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On sait toujours comment ça commence...

Chapitre 1

Gay
Je suis un quinquagénaire marié, heureux… et qui a un fantasme! C’est pourquoi j’ai posté sur un site de rencontres libertines une annonce qui commence ainsi:Je rêve de rencontrer un lundi après-midi chez lui, dans mon voisinage immédiat, un homme blanc black ou beur de mon âge ou plus, bien membré et joueur. De regarder nus ensemble un film x. De le masturber et de le sucer à fond…C’est ainsi qu’un jour José m’a contacté. Nous avons dialogué ensemble pendant plusieurs semaines. Il avait trouvé mon annonce sympa, sans toutefois se montrer particulièrement intéressé. Nous avons parlé de nos vies quotidiennes, de nos goûts, de notre travail... José est un chauffeur routier divorcé de 55 ans. Nous habitons le même quartier mais je ne crois pas l’avoir jamais croisé. Il est vrai que par son métier il est rarement chez lui…De fil en aiguille nous avons décidé de nous rencontrer. C’est seulement à ce stade qu’il m’a dit qu’il était tenté par ce que je proposais. J’avais presque oublié comment nous avions fait connaissance! J’étais d’autant plus surpris que son annonce disait qu’il recherchait femmes ou couples pour trio.C’est ainsi qu’avec une certaine appréhension, ce lundi en début d’après-midi, je me trouve devant l’unique porte du premier étage d’un vieil immeuble situé dans une petite rue à dix minutes à pied de chez moi. Je n’ai pas la moindre idée de ce à quoi ressemble José: plutôt que des photos il a choisi d’illustrer son annonce de dessins représentant des hommes et des femmes dans de multiples situations.Il répond enfin à mon coup de sonnette et ouvre lentement. On se regarde un instant sans bouger. Bon sang ce qu’il est beau! Un peu plus petit que moi, large d’épaules, pieds nus, vêtu d’un jean serré et d’un tee-shirt blanc qui moule un torse musclé et dévoile des bras aussi musclés que les jambes et les cuisses que je devine sous le jean. Il me sourit alors, dévoilant ses dents blanches qui rehaussent un visage mat aux pommettes hautes encadré de cheveux bruns mi-longs. Ses yeux noirs sourient aussi. Il me désigne de sa large main noueuse l’intérieur de l’appartement et me dit: « entre…». Il s’efface pour me laisser passer. J’entre en frôlant son bassin. Est-ce lui qui ne s’est pas écarté, ou moi?L’intérieur est sobre: peu de meubles, un coin cuisine, une table en bois massif recouverte de toile cirée, un téléviseur et un lecteur de dvd face à un canapé, un bahut et dans un coin un bureau avec un ordinateur. Il me propose un verre que j’accepte et s’en sert un. Il me désigne une porte et me dit: « je ne te montre pas la chambre, n’est-ce pas? On n’est pas là pour ça! ». Un bon point pour lui: ça me met à l’aise. José me montre l’ordinateur et allume l’écran. C’est ma fiche qui apparaît! Il lit mon annonce et dit: « si je lis bien, on doit se mettre nus. C’est vrai que c’est plus pratique! » Il retire son tee-shirt et son pantalon en deux secondes. Il ne porte rien dessous. Il s’approche de moi, colle son bassin contre le mien et met ses mains sur mes épaules. Son sexe lourd aussi noueux que ses mains palpite contre ma cuisse. « Tu restes habillé? » Je sursaute et me met nu à mon tour, timidement. Je jette mes vêtements dans un coin. Il m’examine d’un air approbateur et me met la main aux fesses en me disant « tu as un joli petit cul. » Il me pelote complaisamment en attardant le bout de ses doigts sur mes testicules, caressant au passage la raie de mes fesses de manière appuyée. Il m’enlace la taille et me conduit au canapé. Il m’assied sans me lâcher en me caressant les flancs, saisit une télécommande et lance le dvd. Il a coupé le son. Sur l’écran, un homme à genoux suce un grand black membré comme un taureau. Autour de ce duo, d’autres hommes debout semblent attendre leur tour en se masturbant lascivement. José saisit ma nuque, dirige avec délicatesse mon visage vers son bas-ventre et dit: « suce moi, tu veux, chéri? » Son sexe érigé, épais, aux veines saillantes, touche mes lèvres. Je le lèche du bout de la langue en le branlant, puis le prend en bouche. D’abord de quelques centimètres, puis de plus en plus loin, avec de plus en plus de frénésie. Il me caresse le dos, les épaules, les fesses qu’il écarte. Et me titille l’anus du doigt dont il enfonce légèrement le bout puis le retire en petits mouvements de va-et-vient. Je m’active avec gourmandise sur sa verge que je suce goulûment, l’inondant de ma salive.Il m’arrête au bout d’un moment, relève ma tête et me sourit: « Je n’ai pas envie de jouir tout de suite! J’ai envie de te caresser, de te toucher, de me frotter à toi. Tu veux bien, chéri? » Oui, je veux bien. Il me demande de me laisser faire et me conduit jusqu’à la table. Je ne sais pas à quel moment il a arrêté le dvd, mais la télé est éteinte, maintenant. Il me fait m’asseoir sur le bord de la table et me pose un baiser sur les lèvres. Il me caresse tout le corps en y déposant de petits baisers et ce faisant m’allonge sur le dos. Bonne surprise: il y a un molleton épais sous la toile cirée… Toute en me caressant le sexe d’un geste enveloppant il me parle d’une voix douce: « Tu aimes te faire doigter, chéri? » Je lui avoue que j’ai peu d’expérience en la matière. « Tu veux essayer? J’arrêterai si tu n’aimes pas. » Dans ces conditions, je n’ose dire non. Et puis toutes ses caresses me plaisent. J’en veux encore. « Tu veux bien, chéri? » Est-ce bien moi qui ai répondu « Oui, je veux que tu me doigte »? Il frotte sa magnifique érection contre mes cuisses et me dit: « Après tu me suceras à fond, comme tu le souhaites. » Je ne demande que ça!Il ouvre un petit tiroir sous le rebord de la table et en extrait quelque chose que je ne peux pas voir. Devant mon air sans doute inquiet, il me sourit et me montre un petit tube de plastique. « C’est du gel. Je ne tiens pas à te faire mal! Je ne veux te faire que du bien! » Il en dépose une grosse noisette au bout de ses doigts de la main droite et passe son bras gauche sous mes genoux qu’il soulève sans effort apparent. Il me masse le creux des fesses en focalisant de plus en plus la caresse. Sa verge sublime palpite contre ma cuisse. Son index s’enfonce de plus en plus profond dans mon anus qu’il enduit de gel au passage. Il le fait entrer et sortir dans un mouvement légèrement tournant qui m’ouvre imperceptiblement. « Mais tu aimes ça chéri! » Oui, j’aime ce qu’il me fait. Son doigt toujours en moi il marque une pause. « J’ai le bras qui fatigue, ça ne t’ennuie pas qu’on change de position? » Il n’attend pas ma réponse. De sa main gauche, il monte ma jambe gauche sur son épaule droite et ma jambe droite sur son épaule gauche, puis reprend sa caresse inventives au creux de mes reins. D’un léger mouvement des hanches, Il me caresse les fesses avec son gland brûlant et gonflé. Je me laisse faire. Mon anus accepte et demande sa caresse. Il sourit de plus en plus largement en me fouissant. Je l’interroge du regard. Alors il dit: « as-tu réalisé que depuis une minute je te pénètre avec deux doigts? Non, hein? Et tu en redemandes, gourmand! » Il hésite, puis lance en scrutant mon regard: tu es tellement dilaté que je pourrais te prendre le cul comme un con de fille. » Il n’a pas arrêté son doigtage. « Je t’ai fait peur? Tu veux qu’on arrête là? » Oui j’ai un peu peur de la suite, mais non je ne veux pas qu’on arrête là.José lit mon abandon sur mon visage. Il me dit: « tu vas voir. Je ne vais pas le faire, je vais juste te montrer un peu. Rien que le contact, pas plus… Oui? » Je murmure: « Si tu veux… Rien que le contact… » Il retire prestement ses doigts et appuie son gland contre mon anus. Bien qu’il n’y ait plus rien en moi j’ai la sensation rémanente de ses doigts. Il ne bouge plus. Je me sens bien. Au bout de deux longues minutes il me murmure d’une voix rauque: « tout à l’heure tu n’as pas senti que je t’avais mis deux doigts. Et là tu sens mon gland en toi? » Je cherche à savoir s’il plaisante. Je réalise que non. « Tu veux que j’aille plus loin. » Ce n’est pas une question. Ma bouche forme un oui que je ne prononce pas. Je sens sa verge épaisse s’enfoncer lentement en moi. C’est agréable. Je souffle: « Vas y !» Il me prend d’un coup de reins et me lance: « Tu veux que je te bourre le cul bien à fond, gourmande! » Je crois que c’est ce que je veux. Je lui réponds « oui. » Il se lâche et me prend frénétiquement. Il me baise longuement et sans ménagement à grand coups de bassin en débitant des phrases crues « Tu aimes comme je te ramone salope! Comme tu es bonne, ma chérie, tu es une bonne chienne qui aime la queue! Prend bien ma queue, que je te féconde les entrailles, femelle! » Il accélère pendant de très longues et trop courtes minute et je sais que sa verge frotte contre ma prostate. On peut donc Jouir comme çà ??? Il hurle « Je jouis !!! » Moi aussi je crois que j’ai un orgasme. Je sens sa semence m’inonder et je décharge sur sa main qui a agrippé mon sexe. Je n’en reviens pas: je viens de me faire sodomiser par un homme et j’ai aimé ça!Nous restons ancrés sans bouger. Puis je dis à José: « viens dans ma bouche, je vais te nettoyer. » Il rejoint mon visage en titubant, comme ivre. Je fais basculer ma tête en arrière au bord de la table et prend en bouche son beau sexe qui s’endort. Je le suce lentement comme une friandise. C’est étrange, j’ai toujours l’impression de l’avoir au creux de mes reins. Au bout de quelques temps il sort de ma bouche. Je pose une bise sur sa hampe au passage et attrape sa main poisseuse de mon sperme. Je la nettoie soigneusement du bout de la langue. Il me relève et m’embrasse longuement dans le cou en me serrant contre lui. Puis en me tenant par la taille il me ramène au canapé. Nous nous asseyons après qu’il nous ait resservi un verre.José prend la télécommande et rallume le dvd. Il me regarde et dit: « je t’avais promis que tu pourrais me sucer à fond comme tu le souhaitais, ma chérie. Tu vois: Je recommence à bander. Tu vas pouvoir t’y mettre, ma belle pute! » Sur l’écran, l’homme à genoux a attiré vers sa bouche le pubis d’un homme mur bedonnant et poilu et suce son sexe en alternant avec celui du grand black.On sait toujours comment les choses commencent, on ne sait jamais comment elles finissent…
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