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Sandra et les plaisirs des voyages

Chapitre 4

la plage

Voyeur / Exhibition
Les vacances se déroulent au mieux pour Sandra, la jolie brune, jeune mère de famille de 33 ans, qui s’ouvre à tous les plaisirs depuis quelque temps.
Au gré de ses rencontres, Sandra repousse régulièrement ses limites. Elle a ainsi découvert l’excitation que lui procure l’exhibition de son corps et a goûté au plaisir du sexe avec plusieurs jeunes hommes. Stéphane, son mari, profite bien de cette sexualité débridée, mais il est loin d’imaginer jusqu’où peut aller sa douce épouse.
En cette matinée ensoleillée justement, Stéphane s’étant inscrit à une activité découverte, du tir à l’arc, Sandra profite de sa liberté pour s’octroyer un moment farniente à la plage. Elle préfère s’installer à l’écart de l’espace réservé aux clients de l’hôtel, ceux-ci se révélant à la fois trop âgés et bruyants à son goût. Elle porte à nouveau son ravissant bikini blanc qui fait le bonheur de la gent masculine.
Cette fois-ci, Gérard, le charmant retraité qu’ils côtoient depuis quelques jours n’est pas là pour lui passer de la crème solaire. Qu’à cela ne tienne, Sandra se débrouille très bien toute seule. Après s’être enduite de la tête aux pieds, elle s’installe confortablement sur son tapis de plage et plonge dans son roman de l’été.
Mais elle perçoit vite l’inconvénient de s’être ainsi isolée : dans un ballet incessant, les multiples marchands peuvent librement la solliciter, alors qu’ils n’ont qu’un accès limité à la place privée. On lui propose pêle-mêle des bijoux, des tatouages éphémères, des étoffes de toutes sortes. En fait, elle n’avance pas sur sa lecture et commence à s’agacer.
Un marchand à peine éconduit, deux nouveaux viennent immédiatement vers elle.
— Bonjour, Madame, permettez qu’on vous dérange. Nous avons de très jolis foulards à vous montrer.— On ne peut pas être tranquille 5 minutes sur cette plage ! s’énerve Sandra, disposée à envoyer tout le monde sur les roses désormais.— Excusez-nous, Madame, c’est vrai que ça doit être embêtant à la longue. Permettez qu’on s’installe à côté de vous, comme ça, plus personne ne viendra vous déranger. Une jolie dame toute seule, ils pensent tous qu’ils peuvent vous vendre leur camelote.
Sandra a bien conscience du jeu de séduction qui démarre... d’autant qu’elle s’est découvert un faible pour les jeunes hommes intrépides.
— Et vous, vous n’allez pas chercher à me vendre votre camelote peut-être ? enchaîne-t-elle. De toute façon, je n’ai pas d’argent avec moi, alors vous perdez votre temps.— Jolie Madame, nous, on vous présente de belles étoffes, confectionnées par la maman et la grand-mère de Farid, désignant son comparse, visiblement plus réservé que le beau parleur. C’est de la qualité. On veut juste vous montrer et si ça vous plaît, vous pourrez en voir plus à la boutique. Sinon, ce n’est pas grave, on est content de parler avec une si jolie et gentille femme.— Ouais, vous savez y faire visiblement, concède la belle brune, en jetant un œil sur les foulards que le jeune homme tient en main. C’est vrai qu’ils ont l’air jolis. OK, montrez-moi 5 minutes et après vous me laissez tranquille et empêchez les autres de me harceler.— Super ! Merci, jolie Européenne. Je m’appelle Khaled ; lui, c’est Farid, comme je vous ai déjà dit. Tenez, prenez celui-ci. Il ira très bien avec vos beaux yeux bleus. Touchez comme il est soyeux.
Le jeune enchaîne des compliments sur le physique de Sandra et des éloges sur ses produits. Progressivement conquise, Sandra se prend au jeu des regards en coin et des mains qui se frôlent.
Au fût et à mesure des essais de foulard, les mains de Khaled viennent au contact de ses propres mains, puis de ses avant-bras, et s’égarent ensuite sur ses épaules sous le prétexte d’ajuster les étoffes. L’atmosphère se réchauffe et cela ne vient pas uniquement du soleil.
Le regard attentif du silencieux Farid la trouble tout autant que les paroles de son comparse. Ses yeux sombrent, encadrés par une tignasse épaisse, observent ses gestes, et se posent avec envie sur la naissance des seins de la jeune femme. Son regard va même jusqu’à descendre vers l’intérieur de ses cuisses, pourtant sagement fermées.
— Vous pouvez évidemment les déplier complètement et les porter comme paréo si vous voulez. Levez-vous, charmante dame ; je vais vous montrer.
Docilement, Sandra se met debout en époussetant les grains sable qui lui collent à la peau. Elle remarque en même temps les yeux écarquillés de Farid qui découvre ses adorables fesses, rondes et fermes.
En dépliant une étoffe, Khaled fait voleter ses mains autour du corps de la belle brune, s’égarant sur ses hanches, ses épaules.
Sandra se laisse faire avec bonheur, tournoyant sur elle-même et prenant la pose.
Les deux jeunes hommes sont aux anges. Un peu plus grands que la jeune femme, leurs regards peuvent plonger entre les seins parfaitement mis en valeur par le bikini blanc. Les bonnets du haut de son maillot masquent difficilement les tétons qui semblent vouloir transpercer le tissu désormais.
De leur côté, Farid et Khaled éprouvent des difficultés à masquer la protubérance qui gagne leurs bas-ventres. Khaled tente de pousser leur avantage :
— Vous savez, chère Madame, on a encore de plus beaux vêtements à la boutique. Si vous voulez, on peut vous montrer plein de beaux vêtements que vous pourrez essayer.
Sandra sent bien le piège. Elle hésite, sentant le désir monter en elle. Mais elle se retient finalement et sa réponse ne va pas vraiment satisfaire les séducteurs :
— Dites-moi où elle se trouve, je viendrais cet après-midi avec mon mari.
Leurs mines déconfites confirment leur déception, mais ils font tout de même bonne figure :
— Nous pourrons lui offrir le café ou le thé et il trouvera sûrement des choses qui l’intéresseront. Voici où se trouve la boutique.
Se rasseyant sur sa serviette et rendant le paréo à Farid, Sandra met clairement fin à l’échange. Après d’ultimes regards chargés de désir sur le corps de la belle brune, les deux jeunes hommes prennent congé et poursuivent leur démarchage.
A la fois fière de son pouvoir de séduction retrouvé et contente d’avoir résisté à la tentation, Sandra profite du soleil.
Mais ses sens sont maintenant exacerbés. Elle a envie de sexe et depuis ses récentes aventures, elle sait que seul un bon orgasme peut la calmer. Elle décide donc de retourner dans leur chambre. Si son mari n’est pas là pour la satisfaire, elle se débrouillera toute seule !
Rejoignant les ascenseurs dans le hall de l’hôtel, elle aperçoit alors Gérard, leur voisin et nouvel ami. Caché derrière ses lunettes de soleil, celui-ci est tout heureux d’observer la jeune femme s’approcher. Elle est vraiment très attirante, se dit-il. Son bikini blanc met parfaitement en valeur deux petits seins bien appétissants, un corps souple et ferme, et une paire de fesses à faire envie.
— Comment allez-vous aujourd’hui, chère Sandra ?— On ne peut mieux, cher Gérard. Vous montez aussi ?— Tout à fait ! J’ai assez pris de soleil à la piscine ! Et vous ?— J’ai profité de la plage, et figurez-vous que deux vendeurs ne m’ont pas lâchée.
Laissant ses yeux parcourir le corps mis en valeur par le bikini blanc, Gérard comprend parfaitement ce qui a pu les attirer. Les portes s’ouvrent, leur permettant d’entrer dans l’ascenseur. La laissant galamment passer en premier, Gérard ne peut s’empêcher de reluquer l’admirable paire de fesses de Sandra.
Celle-ci, s’adossant au fond du petit espace, s’offre sans pudeur au regard lubrique
— Le spectacle vous a plu hier soir ? demande-t-elle presque innocemment.— J’ai adoré, merci. Mais j’aurais bien aimé être à la place de votre mari.
Le sourire aguicheur de la jeune femme, ses beaux yeux bleus qui le provoquent ont raison de sa retenue. Les portes à peine fermées, il s’approche sur la jeune femme, ses mains saisissant la taille fine.
Surprise, mais ravie ; le grand sourire de Sandra dévoile ses dents blanches :
— Oh ! Là, Monsieur me paraît bien excité. C’est le soleil qui vous fait cet effet ?— Ah, je n’en peux plus. Tu m’excites depuis plusieurs jours. Laisse-moi t’embrasser ! supplie Gérard en collant son bas-ventre à celui de la belle brune.— Juste un baiser alors.
Collant sa bouche aux lèvres entrouvertes de la jeune femme, le retraité lance sa langue à l’aventure. Sandra le laisse fouiller sans surenchérir. Elle sent parfaitement le désir de son admirateur, bien vigoureux pour un sexagénaire.
Cet assaut ne fait que réactiver le désir provoqué plus tôt par les deux jeunes marchands. Elle laisse les mains de son admirateur parcourir ses flancs avec frénésie, puis s’aventurer sur sa poitrine, d’abord par-dessus le tissu de son maillot. Puis rapidement, les doigts de la main droite se glissent sous le bonnet pour malaxer son sein gauche, griffant son mamelon.
La bouche du vieux Monsieur a maintenant quitté ses lèvres pour couvrir son coup de baisers. Ne se maîtrisant plus vraiment, Gérard donne de furieux coups de reins, son sexe tendu contre celui de la jeune femme. La sonnette de l’ascenseur retentit soudainement, indiquant qu’ils ont atteint leur étage. Heureusement, personne n’attend devant les portes qui s’ouvrent, dévoilant une scène plutôt explicite. Jambes écartées, Sandra était prête pour une saillie à la hussarde.
Mais elle repousse pourtant le brave homme, jouant désormais les ingénues.
— Voyons Gérard. Vous êtes charmant, mais je suis une femme mariée...
Le jeune retraité a beau être respectueux de la gent féminine, il n’en est pas moins déçu et frustré. A regrets, il se détache de la jeune femme, conscient de l’impudeur et l’imprudence de sa position. Son sexe reste douloureusement emprisonné dans son short.
— Ah, vous me faites souffrir et vous êtes une sacrée allumeuse, ma chère Sandra.
La jeune femme se faufile et se dirige vers sa chambre. Le sexagénaire ne peut à nouveau qu’admirer le balancement de l’adorable fessier.
Chacun regagne sa chambre. Sandra n’y trouve malheureusement pas son mari pour satisfaire son désir. Elle se précipite sur le lit, s’allongeant sur le dos en glissant une main dans la culotte pour masser son clitoris. L’autre main passe prestement sous le bonnet de son haut de maillot pour exciter les pointes de son sein déjà marqué par les manipulations du Monsieur.
Sa respiration, bouche ouverte, se transforme rapidement en halètement. Deux doigts s’activent frénétiquement sur son bouton. Son autre main malaxe sa poitrine sans ménagement. Les images des deux jeunes hommes de la plage, puis du sexagénaire défilent dans son esprit. Gagnée par le plaisir, elle ne peut retenir les mouvements de son bassin, poussant de petits cris. Elle atteint rapidement l’orgasme tant espéré, s’arc-boutant même pour plonger les deux doigts dans sa chatte gluante.
Enfin soulagée et détendue, elle se dirige maintenant vers la douche, afin d’être toute fraîche pour accueillir son mari.
De son côté, Gérard n’a effectivement pas traîné, se ruant dans les toilettes, en baissant son slip et son short pour atteindre l’orgasme après quelques va-et-vient de son sexe tendu. Des jets libérateurs viennent soulager cette tension, l’image d’une belle paire de fesses en tête.
Réussira-t-il a baisé cette belle brune ou se contentera-t-elle de l’allumer comme cela jusqu’à la fin du séjour ?
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