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Sandra ma complice

Chapitre 1

Une femme mûre qui aime le sexe

Hétéro
Je m’en vais vous raconter une aventure des plus agréables. Bien qu’âgé de plus de cinquante ans, j’essaie d’être encore présentable et actif. Aussi il y a deux ans, j’ai décidé de m’inscrire dans une salle de sport afin d’y pratiquer cardio et exercices de maintien et tonification. Matinal, je décide donc d’aller tôt le matin à la salle. J’y croise peu de monde et surtout pas le genre : je me regarde devant les miroirs, non beaucoup y viennent pour s’adonner à une activité et rencontrer un peu de monde. Une femme d’un certain âge pratique le yoga et est présente chaque matin, habillée en tenue moulante superbe elle présente une très belle plastique et n’est pas très « sauvage ».
Ce jour après un échauffement elle se pose sous un appareil de développer qui se trouve face à mon agrès. Elle est positionnée sur le dos, jambes pliées et posées sur le banc. Elle se cambre un peu pour commencer ses enchaînements.
Je me régale du spectacle offert, son entrejambe s’ouvre pour certainement me distraire ou me tenter, me faire fantasmer. Elle pousse sur cette barre, souffle et parfois regarde si moi aussi je travaille. J’échange un sourire avec elle qui n’a pas l’air de refuser de me le rendre. Après un petit moment, j’entends :
— Monsieur s’il vous plaît, pouvez-vous m’aider, je suis épuisée.
Effectivement la barre est posée sur son thorax, elle a les bras ballants, les pieds au sol, emprisonnée en fait. Je me positionne pour relever cette entrave et la caler sur le support. Elle souffle et me remercie en souriant. S’entame une discussion puis elle me tend la main pour que je l’aide à le redresser. Une fois debout elle trébuche et me tombe presque dans les bras.
— Eh bien je pense que vous avez trop forcé et qu’il serait temps de vous remettre de toute cette aventure.
Je la maintiens en l’accompagnant vers le vestiaire femmes.
— Vous continuez longtemps ?— Non je vais me doucher et je rentre chez moi.— Attendez-moi, j’ai peur de faire un malaise, s’il vous plaît, monsieur. D’ailleurs quel est le nom de mon sauveur ? Je vous invite à prendre une boisson au club de la salle, je vous dois bien cela quand même.— Si vous le souhaitez, je reste en votre compagnie.
Je me rends au mini-bar où elle est déjà assise et changée, une robe légère, flottante, un beau sourire dévoilant ses dents et ses lèvres fines. Nous discutons et faisons un peu plus connaissance. Elle s’appelle Sandra. Pour ma part c’est R.
— Il va être temps pour moi de me rendre au travail, je prends mon service dans 45 minutes.— Comme il vous plaira.

Nous sortons et je me dirige vers mon véhicule, elle m’emboîte le pas.
— Vous avez un véhicule ?— Oui je n’habite pas à côté.— Peut-être puis-je vous demander une dernière chose : je suis à pied j’habite non loin, si vous avez un peu de temps pouvez-vous me déposer ?— Avec plaisir.
Arrivé à ma voiture, je lui ouvre la porte et lui tends la main pour l’aider à s’asseoir. Sa main se pose sur mon avant-bras et l’électrise. Elle me plante ses ongles dans la peau et s’écroule dans la voiture.
— Décidément dit-elle, j’ai de la chance j’ai la tête qui tourne. Heureusement vous êtes là.— Je vous en prie.
Nous roulons cinq minutes et arrivons devant une maison moderne, sa maison. Elle m’invite à la suivre avec insistance. Je ne me fais pas prier, sa silhouette est bandante, sa robe est entrée entre ses fesses et je trouve cela très excitant je dois dire. Ses fesses menues et fermes sont mises en évidence et attirent mon regard de coquin. Ses seins sont dissimulés dans un ST, mais le décolleté laisse apparaître le couloir qui les sépare.Après quelques minutes de voiture, nous arrivons dans un lotissement où les maisons sont éloignées les unes des autres.
— Voilà je suis chez moi, j’y suis avec mes enfants, c’est mignon et cela me plaît. Je ne sais comment vous remercier. Je vous communique mon 06, donnez-moi le vôtre. Puis cessons le vouvoiement si tu le désires.— Pourquoi pas. Je n’ai rien contre le fait de tutoyer. De plus nous nous connaissons un peu plus depuis cette aventure à la salle.
Elle m’explique que la veille elle avait été en soirée, et avait un peu abusé des bonnes choses et que ce matin elle n’avait pas été sérieuse en ne prenant qu’un simple verre de jus de fruits.Le temps passe elle me prend encore le bras s’approche de mon visage.
— Et bien R, je compte sur toi pour nous revoir.— Demandé de la sorte c’est promis.
Ses lèvres s’avancent vers mon visage, son autre bras passe sur mes épaules et sa bouche se colle au coin de la mienne.
— OUPS... désolée, j’ai encore glissé.
Je profite et me laisse aller, je bouge légèrement pour poser les miennes sur sa bouche qui s’ouvre et je sens sa langue m’envahir et glisser sur la mienne langoureusement.Elle se laisse aller tout comme moi. Je commence à bander alors que je suis collé à elle, elle le sent et me provoque en avançant son bassin. Je saisis sa croupe, elle se trémousse, recule sa bouche.
— R nous n’avons pas le temps, je sens bien ton envie.
Elle écarte son bassin.
— Passe ta main entre mes jambes, chut. Tais-toi, fais le vite et tu vas comprendre et savoure.
Elle est mouillée, ne porte rien sous sa robe. Sa chatte est gonflée, et entrouverte, j’y glisse mon index.
— Arrête pas maintenant je n’ai pas le temps s’il te plaît.
Cependant sa main est posée sur mon sexe en tension. Loin d’être énorme, il est de bonne taille et il semble lui plaire. Ses yeux pétillent, elle se dégage, m’embrasse à nouveau.
— STOP R. je t’en prie.
Je me décolle d’elle, je suis excité, elle le sait et me tourne le dos pour ouvrir sa porte. Juste avant elle me fait à nouveau face, caresse ma tête.
— À bientôt, coquin. Appelle-moi vers 17 heures ou oublie mon numéro.
Je suis aux anges, je vais chez moi, douche et caresses, car j’ai mal au sexe, il aurait été judicieux de le détendre...Je passe ma journée à bricoler puis vers 17 heures j’appelle.
— Oui mon sauveur coquin, merci de m’avoir appelé. J’ai fini ma journée vers 14 heures, je suis allé me reposer. Es-tu libre ce soir par exemple ? J’ai envie de reprendre la discussion avec toi, et j’aimerais apprendre le massage cardiaque hihihihi.— Je ne fais rien de très précis ce soir, voudrais-tu que nous allions au restaurant ensemble ? Puis après je te fais un cours de secourisme, mais très coquin...
Je ne me fais pas prier, me prépare un léger parfum musqué pour être un peu plus désirable. Je prends la route et après vingt minutes je suis devant chez elle ; je l’appelle au téléphone lui expliquant que je me stationne. Elle apparaît dans une tenue très sobre jupe et tailleur, chemisier blanc, bijoux.
— Bonsoir R, cette tenue te convient-elle ? Je peux aller me changer en plus sobre.— Non j’aime beaucoup, tu es très belle ainsi Sandra. Très... sexy aussi.— Oui j’ai fait de la sorte, c’est volontaire tu imagines bien.
Nous choisissons d’aller à Biarritz et de prendre notre temps. Nous continuons la discussion, nos échanges vont vers des choses plus privées, mais pas intimes. Nous savons maintenant que l’un comme l’autre avons eu des amants, des maîtresses aussi pour ma part, et que parfois un plan cul ou sexfriend n’est pas pour nous déplaire tant qu’il y a complicité.Le repas se passe, la soirée tire à sa fin, nous sommes sur le chemin du retour, il fait nuit dans cette campagne du 64.Elle a sa main sur la cuisse ou sur mes épaules depuis le départ, moi je conduis.
— R j’aimerais te poser une question, je me lance donc. As-tu dernièrement fait un test VIH, et penses-tu qu’il soit toujours valable ?
Ma vie sexuelle étant au plus bas en ce moment je peux lui répondre positivement. Je lui retourne la question, et sa réponse est claire, mais très directe.
— Tu penses que si je te le demande c’est que j’ai un doute à mon sujet ?
Je suis scotché, mais elle se reprend et retrouve sa douceur. Elle dégrafe sa ceinture de sécurité et me baise le cou et le lobe de l’oreille.
— Arrête-toi quelque part, j’ai très envie que tu me baises sur le capot de la voiture, être ta chienne pour te récompenser de ton sauvetage. Fais-le, je t’en prie R.
Nous stoppons sur une aire de parking en pleine campagne. Elle se jette sur moi et me lèche, me malaxe le sexe. Défait mon pantalon et dégage mon thorax, se met à sucer mes tétons, à les pincer. J’ai l’impression qu’elle va abuser de moi. Elle ouvre ma portière depuis l’intérieur me force à sortir dans la tenue. Elle sort elle aussi, se met dos contre l’avant de ma voiture.
— Bouffe-moi maintenant, tu peux, nous avons tout notre temps.
Elle enlève cette jupe pour laisser apparaître un string en dentelle noir, des bas. Je me pose à genoux devant elle, relève ses jambes et plonge ma tête entre ses cuisses. Les gémissements montent, son bassin ondule, sa chatte douce ruisselle de cyprine que je déguste. Elle me repousse pour se retourner et me présenter encore plus odieusement ses parties intimes.
— Vas-y, lèche partout n’oublie rien, je n’ai pas baisé depuis trop longtemps, profite, abuse de moi complètement.
Je ne me fais pas prier, mes mains caressent ses formes, puis ma queue se faufile entre ses cuisses, mais je me garde de plonger dans ce puits de cyprine, j’effleure sa rosette en écartant ses fesses menues, mon gland s’y promène et la mouille.
— Coquin, tu sais que j’adore ça, prends-moi, encule-moi, vas-y, là maintenant, gicle en moi je suis à toi. Défonce-moi de ta belle queue. Putain, tu attends quoi, baise-moi je t’en prie, c’est trop violent d’attendre.
Je pose ma queue tendue entre ses grandes lèvres, le gland rentre juste ce qu’il faut elle se cambre et je recule pour éviter de la pénétrer. Elle m’attire vers elle et se dandine. Elle me supplie tellement que je pousse et enfonce on sexe en elle d’un trait. Je sens son jus couler sur mes bourses. Une vraie chienne en chaleur.Je suis excité à fond je m’empoigne par les hanches et la secoue dans tous les sens en la pilonnant. Je sens mon orgasme monter et j’explose sans la prévenir. Cela lui déclenche des feulements, des contractions puis plus rien, juste un pantin qui respire, empalé sur ma queue qui réduit pour sortir de son sexe.Sandra se retourne doucement, se met à genoux et me suce pour nettoyer ce membre aux saveurs mêlées. Je caresse ses cheveux, je ne la bloque pas et ne la force pas. Elle malaxe mes bourses, me regarde et vient titiller ma rosette. Elle me fixe dans les yeux.
— Et bien mon sauveur coquin tu m’as presque satisfaite. Oui j’ai joui, j’ai eu du plaisir, mais il m’en faut encore. Rentrons chez toi ou chez moi, je ne travaille pas demain. J’ai envie de dormir contre toi. Tu n’es pas un coup d’un soir, j’aimerais être ta sexfriend régulière. Commençons ce soir s’il te plaît.
J’ai passé une nuit merveilleuse avec Sandra, nous avons dormi chez moi, après être passés chez elle prendre des affaires pour le lendemain. Arrivés dans ma maison, nous avons passé un grand moment à nous caresser devant l’insert. Les caresses aidant, Sandra a eu à nouveau envie de faire l’amour, elle a entrepris de me remettre en piste avec une fellation soignée qui était par moments accompagnée d’une visite de ma rosette par sa langue experte ou ses doigts.
Je reviendrai vous raconter les plaisirs que nous avons atteints cette fin de soirée, et plus tard. Nous nous voyons régulièrement et parfois débordons et allons en club libertin pour notre plus grand plaisir.
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