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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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La Salope de l'étage, c'est moi ...

Chapitre 1

Hétéro
Voilà quelques mois qu?un couple avait emménagé dans l?appartement d?à coté. Il avait près de la cinquantaine, lui plutôt classe et elle toujours en tailleur. Il était plutôt pas mal, mais celui qui m?intéressait était leur fils. Il avait la vingtaine, et si, avec mes quarante six ans et mes plusieurs années de célibat, j?aurai du m?intéresser au vieux, c?était le jeune que je voulais. J?ai cherché pendant plusieurs mois un moyen de l?attirer chez moi, mais ce fut en vain. Finalement la chance tourna.
C?était en hiver, et pourtant j?étais en jupe, la douceur de cette journée me le permettait. J?aimais beaucoup porter des jupes, et puisqu?il faisait un peu frais, j?avais enfiler des jolis bas noirs, en accord avec mes talons aiguilles. Mon blouson en fausse fourrure sur les épaules, je rentrais comme chaque jour dans l?allée de mon immeuble, fatiguée de ma journée de travail. La porte de l?ascenseur commençait à se refermer quand une main vint la bloquer. C?était ce fameux Thibault (j?avais appris son nom peu de temps auparavant, après une discussion entre voisine avec sa mère). Il rentra dans la cabine en me souriant, sourire que je lui rendit immédiatement. Il était là juste à coté de moi. J?étais toute émoustillée, l?air frais qu?il avait fait rentrer dans la cabine s?insinuait dans ma jupe, rafraîchissant la partie nue de mes jambes, entre le haut de mes bas, et mon string. J?avais envi de lui, il fallait que je le lui fasse comprendre. J?eu alors la bonne idée de laisser tomber mon rouge à lèvre en faisant semblant de fouiller dans mon sac. Je me baissa alors, en mettant mon large cul devant son corps. Il pouvait de la où il était voir que je portais des bas. Cette descente vers mon rouge à lèvre fut longue, je pris le temps de me baisser pour lui laisser le temps de réfléchir. Arriver le plus bas que je pouvais, j?amorça ma remonté, déçu de sa non réaction. Se fut alors que je sentit une de ses mains tremblante frôler mon derrière. Je me retourna et lui lança ? Bah alors mon gros coquin, qu?est ce que tu fais ? ?. Il devint tout rouge et bredouilla une amorce d?excuse. La porte de l?ascenseur s?ouvrit alors à notre étage. Il ne savait quoi faire, je bloquais l?entrer avec mon corps, faisant semblant d?attendre une réponse. Puis je lui demanda alors ? Ca te dirais de baiser une vieille salope comme moi ? ?. Je ne savais pas ce qui m?avait pris, mais sa réaction fut brutal, son visage changea, il me regarda dans les yeux. Cette seule réponse me suffit, je le pris par la main et l?emmena chez moi.
Je le tira dans le salon et j?enleva mon blouson. Il fit de même. Je m?approcha de lui et l?embrassa langoureusement. Sa langue tournoyait dans ma bouche. Je déboutonna sa chemise et il commença à m?enlever mon haut, laissant pendre mes deux mamelles tendues par l?excitation. ? Qu?est ce qui te dirais particulièrement ? ?. Il réfléchit quelques minutes et me dit que la position que j?avais pris dans l?ascenseur l?avait beaucoup exciter. Je pouvais effectivement voir cela à la grosse bosse de son pantalon. Je m?appuya alors contre un mur, offrant mon cul à ses fantasmes. Il souleva délicatement ma jupe. Ma grosse chatte fournie ne demandait que sa queue. Mon string en était trempé, et je voulais sentir son membre en moi. Il déboutonna son pantalon et sorti son sexe. Il n?était pas très habile pour donner du plaisir aux femmes mais vu la manière dont j?étais excité, il n?eut pas beaucoup de mal à m?en donner. Il baissa mon string, tout humide, jusqu?au niveau de genoux. Il approcha son gland de ma fente et posa ses mains encore fraîches sur mes hanches. Je me cambra, et d?un seul coup il m?empala. C?était vraiment bon, un sexe bien chaud, qui venait et repartait de ma chatte. Je m?était lassée des godes depuis longtemps. Il me fallait un membre d?homme, un vrai pour combler mon manque. Et lui le comblait vraiment. Si au début il avait été prudent dans ses va-et-vient, maintenant il rentrait violement sa queue qui de part sa grandeur buttait contre mon utérus. Il me limait comme un fou. Moi je criais, jouant mon rôle de chienne que j?assumais maintenant totalement. Le rythme s?accéléra de plus en plus. J?eu mon premier orgasme de la soirée, orgasme qui me manquait temps faute de pratique. Il se crispa, sera mes hanches et lâcha sa semence chaude au fond de moi. J?était souillé et j?aimais ça. Il se retira puis je me retourna, voyant enfin ce long membre que je n?avais alors que sentit. Je l?embrassa encore une fois. Il l?avait bien mérité.
Je lui dit de s?installer sur le canapé, ce qu?il fit laissant pendre son sexe à l?extérieur de son pantalon. J?alla dans mon mini bar, enlevant mon string qui me gênait, et je lui servit seins à l?air un whisky coca. Je lui offrit son verre. Il le but quasiment cul sec et je fit de même. Je senti alors son sperme couler le long de ma jambe, mouillant mes bas que j?avais encore. Je m?excusa et parti dans la cuisine m?essuyer avec un mouchoir. J?en profita pour jeter sur la table ma jupe qui était retroussée sur mes hanches. J?étais alors nue, avec mes seuls bas et talons aiguilles. Pendant que je m?essuyait il m?expliqua, à travers le mur, qu?il avait toujours fantasmé sur moi. Et dire que depuis tout ce temps, je ne voulais que lui !
Je retourna dans le plus simple appareil dans le salon, et je le vit totalement nue, masturbant son énorme sexe qui avait repris de la vigueur. Son regard parla à sa place. Il en voulait encore. Je m?agenouilla devant lui et lécha son gland qui perlait de quelques gouttes de sperme. Si lui n?avais pas fait de préliminaire et ne s?était pas soucié auparavant de mon plaisir, je comptais bien lui faire connaître les joies du sexe avec une femme expérimentée. J?ouvris totalement la bouche et commença mon va et vient. Il me prit par les cheveux et me donna la cadence. Il me baisait littéralement la bouche, et me poussa son immense instrument au fond de la gorge. Lorsque qu?il le poussait trop loin et que je souhaitais reprendre ma respiration, il me maintenait la tête et me forçait à garder au minimum son gland dans ma bouche. Il ne prit pas d?autres initiatives, et je du donc seule faire descendre ma main entre mes cuisses. Je frottais mon clitoris avec mon majeur, malaxant mes grandes lèvres avec mon index et mon annulaire. Je sentais son impatience d?éjaculer. J?aspirais de toute mes forces et son sexe devenait tout rouge. Titillant aussi mon clitoris de plus en plus vite, j?eu un second orgasme. Je stoppa mon mouvement de la tête pour me remettre de mes émotions, mais je gardais son instrument dans la bouche. Je fit tournoyer ma langue autour de son gland et une nouvelle fois il se crispa. Je sentis une grand rasade qui alla directement au fond de ma gorge, puis de petits jets vinrent gicler sur mon palais et le reste se déposa sur ma langue. Ce goût, c?était celui que j?aimais. J?avala et lécha ce qui pouvait rester sur son membre. Lui restait son dire un mot sur le canapé, fatigué par ce qui était en train de lui arriver. C?était un piètre amant, mais un vrai étalon. Je comptais bien en faire mon joujou sexuel, et lui faire travailler son endurance et la manière de me faire du plaisir. Ce fut un très bon élève...
**************************Petite contribution à un site qui me fait fantasmer.**************************
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