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La sanction Professionnelle

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Je m’appelle Frédéric Paris, et je suis un chef d’entreprise de 45 ans. Je dirige une PME de plomberie, chauffage et climatisation, qui compte une vingtaine de salariés : la plupart sont des techniciens, auxquels s’ajoutent les comptables, un magasinier et Lucille, une jeune secrétaire assistante, qui assure aussi l’accueil et le standard. Ce soir-là, dans mon bureau au premier étage, j’étais très ennuyé. Je devais recevoir Lucille pour un entretien au terme duquel je comptais bien la sanctionner, et sans doute la licencier. J’aimais bien cette jeune fille de 22 ans, très franche et travailleuse, et jolie comme tout, ce qui ne gâche rien. Mais ces derniers temps elle avait passé les bornes. Elle avait multiplié les retards et même les absences sans motif, avait mécontenté plusieurs clients en les recevant mal, et, cerise sur le gâteau, la banque m’avait appelé deux fois pour m’informer qu’il manquait de l’argent dans nos versements d’espèces, et les deux fois c’était Lucille qui les avait amenés. Bien que n’ayant pas de preuve formelle, Je n’avais guère de doute sur la cause des sommes manquantes – deux cents euros en tout : Lucille les avait subtilisés.
J’étais persuadé qu’elle voulait nous quitter, et qu’en agissant de la sorte, à l’opposé du comportement irréprochable auquel elle nous avait habitués, elle cherchait à se faire licencier, ce qui est plus rémunérateur que de démissionner… Je l’avais convoqué à 19H00, une heure où il ne restait plus personne dans l’entreprise. A l’heure dite, elle frappa à mon bureau, et elle entra. Je la regardai comme elle s’approchait : ses chevaux blonds foncés éclairés de mèches plus claires, mi longs, étaient rejetés en arrière, et sur son visage aux yeux marrons, souvent pétillants de malice, elle arborait une mimique de dédain, presque d’ennui. Elle portait une jupe à volants à petites fleurs de couleur claire, et un débardeur noir uni en haut. Comme toujours je me dis qu’elle était fort attirante, et que c’était dommage que je n’ai pas 20 ans de moins. « Assied-toi, Lucille, j’ai à te parler » lui dis-je.
Je lui fis état de tout ce que j’avais à lui reprocher. La seule chose qu’elle nia, c’était d’avoir pris l’argent dans les versements. Mais quand je lui dis que j’avais recompté le deuxième versement juste avant de lui confier elle se mordit la lèvre et ne sut quoi répondre, me regardant d’un air désemparé. Pour moi, son attitude avait presque valeur d’aveu ! Mais quand j’abordai la question d’un licenciement éventuel, à ma grande surprise, elle éclata en sanglots, en ayant vraiment l’air catastrophé. « Oh non, patron, me virez pas ! » supplia-t-elle, avant d’enchaîner : « je sais que j’ai déconné monsieur Paris, c’est vrai. J’ai des problèmes personnels, j’ai quitté mon copain, ça m’a fait pété les plombs. Mais ça aurait pas dû rejaillir sur mon travail, c’est sûr, j’ai déconné, pardon, mais me virez pas ! » Elle était en panique. « Vous savez que je n’ai pas de diplôme, je ne retrouverais jamais un travail comme celui-là si vous me virez ! » Et elle retomba en larmes. Je me mis à crier : « il aurait peut-être fallu y penser avant, tu ne crois pas ? C’est grave ce que tu as fait, tu te rends compte ? Je pourrais porter plainte contre toi ! » « Je sais, j’ai déconné, c’est clair » articula-t-elle entre deux sanglots. «Je suis désolée parton, mais vous auriez dû m’engueuler tout de suite, je ne serais pas allée si loin! Mais je vous en prie me virez pas ! »
Après un moment, je repris : «écoute, Lucille, je dois te donner une sanction. Je ne peux pas laisser passer de tels actes sans réagir. Tu auras au moins une mise à pied de 15 jours sans salaire… » Elle secoua la tête : « bah déjà que j’ai des problèmes financiers alors comme ça, ce sera la totale ! » « Tu croyais que tu allais t’en tirer avec un avertissement » lui répondis-je sèchement ? Elle renifla en regardant le sol. « Non. Mais… J’sais pas, vous n’avez qu’à me donner une bonne correction, voilà. » « Une correction ? » « Oui, vous pouvez me taper dessus si vous voulez, mais me virez pas, s’il vous plaît ». Je trouvai l’idée grotesque : « je ne suis pas ton père, Lucille ! ». Elle releva alors la tête en me regardant d’un air de défi et dit : « pas besoin d’être mon père pour me donner une fessée ! » Plusieurs secondes s’écoulèrent, pendant lesquelles des images érotiques traversèrent mon esprit. Mon regard descendit malgré moi de ses yeux jusqu’à ses cuisses. Voulait-elle vraiment dire ce qu’elle venait de dire ? « Une fessée ? » lui demandai-je, pour qu’elle explique ce qu’elle voulait dire par là. Mais elle me comprit mal, pensant que j’avais retenu l’idée et que c’était une proposition. « Ok, alors » répondit-elle doucement. Mon cœur s’emballa et de nouvelles images fusèrent dans ma tête. J’aurais pu démentir. Je ne le fis pas. « Maintenant ? » demanda-t-elle. « Maintenant » répondis-je, en me levant pour faire le tour de mon bureau. Elle se leva aussi, un peu gênée. « Heu, je reste debout ? » demanda-t-elle. Je lui indiquai un des fauteuils en cuir du petit salon de réception qui était dans un coin de mon bureau pour les rendez-vous commerciaux. « Mets-toi ici » dis-je. Lucille s’agenouilla à l’envers sur le fauteuil, les bras reposant sur le haut du dossier.
En me dirigeant vers elle, les pensées s’entrechoquèrent dans ma tête. Je n’allais pas vraiment fesser cette jeune fille. C’était un rêve, rien de plus. Je regardais Lucille à genoux sur ce fauteuil, les fesses tournées vers moi, attendant sa punition. J’allais tout arrêter, lui dire qu’on s’était mal compris. Mon cœur battant la chamade, c’est pourtant bien ma main que je vis saisir le bord de sa jupe pour la relever sur son bassin. C’est pourtant bien à mes yeux que se révéla ainsi son cul de déesse, lisse et rebondi, dans un slip blanc. Très hypocritement, je lançai « je veux que tu saches que c’est parce que tu m’y as obligé que je vais faire ça, Lucille. » « Oui monsieur Paris, je sais. Je suis désolée » fit-elle d’une petite voix. Des deux mains, je fis glisser son slip jusqu’à ses genoux, en laissant mes mains effleurer ses cuisses dans l’opération. Je m’étais penché plus que nécessaire et mon visage était tout près de son fessier magnifique, jusqu’à sentir l’odeur de son intimité, et apercevoir dans le creux de ses fesses les derniers poils pubiens de sa chatte de blonde. Je me mis à bander comme un cerf dans mon pantalon de costume. Je n’avais pas mis de sous-vêtement, et ma queue forçait contre le tissu à m’en faire mal. Je me relevai, posa ma main gauche sur sa hanche, leva l’autre main et la laissa retomber sur sa fesse droite, sans violence exagérée, mais lourdement tout de même. « PAF !! » « AÏE !! » La force du bruit de ma claque dans le silence du bureau me surprit, tout autant que le raidissement soudain de Lucille sur le fauteuil et son cri de douleur. « Oui » dis-je ; « c’est pas fait pour faire du bien… » Et j’assenai une autre claque tout aussi lourde sur sa fesse gauche, avec les mêmes effets. J’enchaînai alors les claques avec régularité, toujours dosées de la même manière, lentement. Une claque toutes les 4 secondes environ. A chaque fois, Lucille criait sous la douleur, et par un mouvement réflexe elle tendait ses jambes en serrant ses fesses. Ce mouvement la faisait remonter sur le fauteuil, et exposait ainsi à ma vue sa chatte un peu plus. J’avoue que je prenais un plaisir pervers à la fesser ainsi, exerçant une domination profondément excitante. Ses fesses petit à petit se coloraient en rouge écarlate. Au bout d’un moment j’allongeai le temps de pause après la dernière claque, puis lui assena une volée de coups moins forts mais très rapprochés, en lui criant « tiens, tiens ! C’est pour tes retards, ça ! » « Aïe, ah, aaah, aaaah !!! » à l’issue de la volée, Lucille avait tellement remonté son bassin que celui-ci se trouvait sur le haut du dossier, ses jambes tendues, et qu’elle menaçait de faire tomber le fauteuil. D’une main je lui retins la cheville pour la faire redescendre, non sans lui écarter un peu les jambes pour profiter de la vue… Je la laissai reprendre ses esprits, puis recommençai les claques lentes un temps, avant de lancer une nouvelle volée : « tiens, ça c’est pour tes absences injustifiées ! ».
Lorsque ses fesses furent toutes rouges, du bas des reins jusqu’au haut des cuisses, j’arrêtai la punition. Laissant Lucille sangloter et gémir doucement, je lui caressai doucement l’intérieur de la cuisse, de cette main droite qui l’avais tant claqué. « Je sais, c’est douloureux, et humiliant. C’est fait pour ça tu comprends ? » Je remontai ma main jusqu’à sa chatte, et l’humidité que j’y sentis clairement ne me laissa aucun doute sur le fait que la fessée avait des vertus érogènes sur Lucille.
Je me relevai et fis le tour du fauteuil pour me placer face à elle. Ma grande taille faisait que mon bassin se trouvait juste à la hauteur de son visage, et elle se figea en fixant la grosse bosse que mon érection faisait à mon pantalon. « Alors, Lucille, dis-moi : penses-tu que tu as eu ce que tu méritais ? Ou compte tenu de ce que tu as fait, faut-il une autre punition ? ». Elle leva les yeux pour me regarder en disant « comme vous voulez monsieur Paris… » Elle ajouta : « mais plus sur les fesses s’il vous plaît… » J’approchai ostensiblement mon bassin de son visage, de telle sorte que ma braguette se trouve juste devant ses yeux, et dis : « Pour la plupart de tes fautes, je pense qu’on est quitte. En revanche, pour ce qui est de l’argent disparu, c’est plus grave. Pour ça, il te faut une autre punition… Moins douloureuse, mais plus humiliante… Tu es d’accord Lucille ? » Tout en parlant, j’avais enlevé ma ceinture, et dégrafé mon pantalon. Les yeux levés vers moi, Lucille hocha la tête pour dire oui, sans dire un mot. Je baissai ma braguette et fit tomber mon pantalon sur mes chevilles. Ma queue, libérée, se redressa immédiatement, et je déboutonnai ma chemise pour mieux l’offrir à sa vue. J’avançai mon bassin vers le visage de Lucille, et comme celle-ci tourna la tête sur le côté, mon gland vint effleurer sa joue. Lucille, tout doucement, fit glisser ses lèvres le long de ma verge. Je ne bougeai pas d’un poil. Arrivé au bout, elle fit jouer ses lèvres sur le gland un moment, puis, lentement, avec de doux va-et-vient, elle fit entrer entre ses lèvres une partie du gland, puis tout le gland, et ainsi de suite. Elle me suçait la bite tranquillement, sans dégout, comme résignée.
« Voilà, c’est bien, montre-moi comme tu sais être une bonne fille… » Au bout d’un moment, je la dégageai de ma queue et, tout en lui maintenant la tête dans mes mains, je lui demandai : « Lucille, c’est bien toi qui a pris cet argent, n’est-ce pas ? » Après quelques secondes d’hésitation, elle fit de nouveau oui de la tête, d’un air grave. D’un geste rapide, le lui donnai une gifle. Moins forte que les claques de ma fessée, bien sûr. Lucille encaissa le coup sans broncher, puis je lui lâchai la tête et elle se remit à me sucer. « Fais-toi pardonner, maintenant ! » Je lui dégageai de nouveau la tête un peu plus tard, et levai l’autre main, mais arrêtai mon geste juste au moment où elle fermait les yeux pour recevoir une autre gifle. Puis, juste après lui avoir fait croire qu’elle ne la prendrait pas, je terminai finalement mon mouvement, la giflant de nouveau, avant de la forcer à continuer à me sucer.
Progressivement, Lucille y mis de plus en plus de conviction, s’aidant de la main pour me branler, me suçant voluptueusement le gland avant d’accélérer pour me pomper énergiquement, puis ralentissant de nouveau… Je sentis la jouissance monter dans mes reins. J’haletai sous l’excitation : « Lu…cille… tu… dois… pren…dre… ta puni..tion… jusqu’…au… bout… » Je retirai sa main de ma queue et lui saisis la tête pour lui prendre la bouche à petits coups de rein, en enfonçant à peine plus que le gland à chaque fois. « Tu… ai…mes… le liqui…de, tu vas … être servie… ». Je ne puis me retenir de pousser des gémissements de plus en plus forts sous la montée du plaisir. Mes genoux plièrent sous les effets de l’orgasme et soudain, dans un « Haaann !! » libérateur, je me mis à jouir comme jamais, mes mains tremblantes, le bassin secoué de spasmes, sentant des flots de sperme envahir la bouche de Lucille, qui ne pouvait retenir le trop plein qui s’écoulait de ses lèvres.
Peu après elle se dégagea et cligna des yeux en se forçant pour avaler, puis toussa : elle avait failli avaler de travers pendant mon éjaculation, surprise par la puissance de mes giclées. Nous nous rhabillâmes sans parler, puis je la raccompagnai à la porte du bureau. Je l’enlaçais en lui posant la main sur un sein, et je lui plaquai un baiser torride sur la bouche, qu’elle accepta. Nos deux langues se mêlèrent, et son goût se mélangea au gout de mon sexe et de mon foutre. Puis je lui dis « Lucille, nous sommes quitte. J’espère que ça te servira de leçon, car si tu recommences à déconner, je te préviens que moi aussi, je recommencerai à te corriger, et j’y prendrais le plus immonde des plaisirs. » Elle répondit par « merci monsieur Paris, merci pour tout. » Elle sortit du bureau.
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