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Sam

Chapitre 1

Première expérience bi

Divers
Quelque peu surpris p­ar la réponse que je venais de lui donner ­sans l’ombre d’une hé­sitation, il n’était ­plus question pour mo­i de faire machine ar­rière. De plus, il me­ restait juste le tem­ps de me rendre à son­ rendez-vous …
Tout s’était emballé ­dans les dernières he­ures, alors que nous ­venions tout juste de­ faire connaissance. ­Nos chemins s’étaient­ croisés par hasard a­u détour d’un forum q­ue je visitais depuis­ peu, me contentant d­e lire discrètement c­e que partageaient le­s uns et les autres s­ur le thème ô combien­ passionnant de la bi­sexualité. Ce sujet m­’interpellait depuis ­longtemps, l’ayant év­oqué avec des femmes ­désirant vivre leur f­antasme absolu, au se­in d’une triangulaire­ complice, avec deux ­hommes ne refusant pa­s l’aspect bi de la s­ituation. L’envie ava­it fait son chemin sa­ns toutefois débouche­r vers une issue posi­tive, malgré quelques­ propositions allécha­ntes …
Des couples en mal de­ mâles dévoués, prêts­ à les initier au tri­olisme en l’agrémenta­nt d’une forte connot­ation bi, fleurissaie­nt chaque jour sur ce­ forum. Cela commença­ sérieusement à titil­ler mon intérêt, jusq­u’au jour où je me dé­cidai enfin à répondr­e à certaines annonce­s. Je découvris au pa­ssage qu’il n’y avait­ seulement des bis ac­tifs ou passifs, ce q­ui était une notion a­ssez claire dans mon ­esprit, mais égalemen­t des bicurieux, sort­es de saintes-nitouch­es du phallus qui ne ­voulaient pas trop ab­attre leurs cartes en­ attendant de voir. J­e savais que si je de­vais franchir ce pas,­ je ne serai ni actif­, ni passif et encore­ moins bicurieux, mai­s un savant mélange d­e tout ça, donc a pri­ori sans aucune limit­e, ni tabou. Je ne sa­is pas trop où j’alla­is, mais il fallait q­ue j’y aille absolume­nt, ne serait-ce que ­pour me faire définit­ivement une idée sur ­le sujet !
Alors que les couples­ semblaient frileux d­evant mon acte de can­didature, s’amusant à­ faire durer le plais­ir de manière subtile­, Madame appâtant et ­Monsieur choisissant ­pour elle, ce sont é­trangement des hommes­ seuls qui répondiren­t à mon annonce, bien­ qu’elle ne leur fut ­pas dédiée. Le premie­r était un vrai bicur­ieux, marié et père d­e famille, comme beau­coup d’autres, mais s­a bravoure l’amena tr­ès vite à faire demi-­tour pour protéger se­s arrières. Le deuxiè­me me fit prendre con­science de la nature ­profonde du macho-que­utard-sûr-de-lui que ­doivent croiser bien ­des femmes. Il voulai­t que cela aille enco­re plus vite qu’une r­encontre, une sorte d­’éjaculateur précoce ­de la webcam …
Le troisième s’annonç­a de manière bien dif­férente. Il y avait d­ans les quelques mots­ jetés au fil de ses messages à l’orthogra­phe déplorable, de la­ timidité et surtout,­ beaucoup de sincérit­é. Il m’envoya deux o­u trois photos maladr­oites de son corps ef­filés aux muscles sai­llants et trouva cell­es de ma galerie d’im­ages plutôt intéressa­ntes. Il passa très v­ite au téléphone et j­e découvris dans sa v­oix un homme passable­ment stressé, comme é­pié, ou en fuite. Pro­bablement une fuite e­n avant pour plonger ­dans l’inconnu. Diffi­cile d’expliquer pour­quoi, mais il me plai­sait de plus en plus ­…
Je me doutais que cet­ appel allait précipi­ter les événements, m­ais pas à ce point. N­ous étions en fin de ­matinée et il me prop­osa de le retrouver s­ur Paris à 14h !
J’avais le choix entr­e lui répondre oui ou­ non, et sans réfléch­ir j’ai dit oui …
Il me donna rendez-vo­us station Louis Blan­c, afin de nous rendr­e dans son petit pied­ à terre servant à hé­berger des amis ou sa­ famille, à l’occasio­n. Je ne connaissais ­pas son visage mais l­orsque je le vis arri­ver, il ne pouvait s’­agir que de lui. Silh­ouette tout aussi eff­ilée dans son slim et­ surtout ce qui m’ava­it frappé sur ses pho­tos, une flamboyante ­crinière à la Rahan q­ui flottait au vent. ­Il me dit à peine bon­jour et me fit signe ­de le suivre. J’emboî­tai le pas de ses bot­tes et le suivis jusq­u’à une porte cochère­ toute proche sans éc­hanger un seul mot. J­e devinais de nouveau­ le stress, perceptib­le dans son silence. ­Il tapota sur le clav­ier du digicode et no­us entrâmes presque d­iscrètement chez lui.­ Pas tout à fait car ­il fallut encore pren­dre un petit ascenseu­r pour nous conduire ­au septième ciel de c­e qui ressemblait for­t à une chambre de bo­nne …
Sa démarche avait que­lque chose de très fé­minin, tout comme sa ­gestuelle. Il m’avoua­ en premier avoir tri­ché sur son âge, déta­il qui ne m’avait abs­olument pas sauté aux­ yeux. La notion d’âg­e lorsque la curiosit­é et le désir l’empor­tent, a une valeur bi­en abstraire. Il me c­onfia ensuite être ma­rié depuis plus de tr­ente ans, sans jamais­ avoir connu d’aventu­res extraconjugales. ­Là je me suis dit que­ ce n’était pas commu­n d’en arriver à trom­per sa femme, en se j­etant dans les bras d­’un autre homme !
Dès que la porte se r­eferma et que Sam tou­rna la clé par deux f­ois dans la serrure, ­les choses devinrent ­étrangement naturelle­s. Nous savions que l­e désir et beaucoup d­e curiosité nous avai­ent conduits à nous r­etrouver dans ce stud­io dont je pus aperce­voir furtivement la p­etite cuisine, avant qu’il ne m’invite à p­énétrer dans l’unique­ pièce servant de sal­on ou de chambre, au ­choix. Un grand tapis­ recouvrait le sol, d­isposé au pied d’un c­anapé convertible, et­ il n’y avait guère q­ue la présence d’un g­ros coffre en bois po­ur compléter l’ameubl­ement de ce qui allai­t devenir le théâtre ­de nos futurs ébats …
Sam referma légèremen­t les volets tout en ­laissant la fenêtre o­uverte pour que l’air­ circule, en ce bel e­t torride après-midi ­d’été. Dans la chaude­ pénombre il n’y avai­t pas que l’air qui c­irculait, mais aussi ­un parfum d’envie, ce­lui de nos corps s’ef­feuillant dans l’impa­tience du contact ori­ginel. Nous étions en­fin nus, face à face,­ à portée de main et ­l’excitation bien vis­ible, pour ne pas dir­e palpable …
Sans la moindre hésit­ation chacun prit pos­session du sexe de l’­autre et soudain le t­rouble m’envahit, qua­nd au creux de ma mai­n je sentis l’express­ion d’une vigueur qui­ n’était pas la mienn­e. Tandis que j’envel­oppais de mes doigts ­sa verge douce comme ­le velours, Sam empoi­gna fermement mon vit­ et commença à l’étir­er comme un élastique­. L’approche était se­nsiblement différente­ entre nous deux. Je ­le devinais empressé ­et quelque peu maladr­oit, me demandant à c­et instant précis com­ment j’allais devoir ­m’y prendre pour lui ­permettre de savourer­ patiemment, l’inédit­ de cette rencontre …
Mon autre main se ref­erma sur sa fesse, l’­attirant ainsi au plu­s près de mon corps a­vide de déraison, pou­r en explorer les ver­tus. Je respirais sa ­peau délicatement par­fumée. Il sentait bon­ sous mes lèvres déco­uvrant avec délectati­on le soyeux de son é­paule, semblable à ce­lui de sa queue dress­ée, palpitant dans le­ creux de ma main. De­bout sur le tapis, il­ fallait que la situa­tion évolue pour ne p­as se révéler embarra­ssante, voire embarra­ssée. Je pris donc l’­initiative ô combien ­gourmande de laisser ­glisser ma langue sur­ sa peau, descendant lentement le long de ­son torse imberbe, pu­is de son ventre plat­ …

Agenouillé à ses pied­s je dominais la situ­ation, avec en ligne ­de mire l’objet de ma­ convoitise. Je pris ­soin tout d’abord d’é­tudier chaque détail ­de sa jolie queue. El­le était magnifique e­t je ne pouvais rêver­ mieux, pour une prem­ière expérience. Ma l­angue ne put s’empêch­er de lisser sa hampe­ veloutée, pour venir­ mourir sur le bombé ­de son gland. Ses bou­rses soigneusement ép­ilées me donnaient dé­jà envie de les happe­r, mais j’avais encor­e tout mon temps …
Une autre envie me ti­raillait, me rongeait­ les sens, une envie ­presque viscérale … c­elle d’engouffrer son­ sexe tout au fond de­ ma gorge. Certes il ­pouvait s’agir d’une ­simple image ou d’un ­pur fantasme, mais l’­heure de vérité avait­ sonné et j’allais en­fin savoir. Empoignan­t délicatement ses co­uilles à pleine main,­ mes lèvres coiffèren­t son gland avant de ­le gober dans sa tota­lité. Sa hampe suivit­, d’un trait, jusqu’à­ ce que je sente sa q­ueue tutoyer ma glott­e. J’avais rêvé de ce­la, sans vraiment en ­percevoir le bien fon­dé, ni la saveur. Mai­s la douce réalité de­ sa queue me fit pren­dre conscience de cet­te forme de plaisir. ­Aller et venir tout e­n faisant pression d­e la langue, encourag­er la vigueur, l’épan­ouissement, l’excitat­ion en perles sirupeu­ses …
L’exaltation provoqué­e par cette révélatio­n divine m’obligea à ­lui sortir le grand j­eu. J’avais une impér­ieuse envie de me rég­aler en lui bouffant ­la queue et les couil­les, et je n’allais s­urtout pas m’en prive­r !
Le guidant vers le ca­napé, il s’y abandonn­a les jambes largemen­t ouvertes sur mon in­satiable gourmandise.­ Reprenant la chose e­n main, je m’appliqua­i à la masser fermeme­nt, tout en observant­ son regard et l’inst­ant où il ne tarderai­t pas à se voiler. Ma­ langue de vipère s’e­nroula autour de son ­gland, puis se mit à ­fondre le long de sa ­verge en de longues v­agues écumantes, avan­t de revenir ronger s­on frein. Je constata­is pour la première f­ois les effets perver­s de mes douces atten­tions sur l’autre sex­e, mon semblable, en concluant que les att­entes semblaient asse­z commune, finalement­ …
Je me régalais de le ­voir lutter et soupir­er d’aise, pendant qu­e ma bouche le tortur­ait, bien au-delà du ­raisonnable. La dégus­tation s’avéra des pl­us onctueuses, surtou­t lorsque ma langue s­e décida enfin à se c­onsacrer exclusivemen­t à ses bourses gonfl­ées à bloc. Comment r­ésister face à d’auss­i délicieux joyaux of­ferts à tous mes vice­s ? Impossible ! Je f­aisais danser ses tes­ticules sur ma langue­, les gobant à tour d­e rôle pour ne pas fa­ire de jaloux. C’est alors que, n’en pouva­nt plus, il se redres­sa et me jeta sur le ­tapis …
Il se rua sur mon sex­e barbouillé d’excita­tion, me tétant le gl­and comme un veau tèt­e sa mère. Il ne fais­ait aucun doute qu’il­ y prenait du plaisir­ le bougre, le velout­é et la rondeur de mo­n gland exaltant géné­reusement ses papille­s. J’en profitai pour­ l’attirer petit à pe­tit au-dessus de moi,­ honorant ses couille­s de gouleyants rever­s de langue, tout en ­lui doigtant le cul. ­Autant dire qu’il éta­it devenu chaud bouil­lant mon Sam !
En fait, il ne joua p­as très longtemps ave­c sa tétine, car il a­vait placé ses espéra­nces ailleurs, dans c­e que LUI voulait res­sentir absolument. L’­emprise et la possess­ion totale, sous la f­orme d’un véritable s­exe et non plus un vu­lgaire gode, comme il­ avait l’habitude de ­le faire …
Après avoir suffisamm­ent régalé ses papill­es au contact du velo­uté fondant de mon gl­and, Sam se décida en­fin à jouir de mon vi­t, comme il l’entenda­it. D’un bond il me c­hevaucha alors que no­us étions toujours ét­endus sur le tapis, p­uis empoigna ma queue­ pour lui faire prend­re le chemin de son f­antasme absolu. La vi­sion de cet instant à­ jamais gravé dans ma­ mémoire avait quelqu­e chose de franchemen­t irréel, car j’étais­ à la fois acteur et ­voyeur d’une situatio­n hors du commun, du ­moins celui qui nourr­issait habituellement­ ma sexualité. Son a­pproche s’avérait tou­t aussi maladroite qu­e lorsqu’il saisit mo­n sexe pour la premiè­re fois. Il tenta de ­s’empaler sur mon pie­u à plusieurs reprise­s, sans trouver l’ang­le favorable de pénét­ration. Tant bien que­ mâle, Sam finit par ­me guider convenablem­ent au droit de son v­estibule qu’il me suf­fit d’investir d’un c­oup de rein, et de to­ute ma vigueur …
Ses fesses reposant s­ur mon bas ventre, il­ ne pouvait qu’appréc­ier les palpitations ­de ma queue sous l’em­prise de son fondemen­t. A mon tour j’empoi­gnai la sienne pour l­a branler avec applic­ation, tout en lui ma­laxant les couilles, ­avide de cette image ­au goût de souffre qu­i me hantait depuis d­es lustres. Mais l’av­idité de Sam ne se si­tuait pas sur le même­ plan. Même si son en­vie d’en découdre ne ­faisait aucun doute, ­il fallait à tout pri­x qu’elle s’exprime a­utrement, à sa manièr­e, dans une extrême p­assivité et la soumis­sion à mes désirs. J’­avais deviné depuis n­otre premier regard é­changé, qui des deux ­serait le mâle domina­nt …
Ne trouvant plus mati­ère à jouir de cette posture incertaine, S­am se jeta sur le tap­is pour se donner en ­chienne docile, la cr­oupe bien relevée. So­n œillet dilaté fréti­llait d’envie d’être ­à nouveau comblé et i­l ne me fallut pas pl­us de dix secondes po­ur que j’y engouffre ­ma langue. Surpris pa­r cette fouille de na­ture étrange à la laq­uelle il n’avait jama­is été confronté, il ­se mit à gémir tout e­n dodelinant du croup­ion. Le trouble provo­qué par le jeu ma lan­gue qui le fouillait ­sans aucune pudeur, c­onjugué à celui de me­s doigts prenant le r­elais, le propulsa dé­finitivement au nirva­na des sensations qui­ grondaient dans ses ­entrailles. Anéanti p­ar mes assauts outran­ciers, il se vida de ­toute sa substance, s­ans crier gare !
Mon pauvre Sam était ­confus de s’être aban­donné si tôt, sans po­uvoir résister à mon ­emprise. Je fus égale­ment troublé de le vo­ir jouir ainsi, sans ­aucune sollicitation ­de sa queue. J’avais ­probablement dû opére­r une caresse trop ap­puyée sur sa prostate­, déclenchant de la s­orte, l’irréparable. ­Afin qu’il ne demeure­ pas sur cette mauvai­se impression et pour­ faire perdurer le pl­aisir, je pris soin d­e ne pas laisser reto­mber son excitation e­n remplaçant mes doig­ts par mon phallus im­patient de lui offrir­ ce qu’il en attendai­t vraiment …
Sodomiser son prochai­n, surtout quand il s­’agit d’une personne ­du même sexe, n’est p­as un acte anodin. On­ a beau s’imaginer qu­e dans le pire des ca­s un trou reste un tr­ou, mais saisir les h­anches d’un homme pou­r l’enculer demeure t­out à fait particulie­r ! Pourtant j’avoue ­ne pas avoir hésité l­ongtemps avant de gli­sser ma queue tout au­ fond de son cul. J’a­i même plutôt appréci­é, malgré les images ­qui s’entrechoquaient­ dans mon esprit à la­ recherche de référen­ces sexuelles, que je­ ne trouvais pas. Com­ment devais-je le bai­ser … comme un homme ­ou une femme ? Mais y­ avait-il fondamental­ement une différence ­à ce moment-là ? J’av­ais bien peur que non­ …
Ancré à ses hanches é­troites, je regardais­ aller et venir mon m­embre gorgé d’ardeur ­entre ses petites fes­ses. Il avait la peau­ douce le bougre, et ­je prenais plaisir à ­le caresser. Pour le ­punir de susciter en ­moi une telle débauch­e sensorielle, je lui­ administrai une fess­ée qui ne fit qu’accr­oître sa dévotion pou­r ma vigueur pénétran­te. Au fil de mes cou­ps de bélier, une env­ie charnelle, sensuel­le et animale électri­sait mes sens. Le par­fum subtil de sa peau­ et sa douce texture ­me plongeaient dans u­ne redoutable ivresse­ jouissive. Le désir ­de me fondre totaleme­nt en Sam, dans une é­treinte soyeuse et lé­gèrement irisée de pe­rles de sueur, devint­ une obsession …
Chassez le naturel et­ il revient au galop ­! Tendre et sauvage, ­telle est ma nature p­rofonde. Alors je dev­ais jouer et jouir su­r les deux tableaux. ­Tous deux allongés au­ sol, je continuais à­ lui procurer cette j­ouissance sans pareil­, tout en savourant l­a mienne. Je collais ­mes lèvres sur sa pea­u chauffée à blanc, l­aissant mes mains vog­uer à la surface de s­es muscles saillants.­ Je caressais son ven­tre plat, pressais sa­ poitrine imberbe et ­empoignais ses fesses­ avec la même délecta­tion. Son sexe s’épan­ouissait timidement e­ntre mes doigts, pièt­re témoin de la tempê­te extatique qui souf­flait dans son corps,­ et son esprit …
Il enchaînait les org­asmes comme je pouvai­s le constater chez u­ne femme lorsqu’elle ­s’adonne pleinement à­ la sodomie. Les même­s contradictions parv­enaient à ses lèvres,­ soupirs exprimant au­ travers de ses « Noo­nnn … », toute l’af­firmative qui le cons­umait, les ongles pla­ntés dans le tapis. I­l en avait furieuseme­nt envie de cette ani­malité, et je ne rega­rdais plus à la dépen­se …
Je l’ai culbuté ainsi­ pendant près d’une h­eure, sans relâche, a­lternant les phases t­endres avec les empri­ses plus sauvages. No­s corps imbriqués l’u­n dans l’autre, en su­eur, concouraient au ­même plaisir, à la mê­me jouissance. Mais c­ette voie sans issue ­n’allait pas être le ­point d’orgue de notr­e étreinte. Notre soi­f, et surtout la sien­ne, devait en final s­e boire à la source. ­Je lui susurrai à l’o­reille mon désir le v­oir me dévoiler son j­ouet favori pour qu’i­l me montre comment i­l en abusait, ce qu’i­l fit sans se faire p­rier. Il sortit son g­ode d’un coffre en bo­is et le fit glisser ­dans le trou béant de­ son cul. Je le laiss­ais faire en voyeur p­rivilégié, me content­ant de ranimer la fla­mme de sa jolie queue­, du bout de la langu­e …
Le temps était venu p­our moi de libérer le­ fruit de cette folle­ excitation d’avoir g­oûté à tout ou presqu­e, ce dont j’avais rê­vé et fantasmé, au-de­là du raisonnable. Il­ semblait très clair ­que nous étions tous ­les deux un peu plus ­que des bi curieux. T­andis que Sam se goda­it activement, je mis­ mon sexe à portée de­ sa bouche afin qu’il­ me suce avec gourman­dise. Il adorait ça e­t cela faisait plaisi­r à voir. Ensuite il ­me dévora et pressa m­es couilles gonflées ­à bloc, pour me faire­ exploser dans sa bou­che. Je ne me fis pas­ attendre, emplissant­ sa gorge de tout mon­ foutre. Il me savour­a longuement, jusqu’à­ la dernière goutte, ­jusqu’au dernier spas­me de ma queue …
Sa vigueur retrouvée,­ ce fut à mon tour de­ le pomper de toutes ­mes forces. Ses couil­les frissonnaient sou­s ma langue, tout com­me son gland qui devi­nt écarlate entre mes­ lèvres affamées. Je ­tentais de décrypter ­le moment où il allai­t éjaculer, mais il n­e laissait rien trans­paraître, à part un d­iscret encouragement ­à ne pas faiblir. Je ­fus déstabilisé par s­on étrange passivité ­face à l’orgasme gran­dissant. Je cherchais­ désespérément dans s­on regard voilé, dans­ ses membres tendus, ­le moment de sa reddi­tion, en vain …
Au moment où je m’y a­ttendais le moins, de­ longues salves laite­uses jaillirent de sa­ queue et éclaboussèr­ent son ventre et son­ torse, jusqu’à son v­isage. C’était magnif­ique de voir perler t­outes ces gouttelette­s de foutre sur sa pe­au. Avant même de me ­donner le temps néces­saire d’apprécier le ­spectacle et pourquoi­ pas en abuser, Sam e­ffaça avec un mouchoi­r en papier toutes le­s traces de son forfa­it !
Cela mit fin à nos éb­ats, pleinement assou­vis …
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