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Sandra fait le marché

Chapitre 1

Premiers essais

Voyeur / Exhibition
Sandra, belle brune aux yeux bleus, avait repris confiance en son pouvoir de séduction et redécouvert le goût de l’exhibition.
Elle évitait de la pratiquer ouvertement sur son lieu de travail, souhaitant conserver sa réputation de collaboratrice sérieuse concentrée sur son travail. Ses tenues mettaient en valeur sa silhouette fine et élancée. Ses petits seins moulés par des hauts ajustés et ses petites fesses rondes joliment enveloppées par des pantalons, jupes ou robes, suffisaient largement à faire fantasmer tout représentant de la gent masculine. Sa bonne humeur et sa disponibilité la protégeaient de potentielles jalousies féminines.
En ce samedi matin ensoleillé du mois de juin, elle déambulait dans les allées du marché lorsqu’une attache de son soutien-gorge céda. Non seulement, elle fut surprise et légèrement meurtrie sur le coup, mais elle se trouva vite dans une situation inconfortable. Elle portait ce jour-là un débardeur blanc à fines bretelles et les dégâts étaient forcément visibles. Soit elle restait ainsi avec un sous-vêtement à moitié détaché, soit elle le retirait et offrait ses seins à la vue de tous. Et comme elle était venue à bicyclette, elle ne pouvait pas rentrer en toute discrétion.Pour une fois, elle se félicitait d’avoir une poitrine menue et donc des seins ne ballotaient pas au rythme de ses pas. Par contre, ses larges aréoles et ses tétons érectiles risquaient bien d’attirer les regards.
La chance lui sourit. Un stand de vêtements se situait à quelques pas. Elle s’y dirigea rapidement et commença à regarder les sous-vêtements. Elle n’avait pas pour habitude d’acheter ses habits sur le marché et fut plutôt surprise de découvrir des modèles qui pourraient lui convenir. Une dame plutôt forte et proche de la cinquantaine tenait le stand. Un homme, plutôt grand et sensiblement du même âge, se tenait assis sur un tabouret dans le fond.
— Bonjour Madame ? Qu’est-ce que je peux faire pour vous ? demanda la commerçante.— Bonjour Madame. J’ai un petit souci avec mes bretelles de soutien-gorge. J’aurais donc besoin d’en trouver un d’urgence. — Vous avez une jolie petite paire de seins. Vous devez faire un petit 85 bonnet B ou C. Ça change de mon 95E, lança la voluptueuse dame en exhibant fièrement sa forte poitrine. Tenez, j’ai un choix de soutiens dans ce bac.
Farfouillant parmi plusieurs modèles, elle sortit un soutien-gorge blanc et un autre de couleur orangée.
— Tenez, essayez-moi ces deux-là ! lança la commerçante.— Euh, vous avez une cabine ? interrogea Sandra interdite et gênée.— Oui, suivez-moi, on a un espace par là.
La belle brune lui emboîta le pas. Elle salua l’homme au passage. Celui-ci répondit d’un hochement de tête tout en la mâtant de haut en bas.
— Tenez, mettez-vous là ma jolie.
L’espace indiqué était constitué de voiles, isolant des regards extérieurs au stand, mais une partie restant ouverte aux regards des commerçants.
Répondant à l’interrogation implicite, la matrone précisa :
— On est obligé de laisser ouvert, sinon on se ferait piquer la moitié de la marchandise. Mais ne t’inquiète pas ma belle, mon frère et moi avons l’habitude de voir des corps de toutes les formes.
Sandra se glissa dans l’espace. Elle jeta un œil derrière elle, à moitié rassurée par le fait que la commerçante la masquait en grande partie de la vue du bonhomme.Elle retira prestement son débardeur et son soutien-gorge cassé. Sa poitrine menue sembla plaire à la commerçante.
— Mon Dieu, avec des lolos pareils et tes yeux de biche, tu dois faire craquer tous les hommes. Allez, laisse-moi t’aider à enfiler celui-ci.
Elle agrafa le soutien-gorge blanc dans le dos de la belle brune. Celui-ci était sobre et passerait parfaitement avec le débardeur, mais il bâillait entre les seins et s’ajustait mal.
— Ah, non, il ne pas trop bien celui-là. Essayons l’autre.
Retirant le modèle en blanc, Sandra prit le rouge orangé.Là encore, la commerçante passa derrière elle pour l’agrafer. Ce faisant, elle dégageait la vue et le bonhomme moustachu, assis sur son tabouret, ne manquait pas une miette du spectacle tout en feignant de surveiller le stand.Imperceptiblement, la belle brune bomba le torse et gonfla ses poumons.
— Quitte à me faire mater, autant me mettre en valeur, non ? se dit-elle.
Le deuxième modèle comportait un peu de dentelle et moulait parfaitement les seins de la brunette.
— Passe ton débardeur ma jolie, on va voir ce que cela donne. Viens te regarder dans le miroir.
Sandra enfila le haut et sortit de l’espace essayage pour s’admirer dans le miroir, placé tout près du Monsieur.Sa poitrine était bien enveloppée et mise en valeur. Mais la couleur et le motif donnaient un côté un peu vulgaire qui ne lui convenait pas vraiment.
— Il est bien, mais j’aurais aimé quelque chose de plus discret. Le même en blanc serait parfait, annonça Sandra.— Le problème est que je ne l’ai pas. Mais ne t’inquiète pas, je vais voir si Lucienne n’en aurait pas un. Son étal est au bout de l’allée. Maurice, prends soin de la dame, je reviens.
Sandra se trouva seule en compagnie du fameux Maurice. Ce dernier se leva et s’approcha. Il était grand et dominait les 1,70 mètre de la jeune femme. Son regard noir perçant l’intimidait.
— C’est dommage, il vous va vraiment bien ce soutif. Venez, vous allez pouvoir le retirer en attendant que ma sœur revienne.
Il raccompagna Sandra dans l’espace essayage et se planta face à elle devant l’entrée :
— Allez-y, soyez tranquille, personne ne peut vous voir.
Sandra n’hésita pas vraiment. Elle goûtait à nouveau à cette familière excitation liée à l’exhibition. Le regard de l’homme n’était d’ailleurs ni agressif ni vicieux.Jouant tout de même la timidité, elle se tourna et retira son débardeur. Elle sentit l’homme s’approcher et de gros doigts néanmoins habiles vinrent dégrafer le sous-vêtement. Délicatement, il le retint et le retira.
Sandra était maintenant torse nu. Elle sentait l’imposante présence dans son dos. Elle ne se retourna pas, laissant l’homme observer tranquillement son dos, ses hanches fines et ses fesses mises en valeur dans un jean slim.
— En attendant que ma sœur revienne, je peux vous montrer des culottes qui iraient bien, indiqua-t-il.
La belle brune comprit bien où il voulait en venir. Récupérant son débardeur, elle se retourna, s’en couvrant les seins.
— Non, merci, ce ne sera pas nécessaire, dit-elle doucement.— Ah d’accord, répondit-il. Laissez-moi au moins vous montrer des tops qui vous iraient à merveille !
Sans attendre de réponse, il la laissa sur place pour piocher dans les rayons. Sandra attendit. Elle était clairement émoustillée par la situation et curieuse des étapes à venir. Elle ne se sentait pas en danger.Le commerçant revint rapidement avec quelques vêtements sur le bras.
— Commençons par un noir qui ira très bien avec vos cheveux et votre pantalon, dit-il en lui tendant un premier top.
Évidemment, Sandra dut découvrir en partie un sein, le droit, pour le saisir. Elle se retourna pour l’enfiler puis fit de nouveau face au bonhomme. Le top se révéla très ajusté. Ses seins semblaient vouloir transpercer le coton. Ses tétons, stimulés par le frottement du tissu, mais aussi par la situation, commençaient à pointer.D’ailleurs, les yeux de l’homme restaient fixés sur les deux petits fruits indécemment exposés. Il conservait néanmoins son air blasé, se retenant de porter ses mains sur le ventre plat découvert.
— Ca vous va très bien, ma jolie p’tite dame, indiqua-t-il la bouche sèche.— Euh, merci, murmura Sandra de plus en plus intimidée. On essaie un autre ?— Oui, essayons le blanc tiens.
Par défi, la belle femme ne se retourna pas cette fois-ci pour retirer le vêtement. Dégageant d’abord ses bras, elle fit passer le top par-dessus sa tête, offrant la vision de sa poitrine gonflée au regard du bonhomme.Celui-ci s’approcha encore afin de passer lui-même le top sur le corps de la belle brune. Ses mains s’attardèrent sur les flancs au prétexte de lisser le coton sur la peau. Le coton blanc était peu épais. Par transparence, on distinguait les aréoles larges et sombres et les tétons qui gagnaient encore en dureté.
L’homme était quasiment collé à elle. Sandra leva ses magnifiques yeux bleus, optant pour l’ingéniosité plutôt que la provocation et jouant la fragilité face au colosse qui la troublait plus qu’elle n’aurait pensé.
— Je voudrais voir ce que cela donne s’il vous plaît, lança-t-elle.
Presque à contrecoeur, Maurice s’écarta, la laissant se diriger vers le miroir.
Sandra se positionna face à celui-ci. La transparence était vraiment très prononcée. Elle n’avait jamais osé porter un haut aussi provocant, même avec un soutien-gorge. Elle dut tout de même s’avouer qu’il lui allait parfaitement et gonfla de nouveau sa poitrine, accentuant sa cambrure.Le bonhomme vint se placer derrière elle, presque au point de la toucher, la regardant de haut en bas dans le reflet du miroir.
— Je n’aurais pas pu mieux choisir, confessa-t-il. Ses yeux, toujours aussi froids, étaient braqués sur les seins de la belle brune. Presque malgré lui, son bas-ventre était attiré par cette femme.
Sandra tendit son postérieur, prête à céder à la tentation, mais, jetant un regard circulaire, elle vit la vendeuse, de retour avec des sous-vêtements en main.
— Je crois que j’ai trouvé ton bonheur ma jolie, annonça-t-elle joyeusement. Viens par là.
L’homme fit deux pas de côté et laissa champ libre à la cliente qui s’empressa d’aller essayer les nouveaux sous-vêtements.La commerçante n’eut même pas le temps de voir ce que Sandra portait. Celle-ci se tourna et retira le débardeur si indécent. Dans la foulée, un premier soutien-gorge fut essayé puis un second.Ce dernier convenait parfaitement. Blanc et à sa taille, elle constata qu’il allait très bien avec son débardeur blanc.Satisfaite, et surtout soulagée de pouvoir mettre fin à cette scène d’exhibition tout aussi excitante que risquée, elle effectua au plus vite les formalités de paiement puis salua les commerçants.
— Merci beaucoup du mal que vous vous êtes donné, ajouta-t-elle en direction de la sœur. — De rien ma belle, tu reviens quand tu veux. Tiens, la semaine prochaine, nous aurons plein d’arrivages ! — Euh, peut-être, répondit Sandra.
Elle quitta le stand, n’osant croiser le regard du frère qui, lui, ne l’avait pas quittée des yeux. Son regard suivit le plus longtemps possible la fine silhouette qui se faufilait dans les allées. Soufflant, il réajusta discrètement son sexe qui avait pris du volume sous son pantalon.
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