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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Un samedi de Juillet

Chapitre 1

Divers
Cette journée s`annonçait relativement plaisante, placée sous l?égide d?un repos absolu et sous le charme d?un soleil estival prometteur. C?était un samedi de juillet, aucun événement exceptionnel en prévision si ce n?est une soirée entre amis comme à l?accoutumé. Une bande d?étudiants en mal de sensations fortes et avides de perdition alcoolisées.    Sophie organisait une petite collation dans la maison familiale délaissée par ses parents partis se revigorer une quinzaine en Bretagne. 3 couples et 2 amis seraient de la partie, cercle très fermé, cocoon dans lequel habitudes routinières et coutumes bucoliques régissaient notre quotidien d?adultes puérils.    La soirée promettait d?être monotone, quelques blagues de Marc, l?officiel de Sophie, ponctuées par des relances lourdâtres de Nicolas et Killian. Bref, à 23 H la concentration d?alcool au m3 risquait de faire pâlir toute une bande de piliers de comptoir.    La prédiction se révéla être bien réelle, les garçons étaient tous couchés dans une chambre, leur organisme n?avait pas supporté ces accumulations de mélanges qui font des spiritueux des armes laxatives redoutables.    Bilan, je me retrouvai seul avec 3 filles au salon à terminer une soirée banale autour de quelques verres en écoutant de la techno. Mon état s?approchait gentiment de l?au-delà mais toujours conscient de respirer. Marie, en excellente maîtresse des lieux suggéra alors un strip poker à 4. La gêne s?empara de nos esprits et je crois que finalement, notre euphorie brisa tous les tabous, tout le monde accepta mais ? attention personne ne triche !! ?.    Le jeu de carte sur la table, la bouteille de Jack à portée de main, une cigarette au bec, légèrement dans le brouillard, me voici donc accoudé entouré de 3 superbes filles, toutes différentes, toutes pleines de charmes, bref comme un coq en pâte. Mon harem pendu à mes lèvres lorsque j?annonce une petite suite non surenchérie.    La règle indiquait qu?en cas de succès, le vainqueur était le seul à ne pas retirer un vêtement. Le jeu dura une bonne heure au delà de laquelle, nous apparaissions tous en tenue d?adam. Mon dieu, cette vision divine qui s?offrait à moi, troublait mon métabolisme, mes capacités neurologiques étaient obstruées par ses corps si parfaits et imparfaits, cette complicité que ces filles m?offraient, une confiance jusqu?alors inexploitée.    Marie, jeune fille brune de 22 ans, filiforme, dont les mensurations idylliques aurait pu faire pâlir de jalousie tous ces mannequins fantasques et sans grand intérêt. Si belle et déroutante, assise à mes cotés, une poitrine si flamboyante surplombant la plaine de son ventre et laissant apparaître un pubis délicatement soigné, une porte bien gardée.    Sophie, blonde platine du haut de ses 21, petite bourgeoise arriviste et sans aura, postée en face de moi, douce revanche de la contempler à nu, mes sentiments partagés entre une douce admiration et une violente envie de lui arracher de violents orgasmes. Elle, si précieusement ridicule, nue sans aucune distinction sociale, si belle, si rebelle, me laissant entrevoir au travers de la glace vitrée de la table, son soyeux ruban de chatterton surplombée d?une poitrine si pulpeuse et incitatrice.    Le brouillard commençait à se dissiper, je recouvrais mes esprits ? Mon dieu et si mes potes se réveillaient ? ?, malgré cela, la fierté de les avoir toutes pour moi renforçait ce désir d?en savoir plus.    Claire, presque 22 ans, brune excentrique branchée hip hop, aborda le sujet en premier :    - Les filles, nous sommes toutes les 3 à poil et je remarque que Xavier porte encore son caleçon.    Sophie enchaîna :    - ouais ben il serait temps de lui faire sauter !    L?alcool faisait plus qu?effet, déchaînées, je ne maîtrisais plus rien, mon état bien qu?amélioré m?empêchait de comprendre la situation. Mais qui étaient-elles ? Je ne les reconnaissais plus, Marie et sa douceur si empruntée, Sophie si prude et réservée, Claire si fidèle et romantique. Vous savez, nous avons tous des préjugés mais bon dieu je les connais depuis plus de 5 ans !!!!!!!!    Le contrôle de la situation m?échappa totalement, s?en suivirent de nouvelles règles, un gage par partie perdue, la suite s?accéléra, je perdis le bénéfice de mon caleçon, l?alcool coulait à flots, les minutes d?écoulaient de plus en plus vite et les gages se faisaient de plus en plus dirigés.    - Sophie, déclara Claire, ton gage sera de caresser Xavier, nous voulons que tu lui touches les testicules.     - Mais.. !!     - Non, non, pas de chichis, de toute façon tout ceci restera entre nous...     - Mais... et les garçons à côté...     - Ne te préoccupes pas d?eux, s?ils s?étaient plus occupés de nous, nous en serions pas là.. Allez !!!    Elle s?exécuta, je n?en cru pas mes yeux, mon côté machiste venait d?en prendre un coup, MOI le pilier du groupe, moi le ? copain ?, le conseiller, le confident, je me retrouvais en face d?amies en soif d?expériences, au fonde moi-même je me doutais de l?issus de tout cela !! Mon sexe grossissait à vue d?oeil, les cavités poreuse de ma hampe se replissait fougueusement, Sophie empruntée mais expérimentée sillonnait mon pubis, tout en effleurant mon prépuce gorgé d?excitation contenue.    La partie continuait    - hahahaha, c?est ton tour Claire    Sophie tenait sa vengeance    - Caresse les seins de Marie tout en lui mordillant les tétons    Sans aucune retenue elle se livra à une démonstration d?attouchements sous les yeux hébétés de Marie, gémissant à peine, l?excitation nouvelle à fleur de peau.    Puis vint l?apothéose, l?ultime partie, que je gagnais, celle de mes désirs, celle de la réalisation de mes phantasmes. Mon excitation me dictait une conduite sexuellement irresponsable, je pensais à mes amis, ces abrutis qui m?avaient laissé dans ce guêpier. Qu?importe, elles avaient déjà dépassé les bornes, ce qui devaient être qu?un simple jeu s?était rapidement transformé en une orgie dans la finalité était inévitable    - Le gage final, sera que toutes les trois, vous me donniez du plaisir, au-delà de vos convictions, en dépassant vos tabous, mon plaisir, du plaisir !!    Je me rappellerais toute ma vie ce qui suivit, je les vis les 3 se lever, en se prenant la main, puis contourner la table pour s?asseoir à mes côtés, sans un bruit. Marie embrassa mon torse, tandis que Claire déposa ses lèvres humides sur les miennes, Sophie quant à elle, s?orienta immédiatement sans détour sur mon sexe, comme pour m?expliquer implicitement que rien ne la gênerait. Sa bouche fondit sur mon gland injecté de sang, je sentis le bout de son appendice buccal parcourir ma tige, mes halètements battaient la mesure de ses va-et-vient incessants et maîtrisés. J?avoue que mon plaisir était au bout de ses lèvres, elle contrôlait pleinement ma jouissance. Mon opinion sur ces filles en fut à jamais bouleversé. Claire, voulait elle aussi jouir en offrant à ma bouche experte les délices de son intimité pendant que Marie l?embrassait fougueusement. Les plaisirs se multipliaient et grandissaient au fil des minutes, nos corps échaudés par ces caresses si brûlantes étaient submergés par des soubresauts de plus en plus violents. Quelle jouissance de voir leurs visages s?illuminer, leur grimaces refléter leur extase.    - Jouis dans ma bouche Xavier, putain jouis dans ma bouche !!!    Sa main arrachait mon sexe, elle me branlait comme jamais en laissant sa langue engloutir mon gland, j?allais exploser, elle ne voulait pas en perdre une seule miette, tout pour elle, jalousement tout pour elle !!!!!    Mon orgasme fut suivi par l?observation de ces 3 filles qui commencèrent à se caresser, leurs entrejambes humides au comble de l?excitation grandissante, machinalement ma main se dirigea sur ma queue qui commençait à retrouver une forme quasi olympique. La 4ème dimension, croyez-moi, la vision de mes 3 amies, 3 bombes sexuelles prêtes à exploser. Je me jetais sur Marie, positionnée en levrette, dévorant le clitoris de Sophie puis le pénétrais violemment, elle hurla..    - oui vas-y, baise-moi, jusqu?au bout, viens plus fort, je veux que tu me défonces.. arghhhhhhhhhhh... ouiiiii allez, prends-moi !!!! Mes muscles se raidissaient, je sentais son vagin se contracter, elle continuait, malgré mes assauts bestiaux à lécher ardemment le sexe de son amie tandis que Claire était dans mon dos, tentant d?introduire sa langue dans mon anus. Je jouissais, les larmes me montaient aux yeux, puis percutais encore et encore le vagin de ma monture, ouverte au plaisir et avide d?orgasmes    - Baise-moi, crie t?elle, baise-moi !!!!!! Prends mon par derrière, oui c?est ça, haaaaa prends-moi par derrière.    Je retirais mon sexe trempé, Claire se jeta dessus, et aspira chaque cm de peau, avalant toutes les gouttes déposées par les sécrétions de son amie, puis tira mon sexe en direction de l?anus de son amie en tentant de la dilater. D?un seul coup je la pénétrais, la violence du choc fit hurler Sophie l?obligeant à mes broyer les testicules, ma douleur se mêla à mon plaisir. A l?étroit dans son anus, multipliant mes percussions    - hummmmmmmmmmmmm, ouiiiiiii je vais jouirrrrrr a ouiiiiiiiiiiiii    Nos corps transpiraient, notre étreinte sauvage s?accéléra, son anus commençait à rougir de mes pénétrations, ses doigts pénétraient son vagin, Marie avait déjà joui, elle était immobile sur le sol, récupérant sa respiration couper par l?orgasme que lui avait procuré Sophie, Claire se masturbait......    Je me retirai avant l?orgasme puis demandais au 3 filles de venir boire ma semence, mes éjaculations furent terribles, les giclées maculèrent leur bouches, leurs visages, elles se couvrirent le corps de mon sperme, je jouissais pendant qu?elles finissaient de se masturber, nos orgasmes furent presque simultanés.    Cette soirée fut mémorable, aujourd?hui encore, je suis bouleversé par ce qui s?est passé, nous n?en avons jamais reparlé. Quelques semaines après, les 3 m?ont appelé séparément dans l?optique de se revoir. Aujourd?hui encore nous faisons parfois l?amour à 2, à 3 ou à 4. Et leurs copains ne se doutent de rien, synthèse de cette histoire, l?habit ne fait pas le moine !!
E-mail: bono68@voila.fr
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