Le rendez-vous était arrangé. Ma sœur me fit venir dans sa chambre et me passa la laisse autour du cou, attendant impatiemment l’arrivée de mes amis Lionel et Laurent. Justine, elle, semblait calme et attendait patiemment. Une vingtaine de minutes plus tard, on sonna à la porte. Ma sœur courut leur ouvrir, me laissant sous la surveillance de Justine. J’entendis les salutations d’usage et les compliments de Lionel et Laurent sur le physique de ma sœur. «Bonjour, mes chéris!— Bonjour, Donna! Tu es tout simplement époustouflante!— Merci, les garçons. Bon, je suppose que vous mourrez d’envie de monter à l’étage pour voir votre surprise.»Ma sœur ferma la porte et guida mes amis vers Justine et moi. «Entrez, mes mignons! Voilà votre surprise!» leur dit-elle en me montrant du doigt.Lionel et Laurent faillirent ne pas en croire leurs yeux. Moi, leur meilleur ami depuis dix ans, j’étais tenu en laisse par ma sœur et son amie comme un chien. Le moment de surprise passé, ils ricanèrent. «Tiens, tiens, tiens... Mais c’est Bébé! Il est puni par sa sœur. Ah ah ah!!!!— Oh, le gentil toutou!— Le pauvre! Il a été jeté à terre comme un vulgaire sac poubelle.»Leur ton moqueur et doucereux indiquait clairement leur sentiments vis-à-vis de moi. Ils ne me considéraient plus comme leur ami mais comme leur esclave. Je ne pus m’empêcher de penser aux bons moments que j’avais passés avec eux. Notre amitié devait-elle se finir ainsi? Allaient-ils devenir mes maîtres et les amants de ma sœur? Et moi? Allais-je devenir l’esclave de tout le monde? Ma vie d’homme libre était terminée et ma vie de soumis ne faisait que commencer. À tout le moins, c’était ce que je croyais. «Alors, mes chéris? Satisfaits de votre surprise?» leur demanda-t-elle.«Oui, Donna! Extrêmement satisfaits!» répondirent-ils.«Très bien. Bébé, mets-toi sur les genoux! Vous deux, déshabillez-vous.» nous ordonna-t-elle.Lionel et Laurent ne se firent pas prier pour lui obéir. Nous étions à présent tous nus dans la pièce. Lionel et Laurent bandaient ferme. Ma sœur rivait des yeux intéressés sur leurs bites dures qui pointaient, comme pour me narguer fièrement vers moi. Justine me tenait toujours en laisse mais elle aussi semblait séduite par les sexes de mes "potes" qui semblaient pour moi à présent hors norme. Malgré la nudité de Donna et Justine et un bon angle de vue sur leurs attributs, je n’arrivais pas à bander. Était-ce déjà un signe précurseur de ma soumission? Tout à coup, je sentis quelque chose de froid me caresser la raie. Ce contact inattendu mais agréable me fit d’abord tressaillir puis, progressivement, ma queue commença à prendre de la vigueur. Justine me caressait discrètement l’anus du bout de la chaîne de ma laisse. Justine poursuivit ses caresses durant quelques secondes encore. Le temps nécessaire pour que mon sexe parvienne à sa grandeur de croisière. Laurent et Lionel me regardaient toujours méchamment et ricanaient. Leurs ricanements me faisaient mal mais pas autant que la traîtrise de ma sœur qui m’avait promis de ne me soumettre à personne d’autre qu’elle. Ce fut alors que je la maudissais et lui souhaitais les pires morts possibles et imaginables que je sentis mon collier se desserrer. Tout à coup, sans que personne ne s’y attende, Donna et Justine passèrent derrière Lionel et Laurent et, d’une claque retentissante, les firent tomber à genoux sur le sol puis les deux femmes s’assirent de tout leur poids sur mes anciens meilleurs amis. «C’est bon, Bernie. Tu peux enlever ton collier. Il ne te va pas très bien de toute manière. Donne-le moi. J’ai une deuxième laisse dans mon tiroir. Va la chercher et donne-la moi.»J’obéis aux ordres de ma sœur avec un sentiment de joie que je n’avais plus connu depuis mon anniversaire.Elle m’avait appelé "Bernie". Voilà un surnom qui me convenait mieux. J’ouvris son tiroir et en sortis la laisse qu’elle m’avait demandée. Je la lui tendis et elle et Justine passèrent les colliers autour du cou des deux garçons qui avaient été mes amis et que je haïssais le plus à présent. Voir ma sœur et son amie dominer mes "potes" me faisait bander comme un fou. Tant et si bien que mon gland touchait mon nombril. Lionel et Laurent, furieux et médusés, se demandaient ce qui leur arrivait et pestaient contre ma sœur. «Fermez vos gueules!» cria Donna tandis qu’elle et Justine tiraient sur les chaînes des laisses pour faire taire leurs nouveaux esclaves. Les deux félons émirent un petit cri étouffé. Moi-même, bien que ce spectacle m’arrangeait et me faisait bander, je ne comprenais pas ce qui se passait. Lionel avaient baisé ma sœur et avaient réussi à la faire jouir alors que moi, j’avais été incapable de donner du plaisir à Justine. De plus, selon Donna, mes anciens amis étaient mieux membrés que moi. Non, cette tournure n’avait aucun sens. Devant mon air incrédule, ma sœur me demanda d’aller chercher sa règle dans son tiroir. Après avoir pris la règle, je la lui tendis et elle m’expliqua toute l’histoire.«Depuis le début, je n’avais aucune intention de te soumettre à qui que ce soit. Et à moi non plus. Je savais que tes amis n’hésiteraient pas à te trahir pour une jolie femme. Je voulais te prouve qu’ils n’étaient pas dignes de ta confiance. Si je t’ai fait croire que tu étais mon soumis, c’est uniquement pour leur faire croire plus facilement que tu n’étais qu’un soumis. Mais finalement, ce seront eux les soumis. En plus, tu es mieux membré qu’eux. Tu vois la règle? Elle est pliable. Pour les mesures de Lionel et Laurent, j’ai plié la règle de façon à ce que la mesure commence à 4,5cm et pour toi, j’ai commencé à mesurer 2,5cm avant la base de ta bite.Ce qui veut dire que ta queue mesure en réalité 17,5 cm tandis que celle de Lionel ne mesure que 13,9cm et celle de Laurent 16,9cm. Vous étiez tous les trois si préoccupés de la longueur de votre virilité qu’il était facile de vous faire croire à une longueur faussée. De plus, Lionel et Laurent n’ont jamais réussi à me faire jouir. J’ai simulé. Quant à Justine, elle a beaucoup aimé ta prestation. Elle est simplement restée silencieuse pour te faire croire que tu étais nul au lit. Justine était dans mon plan bien avant que tu me proposes de l’inviter. Maintenant que tu connais la vérité, que veux-tu faire de nos chiens?» Nos chiens?! Avais-je bien entendu? Elle me mettait dans le "nous"! Sourire aux lèvres, je lui dis:«Amenez-les moi! Qu’ils s’occupent un peu de moi!» Justine et Donna obéirent à mon ordre et les deux félons furent à genoux devant moi. Tout doucement, savourant cet instant de triomphe, je guidai ma bite jusqu’à la bouche de Lionel.«Suce.» lui dis-je sèchement.Soumis, Lionel s’exécuta et je sentis aussitôt le sperme monter en moi tant l’excitation du moment était forte. Je sortis ma queue de la bouche de Lionel puis la fit sucer à Laurent. Le félon se mit à me pomper avec dégoût. Le dégoût réservé aux traîtres. Je mis fin à ses souffrances en sortant ma queue de sa bouche et en éjaculant sur son visage et sur celui de Lionel sous les applaudissements de Donna et Justine. Après que j’eus giclé mes dernières goutte de sperme, je m’essuyai le gland sur la bouche de Lionel et laissai les soumis aux "soins" de Donna et Justine. «Bravo, petit frère! Tu les as bien humiliés! Tu es presque aussi salaud que moi! Passons un moment entre frère et sœur, tu veux. Je suis ta salope, tu seras mon salaud. Maintenant, fais-moi jouir comme tu as fait jouir Justine. Je veux que tu me baises, sentir ta queue au fond de mon ventre. Montre à ces connards comment un vrai homme fait l’amour!»Complètement excité par les paroles de ma sœur, je me jetai sur elle et la soulevai de terre pour la poser sur le lit et la couvrir de baisers sous le regard dégoûté et choqué de Lionel et Laurent qui étaient à présent solidement tenus en laisse par Justine. La suite dans le prochain épisode (si vous avez aimé) Bernard alias Bernie
