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La salope du métro

Chapitre 1

Hétéro
Bonjour, je m’appelle Ana, 33 ans, grande rousse pulpeuse, aux yeux verts, à la bouche gourmande et à la poitrine généreuse.
Ce matin, je me lève en forme. Je saute du lit et me dirige vers la salle de bain. Je fais couler l’eau de la douche afin que la température soit idéale. Je retire ma nuisette qui cache à peine mon corps, je me regarde dans le miroir en entortillant une mèche de cheveux autour de mon index et de l’autre main, je malaxe un sein, tire sur mon téton dressé. Je souris, me trouvant terriblement jolie.
J’entre dans la douche et soupire. L’eau est délicieuse, je bascule ma tête en arrière pour faire couler l’eau sur mon visage et glisse mes mains dans mes cheveux "mmh que ça fait du bien". Je savonne doucement mes cheveux puis le corps, descendant vers mon cou, mes épaules, mes bras, en de délicates caresses. Je m’occupe de mes seins, versant du gel douche dessus, imaginant que c’est du sperme et malaxe généreusement mes seins jusqu’à ce qu’ils soient bien enduits et glissants, je gémis et me cambre. Mes mains descendent alors vers mon ventre, mes cuisses que j’ouvre, et mes doigts viennent s’insinuer sur mon clitoris déjà dur et sensible. Deux doigts entrent en moi, un long gémissement s’échappe de mes lèvres. Je suis bien humide et ça n’est pas seulement à cause de l’eau de la douche. Je souris et commence à me doigter, de plus en plus rapidement, pendant que mon autre main revient sur mon sein et vient tirer mon téton. "Mmmh t’aimes ça salope hein, te doigter comme une chienne imaginant que c’est le membre tendu et dur d’un gros pervers !" Je pousse un petit cri de plaisir. Mes doigts s’agitent frénétiquement en moi, sentant que la jouissance est proche "ohhhh que c’est bon, ouiiii ". Mon corps est secoué de spasmes qui resserrent mon vagin sur mes doigts, je halète et soupire tout en ralentissant la cadence de mes doigts avant de les retirer et de les porter à ma bouche "mmmh". Je me rince doucement, tressautant dès que le jet du pommeau se déverse sur mon clitoris encore sensible. Je sors de la douche et me sèche tout en regardant l’heure qu’il est. Je me rends compte alors que j’ai totalement perdu la notion du temps et que je suis en retard.
Je vais rapidement dans ma chambre, enfile un soutien-gorge en dentelle noire, une minijupe vaporeuse, un débardeur moulant qui met parfaitement ma poitrine en valeur et une paire d’escarpins à talon. Je repasse rapidement dans la salle de bain pour me maquiller et laisse ma crinière rousse onduler au naturel. Je fais un clin d’œil à mon reflet "une vraie salope", prends mon sac et me sauve.
J’arrive à la station de métro, descends 4 à 4 les escaliers et arrive sur le quai, essoufflée. "Ouf ! Je n’ai pas raté mon départ". Je remarque près de moi un grand gaillard d’une cinquantaine d’années plutôt séduisant qui me sourit et me fait un clin d’œil. Je lui souris, habituée à ce genre de réaction de la part de la gent masculine. Encore bien excitée de ma masturbation matinale, je décide de jouer avec lui. Je me cambre en avant pour resserrer la boucle de mon escarpin, de façon à ce qu’il puisse voir que je ne porte rien sous ma jupe. Je me relève et le vois tout rouge. Je lui souris, fais un clin d’œil et monte dans le wagon du métro qui vient d’arriver.
Je joue des coudes comme tous les matins, et attrape la barre pour ne pas tomber. Nous sommes tous collés les uns aux autres, la chaleur est intense et l’air irrespirable. Le métro vrombit et repart. Je manque de tomber quand deux mains me saisissent par la taille me retenant. Je souris, et tourne la tête pour remercier mon sauveur. C’est alors que je reconnais l’homme du quai. Je lui souffle un "merci" auquel il répond par un hochement de tête. Je détourne la tête et tente de m’évader mentalement du tram car le voyage va être long.
Soudain, je crois sentir une main qui me frôle, au niveau de ma cuisse. Le tram est bondé, c’est sûrement un geste anodin, "j’ai l’habitude" me dis-je. Ma jupe n’étant pas très longue, la main recommence. Je mords ma lèvre et reste immobile, sentant une chaleur monter progressivement entre mes cuisses et dans mon ventre. Ma main se serre sur la barre qui frotte contre mes tétons à chaque à-coup et changements de direction. La main de l’homme se fait plus pressante, je décide alors de me reculer un peu afin de coller mes fesses contre le bas ventre de l’homme, sentant alors qu’une belle bosse est déjà formée. Je souris. Un grognement se fait entendre dans mon dos. J’imagine alors que c’est le grand baraqué qui m’a "sauvée" qui profite de la situation pour se faire remercier. Je respire profondément et glisse ma main dans mon dos pour venir caresser son membre à travers son pantalon, un autre grognement se fait entendre. A ma grande surprise, l’homme se recule, se dégageant de ma main. "Petit joueur" pensais-je, déçue. C’est alors que je sens ma jupe se relever sur ma taille, dénudant entièrement mes fesses, et l’homme vient coller son énorme membre bandé contre mes fesses. J’émets un petit gémissement, rassurée. Il se branle entre mes fesses, et vient malaxer l’un de mes seins à travers le tissu. Mes tétons pointent déjà bien fort sous les assauts de la barre et l’excitation due à la situation. Il cale sa queue plus bas, la glisse entre mes cuisses, elle vient se frotter contre ma chatte nue et encore humide de mon plaisir solitaire de ce matin. L’homme l’a senti, il se penche sur moi et me susurre "tu mouilles déjà petite salope, elle t’excite ma queue on dirait...". Il abat sa main sur ma fesse, me faisant sursauter une nouvelle fois. Je mords ma lèvre pour retenir un gémissement. Il rit doucement, et fait glisser sa main de mon sein vers ma chatte, et y glisse deux doigts, je me cambre, m’offre à lui comme une putain, ses doigts entre profondément en moi, me fouille. Il les retire et les suce, tout près de mon visage "mmmh tu mouilles petite pute et j’aime ça" dit-il en ricanant doucement. Avant de replonger ses doigts en moi. Un gémissement plis prononcés sort de mes lèvres, des passagers me dévisagent surpris. Puis retombe dans leur train-train. L’homme prend ma main sur la barre et vient la poser sur sa queue, et se branle doucement avec. Elle est douce et me paraît si énorme. Je commence à bouger moi-même ma main sur sa queue. Il apprécie je l’entends grogner et ses doigts s’agitent plus vite en moi. Il lâche ma main qui le branle toujours et vient sortir un sein de mon débardeur, comme si nous étions seuls. Il malaxe mon sein, tire fort sur le téton. Il devient brutal. Je sens qu’il perd petit à petit le contrôle.
L’homme retire d’un coup ses doigts de ma chatte, enduit sa queue avec ma cyprine, écarte mes fesses, lâche mon sein, appuie sur ma tête pour me faire cambrer, prend ma hanche et s’enfonce d’un coup dans ma chatte terriblement baveuse et dilatée par l’excitation. Je pousse un long cri de plaisir. Mon excitation est si forte que je me moque que les passagers nous regardent outrés. Il me baise brutalement, ses mains se crispant sur mes hanches, ses cuisses tapent fort contre mon cul. "Hein t’aimes ça salope, te faire baiser par des inconnus dans le métro devant tout le monde !" Je me tiens à la barre, hurlant mon plaisir "ohhhh oui putain c’est trop bon ! Baise-moi fort !" Des passagers nous regardent outrés, d’autres excités en voyant ce qui se déroule sous leurs yeux. L’homme me prend fort et vite, sa main s’abat par moments sur mes fesses laissant de belles marques rouges. Et soudain, il grogne, son foutre envahit mon ventre "mmmh tiens prends ça petite traînée, han han han". Il bouge quelques instants en moi, me redresse. Et me susurre à l’oreille "nettoie ma bite salope, je dois descendre à la prochaine". Je ne me fais pas prier, je m’accroupis devant lui, ma jupe toujours relevée sur mes hanches, je prends sa queue en main et l’avale comme une affamée, j’aspire sa queue mmmh j’aime le goût de ma cyprine mêlé à celui de son sperme. Je le regarde tout en le suçant. "ohhhh qu’est-ce qu’elle est bonne ta queue". Le mec sourit et pose ses mains sur ma tête, je lâche sa queue et le dévisage, j’ouvre la bouche, il crache dedans et je reprends sa bite entre mes lèvres, tout en gémissant et bavant sur ses couilles et mes seins. L’homme se met à me baiser la bouche rapidement, je tousse mais encaisse comme une bonne bouffeuse de queues. Il grogne à nouveau et bloque ma tête, son membre au fond de ma gorge. De longs jets de foutre tapissent ma bouche, j’avale ce nectar épais et délicieux que j’aime tant. Le métro s’arrête. L’homme quitte ma bouche, remonte sa braguette et descend sans un mot. Me laissant seule accroupie au milieu du tram. Je me relève, ajustant mon débardeur, rabaissant ma jupe. Je regarde à peine les passagers qui sont beaucoup moins nombreux qu’à la montée. Et je finis par descendre au terminus. Encore tout excitée en sentant le foutre couler entre mes cuisses. "Une bonne journée qui commence" pensais-je, allant travailler. Fin.
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