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La salope de la station service

Chapitre unique

Avec plusieurs hommes
En cette chaude soirée d’été, je me dirige, accompagnée de mon mari et de nos deux enfants vers notre destination de vacances. Cela fait plusieurs heures que l’on roulent et je sens le besoin de m’arrêter faire une pause toilette. Malheureusement il est tard et nous sommes dans un endroit assez reculé, j’aurais donc le droit à un petit relais d’autoroute, rien de mieux dans le coin je le crains.
Arrivée, je laisse ma petite famille dans la voiture et leurs promets que je ne serai pas longue, par chance, les enfants dorment déjà et mon mari en profite pour se reposer et se dégourdir.Je me dirige donc vers les WC, la station n’est pas très ragoutante mais ce sera ça ou rien. A l’intérieur, seul un comptoir avec une femme pas très bavarde qui me dévisage, je continue d’un pas décidé sans y prêter attention.
Arrivée aux toilettes, il n’y a qu’une seule entrée, j’entre, les parties hommes et femmes sont séparées en deux par une cloison, pas très intime à l’évidence, par chance il n’y a personne non plus à l’intérieur.J’ouvre donc le cabinet et m’acquitte de ma tâche, l’espace est très réduit mais heureusement les toilettes sont entretenues et décemment propre, ce qui n’était pas gagnée vu la rusticité de l’endroit.Soudain, des bruits de portes se font entendre, suivies de rires gras, des voix masculines, il y a donc d’autres personnes dans cette station service de misère me dis-je.Une fois fini, j’ouvre la porte et me dirige vers les lavabos, les voix se sont tuent depuis quelques secondes. Sans dire un mot, je m’oriente vers le point d’eau et commence à me savonner les mains, je me retourne néanmoins et vois à travers la cloison deux hommes en train d’uriner, l’un des deux finit son affaire et vient me rejoindre aux lavabos.
— Bonsoir, dis-je un peu gênée par la situation.
— Bonsoir mademoiselle, ça va bien ?, me répond-il.
A en juger par son regard et son sourire, je vois tout de suite qu’il me fais du rentre dedans et je préfère mettre un terme à la conversation.
— Je vais rejoindre mon mari, il m’attend sur le parking.
— Attendez !, il m’attrape alors par la main alors que je tente de m’échapper. Vous savez mon collègue et moi on est à un peu de temps devant nous si vous voulez.
Mon cœur se met à battre la chamade, il me regarde en se touchant l’entrejambe et je remarque tout de suite son acolyte nous rejoindre le pantalon baissé et le sexe en érection.
— Que faites-vous, laissez moi partir immédiatement !
Les salauds veulent faire de moi leur objet, mais dans mon désarroi je jette néanmoins un coup d’œil intrigué à la bite du gaillard, son sexe est énorme, bien loin de celle de mon mari.  
Je sens l’excitation monter en moi, mes yeux peinent à se détacher de lui et mon corps commence à me trahir au moment le moins opportun :
— Regarde ça, la salope est en train de mouiller. Mate sa cuisse !
Il est vrai que bien malgré moi, des chaudes gouttes de mouilles commencent à couler le long de ma jambe, je suis honteuse et ne souhaite absolument pas qu’ils sachent ce que je ressens au plus profond de moi.
— Écoute, si tu veux pas, on va pas te forcer, mais sache que tu as juste à te mettre à genoux et ont s’occupera de toi.
Ma conscience me urge de faire demi-tour et de m’enfuir en courant le plus vite possible pour rejoindre mon cher mari et nos enfants, mais malheureusement ma volonté de résister à mes pulsions n’est pas assez grande aujourd’hui et mon corps ne semble plus répondre. Dans un mouvement que je ne m’explique pas, je mets les deux genoux à terre et attends sans broncher, les yeux perdus dans le vide, que mes bourreaux prennent possession de moi.
— Et bah on est tombé sur une sacrée traînée apparemment, dis le premier tandis que son pote en érection se place juste devant moi.
— Allez fais ce que t’as faire alors.
Il est de toute manière trop tard, je décide de mettre mon cerveau sur pause tandis que je prends sa queue en main sans réfléchir. Rien que le fait de la sentir sur ma paume me procure un bien-être intense et je commence naturellement à le masturber. Ma main fait des vas et vient calme sur sa queue épaisse et poilue et je ne peux résister à l’appel de prendre ce gourdin en bouche.L’homme lâche un râle de satisfaction au moment où ma langue touche son énorme gland, sa bite à un goût assez fort mais je sais que je ne suis pas en position de faire la fine bouche. Je commence donc à lui procurer une fellation digne d’une prostituée, ne lésinant pas sur la salive que ma bouche produit étrangement en grande quantité ce soir.
— Ouais c’est ça crache sur ma queue, se délecte-il.
Je m’applique tant bien que mal à le pomper tant son sexe est d’une taille impressionnante, de plus je suis loin d’être une habituée de ce genre de pratiques, bizarrement mon mari n’en a jamais était fan.  Ma caresse buccale dure plusieurs minutes, pendant ce temps, l’autre homme se fout à poil et se masturbe en me regardant pomper son ami, au bout d’un moment, je sens qu’il se rapproche de moi et d’un coup, il m’attrape la tête afin de prendre lui aussi possession de ma bouche, il m’enlève à son pote et se précipite pour me mettre la sienne au fond de ma pauvre gorge. Néanmoins, je sens bien qu’il n’est pas aussi bien foutu que l’autre mais il est par contre plus vigoureux. Il m’attrape la tête de ses deux mains et se met à faire des vas et vient dans ma bouche, j’essaye tant bien que mal de le repousser mais il est bien trop puissant pour moi et je suis donc obligé de subir ses assauts, à chaque fois plus profond dans ma gorge. Je ressens toute la bestialité en lui et ses coups de reins puissants ne manque pas de m’asservir. Je reste donc là, la gueule grande ouverte à attendre qu’il veuille bien en finir de moi. Son sexe se durcit de plus en plus, je le sens, et tout à coup il me presse contre lui et s’enfonce profondément dans ma gorge.Je me débat mais son acolyte vient derrière moi et me maintient les mains derrière le dos. Ma respiration devient de plus en plus difficile, son sexe est maintenant entièrement dans mon étroite trachée et il ne semble pas vouloir s’en aller à en croire les gémissements bestiaux qu’il laisse échapper. Des larmes coulent sur mes joues mais je me laisse faire, vaincue...Tout de même, après quelques secondes de suffocation, il me laisse enfin reprendre mon souffle, il a l’ait satisfait de moi et ne manque pas d’encourager son ami.
— Viens te mettre au fond de sa gorge, elle est bien étroite !
— Je veux pas la casser maintenant, dit-il sournoisement. J’ai d’autres plans pour elle avant.
Je le vois farfouiller dans son pantalon et en ressortir une capote, je sens que je vais y passer mais je ne l’empêche pas, bien au contraire. Je me mets à quatre pattes, tel une chienne, les mains sur le parterre souillé des toilettes et j’attends mon bourreau sans chipoter.
Une fois le sexe enveloppé dans la capote, il se place derrière moi, fléchit ses jambes et s’enfonce en moi sans me laisser le temps de réfléchir. Son sexe me comble, c’est la première fois qu’un homme me rempli de la sorte et il semble bien que j’aime ça. Il m’attrape par les hanches pour se donner plus de force et se met à me donner de grands coups de butoirs qui manque presque de me faire gueuler mon plaisir. Par chance, j’arrive à me canaliser et à ne pas rameuter tous les employés de la station service, malgré le fait que je ne sache pas combien de temps je vais réussir à rester muette.

— Tu crois pas qu’on pourrait lui défoncer le cul, on à le temps après tout, dit-il en regardant sa montre.
Je grogne et marmonne des mots qui s’avèrent être incompréhensibles tant son collègue me déboîte afin de montrer ma désapprobation à cette idée pour le moins inattendue.
— Bonne idée, j’y avais pas pensé !
Le salaud se délecte rien qu’a y pensé mais je dois leur refuser, en effet je n’ai jamais tenté une telle pratique, même avec mon mari et ce n’est pas maintenant que cela va commencer.
— Désolé les gars mais je fais pas ce genre de pratiques, alors videz-vous et allons nous en. J’ai déjà fait assez de bêtises pour aujourd’hui.
Je commençais en effet à me sentir mal de faire cela derrière le dos de mon pauvre mari, lui qui a toujours été si attentionné avec moi, je commençais franchement à regretter mais avant avoir eu le temps de dire un mot de plus je ressens une sensation étrange, intense, si différente de toutes celles que j’ai déjà pu connaître. Mon amant a de toute évidence abandonné ma chatte pour me la mettre dans le cul. Je proteste vigoureusement mais le deuxième vient imposer sa queue dans ma bouche avant même que je ne puisse les dissuader de continuer leur folle entreprise.Je savais bien que cela ne pouvait que se passer mal, que m’est il passé par la tête de m’offrir ainsi à deux parfaits inconnus dans les chiottes d’une station service à la nuit tombée.
Je ne peux de toute façon rien faire pour me sortir de ce pétrin, j’arrête un moment de sucer le deuxième et tente de me concentrer sur cette bite qui est en train de me transpercer le cul. Je sens qu’il est entré entièrement en moi, chaque mouvement qu’il fait m’arrache un cri de douleur. Mais étrangement, cette douleur a quelque chose de profondément excitant. Le fait de le savoir dans mon cul me déclenche des pensées si excitantes qu’elle me feraient presque oublier la douleur. Je commence donc bien malgré moi à lâcher de petits gémissements, qui s’apparenterait presque à s’y méprendre à des cris de satisfaction.Il sent que cela me plaît d’être possédée ainsi et commence à s’enhardir, ses mouvements deviennent de plus francs et il semble qu’il commence à prendre ses marques dans mon petit anus.  Ma tête est d’un coup tirer vers l’arrière, il a attrapé ma douce chevelure pour s’en servir comme prise afin de me la mettre au fond et de toute évidence je remarque qu’il a réussi son coup. Je sens ses couilles frapper contre le bas de mes fesses, il est rentrer tout entier dans mon si délicat anus comme si je n’étais qu’une vulgaire prostituée. Ses gémissements sont d’une brutalité et d’une rare sauvagerie, il souffle comme un bœuf et je le sens proche d’exploser, ses testicules claquent de plus en plus fort contre moi et alors que je suis persuadé qu’il va se lâcher en moi il arrête son affaire, et lâche d’un ton inquisiteur :— On va lui mettre tout dans sa bouche, ça serait dommage de gâcher ça !
Son pote s’approche alors de moi, lui qui s’était éclipsé quelques temps à cause de mes caresses buccales qui avaient manqué de peu de le faire jouir, se replace juste devant moi et m’introduit son sexe à l’intérieur de ma bouche. En moins de temps qu’il n’en faut, je sens une chaleur intense emplir ma bouche, le salaud a lâché sa purée sur ma langue, ce goût puissant et sauvage qui titille mon palais m’excite bien plus que je ne l’aurais imaginée. Il se retire donc satisfait et laisse la place au bourreau de mon anus, je me demande quel goût doit avoir sa queue après avoir été aussi loin au fond de mon cul. Alors que le jus de l’autre gars est encore dans ma bouche, il insère sa bite dans mon gosier et se met à faire des vas et vient puissants à l’intérieur. Je n’ai malgré moi pas le loisir de goûter au goût de son pieu, tant le sperme qu’il me reste dans la bouche est puissant et inhibe toutes mes papilles.  
 -Garde ta bouche fermée chérie, tu vas prendre mon jus et tu avaleras après.
Je dois donc garder ma bouche fermée hermétiquement pour ne pas que le nectar ne coule et alors qu’il passe sa main derrière ma nuque, je sens son sexe pulser sur ma langue puis je ressens à nouveau cette chaleur caractéristique me remplir le bec. Il a à son tour juté en plein dans ma bouche, désormais le jus de mes deux amants se confond et il se retire enfin me laissant apprécier la divine épaisseur du liquide charnel de ces deux messieurs. Leurs liquides chaud et épais se mélange dans ma bouche, je remarque néanmoins que le goût du dernier est moins fort que l’autre mais la quantité est bien plus impressionnante. Il ne devait pas s’être vidé depuis plus de deux semaines ce salaud !  
— Bon maintenant tu vas avaler et tu vas nous montré que t’aimes ça. Et pas de triche, si je vois une goutte qui sort ça va mal aller.
Maintenant prise au piège, la bouche pleine de jus, et mes bourreaux debout devant moi, je suis obligé d’obéir à leurs injonctions. Je prends donc une grande inspiration et j’avale d’une traite l’épaisse purée qui me parfume la bouche depuis déjà quelques minutes. Le liquide est tellement épais qu’il à du mal à passer dans ma gorge mais au bout de quelques déglutitions, je suis enfin libérer. Je reste donc à genoux devant eux en regardant par terre et en attendant qu’ils me libèrent enfin.
— C’est bien, allez lève toi et va rejoindre ton mari, il doit t’attendre et se poser quelques questions.
Je me lève donc honteuse et me dirige vers le lavabo dans le but de me débarbouiller la gueule et surtout de me rincer la bouche, mon haleine puant le sperme à plein nez.
— Qu’est ce que tu fais là ? On t’a pas dit de te nettoyer, retourne dans ta voiture et embrasse ton mari de notre part.
Je prends donc la porte et marche honteusement vers le parking, je refait néanmoins ma coiffure dans un coin et m’essuie avec quelques mouchoirs mais pour mon haleine de chienne, il faudra faire avec. J’espère juste que mon mari ne la remarquera pas. En marchant vers le parking, je me remémore néanmoins ce délicieux moments de sexe que j’ai passé, le meilleur de toute ma vie et de loin. Tout ce que j’espère c’est que ce n’est pas la dernière fois que je prendrais autant mon pied...
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