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Salopes de Cité

Chapitre 2

Amourettes - Innocence - Tunisienne

Hétéro
La Perspective d’une Nuit agitée - Yasmine

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Salut c’est Dan. Pour rappel, je venais de découvrir une autre facette de mes voisines : une jolie métisse aux yeux bleus prénommée Jade venait de me tailler une pipe éclair. Me laissant gonflé et frustré en face de ses amies, dans mon salon. Je restai perdu dans mes pensées, désireux d’apprendre à connaître ces trois déesses (choses que nous réservent ces prochains chapitres, entre autres surprises). Tout excité que j’étais, je me rassis et matai mes convives.

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Salomé était vraiment la plus bandante, avec sa brassière rouge et blanche pleine à craquer, contrastant avec le teint sombre de sa peau. Tout me plaisait dans son physique, son corps fin, bronzé et sinueux, avec son cul si parfaitement bombé et son visage harmonieux, encore marqué par ses émotions qu’elle n’arrivait pas à contenir, avec ses lèvres roses et ses yeux de biche. Elle avait gardé mon short rouge et ses cuisses repliées laissaient voir le côté de son string si l’on épiait dans les grandes ouvertures du tissu. Elle avait tout juste 20 ans et déjà une attitude de Pétasse bien ancrée, avec son regard boudeur, ses grands yeux noirs et ses longs cils maquillés.
Jade, elle, était l’autoproclamée ‘‘petite-pute’’ du groupe, en première année de licence pro elle avait déjà bien de l’expérience. À ses 18 ans elle suçait ses amis en cachette, pour s’amuser, à son arrivée à la fac, un de ses profs, et à ses 19 ans elle s’était fait démonter par deux de ses cousins, dans une cave non loin. Il faut dire qu’elle était bonne ; sans être au niveau de l’athlétique Salomé, elle avait cependant une poitrine tout aussi large, et une taille mince. Elle avait un joli visage, des pommettes prononcées et des fossettes qui illuminaient son sourire. Elle avait des yeux azurés, profonds, brillants d’excitation et de jolies lèvres maquillées, couleur cannelle, amples et pulpeuses, en clair : une bouche à pipe, dont je n’arrivais pas à oublier la douceur du contact. Son string séparait son cul en deux globes qui m’hypnotisaient quand elle se levait chercher à boire.
Et son tempérament m’excitait plus encore : elle adorait taquiner et allumer, c’était elle qui menait la danse dans son petit groupe et elle n’hésitait pas à se mettre en avant pour échauffer les esprits.
Yasmine était, elle, la plus mignonne, son corps était moins courbé que celui de ses amies, mais elle avait une touche d’innocence et de tendresse que j’appréciais. Son regard était appuyé, elle clignait des yeux et me fixait en souriant quand on parlait, laissant son doigt courir le long de ses lèvres, l’air charmée et disponible. Je craquais complètement pour ses petites pommettes, pour ses longs cheveux frisés et pour ses lèvres rouges que je suivais du regard. Elle n’était pas très grande, avait des seins de petite taille, mais bien ronds et suffisants pour gonfler son crop-top, dévoilant son ventre lisse et sculpté. J’avais pu expérimenter la tendresse et la rondeur de son fessier et je gardais un contact physique avec elle dès que possible, caressant ses jambes doucement en écoutant les discussions, la tirant par les épaules quand nous riions, ou plaquant mes pieds sous ses fesses d’un air innocent.

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Pour continuer la soirée, nous lançâmes un film, il commençait à se faire tard, l’excitation s’était comme évanouie, les filles laissaient transparaître une paresse sous-jacente. Salomé s’allongea sur le canapé d’angle tandis que Jade vint se lover contre moi, sur le deuxième canap’ en face du téléviseur. Yasmine se posa contre mon épaule et nous mîmes des épisodes d’une série américaine, un peu niaise, mais entraînante. Il nous fallut un peu de temps pour trouver une position confortable. La tension était redescendue entre nous et Jade se permit d’allonger sa tête sur mes genoux, plaqua ma main sous la sienne, contre sa taille dénudée, et tout le monde se tût. Bien sûr je m’acclimatai très vite à cette proximité soudaine, attendri par ce côté mignonnet de ma nouvelle amie. L’obscurité nous entourant, je me mis à caresser la douce Yasmine, et je baladai ma main libre sous son crop-top en la serrant contre moi.
Elle me regardait d’un air entendu et je lui effleurai les hanches, remontant sous ses seins, que je me mis peu à peu à saisir. Ne sentant aucune résistance de son côté, je me mis à les masser, lentement, en surveillant le regard de Salomé, et en écoutant le souffle de ma belle s’épaissir tandis qu’elle se mordait les lèvres. De part sa proximité, je pense que la fieffée coquine posée sur mes genoux devait avoir éveillé quelques doutes, mais personne ne fit la moindre réflexion, malgré le tissu de ma braguette qui se tendait à nouveau sous ses cheveux... À peine une heure plus tard nous étions tous proches du sommeil et je proposai qu’elles dorment ici, les autres lits étant inoccupés ; les portes pouvaient se verrouiller et j’avais des serviettes si elles voulaient se doucher.
Elles acceptèrent et prirent toutes une douche, se lavèrent les dents avec mes brosses et je les matais encore tandis qu’elles se baladaient en petite culotte ou sous de courtes serviettes pour choisir leurs lits. Jade nue sous ma serviette de la veille vint me faire la bise avant de dormir, plaquant sa grosse poitrine contre moi, et faisant presque tomber sa maigre protection de tissu dans l’action, avant de partir se cacher en sautillant avant que son corps ne se dévoile complètement.

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Salomé et Jade s’installèrent dans la chambre adjacente à la mienne, prenant un lit pour deux tandis que Yasmine se mit à l’opposé dans la chambre du fond. Je rejoignis mon matelas, me dénudai pour m’enfoncer sous mes couettes, une demi-molle pointant au contact du tissu froid sur mon corps nu. Cette soirée en si bonne compagnie m’avait stimulé et je commençai à me caresser, laissant glisser mon sexe le long de mon avant-bras, flattant la rigidité et la douceur de mon jeune membre. Une fois encore, je fus gagné par l’appel de la luxure et j’entamai une masturbation silencieuse, à la lumière tamisée de ma lampe. Je contrôlais ma respiration ; savoir qu’un simple mur de placo me séparait de filles aussi bandantes que Jade et Salomé m’excitait inévitablement, mais m’appelait à la prudence.
À peine eus-je le temps de faire durcir ma queue par des caresses avisées que l’on gratta à ma porte. Je posai en vitesse mes mains au-dessus de la couverture tandis que l’on ouvrait, et je découvris la silhouette de Yasmine, en shorty sous son crop-top. Sans un mot, elle referma la porte en appuyant de tout son poids pour faire coulisser la poignée sans frottement, me laissant mater ses jambes longilignes dressées sur la pointe des pieds et son petit fessier rebondi. Quand elle eut fini, elle se rapprocha en sautillant et bondit sur ma couette, tout sourire, se positionnant au-dessus de moi à quatre pattes, sans savoir que son genou frottait déjà contre mon érection. Comme un adolescent amoureux, je jouai à la déstabiliser en tirant sur ses bras pour la faire tomber contre moi. Et Yasmine se débattit tandis que je la saisis par sa taille si fine et si douce pour la faire rouler sur le côté.
Elle s’empêchait de pouffer et moi je me contentais de la couvrir de baisers, çà et là, sur son cou et sur ses joues, descendant parfois sur son ventre plat. Je faisais attention à ne pas me découvrir, mais à force de se débattre elle avait fait glisser la couette jusqu’à mon nombril et avait éveillé mes instincts animaux. La saisissant par les hanches, je la fis soudainement glisser en dessous de la couverture, et elle me rejoint en gloussant, passant sous mon corps dans le même mouvement. Nous continuâmes nos jeux de soumissions et je l’embrassai partout où je pouvais en retenant ses poignets au-dessus de son visage.
Elle sentait sûrement ma queue raidie frotter sur l’intérieur de sa cuisse, mais ne dit mot. Je la soulevai pour la serrer contre moi en passant mes mains dans le creux de son dos et sous ses omoplates, sous son tissu de coton. Elle fit glisser dans un même geste ses jambes tout autour de mon corps, ses talons se posèrent sur mes fesses, m’enserrant auprès d’elle. Nous nous embrassâmes longuement, mes mains remontant sur son ventre, glissant sous le tissu et attrapant amoureusement ses seins. Ses ongles griffaient mon dos, et mon sexe, d’autant plus dur, frottait négligemment sur son bas-ventre, chose que l’on tentait d’ignorer, mais qui ajoutait pourtant à l’excitation. Je me décidai alors à la redresser un peu sur les oreillers et la faisant lever les bras je lui retirai enfin son crop-top, dévoilant une poitrine peu imposante, mais aux proportions merveilleuses.
Son air joueur avait laissé la place à une façade timide, ses pommettes avaient viré au cramoisi, mais elle passa d’elle-même sa main dans mes cheveux. Je me reculai quelque peu, puis me mis à téter ses seins et à pourlécher ses aréoles rosâtres de longues minutes. Elle était incroyablement belle en shorty, les jambes de part et d’autre de ma taille, ses cheveux bouclés, en bataille sur mes oreillers et son corps nu, face à moi.
Nos ébats se stoppèrent cependant rapidement, quand la porte s’ouvrit dans mon dos, dévoilant Salomé et sa binôme. Elles étaient toutes les deux en culotte et les tétons de Salomé pointaient sous sa brassière. Elle s’avança en expliquant qu’elles avaient voulu chercher Yasmine, mais ne l’avaient pas trouvée dans sa chambre...
Elle avait clairement l’intention de s’asseoir sur le lit, mais s’arrêta soudain en se rendant compte de la nudité de son amie, c’est Jade, qui elle avait compris la situation, qui ferma la porte et poussa Salomé sur le matelas avec un grand sourire. Décidément cette petite était aussi salope qu’elle en avait l’air. Yasmine de son côté était rouge de honte et de frustration, mais laissa enfin échapper des gémissements de plaisir quand je me réattaquai à ses tétons, mordillant et aspirant cette jolie poitrine. Ces visiteuses nocturnes ne m’empêcheraient pas d’initier ma jolie compagne à mes désirs dépravés. De son côté Jade essayait d’enlever la brassière de la timide Salomé. Quel spectacle quand la poitrine que je désirais depuis l’après-midi se dévoila sous les mains baladeuses de Jade, ses seins étaient si ronds, dorés, et de petits tétons durcis pointaient à leur surface.
Salomé essayait vainement de se couvrir en exposant une moue boudeuse, mais elle était si fière de son corps qu’elle souriait ouvertement : je me garderais décidément cette pétasse pour la fin.
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