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Samedi 20 août, une date mémorable

Chapitre 2

Erotique
20h45
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Il est maintenant temps pour nous de quitter le restaurant. Léa prend un peu d’avance pendant que je règle l’addition. Au-dessus de l’épaule du serveur, je la regarde s’éloigner avec la grâce qui lui est propre. Un sourire se forme sur mon visage en pensant : « T’es quand même un sacré veinard. »
Soudain, elle s’arrête, tourne la tête dans ma direction et me fait signe de venir la rejoindre avant de disparaître derrière une porte interdite au public. Déstabilisé par ce qu’il vient de se passer, je me trompe dans le code de ma carte bancaire à 3 reprises. Quand finalement le paiement est accepté, je fonce pour rejoindre ma dulcinée, oubliant même de remercier le serveur.
J’ouvre la porte et entre dans une petite salle de stockage dans laquelle sont empilées de nombreuses chaises et tables. Au milieu de celles-ci : Léa. Elle se tient debout devant moi, ses deux mains tenant son sac contre son ventre, ses longues jambes croisées, et son regard débordant de passion. Je m’approche d’elle, glisse mes mains autour de sa taille et l’embrasse longuement. En ce moment où l’amour transcende nos âmes, je laisse mes doigts glisser jusqu’à ses fesses que j’agrippe fermement. Je sens son souffle se couper à cet instant précis et décide d’accoler son bassin contre le mien. Elle glisse à mon oreille : « J’en connais un qui est excité », en plaçant sa main contre mon entrejambe. Je ne m’en étais pas tout à fait rendu compte, mais je bande vigoureusement depuis la première seconde où je suis entré dans la pièce. Ses caresses le long de ma verge galvanisent mon excitation. Je la plaque contre le mur et commence à embrasser son cou.
Elle lève sa jambe contre le haut de ma cuisse, que j’attrape aussitôt. La fermeté de sa cuisse contre ma main, la douceur du nylon, et l’humidité - froide cette fois - qui imprègne le collant - enflamment mon être. Je lui murmure à son oreille: « Ma belle, je vais te faire crier de plaisir. »
En reculant ma tête, je devine dans ses yeux qu’une idée vient de naître en son esprit. Elle rabaisse sa jambe et se tourne pour me faire dos. Doucement, elle rapproche ses fesses de moi, accompagné d’un innocent : « Oups. »
Je glisse ma main gauche dans ses cheveux afin de libérer sa nuque, projetant vers moi la merveilleuse odeur de son parfum qui enivre mes sens. De cette même main, je saisis fermement son cou et commence à mordre sensuellement sa nuque. Un léger gémissement s’échappe de sa bouche. Je colle mon index contre ses lèvres afin qu’elle y dépose un baiser. Ma main glisse ensuite le long de son visage, abaissant légèrement sa lèvre inférieure. Mes doigts effleurent son menton, son cou, le haut de sa poitrine pour finalement venir se loger à l’intérieur de sa robe rouge et saisir son sein. Je continue de baiser sa nuque et de caresser sa poitrine pendant quelques instants. Son souffle s’accélère et je la sens se frotter de plus en plus contre moi. Je la sens excitée, mais j’ai le besoin incoercible de sentir la preuve même de son désir.
Je lâche alors son sein pour commencer à caresser sa hanche et l’extérieur de sa cuisse. Petit à petit, ma main plonge vers l’intérieur de ses jambes. Son collant est totalement trempé. Je remonte doucement, relève sa robe et pose finalement ma main contre son pubis. Il est brûlant. Je pose mon majeur le long de sa vulve, puis presse très légèrement dessus pour tenter de la faire réagir. Elle tente de taire un gémissement, en vain. Mon autre main lâche alors son cou pour venir se poser sur sa bouche afin qu’elle n’ait plus à retenir ses gémissements. Je me glisse alors à l’intérieur de son collant, et commence à titiller son clitoris. A chacun de mes mouvements, je la sens lutter, trembler de tout son corps et mouiller toujours plus.
Tout en me faisant dos, elle détache habilement ma ceinture, déboutonne mon pantalon et expose finalement ma verge, gorgée de désir. Elle la caresse sensuellement, me faisant bouillonner de l’intérieur. Alors que mes pensées se sont échauffées et que ma raison m’abandonne, je lui dis : « Léa, je vais te baiser si sauvagement. »
C’est alors qu’elle tourne la tête, me sourit avec ses yeux emplis de malice, puis me repousse légèrement en arrière. Elle relève sa robe, descend son collant et se penche sensuellement en avant contre le mur. De ses deux mains, elle écarte le plus largement qu’elle puisse ses deux lèvres trempées, me laissant témoin d’un spectacle des plus excitants. Elle est là, à moins d’un mètre, et s’offre à moi. J’ai l’impression qu’elle me supplie de lui faire l’amour. Une goutte s’échappe de sa vulve et tombe sur son collant. C’est la goutte de trop qui me fait m’enflammer. Mon cœur bondit et je tente de me coller à elle à nouveau. Me voyant me rapprocher, Léa ajoute : « Je sais que tu en meurs d’envie, mais tu as l’interdiction de me baiser. A part ça, libre à toi de faire ce qu’il te plaît. ».
C’était donc ça, elle cherche à prendre sa revanche pour tout à l’heure ! A peine le temps d’assimiler ce qu’elle venait de me dire qu’elle saisit mon sexe dans sa main, la colle à l’entrée du sien et commence à me masturber. C’est intenable. Très rapidement, je tente de me décoller de ses lèvres, car il me devient difficile de résister à l’envie de la pénétrer sauvagement. Peut-être que si je l’excite un peu plus, me laissera-t-elle lui faire l’amour ?
Malgré ses caresses, je décide de m’occuper d’elle également. D’une main, je chatouille son clitoris, de l’autre je la pénètre à deux doigts. Son plaisir se rapprochant, j’arrête mes mouvements, et lui dis : « Si tu veux finir, laisse-moi te prendre. » Elle laisse s’échapper un rire avant d’ajouter : « Bien tenté, mais si tu t’arrêtes, on stoppe tout. » Je dois me rendre à l’évidence, elle a gagné cette fois-ci...
Mes mains reprennent alors ce qu’elles étaient en train de faire. Le souffle de Léa s’accélère de plus en plus jusqu’à ce que tout son être tremble dans un ultime orgasme. Au bord de l’extase également, je place mes mains sur ses hanches. Malgré son essoufflement, Léa continue de me masturber. Elle sent que je suis à bout et colle à nouveau mon gland contre sa vulve brûlante. Alors que l’orgasme arrive, elle enfonce très légèrement mon sexe dans le sien, juste un ou deux centimètres, afin que je finisse en elle, puis ajoute : « Je veux quand même pouvoir profiter de ça. ».
Le temps s’arrête pendant une trentaine de secondes, juste assez pour reprendre nos esprits. Toujours contre elle, je remarque le mélange de nos semences qui perlent le long de ses jambes puis tombent sur le nylon encore humide. Elle se redresse, remonte son collant : « Oh, c’est tout chaud, j’adore. », puis rabaisse sa robe avant de sortir de la pièce, comme si de rien n’y était.
Quant à moi, je reste là, étourdi par ce qui vient de se passer, et plus excité encore par ce à quoi je venais d’assister.
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