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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Un samedi chaud

Chapitre 1

Hétéro
Nous étions seul, tu arrivais de travailler comme à l’habitude vers 1h00 pm. Plus tôt, à ton départ, je t’avais fait percevoir par quelques caresses, mon envie folle de me faire enjamber par toi et mes câlineries avaient fait durcir ta queue chaude et généreuse. Enfilant ton pantalon et encore dure de ces caresses, tu te pencha vers moi et me dit : bon avant-midi chérie! Tout en m’embrassant avec ta langue. Je sentais ma chatte humide, tellement je brûlais de désir.
Tu partis et je me rendormis avec le même envie qu’à ton départ. Je me réveillai une heure plus tard, toujours assoiffer de désir et la chatte abondamment mouillée. J’allais jusqu’à la table de chevet pour y prendre mon vibrateur pour satisfaire à moitié cette soif presque insoutenable. Je me fis jouir pour calmer cet excès d’appétence.
Je sautai à la douche m’habillai et sorti pour aller au jardin. La demie journée passait très vite. J’étais toujours au jardin, la sonnerie du téléphone retentit mais je n’eu pas le temps de m’y rendre. C’était toi, pour me dire que tu arrivais bientôt.
Je continuais à travailler paisiblement au jardin. Quelques minutes plus tard, j’étais sur le point d’entrer à la maison quand tout à coup, je voulu me retourner et tu te tenais debout derrière moi, je sursautais et te disais que tu étais fou et tu te mis à m’embrasser et tu t’empressa de m’agripper par la poitrine en me pinçant le bout des mamelons pour me les faire durcir. J’étais incapable de te résister et surtout que le matin même j’avais une envie folle de toi, tu savais qu’il serait facile pour toi de me faire chavirer.
Tu passas tes mains sous mon chandail pour sentir mes bouts se durcir sous tes doigts friands. Rapidement nous étions tous les deux arrivés près des marches de la véranda, tu m’y fis asseoir et m’y retira ma culotte, j’en tremblais tellement tu m’excitais, tu te pencha et te mis à me lécher la chatte avec voracité tout en y relâchant quelques petits hum!! pour me faire comprendre que tu aimais ce que tu goûtais, de mes doigts j’écartelais mes grandes lèvres pour m’offrir davantage à toi. Soudain, tu leva ta tête, te releva et détacha ton pantalon pour en sortir ta queue toute ferme d’excitation, tu montas une marche mis les jambes chaque côté de moi, je voyais ton membre dure pointant vers le haut tellement tu étais dure, tu plias un peu les genoux pour me présenter ce manche. Tu me tapotas doucement la bouche pour ensuite me l’introduire généreusement dans la bouche, je le prenais presque tout entier.
Ma tête était accoté sur la marche et je t’avais au dessus de moi avec ta queue dans la bouche, j’avais du mal à me contenir tellement c’était excitant. Soudain, tu te releva et me dis de me retourner, ce que je fis aussitôt, j’étais à genoux sur la marche d’escalier, les deux jambes bien écartelés la chatte gonflée de désir et le cul bien monté pour que tu m’enfiles ta grosse queue bien durci dans ma chatte toute humide.
Tu as fait de brefs mouvements de clapotis contre ma chatte avec ton manche bien dure comme pour m’agacer un peu et je me tortillais comme un vers pour que tu me prennes tout de suite mais tu me faisais languir pour que j’apprécie le moment et tu avais totalement raison car le meilleur arriverait après cette toute petite période d’attente qui m’apparaissait une éternité.
Tout à coup, pour me surprendre, tu m’enfonça une fois et ressorti aussitôt. Ma respiration en fût presque coupé et puis après quelques rabâchages du même genre, tu décidas de rester dans ma chatte et dans des mouvements de va et viens je sentais ta verge se durcir de plus en plus, tu vénérais ce moment. J’étais en extase, ma respiration devenait de plus en plus haletante, je te voulais et tu me voulais, en cet instant nous ne formions qu’une seule personne.
Tu poussais des petits râlements qui m’excitaient au plus haut point, quelques fois tu ralentissais ton élan, j’avais tout juste le temps de reprendre mon souffle mais tu repartais à me labourer de plus bel et de plus en plus fort, je te suppliais de continuer tellement tu étais bon et c’est ce que tu faisais. De la main gauche je masturbais ma chatte, je ne voyais plus le temps passer, tout c’était arrêté, il n’y avait que cet instant. Soudain, je sentis à l’intérieur de moi, ton pénis se gonfler et raidir comme une pierre, tu poussas un cris, me retena les hanches fermement, tu explosas comme un volcan et je reçus ta lave me remplissant le bas ventre. L’idée de sentir ton sperme chaud en moi se mélanger au mien dominait mon esprit, j’étais tellement excitée qu’au même moment j’eu mon orgasme. Tu m’as prise dans tes bras, nous sommes restés là pendant quelques minutes à ne rien dire, juste s’entrelacer que pouvions-nous ajouter? rien, sinon, Quel moment inoubliable !
Ta chérie
Nathalie
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