— Attends Damien, pour être sûr et si ton père est encore vaillant, je voudrais qu’il m’ensemence encore une fois !— Tu en demandes trop Jade, mon père ne pourra pas... Mais quand il constate l’effet sur ma verge des attentions manuelles de sa femme, il commence à douter : — Papa, tu crois que, que tu peux encore la saillir ? Moi, j’ai déjà des difficultés pour arriver à jouir deux fois de suite.— Bien sûr que je peux mon fils, et ça ne devrait pas te surprendre, car tu connais ma réputation.
Et c’est reparti pour un tour... Pistonnage et graissage final. Je pourrais encore recommencer s’il le fallait, mais Jade ne veut pas lui mettre la honte.Pendant pratiquement deux mois, chaque jeudi, je m’escrime vaillamment à ce sacerdoce comme un ouvrier consciencieux du travail bien fait. Le plaisir est partagé avec ma garce de belle-fille qui ne se retient même plus pour manifester bruyamment son plaisir quand un orgasme la submerge. Pour elle, je me demande si la fonction de future génitrice l’emporte encore sur celle de salope. Je me demande même si elle ne prend pas la pilule en cachette pour prolonger la chose.Jade, pour que Damien ne se doute de rien, a pris l’habitude de le faire participer à nos ébats, comme ça, il aura un peu l’impression d’avoir été utile pour mettre enceinte sa femme comme la mouche du coche de la fable. Damien participe donc à nos séances en offrant sa bite à sucer ou en me remplaçant dans la jolie chatte de son épouse si salope quand elle préfère gober mon gourdin goulûment. — Viens nous sucer Jade, montre-nous que tu adores ça ! Elle ne se fait pas prier. Ses petites mains viennent saisir nos bites et bien vite, sa jolie bouche passe de l’une à l’autre et vient m’arracher des soupirs tant elle est incroyablement experte à cet exercice. Sa langue, ses lèvres, sa bouche, ses joues qui se creusent... Je ne suis pas télépathe, mais je sais bien ce qu’elle pense à ce moment-là : — Tu aimes que je te suce, hein ? Et ça te fait encore plus bander que ce soit devant ton fils.
Ses petites mains branlent alternativement les bourses et les bites. — Jade, tu suces comme une reine ! N’arrête surtout pas !
Sous mes encouragements, elle passe d’un chibre à l’autre, en comparant la forme et la dureté, s’attardant franchement plus longtemps sur la mienne, ma main perdue dans sa chevelure, putain que je voudrais lui bouffer la chatte ! Elle doit être lubrifiée à souhait.Mais mon fils me fait une nouvelle demande après ce début prometteur: — Papa, euh... J’ai un peu honte de te demander ça. Jade voudrait que je la sodomise, mais comme je manque de pratique, elle voudrait que tu prépares les lieux. Elle les lui fera toutes ! Il est vrai que plus d’une fois, j’ai hésité, mais me suis retenu. Oser demander à son mari qu’il me propose le cul de ma bru pour aléser la place, il fallait y penser !!!L’envie de la pilonner par là m’a souvent tenaillé pendant nos ébats procréatifs, mais n’aurait pas servi à l’objectif fixé. Je suppose que pour elle aussi, ma queue défonçant sa rondelle doit aussi lui manquer. — Je veux bien répondre favorablement à ta proposition bien que l’on s’écarte un peu de l’objectif du début. Mais si ça peut la mettre en meilleure disposition pour obtenir une fécondation... Je ne veux pas non plus que mon refus puisse rendre plus désagréable ce moment pour elle et pour toi. Tu pourras ensuite profiter de ce plaisir très spécial si l’exercice lui plaît.— Oui, oh merci papa, même si je t’en demande beaucoup, c’est ce que je voudrais !— Bon, allons-y... Jade, suce mon fils, s’il te plaît. S’il savait, le pauvre... Damien lui présente sa queue pour se faire pomper pendant que je claque les fesses de Jade sous le regard étonné de mon dadais de fils. Mes mains écartent ses fesses pour que ma langue la fasse mugir de bonheur. Je goûte son jus de chatte si abondant, en hume les fragrances pendant que mes doigts parcourent le sillon de ses fesses et s’approchent du petit trou, mon index appuie dessus, masse la rondelle où ma langue essaie de s’enfoncer. Elle frétille et ondule du cul, m’appelant à aller plus loin. Je pousse un peu et mon index pénètre ce lieu. Je tourne mon poignet, déformant l’anus d’un léger mouvement d’avant en arrière. Jade réagit aussitôt comme une folle sous le regard médusé de mon fils aux premières loges pour profiter du spectacle de cette rencontre entre mon doigt et l’anus de sa moitié ! Des cercles de plus en plus larges, une langue qui se charge de cyprine pour apporter le lubrifiant nécessaire, un deuxième doigt qui rejoint le premier... La garce grogne de plaisir malgré la teub qui encombre sa bouche. Son cul absorbe sans difficulté mes doigts. La salope ne peut plus se retenir, recrache la queue de son mari pour hurler sans retenue: — Ouiiiiiiiiii Patriiiiiick ! Vas-y, remue tes doigts, enfonce les... Oh que c’est bon Pat... Joli-papa !!!— On dirait que tu aimes ça, hein, salope ?— Oh ouiiiiiiiii. Va... allez-y... encore !!!! Putain !!! Si avec ces paroles, il ne se doute pas qu’il y a un loup dans la bergerie ! J’essaie de noyer le poisson. — Regarde, fiston, comme les femmes aiment cette caresse ! Mais il faut bien mouiller tes doigts dans sa chatte avant ! Damien est si excité par le spectacle qu’il éjacule dans la bouche accueillante de Jade, elle avale sans sourciller et il n’en revient pas, car elle lui a toujours dit qu’elle détestait ça.Je reprends la main pour continuer la préparation de son petit cul. Je sais bien qu’il a connu des heures de pilonnage de ma queue, mais il faut bien donner le change.J’ai une envie folle de l’enculer « à la russe », de lui péter l’ognon ! Je la positionne comme j’aime, le cul bien haut, les jambes à peine écartées, mes mains appuient sur ses hanches pour creuser ses reins, sa tête repose entre ses avant-bras. Je ne peux plus résister à un tel « pousse-au-crime », ma grosse queue est à la porte étroite de son anus, frétillante des retrouvailles après une si longue absence. Sans aucune difficulté, j’entre la tête haute (de ma queue) dans ce cul somptueusement serré, en un mouvement puissant, mais tout en lenteur pour que Damien ne se pose pas de question. Jade a un mouvement de recul pour venir s’empaler sur mon manche. Mon nœud écartèle ses chairs au passage, qui s’ouvrent sans difficulté. Il est maintenant bien logé dans son trou. Je peux commencer la leçon pour mon fils. Bien sûr, Jade ne manque pas l’occasion de jouer la comédie dès que mon gland disparaît entre ses fesses en fixant du regard son mari: — Aaahhh ! Mon Dieu que vous êtes gros, beau-papa ! Prends-en de la graine, Damien !— Tu vois, Jade, ce n’est pas si désagréable d’avoir une belle queue dans son cul.— Oh oui que c’est booon... Mais putain que vous avez une grosse queue, beau-papa !Aaaahhhhh.— Attends que je te ramone le cul avant de te plaindre, espèce de chienne lubrique, tiens, prends ça dans ton cul ! On dirait que tu aimes ça, te faire défoncer la rondelle par ton beau-père, hein ? Tu es une sale petite vicieuse que je vais faire jouir du fion et toi mon fils, comment peux-tu supporter de voir ta salope de femme se faire enculer sous tes yeux ? Mais ça n’ébranle même cette garce qui en redemande — Oh oui beau-papa, parlez-moi comme à une traînée ! Fourrez-moi à fond, prenez-moi comme une bête. Je veux jouir de cette grosse queue, que mon cul avale votre foutre chaud d’étalon !— Petite salope ! Je ne veux plus t’entendre parler. Regarde, ton mari rebande, suce-le et applique-toi !
Je commence à bouger, quelques allers-retours pour prendre possession de son cul, en amplifiant l’amplitude des mouvements. Ma grosse queue s’enfonce progressivement entre ses deux jolies petites fesses, c’est le paradis retrouvé!!!! Je pousse pour entrer un peu plus dans ce tunnel sombre, mais ce n’est pas assez rapide pour elle. Jade projette son cul à la rencontre de ma teub qui entre sans difficulté en elle. Je m’active et la ramone bien à fond, faisant claquer mon corps sur ses fesses pour bien lui faire sentir la longueur de mon manche qui coulisse dans son fondement. Elle ne peut retenir ses cris de truie en chaleur. L’appartement tout entier en résonne. Je halète sous l’effort, le souffle court, fouaillant son trou et frottant son clito d’une main experte pour multiplier ses plaisirs. De l’autre, je la tire par l’épaule pour toujours mieux la bourrer le plus profondément possible. La petite enchaîne les plaisirs, la bouche pleine de la queue légitime et le cul défoncé par votre serviteur, on dirait que ça ne lui suffit pas, car elle glisse une main entre ses cuisses pour exciter son clito, multipliant les orgasmes. Je suis presque prêt à jouir dans ce cul, mais je ne peux pas, je réserve ça à mon fils quand je me souviens que le but, au début, était d’ouvrir la voie à Damien. Je me retire donc pour lui laisser la place. — Fiston, viens prendre ma place et lui graisser ses boyaux de salope. Moi, je vais lui donner sa ration de crème. Une petite gymnastique et les rôles sont inversés, Damien n’a aucune difficulté pour boucher le trou, tapant la chatte de ses couilles en l’enculant allégrement, constatant que mon passage facilite l’intromission. Il n’a pas l’habitude d’être aussi serré et l’effet est presque immédiat. Dans un énorme grognement, il s’enfonce au plus profond et en quelques coups de queue, décharge dans le cul accueillant de Jade. Bien au fond du cul, il reste immobile pendant que son sperme vient remplir la place encore chaude. Il se retire enfin en flattant cette croupe divine. — Merci papa. Quel pied !— De rien, mon fils, mais moi aussi je vais me vider les couilles.
Il me reste à lui offrir tout ce sperme qui gonfle mes bourses. Je laboure frénétiquement sa bouche et éjacule en saccades brûlantes. La petite salope attend bien que je sois tari, me montre sa récolte en ouvrant la bouche puis déglutit pour déguster mon nectar. Une vraie pute, je vous dis ! Passage à la douche, je les quitte les laissant ressasser seuls le « don de mon corps » en un partage familial ! Au bout du troisième mois, ils m’annoncent enfin (ou déjà) la bonne nouvelle, Jade est enceinte. Dire que je vais être papa une nouvelle fois et pour la première fois grand-père !Mais avec une telle famille entre la mère et la fille, l’histoire va-t-elle s’arrêter là ? Je ne sais pas... A suivre... De pire en pire, je saute ma belle-fille enceinte avec la participation de sa mère. (Il faudrait bien qu’un jour, je fasse l’arbre généalogique de Patrick et de sa famille. Qu’en pensez-vous ? Si vous me le demandez, je m’y attelle. L’auteur.)
