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ma salope de cousine

Chapitre 4

Inceste
chap4

Elle prit délicatement ma main et me fit tenir sa fourchette. Elle guida lentement ma main jusqu’à son assiette, où elle saisit un peu de l’entrée que j’avais préparé, de la salade et des champignons. Puis, toujours tenant ma main, elle fit remonter la fourchette jusqu’à ses lèvres et la mit en bouche. Elle tenait toujours ma main lorsqu’elle mâchait lentement mon plat et me regardait fixement de ses grands yeux verts.
« Alors ? Demandais-je timidement. C’est bon ? — Verdict à la fin du repas seulement ! En attendant continue de me donner à manger, comme un grand cette fois, elle ria. »
Ce petit rituel se répéta jusqu’à ce qu’elle eut terminé. Puis rebelote avec le plat suivant et ce, jusqu’à la fin du repas.
« Eh bien c’était comestible on va dire, mais trop simple. C’est dommage, fit-elle, je suis sûr que tu es doué pourtant. Elle accompagnait ses paroles d’une déception ironique dans la voix. — Pas de récompense alors… ? — Laisse moi réfléchir… elle se caressait le menton et regardait le plafond d’un air penseur. Après quelques secondes, voyant que j’attendais vivement sa réponse elle me regarda du coin de l’œil : — Aller on va dire une petite récompense pour la bonne volonté ! »
Elle se pencha vers moi et me fit un baiser sur la joue. Je rougie, je ne m’attendais pas à ça ! Je n’étais plus puceau de la joue ! Décidément le séjour semblait être plutôt enrichissant.« hi hi, tu es tout rouge ! Se moquait-elle. Bon je vais me doucher, tu as le droit de prendre ton repas en attendant. On reprend juste après, j’ai encore des choses pour toi ! »
Je m’assis donc, encore sous le choc et mangeais ma salade. Je ne pus pas avaler le reste. Je commençais sérieusement à flipper et à me poser des questions sur ses intentions. Au bout d’une vingtaine de minute on n’entendit plus le bruit du jet d’eau et elle m’appela :
« Tu peux entrer, je n’ai pas fermé à clé. Je m’exécutai. Elle était encore dans la baignoire, le rideau de douche était encore tiré. — Je vais avoir besoin de toi. Parce que je suis une grosse étourdie, dit-elle malicieusement. — Qu’est-ce que je dois faire ? — Prend moi une serviette dans le placard s’il te plait, je vais tremper partout si je sors, et il faudrait que tu nettoies alors… c’est bon ?
— Oui. »
Elle ouvrit alors le rideau et sortie, nue de la baignoire ! Son teint était aussi éclatant que son visage, sur tout son corps magnifique. Bien sûr je ne pus m’empêcher de contempler sa sublime poitrine, désormais libérée de toute enveloppe comme le cœur d’une fleur qui se serait épanouie. Les deux petits bourgeons qui pointaient au bout de ses deux seins étaient les deux seules variations dans le blanc immaculé de sa peau. Je ne pus admirer son jardin secret car il était dissimulé derrière une de ses cuisses. Mais cela m’importait peu tant cette cuisse était agréable à admirer. Les gouttes d’eaux glissaient sur le profil de ses fesses et descendaient le long de ses jambes.
« Eh oh, tu vas rester là à me regarder ? Pendant ce temps l’eau se répand sur le sol, tu vas tout nettoyer je te préviens ! Me lança-t-elle pour me faire ressurgir. »
Je me dépêchai de venir la recouvrir de la serviette. Elle se tourna à mon approche pour que je puisse la déposer sur ses épaules. Je profitai de ses quelques dixièmes de seconde qu’elle m’offrait pour admirer son délicieux postérieur. Puis il fut caché derrière la serviette de bain.
Elle s’assit ensuite sur un petit tabouret et toujours enveloppée de la serviette et me tournant le dos :
« Bien, maintenant tu vas me sécher. Mais attention, si je surprends une seule main baladeuse je balance tout ! Menaça-t-elle avec ce ton amusé qui devenait habituel. »
J’empoignai la serviette et commençai par lui sécher le dos. Je frottais entre les omoplates quand elle m’interrompit :
« Attention, vas plus doucement, tu vas m’arracher la peau ! — Ah mince, désolé — Applique-toi et tu auras une autre récompense. — D’accord. »
Je repris ma tâche. Je recommençai du haut du dos. Après avoir essuyé ses épaules je descendais sur les omoplates, puis tout le long de sa croupe. Au fils de ma descente elle se dressait de plus en plus droit. Quand j’arrivais au bas du dos je pus sentir un frisson la parcourir. Elle se cambra alors et laissa échapper un léger soupir.
Je remontai ensuite par les flancs de chacun de ses côtés pour atteindre son ventre. J’approchai de la poitrine quand je fus saisi d’un doute :
« Hum, Cécilia ? — Oui ? Me demanda-t-elle innocemment. — Je fais comment pour euh… ben… — Mes seins ? — Euh… oui c’est ça… — Tant que tu ne fais que les sécher ce n’est pas mal, n’est-ce pas ? — Euh eh bien je suppose que tu as raison… Je ne comprenais pas tellement la différence mais je n’avais pas vraiment envie de la chercher. — Evidemment que j’ai raison ! »
Je remontai alors mes mains, ce qui eut pour effet de resserrer notre étreinte. Je sentis ses cheveux encore mouillés se coller à mon torse, et l’imprégner de leur odeur sucrée. Elle pencha légèrement la tête en arrière à ce contact :
« Dépêche-toi, ou je pourrai changer d’avis… » Me susurra-t-elle dans l’oreille. Je fis alors glisser mes mains autour de ses seins et commençai à les caresser à travers la serviette. « Sois doux, c’est sensible le corps d’une femme… » Continuait-elle à me souffler dans le cou.
Pendant qu’une de mes mains continuait de sécher sa somptueuse poitrine, l’autre remonta pour lui effleurer la gorge. Mes mains glissaient sur son corps dans un mouvement fluide et langoureux. Au bout de quelques minutes, je décidai qu’il était temps de descendre encore d’un cran. Je rejoins à nouveau son ventre, survolant le tendre petit bouton qui faisait office de nombril. J’atteignais les courbes des hanches et le bas-ventre lorsque :
« Bien, je vais continuer moi même maintenant. Tu seras un amour de nettoyer toute l’eau au sol. Me dit-elle le plus naturellement du monde. — Mais euh je n’ai pas f… — Aller, active toi si tu veux ta récompense ! Trancha-t-elle. — Très bien. Je me résous à lui obéir. »
Pendant que je nettoyais, je continuais de l’observer. Elle s’essuya rapidement les jambes, continuant de me cacher la vue de son entrecuisse. Elle prit ensuite un sèche-cheveux et fit souffler l’appareil dans sa crinière blonde. Le parfum devenait enivrant dans la petite pièce. Les ondulations de sa toison en devenaient envoûtantes.
Quand elle eut finis, toujours nue, elle s’assit de nouveau sur le tabouret. Elle se tourna dans ma direction, les jambes croisées. Elle me fit signe :
« Il semblerait que tu as fait du bon travail. — Merci… répondis-je, dubitatif. »
Elle pencha légèrement la tête sur le côté, et de son sourire le plus charmeur : « Tu viens chercher ta récompense maintenant ? »Elle inclina sa tête vers son épaule, et me tendit un sourire aguicheur : « Approche si tu veux toujours ta récompense… »
Quelque peu dérouté par sa pose, je mis quelques secondes à réagir. Mais elle ne bougeait pas et continuait de me fixer, toujours un sourire dessiné sur sa magnifique bouche. Je finis par avancer vers elle. Elle enroula la serviette autour de sa taille et se leva à mon arrivée.
Elle prit délicatement mes mains et enferma ses seins entre mes doigts. Sous mes paumes je pouvais sentir leur incroyable douceur cotonneuse. Elle me faisait délicatement faire le tour de ses rondeurs. Je restais silencieux, bouche bée devant l’éternel sourire sur ses lèvres.
Mais j’avais envie que ses lèvres viennent s’unir aux miennes. Elle le comprit et relâcha son emprise sur mes mains. Je continuais de caresser ses souples bontés pendant qu’une de ses mains passait dans mes cheveux et que l’autre se posait sur ma taille.
Elle approchait son visage. Elle entrouvrit les lèvres et je fis de même. Elle continuait d’approcher doucement lorsque je fermai les yeux. Je pouvais désormais sentir son souffle sur ma peau. Nous ne fîmes plus un geste quelques secondes puis elle brisa le silence :
« C’était une belle récompense n’est-ce pas ? Me murmura-t-elle. Elle recula ensuite et remis ses vêtements. — Mais… — Un souci ? Ca ne t’a pas plu ? Me nargua-elle. Elle se dirigea ensuite vers la sortie et lorsqu’elle fut à mon niveau : — Pourtant j’ai plutôt l’impression du contraire, dit-elle amusée, en effleurant mon entrejambe gonflé. »
Je rougis et tentai de cacher mon érection. Ce qui était stupide je l’admets. Elle me fit signe de la suivre et nous montâmes à l’étage, dans sa chambre. Elle choisit un livre dans sa bibliothèque et s’étendit sur le lit. Je restai planté debout, attendant des directives mais elle n’y prêtait pas attention :
« Hem, Cécilia ? — Oui ? Répondit-elle le plus naturellement du monde. — Je suis censé faire quoi ? Fis-je, désemparé. — Oh tu tiens vraiment à me rendre service ! C’est trop mignon ! »
La garce, elle se fichait complètement de moi. Et elle le faisait bien en plus, je commençai à avoir un peu les glandes.
« Eh bien tu peux trier mes fringues dans l’armoire. Sépare bien les hauts et les bas, les vêtements d’hiver et ceux d’été. Et les couleurs bien sûr. Énuméra-t-elle. Mais n’y passe pas l’après-midi, sinon ils seront rentrés avant qu’on ait eu le temps de s’amuser, ajouta-t-elle devant mon air décontenancé. Tu es un amour, je t’adore mon cousin ! — Très bien, grommelai-je avant de me mettre au travail. »
Je me mis à trier ses vêtements qui étaient déjà en réalité très bien rangés, mais différemment de ce qu’elle m’avait demandé. J’étais vraiment devenu son petit chien-chien. Au bout d’environ une demi-heure elle se redressa et posa son livre : « Bon je m’ennuie. Laisse si tu n’as pas fini et assis toi. — ok j’arrive. J’accrochai le cintre que je tenais et m’assis au bout du lit. — Dis-moi, j’aimerai savoir quelque chose. Commença-t-elle. Jusqu’où crois tu que tu puisses aller pour que je tienne ma langue ? — Qu’est-ce que tu as en tête ? Questionnai-je en fronçant les sourcils. »
Elle se laissa glisser lentement le long du lit, pour revenir en position allongée. Elle releva sa jupe de quelques centimètres, et étendit sa jambe devant mon nez :
« Baise mes pieds. Demanda-t-elle. — Ca va pas non ? — Ils sont propres t’en fais pas. — Mais je vais pas faire ça !! Je tentais de résister. — Très bien, prépare-toi à avoir une longue discussion avec tes parents ce soir… — Tu le feras pas ! — Ah tu crois ? Fit-elle avec un léger rictus. »
Je doutais. Je risquais gros et cette fille était imprévisible. Je tendis mes mains pour y laisser reposer sa jambe. Sa douceur était à la hauteur du reste de son corps et je fus tenté de faire glisser une main jusqu’à son mollet. De l’autre je soutenais son pied par le talon. Je penchai alors les lèvres dessus et commençai à l’embrasser.
« Eh bien tu vois, c’est pas si dur. Et tu le fais si bien ça aurait été dommage de ne pas m’en faire profiter tu ne crois pas ? » S’amusait-elle à commenter.
J’embrassais la plante de son pied et goûtais de son odeur de lavande. L’odeur du savon était imprégnée jusqu’entre les orteils. Elle retira ensuite sa jambe pour me tendre la deuxième.
« Utilise ta langue sur celle-ci » Ordonna-t-elle.
J’obéis. Je passai ma langue sur toute la plante de son pied, parfois deux fois. Puis je suçai avec attention chacun de ses orteils.
« Tu t’enflammes on dirait, c’est bien, continue. » Murmura-t-elle langoureusement.
Je repris les baisers sur le dos du pied et en fis le tour.
« Et si tu remontais maintenant ? Me suggéra-t-elle, taquine. — Oui, répondis-je simplement. »
J’embrassai désormais sa cheville. Puis j’atteins le genou et enfin la magnifique cuisse. Là elle m’arrêta :
« Bien, j’ai pu constater que tu étais un garçon obéissant. Tu as mérité une récompense. »
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