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A la salle de gym

Chapitre 1

la douche

Gay
Je fais du sport plusieurs fois par semaine. Pour moi, c’est important. J’aime la sensation que procure l’exercice, cette acuité particulière que l’on acquiert sur son propre corps : chaque muscle semble plus présent, plus sec et plus dur. D’habitude, j’y vais entre midi et deux : cardio, puis machines, puis douche et retour au boulot ! Mais cette semaine, je n’ai pas pu y aller pour diverses raisons professionnelles. Du coup, j’ai décidé d’y aller un soir. Je remarque que la piscine de la salle est ouverte à la nage libre et du coup, je prends mon maillot pour faire une grosse séance bras plus piscine. Entre la séquence salle et la séquence piscine, je passe donc prendre une douche rapide. Celles-ci, de ce côté, sont légèrement différentes des autres : en effet, il n’y a pas de cloison entre certaines, car l’espace est plus exigu. Je trouve ça amusant, ça me rappelle les vestiaires de mon collège.
Evidemment, j’ai toujours aimé les ambiances de vestiaires et de douches collectives, qui sont souvent l’occasion de voir de beaux corps décomplexés et en dehors des carcans sociaux habituels : Sans habits, il ne reste que nous-mêmes et cette atmosphère masculine est érotique dans son ambiguïté : d’un côté, elle se veut plus virile, mais en même temps, les garçons entre eux, plus vulnérables peut-être, semblent plus enclins à la douceur. Même chez les plus hétéros d’entre nous, on note des attentions plus douces, parfois même des contacts et des touchers qu’on ne se permettrait pas à l’extérieur. Des garçons qui habituellement répugnent au contact et à la douceur deviennent plus tactiles.
On a l’impression qu’ils veulent confronter cet autre corps si similaire au leur, mais malgré tout subtilement différent. C’est souvent très touchant de voir les barrières lâcher et de voir des mecs totalement hétéros se toucher, se presser les uns aux autres, nus, sans que cela semble leur poser le moindre problème.
Au contraire, on a l’impression que cela leur permet des gestes, des regards impossibles ailleurs. Voir son meilleur pote nu, découvrir son sexe, ses testicules, les poils de son pubis semble comme une seconde rencontre. La curiosité semble d’abord le premier moteur, motivée par les questionnements de rapport de taille... Mais rapidement, il y a autre chose : Toi, mon alter ego, mon ami, mon frère, toi qui es un visage, une silhouette, une coiffure, tu es aussi ce pénis, court ou allongé, léger ou lourd comme une enclume entre tes jambes. Tu es aussi ce sac dans lequel pendent tes couilles, rétractées par le froid, ou lourdes, imposantes comme une évidence de ta masculinité.
Bref, j’entrais dans cette douche imprégnée de ces souvenirs anciens et nostalgiques, quand je croise un mec magnifique : très grand et très musclé, un corps de nageur, imposant et marmoréen où se dessinent des épaules larges sur une taille très fine, un ventre plat et dessiné jusqu’au pubis qui se souligne entre de belles cuisses...
Un torse imberbe, mais des jambes poilues : le contraste lui donne l’allure d’un faune. Tout à la contemplation de l’ensemble, je ne comprends pas immédiatement qu’au milieu de cet ensemble harmonieux, trône comme en son pays, un sexe large et lourd qui ne cache pas deux magnifiques couilles qui, loin de pendre, sont assez hautes pour rehausser le morceau. La lumière est faible, mais j’ai l’impression de voir s’y dessiner ses veines...
Je pourrais presque décrire le dessin de son gland sous son prépuce. C’est probablement là que, de simple contemplation, cette vision commence à éveiller ma curiosité : en effet, dans le vrai monde, une telle forme n’existe pas à l’état naturel et c’est souvent le désir et l’excitation qui donnent ses formes aux plus jolis des appareils.
Je n’ai malheureusement pas le loisir de lui demander, car il sort justement au moment où, moi, je rentre dans la douche. Je ne vais pas retourner sur mes pas et le suivre pour savoir si la nature l’a si bien pourvu ou si quelque chose l’a mis dans cet état.
Il a justement laissé une place vacante au fond des douches que je prends du coup, un peu dépité de ne pas devoir la partager avec lui. Je pose ma serviette en face de moi et je pose mon gel douche sur le porte-savon. La lumière est faible. J’ai remarqué que, souvent dans les douches, la lumière est faiblarde, mais là, il fait particulièrement sombre. À côté de moi, un jeune mec se douche. Il n’est pas très grand, mais bien fait, coupe courte et une barbe légère. Je m’habitue peu à peu à la pénombre ambiante et je crois deviner chez mon voisin de douche une belle et notable érection. Il tente de la cacher en se tournant vers le fond. J’ai l’impression que son précédent voisin lui avait fait de l’effet. Probablement par peur, il me semble que sa queue diminue de taille et surtout se retrouve assujettie aux lois de la pesanteur...
Bref à mon grand désarroi, il débande doucement. Ne sachant trop s’il s’agissait d’un accident de sa part ou bien si je ne suis pas à son goût, je reste discret, mais je continue ma douche.
Je prends le temps de me savonner le corps et bien sûr l’entrejambe. Comme souvent j’y prends du plaisir et je commence à sentir ma tige se gonfler. C’est très agréable. Probablement encore à peine perceptible, mais très agréable. De son côté, mon voisin continue de se savonner. Je remarque qu’il prend lui aussi tout son temps pour se savonner en bas du ventre. Maintenant que mes yeux se sont habitués à la lumière, je vois la paume de sa main descendre du bas de son ventre vers sa tige et prendre le temps de passer dessus, descendre tout le long puis revenir depuis la base de ses couilles, en les remontant au passage. A priori il n’a pas perdu son excitation et j’en suis ravi. Je vois son chibre prendre en volume à chaque passage de sa main. Je crois qu’il est en confiance de nouveau. Voilà qui m’émeut au plus haut point et je me rapproche du mur en carrelage de la douche.
Le mur est un peu plus frais que l’eau et, alors que je m’en rapproche, je trouve la différence de température exquise.
Ma queue est encore demi-molle, et le contact du mur frais sur la face supérieure de mon membre est délicieux. Je recommence encore, une fois, deux fois... c’est désormais mon gland qui touche le mur...
Chaque apposition sur le mur me calme alors que chaque nouveau passage sous l’eau chaude me refait gonfler. Mon voisin n’a rien perdu de mon petit manège, car je le vois désormais me regarder avec insistance. Il est vraiment mignon : un visage fin et rond, de beaux yeux sombres avec de longs cils...
Tout en me regardant faire, il se caresse doucement, désormais à pleine main et je peux voir que son sexe est de nouveau à la verticale, pointant vers son ventre. A chaque mouvement de sa main, son gland se recouvre un peu - chaque fois un peu moins, car il est désormais de plus en plus dégagé. Il finit même par décalotter complètement sa couronne par un mouvement délicieux. De mon côté ; ma queue est désormais à l’horizontale. Gonflée, elle pointe vers le mur et je continue ce petit jeu de friction sur le carrelage.
J’écrase mon gland sur la paroi. Je devine et je ressens le méat qui s’ouvre, se ferme et se tord à chaque pression. J’imagine que je mouille, mais je ne peux pas le voir. L’ouverture tout entière doit être désormais remplie de precum. Ce faisant, je prends le temps d’admirer mon camarade de jeu : Comme je l’ai dit, il n’est pas très grand, mais avec de belles épaules... et un cul ! un cul magnifique, galbé comme une pomme. Une fine ligne de poils se dessine entre son nombril et son pubis, semblant indiquer la voie à suivre. Pour le reste il est glabre et son sexe est entretenu. Ses couilles sont rasées et je peux donc les admirer quand elles sont tirées vers le haut par ses mouvements de va-et-vient. Je bande désormais copieusement, presque douloureusement. Il n’y a personne dans les douches et nous nous faisons face. D’abord cet échange de regards, appuyés, les yeux qui clignent imperceptiblement, puis les mains qui s’approchent.
Ma main empoigne sa tige alors qu’il en fait autant, mouvement symétrique, c’est comme un pas de danse.
Le toucher d’abord, délicieux, puis la surprise de la prise en main. C’est toujours une découverte de découvrir à l’aveugle les dimensions physiques de l’autre : Un sexe pourtant si semblable au nôtre prend toute sa substance quand on l’empoigne. Je commence à glisser ma main le long de sa hampe et je sens la légère résistance de la peau lorsque j’arrive en fin de course...
Cette douceur incroyable. Son gland est décalotté, je sens sa couronne s’ouvrir comme une fleur. Lorsque je repars dans l’autre sens, elle semble résister un peu puis docilement, rentre dans son fourreau. Mon partenaire semble saisi par la sensation, car je vois ses yeux s’écarquiller et sa bouche dessine un "o" de surprise, qui rapidement redevient un sourire. Lui s’est emparé de moi de la même manière. Sa main a buté sur mon gland qu’il a d’abord enveloppé, puis sa main a commencé à glisser le long de ma queue. L’eau et le savon nous facilitent la tâche et c’est sans résistance qu’il arrive jusqu’à la base de ma tige, entre les couilles.
Je ressens sa paume à la toute base et à la base de mes boules. C’est délicieux. Continuant ce mouvement, il finit de durcir ma tige qui pointe désormais son arc, elle aussi vers le haut. Nous nous rapprochons et, relâchant notre emprise, nos deux queues finissent par se rencontrer enfin. Comme il est plus petit que moi, la sienne se pose au milieu de ma hampe. Il commence cependant un mouvement de bas en haut très agréable : nos deux barreaux, durcis comme jamais, se frottent l’un à l’autre. Au moment où nous nous rapprochons encore un peu plus pour nous embrasser, quelqu’un rentre dans la salle de douche. Nous nous retournons, penauds vers le mur, cachant nos sexes qui par le stress ne tardent pas à débander. Le nouvel arrivant n’a pas du tout l’allure d’un potentiel compagnon de jeu et, le temps avançant, je décide à regret de quitter la douche et je me dirige vers le hammam. Peut-être que mon nouvel ami va avoir l’idée de m’y rejoindre. Qui sait ?
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