Madame Nathalie, la surveillante de l’espace nuit des filles, frappe à la porte de mon bureau. Il est bientôt 23 heures. Elle est accompagnée de Sakura en longue chemise de nuit, qui tient une brosse à cheveux dans la main.Sakura est une des rares asiatiques de notre établissement. Elle a de splendides longs cheveux noirs lisse, de couleur de geais, un visage fin, de beaux yeux en amande dont les pupilles sont de couleur marron. Elle se tient toujours droite, jamais un mouvement superflu. Elle ne marche pas, ses jambes souples la font flotter dans les airs et elle se déplace avec grâce que j’ai rarement vue. Jeune femme toujours polie et agréable avec ces camarades ou le personnel, elle est mince, ventre plat, petite poitrine aux seins fermes bien dessinés. Elle ne porte jamais de soutien-gorge, mais toujours une sage brassière de coton blanc à travers laquelle on voit parfois ses tétons érectiles.— J’ai surpris cette salope en train de se masturber avec sa brosse à cheveux, occupez-vous-en s’il vous plait, me dit Madame Nathalie qui disparait.— Rentre, dis-je, et montre-moi ce que tu faisais.Sans un mot, la jeune fille se met sur les genoux, elle cale le corps de la brosse entre ses pieds, puis s’aidant de ses mains, elle enfile la brosse dans son vagin et commence un mouvement de va-et-vient en ondulant son bassin.— Continue Sakura, dis-je.J’enlève complètement sa chemise de nuit. Elle me sourit. Son corps est exactement comme je l’avais imaginé. À travers sa toison pubienne abondante et noire, j’observe le manche de la brosse qui pénètre son sexe en rythme. Elle fait rouler ses tétons sous sa main gauche et, de sa main droite, commence à caresser son clitoris. Je la laisse faire, elle n’a aucune pudeur, elle profite du moment. Je sens que la jouissance est proche.— Arrête-toi maintenant.Elle se fige.— Voulez-vous remplacer la brosse, Monsieur, demande-t-elle ? Je ne le dirai à personne.— Ce n’est pas l’envie qui m’en manque Sakura, mais je dois malheureusement te punir. — Je comprends, dit-elle. Si je peux me permettre de vous conseiller. Les coups, cela fonctionne mal avec moi. J’ai été battue toute ma jeunesse, cela ne me fait plus rien. Toutefois, rester à genoux sur des grains de riz avec une corde qui me contraint, ça m’excite au plus au point tout en me meurtrissant. Chez moi, on appelle cela le kinbaku-bi. Je vous conseille de rechercher sur internet.Je prends mon smartphone et je regarde.— Effectivement, c’est du bondage de compétition.Il faut un matériel que je n’ai pas.— Vous savez, j’ai fait exprès de me faire prendre. Je sais très bien quand madame Nathalie passe. Je souhaite que vous vous occupiez de moi. Je me referai prendre mercredi dans deux semaines. Je compte sur vous pour acheter le matériel d’ici là. En attendant, punissez-moi comme vous le voulez, laissez des traces pour qu’elle ne se doute de rien.— Ce n’est pas à toi de choisir. Tu vas prendre ta brosse à cheveux et te battre la chatte.Elle prend la brosse en main et commence à se frapper le sexe.— Change le côté de la brosse, les piques devant.Elle retourne la brosse dans sa main et frappe moins fort.— Frappe donc plus fort.Sa chatte se rougit par les coups, au bout d’une trentaine de coups, je vois que ce n’est plus une punition, mais que le plaisir grandi, elle va venir. Je l’arrête.— Rhabille-toi et remonte au dortoir.— Merci Monsieur pour cette punition. Vous savez, dans mon pays, il est coutume de remercier l’éducateur.Elle caresse mon sexe à travers mon jeans. Je la laisse faire, c’est agréable et je bande. Elle descend ma braguette, déplace mon slip et enfourne ma queue dans sa bouche. Elle me gobe jusqu’aux testicules et en spécialiste de la gorge profonde joue avec sa langue sur mon gland. C’est délicieux, cela faisait des mois que je me contentais de masturbation. Je viens presque immédiatement, elle continue d’aspirer mon sperme chaud. Cependant, il y en a tellement qu’elle ne peut pas tout avaler et il ressort un peu par ses narines. Après une dernière succion pour me nettoyer, elle range mon pénis dans mon pantalon, se relève et s’incline.— On se voit dans deux semaines, Monsieur, merci pour votre confiance. — Je n’en ai pas fini avec toi.Elle s’arrête les bras le long du corps. Un filet de sperme coule jusqu’à son téton.— Assieds-toi !Je lui indique ma chaise de bureau. Intriguée, elle s’assied au fond du siège.— Place tes jambes sur les accoudoirs.La chaise est large. Elle écarte donc les jambes pour les placer comme demandé. Son sexe s’ouvre en grand, luisant d’excitation. Je saisis deux pinces à papier que je fixe sur les lèvres. Ces pinces clips noires doivent faire un mal de chien, mais elle ne dit rien. Je crée deux chaines, avec des élastiques laissés par Olivia, que j’accroche aux pinces clip et à la chaise. Les lèvres sont largement écartelées, me laissant la vue sur son clitoris, son urètre et l’entrée de son vagin. Je prends la brosse à cheveux par la grande l’extrémité et je lui introduis le manche dans le vagin. Après quelques va-et-vient, une fois qu’elle est bien lubrifiée, je retourne la brosse et pousse, non plus le manche, mais le corps de la brosse. Les yeux de Sakura me supplient d’arrêter, mais elle ne dit rien. J’enlève les clips. — Lève-toi et rentre dans ton dortoir.Elle se met de bout, les jambes un peu écartées, on voit le manche de la brosse qui pend entre ces jambes. Elle remet sa chemise de nuit.— Puis-je enlever la brosse, Monsieur ? Les piques me font mal.Je saisis le manche de la brosse à cheveux entre ces jambes et je la retire lentement. Puis je lui tends.— Il faudra la nettoyer, jeune fille. Que cela te serve de leçon. Un dernier point, ici en occident, une jeune fille se doit d’être épilée. Tu couperas donc cette laide toison entre tes jambes ainsi que sous les bras. Je te conseille l’épilation et pas le rasoir. Quand cela sera fait, tu viendras me montrer.
