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Sainte Marie de la douleur

Chapitre 4

La transition — Julie

SM / Fétichisme
Ce lundi, à la fin de l’étude, Julie, une splendide petite brune trapue vient me trouver.
— Monsieur Laurent, excusez-moi de vous déranger, j’ai besoin d’aide. J’ai reçu une lettre de mes parents m’indiquant la mort de ma grand-mère. Je désirerais me rendre aux funérailles, mais j’ignore si cela est possible.— Je pense que oui, si vous voulez bien m’accompagner, nous allons chez monsieur Louis pour connaitre les formalités exactes. Le deuil.
est une raison valable pour quitter l’établissement.J’ai droit à un sourire éblouissant. Julie est un peu grosse, mais elle a un charme fou. Elle me suit dans les couloirs et je frappe à la porte de Louis.
— Une seconde, s’il vous plait, me répond-il et j’entends des bruits sourds que je ne parviens pas à identifier derrière la porte.— Vous pouvez entrer.
Je pousse la porte. Monsieur Louis est assis derrière son bureau. Il transpire. Madame Olivia est aussi présente. En la regardant attentivement, je comprends qu’elle vient de se rhabiller en vitesse. La pièce sent la transpiration et le sexe. Je leur souris puis explique le problème de Julie. Monsieur Louis sort un formulaire, le remplis, lui tend et déclare.
— Mes plus sincères condoléances Julie. Vous pouvez quitter l’établissement quand vous voulez. Vous devez juste savoir une chose pour votre retour. Nous vous demanderons un certificat de décès, mais procèderons à une fouille approfondie pour être sûr que vous n’introduisez rien d’illégal dans l’établissement. Madame Olivia s’en chargera.— Je vous remercie madame et messieurs.
Elle quitte la pièce et referme la porte derrière elle.
— Je vous ai presque pris sur le fait, dis-je en rigolant. Vous jouez souvent ensemble ? Ça mérite des heures de colle ou une punition.— Coco, donne-nous ton avis, me dit Louis. Olivia, montre-lui.
Elle relève sa jupe pour me montrer son sexe, ou plus précisément ses longues lèvres charnues.
— Nous discutons pour savoir si je dois les faire couper par un chirurgien plastique ou les garder, me dit Olivia, qu’en penses-tu ?— Si vous me permettez d’émettre mon avis, ni l’un ni l’autre. Comme tu aimes le piercing, je pense à ton téton Olivia. Je pense qu’un piercing avec un gros anneau sur chaque lèvre t’irait à ravir. Tu pourrais encore élargir tes lèvres vaginales en y fixant des poids. Si l’envie te prenait de jouer encore plus, il existe des barres qui laissent les lèvres écartées ou tu pourrais simplement fixer ces anneaux à tes bas.
— Je n’y ai jamais pensé, c’est une superbe idée. Louis, pourrais-tu m’arranger cela ?— Je vais y réfléchir et commander le matériel. Merci Coco pour ta suggestion.— Maintenant que ce problème est réglé, dit Olivia. Cette petite grosse, Julie, me donne envie. Elle m’excite avec son beau sourire, j’aimerais pouvoir la faire souffrir, cela me ferrait jouir.— Il suffit que lorsqu’elle rentre de son enterrement, tu parviennes à lui faire un reproche qui mérite la punition corporelle que tu veux lui infliger, dis-je.— Merci pour l’idée ! Louis, passe-moi son dossier médical, j’ai un plan.
Quelques jours plus tard, j’accueille Julie à son retour et l’accompagne au bureau de Louis. Olivia est présente et me demande de sortir de la pièce pour procéder à la fouille. Quelques minutes plus tard, elle nous appelle. Julie est en pleurs.
— Je le jure, ce n’est pas à moi, dit-elle.— Je vous prends comme témoin Monsieur Laurent. Je l’ai fouillée au corps, je n’ai rien trouvé, pendant qu’elle se rhabillait, j’ai procédé à la fouille de son sac et j’ai trouvé ceci.
Olivia exhibe une tenue toute simple à faire bander un mort : la culotte est composée d’un large ruban noir qui doit probablement à peine cacher le sexe ou peut-être même l’ouvrir. En guise de fermeture, un simple anneau ouvert. Le soutien-gorge pigeonnant est minuscule et comprend des anneaux dans lesquels les tétons s’insèrent. Un collier, serrant le clou et de la même matière, parachève la tenue.
— Mais c’était dans ton sac Julie, comment peux-tu nier, affirme Olivia.— Je le jure encore, ce n’est pas à moi, une personne a dû le mettre dans mon sac.— Je suis prête à te croire, dit Olivia.— Oh, merci, madame. Je savais que j’avais raison de vous faire confiance, dit-Julie. — Tu vas simplement enfiler ce costume. S’il n’est pas à ta taille, cela sera la preuve que ce n’est pas le tien. — Ok, je l’enfile immédiatement sur mes vêtements et vous allez constater vous-même que ce n’est pas le mien.— Non, je te fais confiance, dit Olivia, mais cela ne serait pas juste, c’est une tenue à même le corps, déshabille-toi et passe là.
Julie n’hésite pas une seconde et se déshabille. Elle regarde dans ma direction et demande :
— Je ne vais pas me faire punir si je me déshabille devant Monsieur Laurent ?— Absolument pas, dit Olivia, il sera notre témoin de moralité.
Quelle candeur… et quelques secondes plus tard, je retrouve Julie avec la tenue. Son corps est sublimé, seul bémol son sexe n’est pas épilé. Cependant, ses gros seins sont mis en valeur par le soutien-gorge pigeonnant et ces tétons longs et larges dépassent de l’anneau. Olivia prend un air contrit et déclare.
— Je te faisais confiance, mais tu m’as menti.
Julie se regarde et réalise.
— Je le jure, ce n’est pas à moi, même si cela me va bien.— Tu as trahi ma confiance, dit Olivia, nous allons te renvoyer.— Non, je vous en prie, je ferrais tout ce que vous voulez, punissez-moi plutôt.— Si tu veux racheter ta faute, ordonne Olivia, tu vas souffrir.Es-tu prête ?— Oui, Madame, dit-Julie.
Olivia fouille dans un tiroir et sort une boite débordante d’élastiques. Elle les glisse un par un à la base des seins de Julie. Les nichons ressemblent maintenant à un saucisson. Ensuite, elle prend une série d’élastiques plus petits et fait de même sur la pointe des tétons. Julie se laisse faire sans rien dire. Les seins de Julie prennent doucement une couleur bleutée.
— Madame, demande, a-t-elle d’une mine suppliante. M’autorisez-vous s’il vous plaît à me toucher ? La douleur des élastiques me tue et je pense que je pourrais mieux la supporter si vous m’autorisez à me caresser l’entre-jambe.
Je pense qu’Olivia va refuser, mais, avec un air sadique, elle accepte :
— Je t’autorise à te toucher, mais en aucun cas, tu ne peux jouir.— Un immense merci, Madame, dit la jeune fille, qui, d’une main experte, écarte les lèvres de son sexe et commence à se tripoter le bouton.
Mur par la même curiosité, Olivia et moi regardons le sexe, ouvert sous les doigts de Julie. À ma très grande surprise, son clitoris est énorme. Je n’en ai jamais vu d’aussi gros. Olivia et moi avons eu la même idée simultanément.
— Ton clitoris mérite, de part sa taille, aussi une punition. Enlève immédiatement tes mains, ordonna Olivia et écarte tes lèvres vaginales en grand.
Olivier prend un élastique et le passe, comme sur les tétons, sur le clitoris. Lorsqu’elle l’ajuste, je vois le regard de Julie se troubler et, d’une façon incontrôlée, la jouissance la submerge.
— Tu m’as mouillé les doigts, petite salope ! Dis Olivia.— Je vous prie de m’excuser, Madame, dit-Julie.— Tes seins ne sont plus irrigués par le sang. J’enlève les élastiques. Tiens-toi prête, parce que la vraie douleur, c’est lorsque le sang revient.
Olivier défait les élastiques et je vois la jeune fille souffrir comme prédit par Olivia. Lorsque l’élastique du clitoris est retiré, elle jouit une seconde fois.Julie reste pantelante, elle reprend son souffle. Son sexe est détrempé et ces seins sont marqués par les élastiques. Les tétons pointent toujours.
— Rhabille-toi, ordonne Olivia.
La jeune fille reprend ses vêtements, mais Olivia l’arête. Non, Julie, tu nous as montré ta nouvelle tenue, c’est celle-là que tu dois maintenant porter. Julie enfile la tenue puis tente de remettre ses vêtements au-dessus.
— C’est bon comme cela, file aux cours, ordonne Olivia. — Mais madame, c’est contre le règlement, je vais me faire punir.— Je vais te faire un mot, j’espère que tu as compris la leçon. File maintenant. Tes camarades vont maintenant te considérer pour ce que tu es vraiment, une future prostituée.
La jeune fille, honteuse et humiliée nous quitte en pleurs.
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