Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 19 J'aime
  • 7 Commentaires

Salopes OGM

Chapitre unique

Trash
AVERTISSEMENTLe texte qui suit décrit des fantasmes purs, qu’il n’est pas question de réaliser réellement. Les maladies sexuellement transmissibles existent et font des ravages et la conception d’enfants engage la vie d’autrui et ne doit pas avoir de motivations sexuelles.

Dans un futur pas si lointain, un homme riche et puissant, passionné de génétique et obsédé sexuel, est parvenu à mettre en œuvre une expérience qui pourrait bouleverser les rapports normaux entre les hommes et les femmes.
Génétiquement, chez les mammifères les mâles et les femelles sont programmés différemment en matière de stratégie de reproduction. Pour optimiser leurs chances d’avoir une descendance, les mâles misent sur la quantité de femelles qu’ils vont féconder, il leur est tout à fait possible de s’accoupler avec de nombreuses mères potentielles sur des périodes très rapprochées. Les femelles quant à elles, privilégient la qualité, car une fois fécondées elles devront attendre la fin de la gestation pour avoir une nouvelle chance de transmettre leurs gènes.
Cette différence fondamentale régit les comportements sexuels des hommes et des femmes.
Notre riche et ingénieux obsédé a eu l’idée de modifier artificiellement le patrimoine génétique de femmes clonées, en remplaçant le gène féminin dédié à la reproduction par un gène masculin. Ainsi, ces femmes génétiquement modifiées se comportent sexuellement comme des hommes, elles cherchent à s’accoupler avec un maximum d’entre eux, très régulièrement, sans être très regardantes sur leur qualité.
Pour rendre l’expérience encore plus agréable aux hommes qui côtoient ces femmes très particulières, le généticien a eu l’idée de baser ses clones sur de superbes femmes, certaines très célèbres : mannequins, actrices, … Il y est parvenu en récupérant des échantillons de leur ADN (par exemple en prélevant un cheveu, une trace de salive, …), en créant des embryons à partir de l’ADN dont il a modifié le gène de la reproduction. Puis il a fait féconder des mères porteuses avec ces embryons.
Après les accouchements, il place les bébés dans des centres éducatifs recueillant des orphelins, qu’il finance. Ces jeunes filles particulières sont ainsi éduquées de manière presque normale.
Avant leur adolescence, aucun signe ne marque leur différence génétique. Mais à la puberté, elles risquent d’adopter des comportements déviants de celui des autres enfants. Afin d’éviter ce problème, des substances régulant leur production hormonale leur sont administrées pour qu’elles conservent l’attitude de jeunes filles normales.
Lorsqu’elles atteignent l’âge de 18 ans, les doses de régulateurs hormonaux administrées sont réduites, puis stoppées, et on leur propose d’intégrer une nouvelle école située sur une ile paradisiaque pour y apprendre un métier susceptible de les intéresser. Elles acceptent toutes.
Pour mener à bien son expérience, le milliardaire a acheté une petite ile dans les Antilles, qu’il a totalement dédiée à son projet et baptisée Sainte-Merde.
A leur arrivée, les jeunes filles « OGM » sont installées dans des appartements totalement équipés, elles bénéficient d’une large autonomie, mais doivent suivre des cours pendant quelques années, afin d’apprendre des métiers qu’elles pourront exercer sur l’ile. En effet, le mécène ne souhaite pas que les filles restent oisives. Il créé des conditions économiques qui les obligent à occuper un emploi pour pouvoir vivre correctement, même s’il subventionne largement le système pour leur permettre de consacrer une part importante de leur temps et de leur énergie à jouir de leur corps et à faire jouir les hommes.
Ainsi, la plupart des jeunes filles apprennent un métier pendant deux à trois ans. Puis elles se font embaucher dans les entreprises présentes sur l’ile. La plupart exercent dans le secteur de la mode, du commerce, de la beauté, de l’alimentation. Ces emplois leurs permettent de bien gagner leur vie pour pouvoir se faire plaisir, tout en bénéficiant de beaucoup de temps libre.

Au démarrage de l’expérience quelques femmes « non OGM » étaient présentes sur l’ile notamment pour former les jeunes filles ou occuper certains emplois. Au fil des années, elles ont cédé la place aux filles génétiquement modifiées.
L’ile est également habitée d’hommes, souvent des gens riches qui se paient du bon temps sur cette ile tropicale habitée des femmes magnifiques aux gènes les poussant à s’accoupler le plus souvent possible et avec un maximum de partenaires. Néanmoins le propriétaire n’opère pas qu’une sélection par l’argent, il prête également attention à ce que les hommes soient relativement représentatifs d’une société classique.
Sevrées des substances qui contrôlaient leurs hormones les jeunes filles se mettent très vite en quête de partenaires sexuels. Toutefois, l’institution en charge de l’ile veille à ce qu’elles ne succombent pas à leurs pulsions durant leurs cours ou leur travail. Celles qui ne se conforment pas à ces règles sont sévèrement punies (amendes, travaux d’intérêt généraux, …). En dehors de ces temps tout est permis, y compris dans les lieux publics !
Malgré leurs besoins de rapports sexuels très fréquents, certaines femmes se marient et vivent avec leur époux. Ce qui ne les empêche nullement d’avoir des rapports avec de nombreux autres hommes. Si l’homme accepte que sa femme soit très volage cela ne pose pas de problème, d’autant que les maris peuvent également aller voir ailleurs sans souci.
Sur Sainte-Merde les femmes et les hommes désirent tous la même chose : baiser. Ainsi les abus sexuels n’existent pas, car les filles sont toujours partantes pour assouvir les désirs et la perversion des hommes, et réciproquement.
Est-ce pour plaire davantage aux hommes, un hasard de la génétique, une volonté cachée de de l’instigateur de ce projet fou ? On n’en connait pas les raisons, mais sur l’ile la plupart des habitants aiment et s’adonnent à des pratiques sexuelles très sales et souvent violentes.
—--------------------------
En cette fin de matinée Cameron (clone modifié de Cameron Diaz), actuellement âgée de 22 ans termine son travail de vendeuse dans une boutique de vêtements féminins. Si son employeur l’oblige à porter une tenue décente pendant son travail (même si elle peut tout à fait être sexy), elle préfère se vêtir de manière très affriolante pour sortir. Lorsqu’elle quitte sa boutique la jolie blonde ne porte qu’un string rouge, une guêpière assortie, des chaussures à talons hauts écarlates et ses lunettes de soleil pour protéger ses magnifiques yeux bleus de la forte luminosité tropicale.
En quelques minutes elle gagne la plage où elle compte profiter de son après-midi. A côté du bar, elle repère immédiatement un beau jeune homme en conversation téléphonique. Torse nu, musclé, grand, le beau brun plait immédiatement à Cameron, qui le reluque sans honte. En attendant qu’il termine son appel, elle se place près de lui et prend des poses suggestives, elle tente de l’émoustiller. Les beaux hommes disponibles ne sont pas si fréquents sur Sainte-Merde, en outre il arrive que certains aient été épuisés par de nombreux rapports avec d’autres femmes et qu’ils se dérobent à de nouvelles relations.
Tiraillée par son besoin de sexe Cameron espère vraiment motiver le beau mec qu’elle a repéré. Aguicheuse la belle blonde montre ses fesses et sa poitrine mises en valeur par sa tenue très sexy à sa proie, tout en se mordillant le doigt, elle lui lance des regards de braise. Elle est divine dans sa tenue sexy, elle porte un piercing en-dessous de la lèvre inférieure qui lui confère un look légèrement alternatif tout à fait irrésistible.
Dès qu’il a raccroché le garçon répond aux sourires de Cameron et la regarde avec envie. Elle l’apostrophe : « Coucou mon tout beau, j’ai envie de toi tu sais… »
Si Cameron est aussi directe, elle ne fait que suivre la coutume de Sainte-Merde. Pour assouvir leurs besoins sexuels distillés par leurs gènes, les femmes doivent se comporter de la sorte. Comme partout les hommes cherchent à baiser, mais c’est tellement facile sur cette ile, qu’ils ne peuvent satisfaire que les plus belles filles qui leur laissent espérer un maximum de plaisir. Les plus provocantes, délurées et soumises sont généralement les plus récompensées.
Le beau jeune homme fixe Cameron, s’approche et plaque un baiser sur ses lèvres pulpeuses. La belle ouvre la bouche et leurs langues s’emmêlent longtemps dans un bruit de salivation intense. Celle de Cameron est percée d’un clou métallique de couleur rose, qui claque contre les dents du garçon. Dès qu’il quitte sa bouche il lui envoie une grande baffe sur la joue, qui fait presque tomber la blondinette perchée sur ses hauts talons. Cameron n’est pas choquée pas le comportement violent de son partenaire, elle aime être maltraitée lorsqu’elle a des rapports sexuels, cela l’excite et lui donne du plaisir
Elle sait qu’elle a motivé le beau mâle à une partie de baise, elle est ravie qu’il tombe dans ses bras aussi facilement, elle va pouvoir profiter pleinement de son après-midi libre.
Souhaitant passer un moment agréable avec Cameron, le garçon l’entraine sur la plage où sont disposés de nombreux transats doubles. C’est lui qui paie le transat, mais Cameron offre une tournée de bières, histoire de se rafraichir un peu sous la chaleur très forte qui règne à Sainte-Merde. Sur cette ile les règles de la galanterie ne s’appliquent guère, les hommes et les femmes étant égaux sur le plan de l’accès au sexe, ces pratiques qui nous semblent naturelles, n’ont pas cours.
Cameron s’assied au bord du transat, le jeune homme – prénommé Damien – est face à elle, sans préliminaire elle baisse son short, attrape sa queue qui durcit à peine, mais affiche déjà de remarquables dimensions, et l’enfourne dans sa bouche gourmande et habile. Ils ne se sentent absolument pas gênés d’avoir des rapports sexuels en extérieur, sur une plage fréquentée, tandis que la serveuse du bar de la plage apporte leurs bières. Sur Sainte-Merde les gens ont l’habitude de baiser en public, cela ne pose aucun problème et peut même parfois permettre de provoquer des partouzes endiablées qui regroupent des dizaines de protagonistes, pour le plus grand plaisir de tous.
Elle lèche avidement le membre qui grossit rapidement, elle le fait coulisser loin dans sa gorge. Damien se laisse faire quelques secondes, profite du savoir-faire de sa partenaire, il boit une gorgée de bière. Puis il devient plus actif, il empoigne la tête de Cameron pour la plaquer sur lui, en fichant sa bite profondément dans la gorge de la jolie blondinette. Elle a un peu de mal à respirer, mais elle aime se sentir bien prise par un gros chibre planté dans son gosier. Damien fait sortir les beaux petits seins de Cameron de l’écrin de la guêpière, les pétrit et pince les tétons transpercés chacun d’un petit clou, pour le plus grand plaisir de leur propriétaire, qui aime que l’on s’occupe de son corps pendant qu’elle donne du plaisir avec sa bouche.
Lorsque Cameron en a assez de cette fellation, elle se positionne à quatre pattes sur le transat, elle retire son string, se donne des claques sonores sur ses fesses qui laissent de grandes traces rouges et présente sa fente humide à la toison très entretenue à son amant, en lui demandant : « Prends-moi fort, j’ai envie de toi dans ma chatte trempée. »
Damien donne quelques coups de sa langue râpeuse sur les parties intimes et gluantes de Cameron qui gémit de plaisir. Puis il pénètre sans aucune difficulté son vagin rodé aux grosses bites. Il baise vigoureusement sa partenaire en levrette et lui tire des cris de plaisir : « Ouais, vas-y mets la moi bien profond, baise-moi bien fort. »
Après de longues minutes, elle est prise de spasmes annonciateurs d’un orgasme puissant, qu’elle exprime par un cri déchirant l’air : « Ouiiiii, putain que c’est bon ! »
Damien n’a pas encore joui, même s’il a déjà baisé d’autres filles depuis ce matin, il aime bien niquer Cameron et a envie de donner encore plus à cette superbe blonde, souple et très chaude. Sans un mot, il retire son membre de la chatte dégoulinante pour placer son gland sur l’anus de la jeune femme. Elle se laisse faire, elle aime beaucoup la sodomie, comme toutes les filles de Sainte-Merde.
L’anus de Cameron résiste à peine plus que son vagin. Rapidement, Damien lui pilonne sauvagement le cul. Elle gémit et crie de plaisir sous les coups de reins puissants de son amant.
En enculeur expérimenté Damien sent immédiatement que l’ampoule rectale est emplie de merde grasse. Il y plonge sa queue avec encore plus d’ardeur car il aime la sensation procurée par la merde chaude qui colle à sa bite pendant qu’il fourre un cul. Il lui pilonne le cul fangeux, en l’attrapant par les cheveux, l’obligeant à se cambrer davantage.
Cameron aime également se faire enculer sauvagement quand elle est pleine. Elle sait que son intestin n’est pas complètement rempli car elle a joué avec sa merde la veille au soir, elle aurait aimé se retenir un peu plus longtemps pour profiter encore plus lorsqu’elle aurait libéré son intestin congestionné, mais l’occasion de se faire prendre par un beau mec comme Damien ne pouvait pas se refuser. Elle abandonne rapidement ses regrets pour profiter de cette sodomie qui lui donne un réel plaisir. Elle encourage d’ailleurs son amant : « Oui, encule-moi bien fort, défonce mon trou à merde ! Casse-moi le cul !»
Tout en tenant ces propos salaces, elle libère un peu d’urine qu’elle tente de récupérer avec sa main pour la porter à sa bouche, elle en boit une gorgée, puis porte à nouveau du liquide doré à ses lèvres, elle le garde bouche et s’en gargarise. Comme la plupart des femmes de Sainte-Merde, Cameron est une adepte convaincue et pratiquante des jeux sexuels sales.
Damien aime que sa bite fourrage un trou bien crade, mais il a envie de jouir en souillant le beau visage de la blondinette avec sa bite sale. Il interrompt la sodomie, l’anus de Cameron évacue un étron qui choit sur le transat. Son chibre est couvert d’une belle couche de merde grasse et puante.
Dès qu’elle a fini de chier, Cameron se retourne pour faire face à Damien. Elle approche son visage du sien et lui offre un baiser pisseux, en déversant le contenu de sa bouche dans celle de son partenaire. Il apprécie de goûter la pisse mêlée à la salive de la jeune femme.
Tout naturellement, Cameron se dirige vers le sexe souillé de Damien. Elle le renifle, appréciant l’odeur de sa propre merdre qu’elle connaît bien, sort sa belle petite langue rose, muni du clou qui la rend encore plus sexy, qu’elle passe sur les parties les plus sales du gros membre bandé, avant d’enfourner ce dard dégueulasse dans sa gorge. Elle nettoie consciencieusement la bite, avec un réel savoir-faire.
Pour s’exciter encore davantage Damien prend une poignée de merde molle qui gît sur le transat et en badigeonne les beaux cheveux blonds de Cameron pendant qu’elle le suce. Sentant la merde encore chaude sur sa tête, elle lui lance un regard énamouré de ses magnifiques yeux bleus, elle adore être souillée. C’est le coup de grâce pour Damien qui jouit en envoyant de grandes rasades de sperme dans le gosier de Cameron qui se régale de ce nectar qu’agrémentent les résidus merdeux qui polluent sa bouche.
Cameron et Damien se séparent rapidement après cette séance de baise qui peut nous sembler très extrême mais qui se pratique très couramment sur Sainte-Merde. Même s’ils ont aimé baiser ensemble, ils ne ressentent ni l’un ni l’autre l’envie de se connaître davantage. Cameron prend un bain de mer qui commence à la nettoyer, puis elle quitte la plage, uniquement vêtue de ses bas rouges en lambeaux et sur ses hauts talons. Le nettoyage du transat sale, est compris dans la location !
—--------------------------
En cette chaude soirée tropicale, Brigitte (clone de Brigitte Bardot, âgée de 23 ans) et Audrey (clone d’Audrey Tautou âgée de 18 ans), deux collègues travaillant dans salon d’esthétique, devenues amies, ont décidé de sortir s’amuser, elles ne travaillent pas le lendemain et elles veulent en profiter. Elles ont revêtu de vêtements affriolants, importables en public en dehors de Sainte-Merde. Audrey est seins nus, seul un mini string cache son intimité, ses jambes sont mises en valeur par des bas auto-fixant noirs et des chaussures à talons vertigineux. Brigitte, porte une sorte de combinaison blanche très élégante, assez transparente, percée de trois trous stratégiquement placés au niveau de chacun de ses seins et de son entrejambe.
Si les femmes, même très belles, ont parfois un peu de mal à concrétiser leurs envies de baise avec certains hommes très attirants, elles déploient des stratégies qui leur permettent d’augmenter leurs chances. Au-delà de s’adonner au sexe très sale et violent, qui excite de nombreux hommes, le fait de draguer à plusieurs en proposant aux garçons de baiser plusieurs filles en même temps est une tactique qui fonctionne souvent très bien.
Brigitte et Audrey ont donc décidé de « chasser en meute » ce soir-là. Elles se rendent dans un bar de la ville principale de Sainte-Merde, Chatte-sur-Urine. Elles sont un peu déçues par la très forte affluence féminine dans le bar. Elles saluent quelques connaissances, Sharon (clone de Sharon Stone, âgée de 28 ans) totalement nue, Laetitia (clone de Laetitia Casta, âgée de 19 ans) enceinte de 8 mois qui ne porte qu’un simple string, Shu (clone de Shu Qi, adorable asiatique de 19 ans) qui ne porte que sa culotte blanche maculée d’une grosse auréole brune sur l’arrière ! Toutes sont perchées sur de hauts talons. Bien d’autres jeunes filles toutes aussi sexy occupent l’établissement.
Deux couples sont en pleine action, à même les tables du bar. Leurs ébats n’intéressent qu’eux, les autres clients ne se préoccupent que des aventures qu’ils pourraient eux-mêmes avoir.
Malheureusement seuls quelques mecs sont présents. Audrey est navrée : « Mince, on ne va pas réussir à se taper qui que ce soit ici. On devrait aller ailleurs.
— Peut-être pas, souffle Brigitte.— Comment tu comptes faire ? interroge Audrey.— J’ai mon idée, déclare Brigitte. »
En finissant sa phrase, elle s’approche de trois filles qui discutent, l’air également un peu dépité par la faible présence masculine. Brigitte s’adresse à elles : « Salut, il y a vraiment trop de filles ici ce soir, ça manque de mecs.
— Ouais, c’est sûr on va avoir du mal à se faire niquer, répond Monica (clone de Monica Bellucci, âgée de 25 ans)— J’ai peut-être une idée, lance Brigitte.— Tu nous intéresses, répond Julia (clone de Julia Roberts, âgée de 20 ans).— Comment tu comptes t’y prendre ? questionne la grande Charlize (clone de Charlize Theron âgée de 30 ans). »
Audrey regarde son amie comploter avec les trois autres filles, qui sont toutes très légèrement vêtues, de tenues sexy en diable. Elles la rejoignent quelques instants plus tard, souriantes et terriblement attirantes. Brigitte se dirige droit sur elle et plaque ses lèvres contre les siennes, sous le regard des autres filles.
Audrey préfère les hommes, mais elle pratique de temps à autre des jeux saphiques, généralement en présence d’hommes. Elle est un peu surprise par l’attitude de son amie, mais se laisse faire, répondant même au baiser qui lui est donné, en caressant la langue de la splendide Brigitte avec la sienne. Brigitte assène une violente claque sur le cul nu d’Audrey, qui frémit sous l’impact, son lobe affichant très vite la marque rouge de la main de son amie.
Brigitte rompt le baiser et crache dans la bouche d’Audrey, qui lape le gros mollard en souriant. Elle aperçoit les autres jeunes femmes auxquelles Brigitte a parlé qui commencent à se gouiner. Julia pelote les nichons de Monica, tandis que Charlize la branle. Audrey comprend la teneur des propos de son amie avec les autres filles, elle les a incitées à baiser entre elles pour attirer l’attention des quelques mecs présents et faire en sorte qu’ils appellent leurs amis en les invitant à se joindre à une super partouze. Brigitte est vraiment maligne !
Audrey se lâche, elle sait que pour que la stratégie fonctionne il va faut que les filles offrent un spectacle vraiment bandant aux mecs. Elle pousse Brigitte à s’allonger sur le sol, elle admire un instant le corps splendide de son amie, dont les tétons dardent durement au travers des trous de sa tenue. Elle se positionne à califourchon au-dessus d’elle, sans prendre soin d’écarter la ficelle de son string et elle pisse sur le corps brûlant de Brigitte. Le flot d’urine trempe son fin vêtement et arrose Brigitte qui est très vite trempée de la tête aux pieds, car Audrey se déplace au-dessus d’elle pour souiller tout son corps de son jet doré. Sa combinaison blanche devient vite jaune transparente, ses longs cheveux ruissellent.
Audrey, voit que les trois autres filles se montrent tout aussi perverses qu’elle. Monica fesse Charlize, qui elle-même lèche la chatte de Julia, allongée jambes grandes ouvertes qui pisse directement dans la bouche de la belle blonde. Celle-ci semble se régaler en buvant l’urine à la source. Après quelques instants, Julia interrompt sa miction, se dirige vers Charlize et qui lui recrache sa pisse dans la bouche. La belle Julia apprécie de goûter à sa propre urine, dont elle se gargarise bruyamment avant de l’avaler.
La scène excite Monica, qui fesse de plus en plus durement sa soumise, tout en touchant son propre entrecuisse.
Ces actes provocateurs font des émules, d’autres filles – frustrées par le manque de bites – se mettent également à se comporter de manière provoquante et obscène. La belle Laetitia, malgré la gêne occasionnée par son gros ventre de femme enceinte, s’allonge pour lécher la culotte sale de Shu, pendant que cette dernière s’abreuve de la pisse de Sharon. Laetitia branle sa chatte dilatée par la grossesse tout en goûtant la matière brune au travers du mince tissu de la culotte de Shu.
Petit à petit, ces comportements débridés font leurs effets sur les quelques hommes présents, qui s’intéressent de très près aux jeunes perverses qui baisent dans le bar. Mêmes des mecs déjà occupés à niquer s’approchent de la scène. Leur compagne, ne souhaitant pas rester seules si leur homme leur préfère les minettes en train de se gouiner, se joignent au mouvement. Bientôt, toutes les personnes présentes dans le bar se regroupent et se mettent à baiser ensemble, une partouze géante se met en place. Et comme l’avait imaginé Brigitte, quelques hommes appellent des amis pour leur recommander de se joindre à cette soirée qui promet d’être vraiment délurée.
Charlize, le cul brûlant et cramoisi après la dure fessée portée par Monica, surplombe Audrey qui s’est allongée sur le sol couvert de sa propre pisse. La grande blonde écarte ses lobes fessiers martyrisés et pond un long étron souple qui choit sur le doux visage de la brune, bouche grande ouverte, avide de matière fécale. Une partie de l’étron emplit la cavité buccale et le reste se répand sur son visage, obstruant ses narines.
Monica a observé la scène de près et se précipite sur Audrey pour étaler la merde sur le visage et les petits seins fermes de la jeune fille, qui mâche les excréments qui se sont introduits dans sa bouche et les avale. Elle affiche ensuite un sourire réjoui qui illumine son visage sous la gangue infâme.
Charlize s’est également accroupie près d’Audrey et participe à enduire le corps mince de la jeune brune de sa propre merde puante. Elle insiste particulièrement sur l’entrecuisse et le pubis légèrement poilu, fourrant de la matière fécale dans la chatte trempée et avide.
Brigitte s’est approchée de Laetitia et de Shu qui jouent toujours ensemble. Laetitia introduit une main dans la culotte empesée de merde de la belle asiatique. Elle frotte vigoureusement l’intérieur étalant le contenu brun sur tout l’entrejambes et étalant la merde sur sa main qu’elle retire bientôt pour la lécher. Laetitia ne se préoccupe pas des conséquences sur son bébé de son comportement totalement irresponsable, elle ne pense qu’à son plaisir de femelle transgénique en chaleur !
Brigitte est terriblement excitée par le spectacle offert par la belle Laetitia, qui s’adonne à de telles perversités malgré sa grossesse avancée. Elle attrape de force la main sale de la belle brune aux yeux bleus et la fourre dans sa bouche pour goûter aux déjections de la non moins séduisante Shu, qui triture ses seins pour en faire durcir les bouts.
Rapidement Brigitte ôte la culotte de Shu et plonge directement son beau visage dans l’antre puant de la jeune femme pour se repaitre des immondices qui la polluent délicieusement. Jalouse, Laetitia tire la longue tignasse blonde de Brigitte pour l’obliger à quitter la moule de Shu. En découvrant le visage souillé de sa rivale, elle lui roule une pelle baveuse et passionnée, avant de se précipiter directement à la source des saletés. Excitée par les coups de langue qui se succèdent sur sa raie, Shu libère un peu sa vessie pleine et irrigue la bouche gourmande de Laetitia qui adore la pisse et se gargarise du délicieux nectar. Généreuse, elle en partage une partie avec Brigitte et Shu.
Partie chercher une consommation Sharon retrouve ses amies en pleine action. Elle avale très vite son verre d’alcool fort et se joint aux réjouissances. Debout, déjà totalement nue, elle plaque son sexe sur le visage de Shu pendant qu’elle se fait brouter par Laetitia et Brigitte. Shu lape la chatte gluante de Sharon, puis explore son anus. Pressée par une envie qui devient urgente Sharon se détend et libère une grosse merde que Shu s’efforce de prendre en bouche.
Le volume de matière fécale qui sort est tel que la jeune asiatique ne parvient pas à tout récupérer, plusieurs étrons tombent au sol. Sharon et Shu savent qu’ils seront bien vite utilisés par les salopes en rut présentes dans le bar.
Louis, un bel homme qui était occupé à niquer une jeune fille lorsqu’Audrey et Brigitte entraient dans le bar, observe cette scène lesbienne très excitante en se branlant doucement. La belle Laetitia enceinte jusqu’aux dents qui se vautre dans l’ordure avec ses copines l’excite terriblement. Il approche du groupe sans se faire remarquer et assène une violente gifle sur le cul généreux de Laetitia, à quatre pattes en train de lécher les excréments. Surprise, elle se retourne et contemple une seconde le bel homme, puis elle déclare : « Waouh, une belle bite comme ça, ça fait rêver ! »
Louis fesse l’autre lobe et approche sa queue de la bouche sale de Laetitia qui s’empresse de la prendre en gorge profonde. Shu et Sharon sont admiratives du beau dard. Sharon lance : « Tu nous la feras goûter ?
— Elle est vraiment appétissante, confirme Shu. »
Laetitia est trop occupée à sucer, elle ne répond pas. Louis approuve les deux jeunes femmes : « Vous inquiétez pas les filles, vous pourrez me sucer et même vous la mettre dans tous vos trous.
— Tu as peut-être des copains qui pourraient nous rejoindre, ajoute Shu.— Ouais, je vais appeler quelques potes bien montés qui aiment les nénettes bien dégueulasses comme vous, approuve Louis. » Il prend son téléphone et envoi des messages.
Sharon prend de sa propre merde qui était tombée au sol et s’enduit le visage. Shu lui roule une belle merdique et baveuse. Elles ont toutes les deux le visage maculé de matière fécale collante et puante, lorsqu’elles s’approchent de Laetitia. Elles tirent sur ses cheveux pour qu’elle quitte la bite de Louis et qu’elles puissent elles-mêmes la prendre dans leur gorge avide de pénétrations.
Laetitia râle un peu d’être ainsi dépossédée du gros dard dont elle se délectait, mais elle se laisse faire, embrassant la fille qui n’est pas occupée par le chibre imposant de Louis.
Ce dernier, bite bandée à son maximum, veut fourrer les trous de ses adorables partenaires. Il demande à Laetitia de se mettre en levrette et enfonce son pieu dans le cul serré de la jeune fille enceinte. Elle porte immédiatement ses doigts sales à sa chatte dilatée par la grossesse pour s’exciter encore davantage. Elle jouit rapidement sous les coups de boutoir du beau mâle et l’action de ses doigts. Louis quitte alors sa grotte, de laquelle sa queue ressort souillée de merde brune, puante et collante. Sharon et Shu se jettent sur le membre pour le nettoyer de leur bouche affamée.
Louis baise ensuite les deux autres filles, dans leur cul, leur chatte, leur bouche. Il prend également Laetitia par la chatte, mais elle est tellement ouverte qu’il n’apprécie que modérément.
Avant qu’il ne jouisse, deux de ses copains rejoignent le groupe. L’un d’entre eux, voyant l’état de saleté de la partouze qui se déroule dans le bar, déclare immédiatement : « Putain les filles, j’ai une énorme envie de chier, je ne vais pas pouvoir vous baiser comme ça. »
Très vite Laetitia, Sharon et Charlize se regroupent et s’allongent près du gars, qui se retourne et libère un gros amas de merde brûlante sur les visages souriants des minettes.
Aussi excité par la grossesse de Laetitia, le mec enfonce sa queue raide dans la bouche de la jolie brune totalement souillée. Il lui bourre la gorge. Venant d’avaler beaucoup de merde et de boire de la pisse, gênée par le gros chibre qui lui laboure la cavité buccale et peut-être incommodée par sa grossesse Laetitia régurgite un épais liquide nauséabond mêlant merde, urine, salive et bile.
L’apparition du vomi dans l’orgie excite encore davantage les protagonistes, femmes et hommes.
De nouveaux mecs arrivent petit à petit de toute l’île de Sante-Merde, prévenus par leurs amis. Cette partouze gigantesque et immonde dure toute la nuit, pour le bonheur des participants et du tenancier du bar qui réalise une excellente recette, qui couvrira largement les frais de nettoyage.
—--------------------------
Pour les deux amies que sont Claudia (clone de Claudia Schiffer, âgée de 37 ans, mariée à James) et Nicole (clone de Nicole Kidman, âgée de 38 ans, célibataire endurcie), c’est un très grand jour. Elles sont toutes deux mères d’enfants qui viennent d’avoir 18 ans et qui vont venir les rejoindre sur Sainte-Merde.
Claudia est la maman de Daphné, une très belle jeune fille, blondinette comme ses parents, tandis que Nicole est la mère de Thibaut, un jeune garçon bien bâti.
Nicole, Claudia et James se rendent ensemble au port de Chatte-sur-Urine pour accueillir leurs enfants, qui – fruit du hasard – viennent pour la première fois sur l’île où vivent leurs parents à la même date. L’arrivée des enfants est assez émouvante pour tout le monde, le moment est également un peu stressant. Les parents sont ravis de pouvoir côtoyer enfin davantage leurs enfants, sans trop savoir comment ils vont leur expliquer les meurs très débridés de Sainte-Merde. Quant aux enfants, ce voyage représente un vrai saut dans l’inconnu.
Afin d’éviter de trop perturber les nouveaux arrivants s’ils venaient à être immédiatement confrontés aux actes les plus pervers qui se pratiquent très régulièrement sur Sainte-Merde, le bateau arrive tôt le matin et les parents gagnent rapidement leur domicile.
—--------------------------
Claudia, James et Daphné
Claudia et James ont bien-sûr pris plusieurs jours de congé pour accueillir comme il se doit leur fille. Dès leur arrivée, ils l’installent dans leur agréable maison. Si pour l’occasion les parents portent des tenues relativement décentes, elles restent très sexy par rapport à ce qui se pratiquait dans l’institution où Daphné a passé toute sa vie. Claudia est vêtue d’une robe d’été très légère et un peu transparente qui laisse largement deviner ses formes sublimes, d’autant qu’elle ne porte aucun sous-vêtement. James est en short et porte une chemise hawaïenne.
Quelques heures après leurs retrouvailles, Daphné est confrontée à un premier problème d’adaptation : les toilettes de l’appartement de ses parents ne sont pas équipés de porte. A quoi un tel objet servirait-il sur une île habitée exclusivement par des obsédés sexuels adorant le sexe crade ? Mais ce manque d’intimité gêne beaucoup la jeune adolescente. Ses parents, se rendant compte de son trouble, sortent sur le balcon au moment où leur fille se soulage. Ils se demandent néanmoins comment ils vont faire durant la nuit prochaine, lorsqu’ils voudront baiser dans leur chambre, qui communique directement avec celle de leur fille.
Chaque instant de cette journée que tous imaginaient comme mémorable, se trouve empreint d’une certaine gêne. Daphné porte un regard étrange sur ses parents. Elle trouve que sa mère est habillée de manière très provocante, elle n’a pas été habituée à de telles tenues dans l’institution où elle vivait De plus, sans qu’elle ne comprenne ce qui se passe, elle sent en elle un changement depuis quelques temps, la vue de belles personnes lui provoque des fourmillements dans le bas-ventre, qu’elle ne peut expliquer. C’est bien-sûr l’arrêt de la prise des substances hormonales qui laisse désormais apparaître sa vraie nature de femelle avide de plaisir sexuel, qu’elle ne connaît pas encore, qui se manifeste en elle.
Fatiguée, Daphné se couche tôt. Ses parents sont heureux de la voir s’endormir, ils vont enfin pouvoir se donner le plaisir dont ils ont tant envie depuis le matin. Toutefois, il leur faut être discret pour ne pas éveiller la jeune fille.
Même s’ils font très attention, Daphné est rapidement réveillée par les bruits de plaisir qui émanent de la chambre parentale, directement ouverte sur la sienne. Elle ne comprend pas très bien ce qui se passe et décide d’approcher discrètement du lit de ses parents, dans la pénombre.
Même si elle distingue à peine les formes qui s’agitent dans le lit, elle comprend vite que ses parents font l’amour. Le picotement se manifeste immédiatement dans son bas-ventre. Instinctivement elle porte ses doigts sur son entrecuisse, à peine couvert d’une petite culotte, et commence à se masturber pour la première fois de sa vie. Ses phalanges excitent son bouton d’amour et lui procurent très vite un orgasme, qu’elle manifeste d’un profond soupir que ses parents entendent. Ils stoppent tout de suite leur copulation et se rendent compte que Daphné les a surpris.
Ils allument la lumière. Daphné est effarée d’être prise en flagrant délit d’espionnage, la main dans sa culotte. Honteuse, elle se met à pleurer. Son père s’approche, nu, la bite encore bandée, pour la consoler : « Que se passe-t-il ma chérie ?
— Je ne sais pas ce qui m’a pris, répond Daphné d’une petite voie.— Ce n’est rien. — Je ne voulais pas vous regarder, mais c’était plus fort que moi, j’étais hypnotisée.— Ce n’est pas grave. C’est normal.— Mais qu’est-ce qui m’arrive ? Je sens des picotements dans mon ventre.— C’est normal ma puce, tu grandis, tes sens se développent. »
Claudia, s’approche également, sans prendre la peine de couvrir son corps. Elle veut aussi rassurer sa fille : « Ne t’inquiètes pas Daphné, tout ceci est parfaitement normal, je suis aussi passée par là tu sais. Si tu veux on peut te guider vers ta vie de grande fille.
— Comment cela ? interroge Daphné. »
Délicatement sa mère passe ses doigts sur la fente de sa fille sous le regard bienveillant de son père. Elle lui explique doucement : « Ici se cache ton bouton de plaisir. Quand tu vois ou tu sens des choses qui t’excitent, titiller ce petit point sensible, te donne du plaisir. » En disant cela, Claudia frotte doucement le clitoris de sa fille, qui approuve sa maman : « Oui, c’est vrai que ça fait du bien. Comme toute à l’heure. Continue s’il te plait… »
Délicatement Claudia branle sa fille, qui la supplie d’accélérer son mouvement. Elle jouit très rapidement et déclare, encore toute pantelante : « Ouh, c’était bizarre, vraiment super agréable, que s’est-il passé ?
— Tu as joui. Tu viens de connaître un orgasme. Ca ne t’était jamais arrivé ? questionne James, surpris.— Non, répond Daphné étonnée.— Tu as aimé ? demande sa maman.— Oh oui, c’était génial. On pourra le refaire ?— Quand tu veux ma chérie, confirme Claudia. »
Claudia et James passent encore du temps à faire l’éducation sexuelle de leur fille. Elle est véritablement prometteuse, très curieuse et intéressée. Néanmoins, Claudia remet au lendemain sa véritable initiation.
Daphné ne dort que très peu tant elle est émoustillée par ce qu’elle vient de découvrir et la conversation presque surnaturelle qu’elle a eu avec ses parents, qu’elle connaissait finalement si peu. Elle joue elle-même plusieurs fois avec son bouton magique.
Lorsqu’elle se lève le lendemain, ses parents sont dans le salon, très peu vêtus. Elle comprend qu’elle interrompt à nouveau une relation sexuelle et s’en veut : « Désolé, je ne voulais pas vous déranger. Continuez comme si je n’étais pas là.
— Mais non viens petit-déjeuner avec nous ma chérie. On reprendra plus tard, tous ensembles, intervient James. »
Immédiatement la conversation porte sur le sexe. Daphné veut en savoir plus, elle veut connaître les sensations de pénétration dont ses parents lui ont parlé cette nuit : « Papa quand est-ce que tu me prendras ?
— Tu es sûre que tu veux que je fasse ça ?— Bien-sûr, vous m’avez expliqué tout le plaisir que l’on pouvait y prendre, encore plus qu’en se branlant, je veux essayer au plus vite.— Tu sais, la première fois ça peut faire un peu mal, prévient Claudia.— Mais après c’est bon ? questionne Daphné.— Oui après c’est bon. Si on y va doucement, même la première fois peut être agréable, précise James.— Alors on essaye, implore la jeune fille.— Mais tu sais, d’habitude les filles ne couchent pas avec leur père, c’est de l’inceste, indique le papa.— Mais qu’est-ce que ça fait de l’inceste ? demande Daphné, naïve.— Ce n’est pas admis par la société. Et puis, si le papa féconde sa fille, le bébé pourrait ne pas être normal, indique Claudia.— Ah bon ? Je pourrai être enceinte en couchant avec papa ?— Non, là il n’y a pas de risque, car tu prends des contraceptifs, mais c’est pour cette raison que l’inceste est tabou, répond James.— Alors, on s’en moque, si je ne peux pas tomber enceinte, affirme Daphné, impatiente.— C’est vrai, acquiescent ensemble les parents. »
Claudia et James font allonger leur fille et la déshabillent lentement. Ils prennent le temps de caresser son corps inexploré, en lui expliquant leurs gestes et les plaisirs qu’elle peut en retirer. Ils se dénudent complètement pour rassurer la jeune fille. Claudia lui montre que son sexe à elle aussi se mouille lorsqu’elle est excitée. Son papa lui montre comment sa bite grossit et durcit quand une fille lui donne envie.
Claudia suce le sexe de son mari, sous les yeux de leur fille, qui découvre la fellation. Elle s’y essaie dans la foulée. Même si elle devra s’entraîner pour atteindre la technique de sa maman, elle trouve cette pratique amusante et elle est heureuse de faire bander très dur le beau mâle qu’est son père.
Pour bien montrer à Daphné comment les rapports entre hommes et femmes se font, ses parents baisent devant elle. Ils prennent leur temps pour lui présenter la manière dont le pénis s’introduit dans le vagin. Ils lui montrent même une sodomie – qui reste propre.
Arrive l’instant fatidique où James présente son membre sur la fente de sa fille. Il pousse doucement. Même si elle a très envie d’être dépucelée par son père, Daphné grimace lorsque la queue déchire son hymen, faisant jaillir un peu de sang. Néanmoins, en tant que père, James est le plus doux possible pour faire découvrir à sa fille les joies de la pénétration. Il prend son temps, et assez vite la douleur laisse place à un réel plaisir chez sa partenaire. Claudia observe la scène de près, câlinant sa fille et massant ses jeunes seins pour que l’excitation prenne le dessus au plus vite. Daphné connaît un nouvel orgasme, qui la transporte dans un plaisir indicible. Incité par les encouragements de sa fille qui en veut plus après cet orgasme, James continue de baiser cette jeune petite chatte. Il jouit quelques minutes plus tard, déclenchant une nouvelle jouissance chez Daphné lorsqu’il l’inonde de son sperme gluant.
Quand il se retire de l’étroit conduit, sa bite est souillée de foutre et du sang de Daphné. Claudia est fascinée par le caractère ignoble de cette scène ! La vue du membre de son mari, souillé des sécrétions les plus intimes de sa fille, la rend folle. Elle veut absolument y goûter. Elle embouche la grosse queue pour déguster ses jus si précieux pour une salope sale comme elle !
L’enthousiasme de sa femme excite James qui rebande dur très vite et baise la bouche qui le suce par de vigoureux mouvements de hanches. Daphné observe ses parents, incrédule de voir autant de bestialité dans leurs rapports, mais surtout très excitée par l’absence de morale de leurs actes et leur totale liberté.
Elle approche sa bouche de la bite de son père et incite sa mère à lui faire une petite place. Quand Claudia consent à faire sortir le sexe de son mari de sa bouche avide, elle tend sa langue sortie à la bouche de sa fille pour lui rouler une pelle baveuse, où la salive, le sperme et le sang se mêlent dans un cocktail à la fois répugnant et excitant !
Après ces premiers ébats de la journée, la famille tente de retrouver des activités plus normales. Ils font un petit tour à la plage, pas encore trop encombrées de baiseurs à cette heure qui reste matinale. Néanmoins Daphné va de surprises en stupéfactions lorsqu’elle voit des couples déambulant nus dans les rues, se touchant leurs parties génitales et d’autres qui copulent dans les lieux publics.
Ils reviennent à leur appartement pour déjeuner, puis Daphné, sans doute émoustillée par les pratiques qu’elle découvre, cherche à nouveau à provoquer des rapports incestueux avec ses parents. Elle les choque presque en demandant : « Ce matin, papa tu as mis ta quéquette dans le petit trou de maman. Tu pourrais me le faire aussi ? »
James regarde Claudia et sa fille, il est un peu gêné. Sa femme répond : « Mais oui, il pourra te le faire. On appelle ça « enculer », c’est différent de la pénétration par la chatte, mais cela peut aussi provoquer de bonnes jouissances. »
Immédiatement Daphné va vers le canapé, elle s’agenouille dessus et implore son père à déflorer son anus : « Aller, viens papa, met ta quéquette dans mon petit trou, comme tu l’as fait à maman ce matin. »
Certes un peu décontenancé, mais encouragé par sa femme, James bande rapidement à l’idée de prendre le cul vierge de sa jolie fille qui le demande avec une telle insistance. Elle est si appétissante dans sa petite robe d’été, qui la couvre à peine.
Il soulève le tissu, glisse sa main dans l’entrejambes chaud et humide. Il caresse sa rondelle, titille la fente de Daphné. Elle est tellement trempée que ses doigts sont lubrifiés, il peut ainsi commencer à les faire coulisser délicatement dans l’anus qui s’ouvre lentement. Claudia participe en crachant sur le trou plissé. Bientôt ses parents enfoncent leurs doigts gluants dans le fondement de Daphné, qui gémit de plaisir, triturant elle-même sa chatte comme sa mère lui a appris la veille.
Lorsqu’ils estiment qu’elle est prête, Claudia sort le dard de James et le positionne sur l’anus de Daphné. Il met quelques secondes pour perforer l’anneau, mais il parvient petit à petit à entrer une large portion de son bâton de chair à l’intérieur du cul de sa fille. Celle-ci crie, sans doute à la fois de douleur et de plaisir. Elle insiste pour qu’il poursuive : « Oh papa ça fait tout drôle ta quéquette dans mon petit trou. Ca fait un peu mal, mais c’est bon, continue, s’il te plait ».
La magnifique Claudia observe la scène en se branlant vigoureusement, elle embrasse parfois sa fille et jouit avant elle.
Après de longues minutes, James entre totalement sa bite dans le cul de sa fille et la fait jouir. Elle s’est ouverte très vite pour une première pénétration anale. Il se dit qu’elle a de grandes dispositions pour cette pratique. Cette idée l’excite encore davantage et il jouit en se déversant dans le conduit rectal.
Quand il se retire, une odeur fécale se répand dans la pièce presque immédiatement. En salope scatophile Claudia comprend tout de suite ce qui se passe : le cul de Daphné était plein de merde, ils n’ont pris aucune précaution avant de pratiquer la sodomie, mais cet oubli en est-il vraiment un de la part des parents ?
La queue de James toute sale se retirant de sa fille excite énormément la très belle Claudia. Elle ne peut résister à lécher ce dard souillé pour goûter pour la première fois aux fèces de sa propre fille !
Cette dernière observe la scène, mi surprise, mi excitée. Elle n’imaginait pas que le vice de ses parents pouvait les conduire jusque-là : bouffer de la merde ! Mais doit-elle vraiment être si surprise ? Il y a encore vingt-quatre heures, elle n’imaginait pas se faire dépuceler, se faire enculer, qui plus est par son propre père, alors pourquoi ne pas goûter à sa merde ?
Souhaitant poursuivre son initiation aux pratiques bien singulières de Sainte-Merde, Daphné s’approche de ses parents et renifle les odeurs nauséabondes qui émanent de la queue de son père et de la bouche de sa mère. Claudia la voit s’approcher et se doute qu’elle est intéressée par ce qu’elle est en train de faire : tailler une pipe à une pine merdeuse ! Elle se réjouit de pouvoir initier sa fille. Elle quitte la bite et porte sa bouche aux lèvres de Daphné pour un baiser incestueux et scatophile qui l’excite comme rarement.
Daphné est légèrement rebutée par le goût amer prononcé de sa merde, mais quelle excitation de s’adonner à une pratique aussi vicieuse ! Le plaisir l’emporte largement sur le dégoût et, dès le baiser rompu, elle porte sa bouche sur la queue de son père, encore encombrée de quelques résidus marron et puants. Elle s’en délecte et partage son trésor avec sa maman dans un nouveau baiser sensuel. Les deux femmes embrassent ensuite James, partageant avec lui les trésors de l’intestin de l’adolescente !
Ces premiers échanges scatophiles électrisent Daphné. Sans qu’elle le sache, son patrimoine génétique, qui n’est plus bridé par les hormones qu’elle absorbait dans le centre où elle a vécu jusqu’à présent, prend le contrôle de son esprit et la pousse à se comporter de manière vicieuse et sale.
Elle sent que la sodomie n’a pas complètement vidé son intestin, de la merde s’y presse toujours et elle veut se soulager. Comprenant que ses parents sont des adaptes des jeux crades, elle leur déclare très naturellement : « J’ai encore envie de faire caca, papa n’a pas fait tout sortir, je pourrai le faire ici avec vous ?
— Bien-sûr ma chérie, répond sa maman.— Mais oui, chie devant nous, confirme son papa. »
Claudia s’allonge au sol et James guide sa fille, pour qu’elle s’accroupisse au-dessus de sa mère, en approchant son cul de son visage.
Peut-être un peu gênée, Daphné ne parvient pas immédiatement à évacuer l’étron qui l’encombre. En poussant, elle libère quelques giclées de pisse toute chaude qui trempe le ventre de Claudia. Puis, à force de pousser, une crotte bien grasse se fraye un chemin au travers de l’anus récemment pénétré et se dépose sur le visage de Claudia. Cette dernière, très expérimentée dans les jeux scatophiles, le récupère dans sa bouche. Comme l’étron est long, la moitié dépasse de la bouche et se plie sur le visage de la jeune femme.
James observe la scène avec intérêt, il bande très dur. Il s’accroupit saisit l’étron qui barre le visage de sa femme et la badigeonne de la merde grasse de leur fille. La jolie maman est maculée de caca puant sur tout son visage. Ses beaux cheveux blonds ne sont pas épargnés. Claudia respire à pleins poumons les émanations fétides émergeant des intestins de sa fille, en se branlant vigoureusement, elle est heureuse : « Quelle est bonne ta merde ma chérie ! » déclare-t-elle en mâchant cette matière brune et collante.
Daphné se retourne, elle est un peu choquée par l’image dégradante que sa mère lui renvoie. Mais rapidement le dégoût fait place à l’excitation, voir une aussi belle femme prendre du plaisir dans la saleté la plus ignoble l’excite terriblement. Poussée par une force irrépressible, elle se jette sur sa mère pour lui rouler une pelle baveuse et merdeuse.
James est aux anges. Il parvient à débander suffisamment pour pisser un peu sur ses deux femelles en chaleur qui s’ébattent dans les excréments, puis sa bite durcit à nouveau comme du bois. La vue de la croupe nue de sa fille est un supplice auquel il ne résiste pas : il enfile sa chatte – encore vierge la veille – sans ménagement. Un peu surprise au début, Daphné approuve très vite l’initiative paternelle et l’encourage : « Oui papa, baise-moi bien pendant que je bouffe ma merde sur le visage de maman ! »
Le trio passe tout l’après-midi à baiser dans la merde. Claudia, puis James chient à leur tour. Daphné goûte à leur merde et s’en délecte. Quelques heures seulement après son arrivée sur Sainte-Merde, la jeune fille prude est devenue une vraie salope scatophile ! Ce n’est qu’un début, bientôt elle sortira de chez ses parents et partagera avec tous les sainte-merdeux les plaisirs du sexe très crade.
—--------------------------
Nicole et Thibaut
La même journée qui a vu Daphné découvrir le lieu de vie de ses parents, leurs pratiques débridées et ses profonds penchants pour le vice et la saleté, Nicole accueille également son fils, arrivé par le même bateau que Daphné.
Elle aussi est gênée du mode de vie qu’elle mène et de la manière dont elle va cohabiter avec son fils à peine sorti de l’adolescence. Ne sachant pas comment expliquer les scènes déjantées que son fils verrait immanquablement s’ils se promenaient dans les rues de Chatte-sur-Urine, Nicole les conduit directement à son appartement.
Thibaut remarque immédiatement que sa mère ne porte pas le même genre de tenue que lorsqu’elle venait la voir dans le centre d’éducation, ses vêtements montrent largement plus son corps, mettent en valeur ses formes. Il ne peut s’empêcher de regarder. Il ne sait pas trop ce qui le prend, il sent le sang irriguer son zizi, comme cela lui arrive parfois au réveil, quand il a rêvé à l’une de ses enseignantes préférées.
Nicole ne sait pas que dire à son fils qu’elle n’a pas élevé. Pensant que les gestes traduiraient mieux sa tendresse pour son fils, elle le prend dans ses bras, heureuse de l’avoir enfin avec elle. Bien-sûr la proximité avec la belle femme qu’est sa mère renforce l’émoi du jeune garçon.
Après avoir passé du temps à bavarder, Nicole se met aux fourneaux pour préparer un bon déjeuner à Thibaut. Celui-ci en profite pour allumer la télévision du salon. Il reste stupéfait en découvrant des images pornographiques dès que l’écran s’illumine. Gêné, il change de chaîne, mais tombe à nouveau sur des hommes et des femmes nus en train de forniquer. Ces visions l’émoustillent sans qu’il ne comprenne ce qui se passe en lui.
Abandonnant sa préparation quelques instants, Nicole revient au salon et découvre son fils interloqué devant la télévision. Surpris, Thibaut éteint l’appareil, il a le sentiment d’avoir été pris en faute et s’en désole. Sa mère tente de le rassurer : « Ce n’est pas grave, tu peux regarder la télé, tu es chez toi.
— Oui, mais je suis tombé directement sur ce genre de chaîne, balbutie Thibaut.— Tu sais ici, sur Sainte-Merde, toutes chaînes diffusent du porno.— Mais on peut regarder ça toute la journée ? s’interroge le garçon.— Oui, ici c’est très courant, le rassure Nicole.— Même moi je peux regarder ?— Bien-sûr mon chéri, répond sa maman. »
Nicole est aussi surprise que son fils. Comment ce fait-il qu’il soit choqué par quelques scènes pornographiques vues à la télévision ? Elle s’inquiète sur la manière dont il va découvrir immanquablement les pratiques qui se passent en vrai sur l’île où il vit désormais. Elle craint que des amis à elle ne viennent à l’improviste pour baiser, comme ils ont l’habitude de le faire – pour son plus grand bonheur.
Pendant qu’ils déjeunent, elle décide d’aborder frontalement le sujet : « Thibaut mon chéri, tu sais la vie ici est très différente de ce que tu as toujours connu. Seules des grandes personnes habitent ici et elles se comportent comme des grands. » Pour Nicole, tous les adultes se vautrent quotidiennement dans la luxure et le sexe extrême, elle n’a jamais connu d’autre mode de vie depuis qu’elle est une jeune femme.
Elle reprend : « Les gens laissent libre cours à leurs plaisirs et à leurs envies. Les grandes personnes aiment avoir des relations sexuelles très régulièrement et voir du sexe à la télé fait partie de ce que nous aimons voir. Je me souviens que c’était très différent où nous avons grandi, parce que nous étions petits et peu portés sur ces choses-là. Maintenant tu deviens un grand garçon, tu vas pouvoir découvrir ces plaisirs, je suis sûre que tu aimeras. »
Un peu désabusé, mais intrigué, Thibaut répond : « Mais je ne connais pas grand-chose au sexe. J’ai seulement vue quelques images sur des cartes à jouer qu’un copain faisait circuler en douce. »
Nicole est embarrassée, car elle n’a jamais été confrontée à l’éducation de son fils, ni à une telle situation. Elle se dit que la meilleure solution est sans doute qu’elle déniaise elle-même son enfant. Elle prend une voie douce et tente de le rassurer : « Je sais que tu n’as pas d’expérience. Je suis ta mère, je ne t’ai pas appris beaucoup de choses jusqu’à présent, mais si tu le veux bien, je pourrai te montrer comment prendre du plaisir avec une femme, qu’en dis-tu ? »
Thibaut rougit et répond timidement : « Tu crois que c’est possible ?
— Bien-sûr mon chéri. Une maman doit apprendre des choses à son fils. » En disant cela Nicole se rapproche de Thibaut et entreprend de lui caresser délicatement le bras. Elle l’invite à faire de même. Le jeune garçon se laisse guider. Tendrement Nicole effeuille son fils et lui caresse la peau. Elle-même se dévêt petit à petit. Elle constate très vite une grosse bosse dans son short, elle lui fait un sacré effet !
Elle reprend d’une voie douce et sensuelle : « La première étape pour prendre du plaisir avec une fille et lui en donner, c’est de l’embrasser. As-tu déjà embrassé une fille ? questionne-t-elle
— Oui, répond Thibaut.— Alors, embrasse-moi, demande Nicole. »
Le garçon pose un petit baiser presque chaste sur les lèvres maternelles. Ce comportement si timide fait sourire la jeune mère. « Il faut y aller plus intensément ! Je vais te montrer, laisse-toi faire »
Elle approche son visage de celui de son fils, plaque ses lèvres sur les siennes et tente d’insinuer sa langue dans sa bouche. Thibaut ne réagit pas immédiatement, mais il finit par comprendre ce que cherche sa maman. Il écarte les lèvres et laisse la langue agile de Nicole y pénétrer pour caresser la sienne. Il trouve la sensation assez étrange pendant quelques secondes, puis il la juge très agréable, il se laisse faire et commence même à répondre au baiser.
— Bien ! dit Nicole satisfaite de voir que son fils apprend.

Ils continuent à s’embrasser, Nicole déshabille petit à petit Thibaut. Elle découvre que malgré son jeune âge il est déjà musclé et que la bosse qui déforme son caleçon est très prometteuse. Elle lui fait également découvrir son corps de femme.
Il s’extasie lorsqu’elle lui demande de palper ses seins fermes et généreux. Bouche bée il déclare : « Oh, c’est dingue comme ils sont doux, lourds et fermes… »
Nicole sourit, elle est ravie de plaire à son fils. Elle répond : « Tu sais, les femmes aiment se faire caresser les seins. Ca nous donne de bonnes sensations et nous fait mouiller.
— Comment ça mouiller ? interroge Thibaut. »
Nicole est surprise de la naïveté de son fils. Mais, patiente, elle lui explique la vie sexuelle : « Quand les garçons sont excités, ils bandent, leur zizi devient tout dur, comme toi en ce moment. » Elle porte son regard sur le caleçon distendu de son fils, qui se sent d’un coup gêné.
Elle reprend : « C’est normal, c’est une réaction naturelle chez les hommes et les femmes adorent ça. Quand les filles sont excitées, elles mouillent. Leur sexe devient humide, du jus s’en écoule. Quand tu caresses mes seins, ma chatte s’humidifie. » Pour que Thibaut comprenne bien, elle ôte sa petite jupe et plaque sa culotte sur son sexe. Cette dernière se tâche très vite d’une grosse goutte de mouille. Thibaut comprend bien la leçon : « Alors ça te fait du plaisir quand je te touche les seins ? demande-t-il.
— Bien-sûr, les filles aiment qu’on leur tripote les nichons. »
Thibaut est ravi de cette découverte, ravi également d’entendre sa mère employer des gros mots, qui étaient interdits où il a vécu jusqu’alors. Il s’enhardit à en prononcer lui-même, même s’il craint un peu une réaction négative de sa maman : « Et ça te ferait plaisir si je touchais aussi ta chatte ? demande-t-il. »
Nicole sourit, elle prend la main de Thibaut et la porte délicatement à son entrecuisse. Elle lui fait tâter sa culotte trempée, puis l’invite à glisser ses doigts à l’intérieur.
Thibaut est médusé. Sa mère le laisse lui dire des grossièretés et l’invite à la toucher, quel bonheur !
Nicole lui montre où se cache son clitoris et lui explique quelle source de plaisir ce minuscule organe féminin procure à sa propriétaire. Puis elle le guide à l’intérieur de ses petites lèvres intimes, là où le doigt du jeune homme s’enfonce dans les chairs maternelles qui l’ont vu naître il y a bien années et là où sont passées tant de bites depuis !
Avec patience et méthode, Nicole fait découvrir à son fils comment il peut utiliser son gros sexe pour d’autres fonctions que pisser. Elle le prend dans sa bouche chaude, gourmande et experte, où elle lui donne un plaisir qu’il a du mal à contrôler. Thibaut se trouve fort gêné d’éjaculer dans la bouche de sa mère, mais elle se montre très compréhensive : « Ce n’est pas grave, les jeunes garçons ne contrôlent pas toujours très bien leur jouissance, déclare-t-elle ». Elle avale ensuite le sperme de son fils en le fixant droit dans les yeux. Devant ce spectacle torride, Thibaut ne débande même pas après avoir jouit. Il commence à comprendre ce que sa mère aime et recherche : l’amour physique et les pratiques qu’ils pensaient réservées aux salopes. D’ailleurs, sa mère serait-elle une salope ?
Nicole poursuit l’apprentissage. Après sa bouche, elle fait découvrir sa chatte à la queue de sa progéniture. Tout d’abord en missionnaire, puis dans bien d’autres positions, elle invite Thibaut à la pénétrer. Ils jouissent plusieurs fois. Thibaut révèle qu’il peut maintenir son érection très longtemps et même après avoir joui. Cela ravit sa mère.
Thibaut classe définitivement sa maman comme une salope, lorsqu’elle lui demande de venir l’enculer. Elle lui dit d’une voix langoureuse, mais sans détour : « Maman aimerait que tu la prennes par le cul ! » En prononçant ces paroles, elle s’agenouille et écarte ses fesses pour offrir une vue imprenable et magnifique sur son anus qui palpite d’excitation. Thibaut ne se fait pas prier, il approche son membre de ce joli petit trou et y pénètre en forçant plus que nécessaire, ce qui fait émettre une petite plainte à sa mère. Mais dans sa vie de salope, Nicole en a vu bien d’autres. Rapidement, son fils trouve un rythme de pénétration qui les mène à l’orgasme en quelques minutes.
En enculeur inexpérimenté, Thibaut ne s’est bien-sûr pas aperçu que le conduit anal de sa mère était plein. Ce n’est que lorsqu’il se retire qu’il comprend qu’il a fourré sa bite dans un cul plein de merde. Il est un peu gêné, mais cette fois encore Nicole, prévenante et immonde, le rassure : « Oh mon chéri, tu es allé vider mon fion de sa merde, c’est vraiment gentil. » Thibaut est tout de même surpris : « C’est sale, on va se laver, répond-il.
— Ne t’inquiète pas. Je m’occupe de tout, déclare Nicole. » Elle sourit et approche son visage du membre souillé – et toujours en érection. Elle crache un gros mollard sur la bite avant de l’emboucher presque entièrement. Elle bave abondamment pour diluer un peu la merde grasse et collante qui couvre la tige de son rejeton et tenter de l’avaler. Experte en nettoyage buccal de bites merdeuses, la belle Nicole parvient à faire reluire le gros membre en quelques minutes. Son fils est estomaqué : « Comment fais-tu pour avaler du caca comme ça ? demande-t-il interloqué.— J’adore la merde, c’est tellement bon, ça pue délicieusement, répond sa mère. » Elle prononce ces paroles obscènes avec un tel naturel et une telle envie dans les yeux que Thibaut bande comme jamais. Il a à nouveau envie d’enculer sa mère et le lui dit : « Maman je veux encore te prendre par derrière, peut-être qu’il te reste de la merde que je pourrai aller chercher pour toi. — Mais oui mon chéri, je suis sûre que tu vas encore en faire sortir. » Cette fois Nicole se positionne sur le dos, les genoux près de ses oreilles, le cul remonté. Elle regarde dans les yeux son fils qui laboure son fion cacateux.
Le jeune homme apprend très vite. Malgré quelques éjaculations peu contrôlées. En quelques heures il devient un amant tout à fait honorable, même pour une femme aussi délurée que Nicole.
—--------------------------
Ensemble

Quelques jours s’écoulent. Nicole continue d’apprendre à son fils comment donner du plaisir à une femme aussi salope qu’elle. Il apprend vite et elle se rend compte qu’elle va bientôt pouvoir lui faire rencontrer d’autres habitants de Sainte-Merde. Elle pense immédiatement à ses amis Claudia et James. Après leur avoir parlé au téléphone, elle sait que tout se passe bien avec leur fille Daphné, qui les a rejoints très récemment. Elle propose alors à Thibaut : « Mon chéri, je crois que tu connais Daphné ?
— Oui, on se voyait de temps en temps à l’école.— Tu sais qu’elle habite ici maintenant ?— Oui, on a pris le bateau ensemble.— Ca te dirait de la baiser ?— Heu, comment ça ? bredouille le jeune homme.— Je connais très bien ses parents, on est ami. Sa mère m’a dit qu’elle s’était très vite habituée aux coutumes de Sainte-Merde. Elle m’a dit que connaître une autre bite que celle de son père lui ferait surement plaisir.— Mais tu crois vraiment que c’est la même Daphné, elle était hyper prude à l’école ?— Et toi ? Tu n’as pas beaucoup changé depuis ton arrivée ?— C’est vrai.— En plus, je suis sûre que tu pourras aussi baiser sa mère, Claudia. Elle est très belle et c’est une grosse salope, elle aussi.— C’est vrai que c’est tentant.— Si on veut bien profiter de cette rencontre, il va falloir qu’on se calme quelques temps, pour faire des réserves dans nos intestins. »
Ce qui fut dit, fut fait. Deux jours après cette conversation, Nicole et Thibaut débarquent chez Claudia et James.
Thibaut est un peu stressé. Mais encore une fois sa mère le rassure. Dans la voiture, elle l’invite à la tripoter sous sa tenue très sexy. Le garçon arrive avec une grosse érection bien visible. Sa gêne est encore plus grande.
Claudia ouvre la porte. Elle ne porte qu’un superbe ensemble de lingerie, qui la met très en valeur sur ses chaussures à talons vertigineux. Thibaut la dévore des yeux. Elle sourit et les accueille en posant ses lèvres sur celles de Nicole. Elle fait de même avec Thibaut et pousse l’audace jusqu’à tâter son sexe apparent au travers de son short. Elle fait entrer ses invités.
James embrasse fougueusement Nicole, puis serre la main de Thibaut. Nicole s’extasie devant Daphné : « Oh, votre fille est magnifique ! » Celle-ci porte également une lingerie très érotique, mais elle est un peu intimidée à l’idée de revoir Thibaut et de connaître sa mère. Elle sait qu’elle va baiser avec eux, cela l’excite beaucoup, mais une pointe de crainte la saisit tout de même. Nicole sait rapidement dissiper ce malaise. Elle l’embrasse à pleine bouche, faisant tournoyer sa langue agile et trempée dans la bouche de la jeune fille, elle entame une caresse qui va de ses seins à son entrecuisse.
Daphné est prise de plaisir, elle se laisse faire. Pendant ce temps, Claudia, caresse Thibaut et le libère de son short, faisant sortir son membre déjà dur, puisqu’il ne porte aucun sous-vêtement.
Les deux jeunes gens se détendent sous les caresses des deux mamans. James est allé chercher des rafraichissements et de quoi picorer. Il admire le spectacle de sa femme pelotant le jeune garçon et de sa fille se faisant tripoter par son amie. Il est nu et bande très dur.
Quittant un instant la peau délicate et sucrée de Daphné, Nicole déclare : « Waou James, quelle bite ! » Puis, se tournant vers Daphné : « Il te l’a déjà mise en entier ? »
— Oui, répond Daphné. » Elle est fière d’ajouter : « Même dans le cul.— Je voudrais bien voir ça, répond Nicole. »
La jeune fille s’approche de son père, en lui jetant un regard coquin, elle se retourne, s’agenouille, penche son torse en avant et lui présente son derrière. Excité, James caresse les fesses de sa fille, écarte la ficelle du string qui sépare les deux lobes et présente son imposant sexe tendu sur le petit œillet. Il effectue quelques tentatives infructueuses, puis parvient à entrer son dard dans l’anus de Daphné. Elle gémit un peu, mais ne se plaint pas. Lorsqu’il est entré, elle pousse des cris de plaisir et encourage son père à l’enculer plus fort : « Vas-y papa, baise-moi le cul bien fort. Ouiiii c’est bon… plus … encore… »
Devant un spectacle si excitant, Nicole ne reste pas inactive. Elle s’allonge pour lécher la chatte trempée de Daphné, accentuant encore le plaisir de la jeune fille, qui ne tarde pas à être emportée par un orgasme ravageur. Sa chatte libère des flots de cyprine que Nicole s’empresse d’avaler.
Comme Nicole s’y attendais, la bite de James ressort bien grasse du trou du cul de sa fille. Daphné a gardé de la merde dans ses intestins en prévision de la partie de baise à laquelle elle savait qu’elle allait participer.
Nicole est ravie de prendre en bouche la queue souillée de James. Elle goûte avec délectation aux excréments de la jeune Daphné et s’en régale : « Hum, qu’elle est bonne ta merde Daphné ! J’adore son odeur bien nauséabonde et sa texture grasse. »
Daphné s’approche également de la bite paternelle encombrée de ses propres déjections. Loin d’être rebutée, elle lutte presque contre Nicole pour la sucer et goûter sa merde toute fraîche sortie de son cul par le mandrin de son père. Lorsque le chibre commence à être un peu plus propre, Nicole et Daphné s’embrassent, échangeant leur salive corrompue de matière fécale ! James ne tarde pas à ajouter son foutre aux autres matières organiques qui polluent les deux bouches avides !
A peine remis de ce premier round de baise, Nicole, Daphné et James s’intéressent à Claudia et Thibaut. La belle maman prend profondément en bouche le membre du jeune garçon qui semble ravi. Comme sa mère le lui a appris, il force sur l’arrière du crâne de sa partenaire pour la forcer à avaler sa queue au plus profond de sa gorge. En salope soumise, Claudia aime être ainsi maltraitée. Elle bave des litres sur la bite et se branle vigoureusement la chatte.
Lorsqu’il s’aperçoit que sa mère, James et Daphné ont interrompu leur baise, Thibaut libère la gorge de Claudia. Elle se relève péniblement, souriante et radieuse : « Quel beau mâle tu as fait, félicite-t-elle son amie Nicole.
— Tu n’as encore rien vu, répond l’intéressée. »
Elle prend pendant quelques secondes en main la tige gluante de son fils pour le branler, puis elle se met en levrette, prête à se faire enculer. Thibaut a immédiatement compris le message et il force le conduit anal maternel, sans difficulté. Elle est tellement habituée … Il donne de grands coups de boutoir et pilonne sauvagement sa mère qui gémit de plaisir.
Claudia est admirative de la vigueur du fils de son amie. Elle remarque très vite que cette dernière a le visage encore souillé des fèces de sa propre fille. Excitée par cette vision, elle se penche et lèche les lèvres de Nicole pendant que celle-ci se fait défoncer le cul. Claudia goûte la merde de sa fille, qu’elle commence à bien connaître depuis quelques jours. Elle y prend un grand plaisir, elle est très excitée et demande à son mari de la baiser à son tour.
Ayant repris un peu de vigueur, James encule sa femme violemment, comme elle aime ! Il sait qu’il va encore une fois déloger la merde qui encombre ses intestins. Il adore cela, il la pilonne sauvagement.
Daphné, regarde la scène, elle branle sa chatte après avoir souillé ses doigts en raclant le caca qui se trouvait encore autour de sa bouche. Puis elle se positionne sous sa mère pour lécher sa chatte dégoulinante de mouille. La bite de son père passe à quelques centimètres de son visage à chaque fois qu’il sort du cul de Claudia. Elle voit distinctement le gros membre se charger de merde collante, l’odeur devient de plus en plus forte, ce qui excite la jeune fille, qui se branle vigoureusement.
Après quelques minutes c’est la délivrance pour Claudia et James. Ce dernier éjacule dans le cul de sa femme et lorsqu’il se retire, il libère un énorme flot de merde bien grasse, collante et pestilentielle, qui va s’écraser pour partie sur le sol et pour le reste sur les cheveux blonds de Daphné. Celle-ci est la première à se précipiter pour glaner le caca visqueux encore tout chaud des intestins maternels. Elle se vautre littéralement dedans, y trempant sa poitrine généreuse, son beau visage et ses longs cheveux blonds. De sa langue avide, elle lape le maximum d’excréments !
Claudia quitte la bouche de Nicole, se retourne et découvre avec bonheur l’ampleur de la merde qu’elle a répandue. Elle rejoint sa fille pour profiter des immondices ! Se baignant dans son propre caca.
James profite d’être libéré de sa femme et de sa fille pour faire nettoyer sa queue sale par Nicole, toujours enculée par son fils. Gourmande, elle le suce avec avidité.
Thibaut ne tarde d’ailleurs pas à jouir également et à libérer lui aussi le contenu ignoble des intestins de sa mère. Sachant combien elle aime sa propre merde, il en ramasse une pleine poignée et la porte au visage de sa maman pour la badigeonner de ses excréments tout chauds et puants à souhait !
Dès qu’elle a le visage dégoulinant de sa merde, Nicole rejoint Claudia et Daphné qui se vautrent elles aussi dans le caca.
James et Thibaut observent la scène des femelles délurées qui se frottent, se branlent et se font jouir dans la fange. Les deux hommes se branlent doucement. James se met à pisser sur les trois femmes en transe. Elles avalent autant de pisse qu’elles peuvent. Thibaut imite le maître de maison.
Lorsque sa vessie est vide, Daphné approche de son sexe à demi bandé et le prend dans sa bouche sale. Son membre redevient immédiatement dur, tellement il est excité de voir cette jeune fille qui semblait si prude il y a encore quelques jours, se vautrer dans l’ordure et sucer sa queue aussi profondément et avec une telle envie. Il se met à lui pilonner la bouche comme sa mère le lui a appris. Même si Daphné, de par son patrimoine génétique modifié, est une véritable salope qui adore le sexe brutal et la saleté, elle n’a pas encore acquis toutes les techniques des habitantes de Sainte-Merde. Ne recevant pas tout à fait comme il faut la grosse bite de Thibaut, cette dernière presse trop fort sur ses amygdales et elle ne peut retenir un énorme haut le cœur qui se termine par un vomissement massif des cochonneries que la jeune fille a absorbé au cours de cette partouze dégueulasse.
Thibaut est un peu surpris des conséquences du pilonnage de la bouche qu’il opérait, mais il est vite rassuré par les deux mamans qui se donnaient du plaisir ensemble : « Humm, de la gerbe ! s’exclame Nicole.
— C’est bien ma chérie, tu as dégobillé partout. » Ajoute Claudia en plongeant son visage sur le sol couvert du vomi de sa fille et de bien d’autres immondices.
Nicole félicite également son fils pour avoir bien su défoncer la gorge de Daphné.
A peine la jeune blondinette a-t-elle repris ses esprits, que son vice guide à nouveau sa conduite. Elle décide de prendre une part active au jeu ignoble auquel se livrent sa mère et son amie, prendre en bouche du vomi merdeux et se l’échanger par des baisers répugnants. Daphné prend un réel plaisir à s’adonner à de telles pratiques.
Même s’ils se tiennent un peu en retrait, James et Thibaut ne perdent pas une miette de la scène incroyable qui se déroule sous leurs yeux. Thibaut est particulièrement excité et enhardi par les encouragements de sa mère, il n’hésite pas à saisir Daphné par les cheveux, il la tire sur un canapé, lui écarte les cuisses et plante son dard dans la chatte sale, trempée et brûlante de son ancienne camarade de classe. La jeune fille est ravie de l’attitude de Thibaut, elle aime être prise sauvagement, surtout lorsqu’elle est couverte de saleté. Elle l’encourage : « Baise-moi bien fort, nique-moi, salaud ! »
Thibaut la ramone avec vigueur un bon moment jusqu’à ce qu’elle ne réclame : « Papa, vient aussi me baiser, prend mon cul de pute ! »
Pour satisfaire à la supplique de sa fille, James fait en sorte que Thibaut se retourne, tout en restant empalé sur sa fille. Cette dernière présente alors son postérieur à son père, pendant que Thibaut perfore toujours sa moule. James entre dans le cul gras de son enfant, il sent que le trou est devenu très étroit du fait de la présence de la bite de Thibaut dans l’orifice voisin.
Une fois que les deux bites sont en place et se mettent en mouvement, Daphné est embrochée. Elle crie de plaisir, et peut-être un peu de douleur : « Oh, ouiiii… c’est trop bon… aïe… encore… plus fort, … »
Les deux hommes labourent les orifices de la belle Daphné durant de longues minutes, pendant que les deux mamans continuent de jouer avec tous les fluides corporels ignobles qui ont été déversés au cours de cette partie de baise si intense.
Au bout de plusieurs heures les protagonistes commencent à être fatigués. Mais Daphné est encore en forme et malgré les innombrables orgasmes qu’elle a connus, et donnés, elle est toujours excitée et veut encore niquer. Profitant de la fatigue générale, elle quitte la maison de ses parents sans se faire remarquer et part en exploration dans le quartier, en pleine nuit, vêtue de sa lingerie totalement souillée et en lambeaux et de ses chaussures à talons hauts.
Uniquement guidée par son instinct de salope assoiffée de sexe, elle entre sans frapper dans une maison du quartier. Elle ne la choisit pas au hasard, sa mère lui a dit que l’homme qui y vit est une bête de sexe qui l’a souvent baisé.
En entrant, elle entend des bruits ne laissant aucun doute sur leur origine, une partouze se déroule dans la maison. Daphné pénètre dans le salon et découvre quatre personnes en train de forniquer, deux femmes et deux hommes. Elle sent immédiatement qu’ils jouent avec leurs excréments. Un des mecs, qui prend une superbe blonde en levrette, la remarque immédiatement : « Salut ma petite. Qu’est-ce que tu fais là ?
— Il paraît qu’il y a de bons baiseurs ici.— Qui t’a dit ça ?— Ma mère, Claudia, la voisine.— Ah, tu es la fille de Claudia ! Je comprends pourquoi tu viens ici ! Entre, on va s’occuper de toi. »
A peine intimidée, Daphné s’approche du groupe de baiseurs agglutinés les uns aux autres, tout graissés de merde et trempés de pisse. Comme elle arrive à la lumière, le même homme poursuit : « T’as l’air d’aimer autant la merde que ta salope de mère. Tu t’es foutu du caca partout ! »
Excitée, Daphné s’approche de l’homme qui laboure toujours vigoureusement la fille positionnée en levrette, elle l’embrasse à pleine bouche, lui donnant l’occasion de goûter aux détritus qu’elle a ingurgités. L’autre type, qui se fait sucer par la seconde nana, regarde la scène, il semble aussi intéressé : « Et moi, viens aussi me voir. »
Dès qu’elle s’approche le gars pelote Daphné, il triture ses beaux seins couverts d’immondices sans ménagement, pendant qu’elle lui roule une pelle. Puis le mec pousse vigoureusement Daphné à se mettre à quatre pattes, il libère la nana dont il baisait la bouche, pour empaler violement le cul étroit de Daphné. Elle crie de douleur, mais bientôt le plaisir la submerge à nouveau : « Ouiiiii, encule-moi bien fort, plus vite, plus profond ! »
La jeune fille qui suçait, prénommée Pénélope (clone modifié de Pénélope Cruz, âgée de 21 ans), est sans doute un peu déçue de s’être fait piquer la belle queue par une jeunette arrivée à l’improviste, mais elle décide de profiter de la situation. Elle se positionne sous Daphné et lèche la chatte de la jeune fille, en se régalant des restes de sperme, de merde, de pisse et de bien d’autres saletés accumulées là. Daphné adore être léchée pendant qu’une grosse queue lui embroche le cul, elle jouit très vite, libérant une grande giclée de mouille que capte Pénélope.
Le mec ne tarde pas à juter dans le cul étroit et accueillant. Il libère alors Daphné. Même si elle a joui, elle en veut davantage : « Putain, c’était bon ! Continue. »
Manifestement le mâle ne peut satisfaire la jeune femelle en rut dans l’immédiat.
Voyant qu’il a l’occasion de ramoner une très grosse salope, l’autre type, qui baise la belle blonde, prénommée Constance (clone modifié de Constance Jablonski, âgée de 22 ans), quitte l’antre brûlante pour fourrer Daphné qui lui paraît encore plus salope. Il pénètre l’anus gluant du sperme de son ami, brutalement, pour le plus grand bonheur de Daphné : « Ouais, prend moi bien fort, défonce mon trou de chienne. »
Tout comme Pénélope, Constance est également déçue, elle s’approche de la bite de premier homme pour le sucer et tenter de lui rendre sa vigueur. Pénélope se joint à elle.
Tout en étant enculée sauvagement, Daphné demande : « Qui a déjà chié ce soir ?
— Les deux garces qui sont devant toi, répond le mec qui se fait sucer.— Et vous les gars, vous avez le cul bien rempli ?— Moi oui, répond le type.— Moi aussi, indique l’autre.— Alors vous allez nous chier dessus. » déclare Daphné, toujours embrochée par la grosse bite.
Ces propos salaces font monter un nouvel orgasme à Daphné et réjouissent Pénélope et Constance. Juste après qu’elle ait joui, le mec qui encule Daphné jute au fond de son boyau merdeux, puis il se retire.
Les trois filles d’allongent à même le sol sale. Les deux mecs les toisent profitent d’un moment où leur bite est relativement molle pour vider leur vessie pleine sur les trois superbes salopes affalées et avides de leur urine brûlante sur leur corps magnifique et leur bouche assoiffée d’ordure.
Les trois jeunes femmes, gardent de la pisse dans leur bouche, elles en recrachent dans le gosier de leur voisine, puis s’aspergent mutuellement du chaud liquide doré. Elles sont totalement trempées, mais très heureuses, au bord de la jouissance, de se vautrer ainsi dans la saleté, chacune se branle vivement.
Puis les mecs passent aux choses sérieuses, ils s’accroupissent au-dessus des filles et poussent leurs entrailles pour libérer de gros étrons gras et généreux qui choient sur la peau des jeunes femmes, encore partiellement couverte de lambeaux de lingerie fine. L’air de la pièce, déjà vicié par l’orgie scatologique, se charge encore, l’odeur est pestilentielle, cela ravit les trois filles qui aiment toutes autant la merde, l’ordure. Elles saisissent toutes les trois de grosses poignées de merde et enduisent le corps de leur voisine avec, elles insistent sur les nichons et les chattes qui sont rapidement couverts d’une épaisse gangue brune puante.
Pénélope badigeonne les longs cheveux blonds de Constance de fèces grasses. Celle-ci fourre du caca bien collant dans la bouche ouverte de Daphné, qui mâche et avale de grosses bouchées d’excréments tout chauds.
Daphné continue d’ingurgiter de la merde, elle lape également de petites flaques de pisse qui recouvrent le sol. Elle sait que ce régime va la rendre malade, elle cherche à se faire vomir ! Elle atteint bientôt son but en enfilant deux doigts au tréfonds de sa gorge. Ses abdominaux se contractent et elle gerbe un énorme flux de merde et de pisse mêlé à de la bile. Ses comparses sont ravies de l’aubaine, elles se vautrent encore davantage dans l’ordure en se badigeonnant de cette matière ignoble.
Le spectacle proposé par les trois salopes scatophiles réjouit les deux mecs, qui bandent à nouveau comme des ânes. Ils adorent humilier de si belles filles. L’un d’eux soulève Constance, la retourne, lui donne une grosse claque sur les fesses et la prend sauvagement par le cul. La jeune chienne adore ce traitement et encourage le gars : « Prends-moi, baise-moi je suis une truie ! »
L’autre type a appelé deux amis à venir profiter des trois belles chiennes qu’il a avec lui. Ils viennent bientôt renforcer la présence masculine nécessaire à la jouissance des femelles en rut. Eux aussi ne tardent pas à faire augmenter le tas d’immondices accumulé sur la peau des trois salopes.
Cette nouvelle partouze dure longtemps. Les quatre mâles, tout comme Constance et Pénélope sont épuisés, mais Daphné est toujours excitée. Elle sent toujours le feu dans son ventre qui lui commande de se faire baiser. Peut-être est-ce dû au fait qu’elle a reçu naturellement un patrimoine génétique qui la pousse au vice et à aimer la saleté, puisqu’elle a été naturellement conçue par une mère génétiquement modifiée. En tout état de cause, ses besoins sexuels semblent encore plus immenses que ceux des autres femmes de Sainte-Merde, qui ont été clonées. Parviendra-t-elle à s’intégrer dans la société, à s’acquitter des tâches exigées ?
Diffuse en direct !
Regarder son live