Au lendemain de ma fête d’anniversaire, vers 10h, tous les invités rentrèrent chez eux les uns après les autres. Je donnai l’accolade à mes "amis" Lionel et Laurent comme si de rien n’était. Ils s’en allèrent eux aussi en me disant:«À plus, l’ami.» Je leur répondis par la même phrase (en mettant le mot "ami" au pluriel). Après leur départ, je rangeai un peu la maison et allai voir ma sœur. «Coucou, grande sœur chérie! Tu as bien dormi?— Comme un bébé, Bébé. Je n’ai pas cessé de rêver des superbes bites de tes potes. Ils me défonçaient par tous les trous sous tes yeux à la fois jaloux et suppliants. Tu n’arrêtais pas de pleurer. J’ai eu pitié de toi et ai dit à tes potes de te baiser toi aussi. Tu étais aux anges. Tu suçais l’un de tes potes en te faisant sodomiser par l’autre. À travers tes gémissements de plaisir, je voyais que tu me remerciais de te faire participer. Tu étais tellement soumis. Si seulement ce n’était pas un rêve...— C’est justement pour ça que je viens te voir. J’adore être ton petit chien. J’adore t’obéir parce que tu es ma sœur aînée et qu’il faut toujours obéir à ses aînés. En plus, ça m’excite de devoir obéir à une femme. Je ne veux obéir qu’aux femmes.— Je me fiche totalement de ce qui t’excite ou de ce que tu veux. Tu me seras soumis ainsi qu’à toutes les personnes auxquelles je donnerai des droits sur toi. Que ce soit des hommes ou des femmes.— Tu ne m’as pas écouté jusqu’au bout. Je voulais dire que dominer à plusieurs c’est plus drôle. C’est pour cela que je te propose d’appeler ta copine Justine. Vous ne vous êtes pas vues depuis longtemps. Me dominer toutes les deux serait un bon moyen de vous retrouver.— Hum. C’est vrai, tu as raison, Bébé. Je vais l’appeler et je te dirai quand elle viendra. En attendant, va dans ta chambre et attends que je te donne des nouvelles.— Bien, grande sœur.» En sortant de la chambre de ma sœur, je jubilais en mon for intérieur. Pour l’avoir connue durant mon enfance, je savais que Justine n’aimait pas beaucoup la domination au sens propre de la chose. Elle préférerait plutôt m’ordonner de la baiser sous les yeux de ma sœur. Justine ne manquerait pas de la convaincre avec un bon argument. Elle lui dirait probablement qu’il est plus excitant de voir un garçon baiser une fille par contrainte plutôt que de le dominer et de lui introduire des godes dans le cul ou dans la bouche. Quelques minutes plus tard, ma sœur entra dans ma chambre.«Viens, mon chien. Il faut que tu sois prêt pour l’arrivée de Justine. Elle arrive dans dix minutes.»Je suivis ma sœur dans sa chambre. Elle m’ordonna ensuite de me déshabiller et alla chercher quelque chose dans un tiroir. Elle en sortit une laisse pour chien. En voyant cela, je ne savais qu’éprouver. Excitation et crainte se mélangeaient en moi. Être sous le contrôle de ma sœur était excitant mais quelle serait la suite lorsque Justine arriverait?«À genoux, mon chien!» m’ordonna ma sœur. Elle me passa ensuite la laisse autour du cou et me retint par la chaîne. Justine n’allait pas tarder à arriver. Quelques minute plus tard, on sonna à la porte. Ma sœur alla ouvrir.«Reste bien sagement ici, mon chien.» me dit-elle.Donna ouvrit la porte et je pus entendre les salutations d’usage et la porte se refermer. Les deux femmes montèrent l’escalier et entrèrent dans la chambre. En me voyant, Justine sourit. «Eh bien, Donna, tu as un petit frère très obéissant. Si seulement j’avais la chance d’avoir un petit frère ou une petite sœur...»«Ce n’est pas le moment de regretter ce qu’on n’ a pas mais de profiter de ce qui nous est offert. Vas-y, mets-toi à l’aise.»Justine se déshabilla lentement, nous laissant admirer une superbe poitrine 100C et une chatte poilue et bien entretenue. «Mais où sont te manières, Bébé?! Va dire bonjour à Justine!»Je m’avançai à quatre pattes vers Justine et lui léchai goulûment la chatte pendant que ma sœur me caressait doucement le crâne en murmurant des "bon chien" et des "c’est bien, mon chien".Donna tira ensuite sur ma laisse pour me faire revenir à elle tandis que Justine prenait place sur le lit.«Viens me rejoindre, Bébé. Viens baiser ta maîtresse.» me susurra Justine.Donna me détacha et, soumis, je rejoignis Justine sur le lit. La belle s’allongea sur le dos et m’attira à elle. Nos bouches se joignirent dans mon premier baiser. Que ce fut beau! Qu’il était agréable de sentir une langue féminine chercher ma langue dans ma bouche et me rouler des pelles mémorables! Ses mains caressaient mon dos pendant que les miennes se baladaient timidement sur ses seins de peur de sa réaction. Justine ne broncha pas. J’osai donc insister sur cette sublime poitrine. Soudain, Justine nous ses bras autour de ma taille et roula sur le côté pour me faire passer sous elle. Les pensées se bousculaient dans ma tête. Avais-je fait quelque chose de mal? Allait-elle me le faire regretter? Était-ce simplement un geste de désir? Justine se redressa, me caressant doucement la poitrine et le ventre en descendant jusqu’à ma bite d’une douceur érotique. Sa main se saisit ensuite de mon sexe et le branla énergiquement avant de l’amener à sa bouche et de le sucer tranquillement jusqu’à la garde, savourant son goût. Le lent mouvement de ses lèvres sur ma queue m’excitaient et me firent sentir l’arrivée de mon sperme. Je commençais à transpirer sous la pression que je me mettais pour ne pas éjaculer avant d’avoir pénétré ma partenaire. Justine plaqua une main sur mon ventre, l’autre tenant toujours fermement ma queue tout excitée par la fellation et prête à exploser de plaisir. La belle sentit ma transpiration et, comme si elle a ait lu mes pensées, interrompit sa fellation pour guider ma bite encore palpitante jusqu’à sa chatte. Quelle sensation! Ce vagin qui aspirait ma bite à chaque poussée et se retirait pour replonger plus fort encore sur mon sexe me procurait une sensation de virilité et de puissance que je n’avais plus ressentie depuis ma soumission à ma sœur. Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin. Dans un râle de plaisir, j’éjaculai dans la chatte de Justine. Apaisé, je sortis mon sexe de celui de ma partenaire. Justine se leva et alla rejoindre ma sœur en face du lit. Les deux femmes me regardaient d’un air déçu et malicieux à la fois, presque cruel. «BÉBÉ! TU ME FAIS HONTE!!! TU N’ES MÊME PAS CAPABLE DE FAIRE JOUIR UNE FEMME!!!! JUSTINE N’A PAS CRIÉ UNE SEULE FOIS! ENCORE HEUREUX QU’ELLE AIT ÉTÉ ASSEZ GENTILLE POUR ME PAS OSER SIMULER!!!!»Ma sœur semblait vraiment en colère contre moi. Ma prestation n’avait pas plu à sa copine et, bien évidemment, j’allais devoir en subir les conséquences.«Tu as manqué d’initiative et de maîtrise sur ce coup-là, Bébé.» me dit Justine.«Ce qui nous permet de conclure que tu n’es qu’un petit soumis de merde. Nous allons donc te traiter comme tel. Tu vas en voir de toute les couleurs. Tu vas être soumis, ridiculisé et humilié. Pour commencer, nous allons appeler tes amis Laurent et Lionel. Ils seront tes premiers maîtres. Et, fais-nous confiance, ils ne seront pas les derniers. Nous allons même leur dire de raconter ta soumission à toute ta classe et tous, filles et garçons, viendront ici pour te dominer et te faire subir leurs perversités. Tu n’auras plus aucune fierté, Bébé. Maintenant, appelle tes potes et que la fête commence.» Soumis et terrorisé, je pris mon portable et composai le numéro de Laurent puis celui de Lionel. Je leur donnai rendez-vous immédiatement chez moi. La suite dans le prochain épisode.Bernard alias Bébé
