génération, et pourtant il y a un fossé entre nous. Tu es coincée, aussi bien dans tes pensées que dans tes tenues.
Je devins rouge de colère.
— Mieux vaut être coincée que dépravé mon cher.
Il se pencha vers moi, et tout en me soufflant dans le cou, me glissa à l’oreille :
— C’est comme ça que tu me vois alors ? Très bien dans ce cas-là, je vais tenter de dévergonder la mère de famille réac.
Je n’écoutais plus, mes yeux étaient clos, ses paroles suaves, son parfum, mon string devenait de plus en plus humide... Mais qu’est-ce qu’il m’arrive ??
Sans m’en apercevoir, il déposa un baiser sur mes lèvres, ma première réaction fut de le repousser en lui disant qu’il était malade ! Puis il revint à la charge, j’ai essayé de protester, mais non, j’en avais envie ! Je cédai pour la première fois.
Son baiser était doux, tendre, passionné, hummmm que c’était bon.
Il avait une main sur ma joue et l’autre, OH MON DIEU L’AUTRE, caressait mes jambes gainées de nylon noir. Mais... Mais... sa main glissa sous ma jupe et se rapprocha dangereusement de mon intimité... Non Non NOOOOON il va s’apercevoir que sa présence me trouble. Il tapota légèrement mon abricot et pouffa de rire. Il arrêta son baiser et se retira puis me regarda dans les yeux :
— Tu vois, je savais que la maman avait envie de se faire le petit nouveau. — Mais tu es pas bien ??! Tu es inconvenant Alexis. — Inconvenant ? Alors que tu viens de mouiller tes dessous ?? — Non, mais... Attends, je vais t’expliquer... — Il y a rien à expliquer, tu as envie de moi, j’ai envie de toi et si on se laissait aller ici maintenant dans ton bureau ?
Sur ces mots, il enfonça un doigt dans mon abricot, je n’ai pu que sortir qu’un seul mot. Un immense OUIIIIIIIIIIII venant résonner dans le bureau...
— C’est tout ce que je voulais entendre.
Il commença à déboutonner mon tailleur tout en m’embrassant, la veste venant rapidement joncher le sol de mon bureau. Il glissait ses mains partout à tel point qu’on aurait dit un poulpe avec plusieurs tentacules dont je ne pouvais m’échapper. Des tentacules douces, entreprenantes, brefs le nirvana...
Au tour de mon chemisier d’être déboutonné, il me le laissa sur les épaules cependant, laissant apparaître mon soutien-gorge rouge sur ma petite poitrine juvénile, il commença à baisser la fermeture éclair de ma jupe qui glissa le long de mes jambes, et tomba au sol.
Mon Dieu, que suis je en train de faire ?? Je suis là dans mon bureau à moitié nue, en train de me faire peloter par un collègue... Je deviens dingue...
Etant un peu coincée, (je ne faisais l’amour qu’en position du missionnaire avec très peu de préliminaires), il prenait un malin plaisir à me guider. Ses doigts glissaient partout, se faisant tour à tour pressants, doux, inquisiteurs, ou explorateurs.
Il faisait rouler ses doigts sur mon corps entier et continuait à m’embrasser le cou. Je n’y prêtais pas attention, mais je gémissais, j’étais en train de m’abandonner totalement dans les bras de cet homme...
Au fur et à mesure des caresses, je me sentais m’ouvrir telle une fleur... je perdais totalement pied... Ma tête tournait fortement, ses doigts parcourant mon intimité, je m’accrochais à son cou pour ne pas chanceler sur mes gambettes... Sa main venait de se glisser dans mon collant et ses doigts faisaient rouler le tissu de mon string rouge sur mon bouton d’amour.
Ces caresses répétées ont eu l’effet d’une bombe anatomique... J’ai littéralement explosé... A grands cris... Mes jambes tremblaient, je commençais à défaillir, Alexis le sentit et me fit assoir sur mon bureau.
Il me demanda si j’aillais bien, si je voulais continuer (il était si prévenant...). Et bien sûr que je voulais continuer, je n’avais pas joui comme ça depuis... Non en fait, je n’ai jamais joui de la sorte. Mon mari était plutôt banal au lit, mais les caresses invasives d’Alexis sont tellement douces et sensuelles...
Il se mit donc à genoux devant mon entrejambe et pendant que je reprenais mon souffle et que je tentais de reprendre une contenance il déchira le gousset de mon collant laissant apparaître mon petit string rouge... Il écarta le doux tissu et découvrit mon sexe glabre et gluant après ses caresses...
Il me gratifia d’un compliment sur l’entretien de mon pubis et plongea sa langue en moi... OH OOOOOOOH MON DIEU... Une décharge parcourut mon ventre et mon échine... Je me raidis d’un seul coup et les gémissements reprennent de plus belle... Sa langue fouille mon vagin, sort, rentre, s’attarde sur mon clitoris, plonge de plus en plus loin en moi, puis un doigt vient se glisser dans ma fente, puis deux et puis..... Un jet incontrôlé vient s’échouer sur son visage... rouge de honte je lui demande d’arrêter... Je suis secouée de spasmes et je lui dis que je suis désolée... Mon ventre a des remous, des papillons, il me répond de me laisser aller.
Et pour tout dire, j’ai joui deux fois comme jamais alors laissons-le faire.
Il s’essuie le visage en me remerciant en rigolant, puis vient m’embrasser, et pendant ce temps deux doigts viennent s’introduire en moi et massent délicatement mon point G. Je glousse, me tortille, il a trouvé mon point sensible... Il me doigte avec délicatesse et force si bien qu’au bout de quelques minutes, j’explose en longs jets sur le sol de mon bureau... Je suis couchée sur le bureau... Secouée de tous les côtés... Je ne sais plus où je suis, qui je suis, ce que je suis en train de faire...
Bref je jouis comme jamais...
Je convulse presque, ma respiration est haletante, j’ouvre à nouveau les yeux et je vois le visage d’Alexis rayonnant au-dessus de moi. Il m’embrasse pendant de longues minutes. J’adore cette sensation. Je suis là couchée sur mes dossiers, le sexe béant et brulant en train d’embrasser l’homme de mes rêves.
Après de longues minutes, il se relève et me dit :
— Voilà un avant-goût. Ton mari ne doit pas savoir y faire pour que tu jouisses aussi rapidement. Maintenant, tu sais de quoi je suis capable et de quoi tu es capable. On ne va pas aller plus loin ce soir.
A toi de voir ce que tu veux.
Puis il quitta mon bureau me laissant à moitié nue, dégoulinante de fluides corporels en tout genre, honteuse, mais satisfaite...
Que vais-je faire ? Qu’ai-je donc fait ?
MON DIEU J’AI TROMPE MON MARI... Mais pourquoi je suis si frustrée de ne pas avoir été plus loin...
La suite au Chapitre 2...
Diffuse en direct !
Regarder son live