Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 92 J'aime
  • 4 Commentaires

Sainte Marie de la douleur

Chapitre 2

La fessée — Léa et Anna

SM / Fétichisme
Les premières semaines se passent très bien. J’apprends à connaitre mes collègues et les étudiantes. Mes tâches consistent à patrouiller les couloirs régulièrement, surveiller les comportements entre les cours et je reprends la surveillance de l’étude du soir de Monsieur Louis. Celui-ci est devenu surveillant en chef : « maître de discipline » est le terme exact du règlement d’ordre intérieur.
L’étude du soir, c’est l’endroit où les filles font leurs devoirs et apprennent leurs leçons. Je n’ai aucun commentaire à faire à personne. C’est à croire qu’elles n’ont pas besoin de surveillance tant elles sont calmes. Après l’étude, les filles jouent un peu de temps dans le préau, passent à table, à la salle de bain et c’est l’heure des chambres ou du dortoir. La surveillance des chambres, dortoirs et salles de bains est effectué par madame Nathalie. C’est assez légitime que cette tâche échoue à une femme. Il faut préserver une certaine intimité aux pensionnaires. Je n’ai pas encore été dans cette partie du bâtiment.
La plupart des professeurs sont sympas avec moi, il y a plus d’hommes que de femmes. Je constate que tous mes collègues surveillants ou professeurs, sont célibataires. C’est probablement la conséquence de vivre reclus du monde.
Ce jour-là, j’effectue ma ronde dans les couloirs lorsque je tombe sur deux filles : Léa et Anna. Elles devraient être en cours de math, au lieu de cela, elles semblent revenir des chambres, ce qui est formellement interdit pendant la journée.
— Mesdemoiselles, que faites-vous ici ?— Je vous prie de nous excuser, Monsieur Laurent, Anna avait publié sa pilule et nous sommes allés la chercher, dit-Anna.— Qui vous a autorisé ?— Personne, on pensait qu’entre deux cours, on avait le temps, répond Léa.— Le règlement est très clair : c’est interdit. Après les cours, vous passerez donc chez Monsieur Louis.— S’il vous plait, non, répond Léa. Si vous voulez voir ma chatte ou mes seins, je vous les montre, mais pas Monsieur Louis. S’il vous plait.
Elle laisse sa phrase en suspens et j’explose
— Quoi ? Que me proposez-vous ? C’est inacceptable jeune fille. Maintenant, taisez-vous et filez au cours sinon je vous emmène immédiatement chez Monsieur Louis.
Les deux filles disparaissent, je finis ma ronde et passe chez Louis pour lui expliquer ce qu’il s’est passé.
— Je ne comprends pas cet acharnement que les filles ont de continuer la pilule alors qu’elles sont dans un milieu clos sans jeunes hommes et sans relations sexuelles possible. Je devrais l’interdire. Bon, à la fin de l’étude du soir, passe me voir avec Léa et Anna et nous règlerons ce petit problème. Mais, je réalise : c’est la première punition à laquelle tu vas assister. Ne t’inquiète pas tout va bien se passer.
Je ne comprends pas l’allusion. La journée se déroule normalement. J’ai l’impression que l’étude est encore plus studieuse que d’habitude. À la fin de la période, je fais sortir les autres filles et me rend chez Louis avec Anna et Léa. Nous nous déplaçons sans un mot et nous sommes accueillis par ce dernier qui ferme la porte du bureau. Alors, il me fait asseoir et demande aux deux filles de rester debout devant son bureau.
— Monsieur Laurent m’a expliqué la situation, dit-il. C’est votre première punition ce trimestre. Vous vous êtes rendues dans les dortoirs pendant la journée et, encore plus grave, Léa, vous avez fait une proposition à caractère sexuel. J’imagine que vous ne désirez pas plaider votre cause devant le directeur. Anna, tu subiras la fessée, cul nul sur les genoux de Monsieur Laurent, quant à toi Léa, je te réserve dix coups de canne, ta faute est plus importante. Par qui commençons-nous ?
Anna s’avance vers moi, écarlate de honte. Monsieur Louis ordonne à Léa de se tourner vers le mur dans un coin de la pièce, main derrière la tête.
— Je vous prie de m’excuser, Monsieur Laurent, dit-Anna. Auriez-vous l’amabilité de me corriger pour mon erreur ? Monsieur Louis, dans sa sagesse, suggère une fessée sur mes fesses dénudées.
La formule semble avoir été apprise par cœur et répétée. Sans que je dise quoi que ce soit, elle enlève sa veste, la pose soigneusement sur une chaise, se penche en avant pour enlever sa culotte blanche en dessous de sa jupe. Elle la plie soigneusement et l’insère dans sa bouche entre ses dents. Elle relève sa jupe et se place sur mes genoux, cul en l’air, mains par terre. Son chemisier glisse vers le bas et j’aperçois ces petits seins maintenus par un soutien-gorge blanc très sage. J’ai une vue plongeante sur son petit cul. Alors, elle écarte encore plus ses fesses et j’aperçois sa fente à travers une magnifique toison noire. Je bande comme un âne. Je commence doucement la fessée, presque sensuellement, mais Monsieur Louis me fait comprendre du regard qu’il faut que je frappe plus fort. Ainsi, je m’applique et commence une longe série de coups, qui vont crescendo, en alternance sur les deux fesses. Je m’arrête pour apprécier mon œuvre.
Les fesses sont rouges, la chatte humide et je la fais se relever.
— Allez donc remplacer votre amie dans le coin. Et, lorsqu’elle fait mine de se rhabiller, je l’arrête. Non, mettez simplement les mains derrière la nuque, ne remettez pas votre culotte sur vous, mais dans votre bouche. — Je vous remercie monsieur Laurent, dit Anna, la tête face au coin, puis elle remet sa petite culotte débordant de salive dans sa bouche.— Léa, nous allons maintenant nous occuper de toi, déclare Monsieur Louis.
La jeune fille se retourne en pleurs.
— Pas la canne, supplie-t-elle.— Toute action à une conséquence, jeune fille, vous devriez le savoir. Ne faites alors pas l’enfant. Déshabillez-vous, vous pouvez garder votre chemisier, vos chaussettes et chaussures bien sûr, je dois uniquement avoir accès à vos fesses.
Léa dépose sa veste sur la chaise, baisse sa jupe, la plie, la pose et baisse sa culotte. Le chemisier qu’elle porte cache partiellement son sexe.
— Je n’avais pas prévu que votre chemisier m’empêche d’officier, veuillez donc l’enlever aussi, dit Monsieur Louis.
Elle déboutonne son chemisier et le pose. Ces seins sont énormes, ils gonflent le soutien-gorge à le faire exploser. Étant assis devant elle, j’ai une vue directe à ma hauteur de son sexe intégralement épilé. Monsieur Louis lui fait prendre position, jambes écartées. Elle déclare :
— Je vous prie de m’excuser, Monsieur Laurent et Monsieur Louis. Auriez-vous l’amabilité de me corriger pour mon erreur ? Monsieur Louis, dans sa sagesse, suggère dix coups de cannes sur mes fesses.— Je vous remercie, dit Monsieur Louis. Je vais vous rendre la punition moins difficile. Au lieu de vous faire prendre vos chevilles en mains, vous pouvez appuyer votre tête sur l’épaule de Monsieur Laurent.
Ainsi, il la met en position, jambes écartées, ses mains reposent sur les accoudoirs de ma chaise, sa tête sur mon épaule qui regarde mon dos et moi, j’ai une vue magnifique sur ces seins et sa chatte ouverte. Il me demande de lui tenir les poignets. Le premier coup s’abat et la fille pousse un cri.
— Mademoiselle, dit Monsieur Louis d’un ton interrogatif ? Et, elle répond.— Un, merci.
Un second coup, un cri : « deux, merci ».Les dix coups s’enchainent avec la même cérémonie.
— Vous pouvez vous redresser, dit Monsieur Louis. Retournez-vous pour que Monsieur Laurent apprécie la qualité de mon travail. — Merci messieurs, déclare Léa, j’ai compris la leçon, déclare-t-elle en pleurant à chaudes larmes. Elle se retourne et je vois ses fesses zébrées de marques rouges, sa peau est boursouflée. J’ai une vue directe sur sa vulve ouverte et trempée.— Mesdemoiselles, déclare Monsieur Louis, vous pouvez vous rhabiller et rejoindre vos compagnes. En silence s’il vous plait.
Les deux jeunes femmes obéissent et quittent la pièce.
— Tu as assuré Coco, déclare Louis. Bravo.— Putain, c’est la première fois pour ma part, c’est extrêmement excitant. Je pense que je me suis vidé dans mon slip. — Ha ha ha, ça ne m’étonnerait pas, cela me fait aussi toujours un effet bœuf. — — As-tu vu, dis-je ? Leurs chattes à toutes les deux coulaient. Tu penses que ça les excite de se faire battre ?— Oui et non, je pense que la douleur annihile le plaisir. En revanche, évidemment, l’afflux de sang au niveau du bassin leur fait quelque chose. Tu ajoutes à cela l’humiliation et l’exhibition, et tu, as à mon avis, le cocktail qui les excite. Dans les jours suivants, il est possible que ces filles te haïssent ouvertement ou soient attirées par toi. Mon conseil : ne succombe surtout pas, si tu n’en peux plus, arrange-toi pour les faire punir. Dans cette situation, tu pourras profiter sans craindre quoi que ce soit.
Diffuse en direct !
Regarder son live