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Sam, Jacques et les autres

Chapitre 1

Zoophilie
Sam, Jacques et les autres

Je m?ennuyais cet après-midi là, au soleil dans mon jardin, allongée sur ma chaise longue. Paul était au travail et ne rentrerait pas avant de longues heures, ce qui ne m?arrangeait pas car j?avais cruellement envie d?un peu de tendresse... Disons plutôt que j?avais très envie de sexe. Il faisait tellement chaud que j?avais ôté mon maillot pour n?avoir aucune marque de bronzage. J?étais nue, et sans même m?en apercevoir, ma main droite avait rejoint mon entrejambe et je me caressais. Paul était très gentil, généreux, mais il était piètre amant. A vrai dire, je l?aimais moins depuis quelques temps. Je sentais qu?il me manquait quelque chose, une étincelle... Il était tendre et doux, mais quand il me touchait, je ne ressentais plus de décharge électrique. Etonnamment, il n?était pas très porté sur le sexe. Il me faisait toujours l?amour de la même manière, au même rythme, et moi je m?ennuyais en attendant qu?il finisse, s?écroule sur moi et se mette à ronfler.
A force d?insatisfaction, mon esprit s?était mis à vagabonder. Il y avait beaucoup d?hommes dans mon entourage pour alimenter mes fantasmes, mais depuis quelques temps, je rêvais avec plus d?assiduité à l?un d?entre eux en particulier.
Benoît est si beau, mais d?une beauté différente. Je ne l?ai jamais vu avec une fille, ça ne l?intéresse pas. Depuis qu?on a emménagé dans le quartier, il est souvent venu me voir. Il habite la maison d?à côté, avec son père, et souvent le soir, quand il voit que le garage est vide et que Paul est absent, il vient frapper et on reste des heures à discuter. Il passe ses journées dans ses livres, et quand il m?en parle, je n?arrive même pas à l?écouter. Je le regarde, je le détaille. Il m?a dit que le sexe ne l?intéressait pas, et qu?il ne voulait pas d?enfants. Pourquoi ? Il dit qu?il ne veut pas de copie de lui-même. Moi, j?en rêve. Alors le son de sa voix en bruit de fond, je le regarde, je suis chacun de ses mouvements. Dans quelle théorie est-il encore parti ? Peu m?importe, je viens d?apercevoir qu?au creux de son bras, il a un minuscule grain de beauté. Comme ce grain de beauté est érotique, comme son bras me donne envie de lui. Sa peau si blanche, son air nonchalant, son ventre rebondi, sa calvitie naissante alors qu?il n?a que 26 ans...
Non, Benoît n?avait rien de réellement attirant, s?il me plaisait, c?était parce que mon esprit avait construit autour de lui toute une sorte de mythe. Il me semblait si inaccessible, que cet interdit, ce défit me rendait folle. C?est plongée dans ces pensées, en train de me caresser avec de plus en plus d?insistance, que j?approchais de la jouissance. J?étais si pleine de désirs, tellement frustrée depuis des mois, que sentant le plaisir monter, je me concentrais sur mes sensations, accélérais le mouvement de mes doigts sur mon clito, et me coupais du reste du monde. Soudain, un bruissement vint interrompre ma petite séance de masturbation. J?eus peur d?être surprise, bien que je fusse à l?abri des regards au fond du jardin, cachée par la haie. Quelle malédiction, je me disais que c?était vraiment injuste, alors que pour une fois je m?octroyais un petit moment d?intimité, il fallait qu?on vienne me déranger. J?enfilai rapidement ma robe et allai voir qui venait troubler ma quiétude. Quelle ne fut pas ma surprise de trouver Sam, qui avait sauté la barrière de l?autre côté de la maison, et arrivait trottinant tout heureux de venir chercher quelques caresses.
Sam, c?est le chien de Benoît, un beau labrador, noir, et très gentil. Je ne pouvais pas en vouloir à cette pauvre bête, après tout, il ne pouvait pas savoir. Il vit bien d?ailleurs que malgré tout j?étais contente de le voir, car il me faisait la fête, gambadant autour de mes jambes, et remuant la queue. Il était même si content, qu?en sautant pour me mettre ses pattes sur l?épaules et me lécher le visage, il me renversa. Je tombai dans l?herbe en riant, alors qu?il me détrempait la figure à grands coups de langue. Au bout d?un moment, pourtant, je n?avais plus envie de rire. Sam avait senti mon odeur sur mes mains, et en avait rapidement trouvé la source. Une minute plus tard, je me retrouvai avec son museau entre les cuisses, toujours par terre, et la jupe relevée à la taille. Quoi que j?en pense au fond de moi, il fallait bien admettre que ce sale chien commençait sérieusement à m?exciter... Mon esprit en une seconde évalua la situation. J?étais avec un chien en train de me faire faire le plus merveilleux cuni de ma vie, au milieu de mon jardin, et si je ne faisais rien, j?allais à nouveau rester sur ma fin. Ce que je voulais, moi, c?était une bite. Une bite sur quatre ou sur deux pattes, qu?est-ce que ça change ? Je venais de prendre la meilleure décision de ma vie. D?un bond je me levai, appelai Sam qui courut derrière moi et me suivit jusque dans la cuisine. Je fermai la porte et me couchai sur le carrelage froid, pour qu?il puisse continuer à me lécher. Quel bien fou il me faisait, je n?en revenais pas. Je n?étais pas très sûre de moi, et j?avais un peu peur, mais l?envie était plus forte que tout, et je ne pouvais plus résister. Je savais que certaines femmes le faisaient, alors, pourquoi pas moi ? Je me positionnai à quatre pattes et l?appelai pour qu?il me monte. Il ne se fit pas prier, et il m?avait si bien lubrifiée qu?il n?eût aucune peine à s?introduire en moi. A chacun de ses mouvements, je sentais sa queue grossir et me défoncer un peu plus, c?était merveilleux. Je n?avais jamais été baisée avec une telle puissance, je n?avais jamais tant crié, tant joui, j?étais complètement submergée par le plaisir. Sam donna un grand coup pour s?enfoncer complètement, m?arrachant un cri de douleur, puis s?immobilisa. Alors, je pus sentir son sperme chaud m?emplir et me combler, tandis que je fermai les yeux fort et crispai tout mon corps comme pour garder tout ce bonheur plus longtemps. Quand il se retira, tout son liquide dégoulinait entre mes cuisses, et je restai un instant sans bouger, pour me remettre de mes émotions. Je n?en eus pas le temps. Dans mon dos, j?entendis des mains claquer...
C?était Jacques, le père de Benoît, qui applaudissait. Rouge de honte, nue sur les catelles, à quatre pattes, baignant dans une marre de foutre canin, je voulais bafouiller quelque chose qui ressemble à des explications, mais sans y arriver.
? Eh bien ma petite Alice, que dirait Paul s?il savait ?!
— Non je vous en prie, ne lui dites rien, c?est juste un accident, Sam est arrivé et....
— Et tu te doigtais... Tu crois que je ne te vois pas de chez moi ? Tu te crois à l?abri derrière tes thuyas ? ?Ce gros porc m?observait depuis déjà longtemps, à en croire son assurance. Il savait aussi qu?il pourrait me faire chanter désormais, et il ne se fit pas prier. Il n?eût même pas besoin d?insister, je compris tout de suite. Alors, je ne dis rien lorsqu?il s?approcha de moi. Je me relevai pour lui faire face et m?offrir à son bon vouloir, en espérant qu?il garde le silence sur ce qu?il venait de voir. Il me fit asseoir sur la table, il bandait déjà. Il me baisa ainsi, debout, les frocs sur les genoux, et je jouis. J?étais complètement à sa merci, et j?adorais ça. Il me prit brutalement, sans une caresse, sans un mot que ses grognements, et je me laissai faire. Quand il eut fini, il me laissa ainsi, pantelante, et toujours sans rien dire, s?en alla en sifflant Sam. Je pris quelques instants pour me remettre, puis me mis à nettoyer toutes les traces de ce qui s?était passé. Je ne savais pas ce qui allait se passer, mais je ne regrettais pas. Je venais de passer un après-midi fantastique, et si Jacques gardait le silence, les choses reprendraient normalement et Paul ne se douterait jamais de rien. Au fond de moi, j?avais même envie de recommencer... Ce soir là, couchée sous Paul qui s?acharnait pitoyablement à faire son devoir conjugal, je pensais à Sam, à Jacques et à Benoît. Benoît, s?il savait... Est-ce que ça l?exciterait de me voir baiser Sam, sucer Sam, ou est-ce qu?il serait dégoûté. Et que dirait-il s?il savait que son père m?avait prise sur la table de la cuisine cet après-midi alors qu?il était sûrement en train de lire un de ses gros pavés de philo ? Je m?imaginais avec lui, à ses pieds en train de m?appliquer à lui faire la plus merveilleuse fellation que j?aie jamais faite, tandis que Sam, sur mon dos, me démonterait la chatte... Ce soir-là, j?eus encore un orgasme avec Paul.

emma9838@msn.com
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