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Sandra, volupté et insouciance

Chapitre 1

Erotique
Chères lectrices, chers lecteurs,Les récits que j’écris sont tous, jusqu’à présent, issus de faits réels. Je les romance juste quelque peu sur la forme.Le premier que je vous propose concerne Sandra, une amie qui un jour s’est laissée aller à me raconter un morceau de sa vie.

Sandra, volupté et insouciance.
Chapitre 1 – Episode 1
La pluie cessa quand je sortis du taxi. Je récupérai ma valise et m’engouffrai dans la gare.Le panneau des trains au départ indiquait « TGV 8346 17H15 NANTES VOIE 21 ». Je me faufilai à travers une foule compacte. Pourquoi autant de gens avaient décidé de prendre le train en même temps que moi ?
Je remontai la longue file des wagons et trouvai ma voiture. Je m’installai sur mon siège côté fenêtre. Le trajet devrait durer un peu plus de deux heures, j’ai donc un peu de temps pour vous narrer les raisons de ma présence dans ce train.
Je me prénomme Sandra, 36 ans. La société immobilière pour laquelle je travaille étant en pleine expansion m’a proposé de prendre la responsabilité de l’agence qui ouvrira à Nantes. Je n’ai pas réfléchi longtemps pour accepter l’offre : après un événement brutal, il me fallait un nouveau départ. Mais revenons quelque temps auparavant :
Ma rencontre avec Alexandre (que j’appellerai Alex) se fit chez des amis communs lors de l’anniversaire de Séverine, une de mes meilleures amies, au printemps 2015. Il s’avérait être un des proches copains de son frère. Je fus subjugué par le charisme qu’il dégageait, mais je n’étais pas la seule sous le charme, constatant la cour féminine qui l’entourait.
— Il apprécie les filles avec du caractère, pas les nunuches, me glissa dans l’oreille Séverine. Tu as ta chance !— Attends... regarde... Qu’est-ce qu’un beau gosse pourrait me trouver ?— Mais arrête de te dévaloriser sans cesse ! Tu as des atouts qui feraient craquer les plus beaux mâles.— Ah oui, et lesquels ?— Tes yeux, ton sourire, tes jambes, ton cul...
Bon... c’est vrai qu’elle n’avait pas tout à fait tort, la nature m’a plutôt gâtée : mes yeux sont verts, mes dents blanches et bien alignées, mes jambes longues et on m’a toujours affublé du terme « beau petit cul ». Mais ce n’est pas pour ça que j’allais me jeter sur cet inconnu.

— Et puis vous avez des points communs.— Ah oui, lesquels ?— Les voyages et le sport.— Le sport ? Moi je ne vais qu’en salle et pas régulièrement.— Peut-être, mais c’est du sport quand même ! Tu as fait du volley aussi, non ?— Oui. Et lui, il fait quoi ?— En sport ?— Bah oui !— Il court beaucoup d’après ce que j’ai entendu, marathon, triathlon ou je ne sais quoi.— Ah oui ! C’est pour ça qu’il a l’air bien gaulé.— Il va en salle comme toi ! Et puis il préfère les brunes.— Comment tu sais tout ça toi ?— Par mon frère.— Mais ça ne t’intéresse pas toi ?— Moi j’ai Fab, et je suis fidèle alors...
Fab, c’est Fabien, son mari depuis trois ans.
— Donc tu veux me caser ?— Faut te trouver un mec ma chérie, et celui-là au moins n’en voudra pas à ton pognon.
Mon argent, comme le souligna Séverine, provenait de l’héritage de mes parents. Ils sont décédés au cours du vol Rio – Paris à l’été 2009. Ils avaient investi dans l’immobilier à Paris de façon très prolifique. A l’issue du drame, selon le testament établi par notre père, les biens ont été partagés entre mon frère et moi. Nous avons créé une SCI. J’ai pris l’appartement de mes parents situé dans le XVème arrondissement tandis que mon frère récupéra leur propriété en Anjou.
— Pourquoi dis-tu ça ?— Parce qu’il a ce qu’il faut de ce côté. — Que fait-il ?— Il brasse pas mal de monnaie.— Banquier ?— Non à la bourse, je crois. Je suis sûre que tu lui plairas.— Mais regarde comment je suis fringuée là, pas le top pour la drague !— T’es folle ou quoi ? Tous les mecs te matent ce soir !— N’importe quoi !— Je t’assure. Ton jean moulant et tes talons hauts te font un cul d’enfer, et ton petit débardeur est super osé, on voit bien que tu n’as pas de soutif !— Ah, ça se voit tant que ça ?— Ben ouais, qu’est-ce que tu crois ? Faudrait qu’on parle de tes tenues d’ailleurs.— Mes tenues ?— Oui.— Bah qu’est-ce qu’elles ont mes tenues ?— Tu pourrais faire mieux, beaucoup mieux.— Explique-toi !— Tu as un corps magnifique, mais tu ne le mets pas en valeur.— Tu viens de me dire que mon jean me faisait un joli cul.— Oui, mais tu peux faire mieux. Moi si j’avais tes jambes, je les montrais toujours.— Elles ne sont pas mal aussi les tiennes.— Rien à voir avec les tiennes, mais regarde-toi ma belle !— Faut que je fasse quoi ?— On verra ça plus tard, allez viens, je vais te présenter.
Je n’eus pas le choix : elle me tira par la main, on s’est faufilées jusqu’au petit groupe que formait l’homme convoité entouré de ses fans.Séverine ne prit pas de gants pour l’interpeller et me présenter. On a échangé quelques instants puis mon amie se retira discrètement.On s’est déplacé au buffet pour prendre un verre (il me remercia de l’avoir arraché du guet-apens dans lequel il était tombé). On a discuté longuement, de nos vies, de nos passions, on a beaucoup ri, le charme opérait...
On s’est revu le lendemain pour déjeuner, puis d’autres fois pour un cinéma, pour dîner, on a flirté. On emménagea ensemble en septembre 2016. Son appartement situé dans le VIIème fut mis en location dans l’agence où j’officiais. On s’est pacsé.Il a changé quelques-unes de mes habitudes :D’abord le sport. Avant de le connaître, je me contentais de trottiner dans le parc André Citroën. Mais Alex a vite modifié ma petite routine. Les bords de Seine furent notre terrain de prédilection. On traversait le pont Mirabeau, on longeait le fleuve jusqu’au pont d’Iéna et on faisait le tour par l’autre côté. J’avoue que j’en ai bavé au début, mais il me conseillait sur la façon de bien courir, de souffler, de récupérer, etc.
Alex trouva le parcours trop habituel et ordinaire alors il le modifia : c’était désormais au bois de Boulogne que nous usions nos baskets.Lui courait tous les jours tandis que je me contentais de trois séances par semaine, du moins au début, parce qu’au bout de quelque temps, c’était devenu comme une addiction. En plus de nos sessions de running, nous fréquentions une salle de sport tous les deux jours. Si lui passait la plupart du temps à soulever des poids, je préférais participer aux cours collectifs d’abdos-fessier, de step, de stretching et même de Zumba.
Je ressentis un rapide changement physique : perte de poids et d’une taille (je passais d’un 36/38 à un 34/36), cuisses et fesses se raffermirent.Cette relative transformation donna des idées à Alex : comme il trouvait mes tenues plus adaptées à ma nouvelle apparence, selon lui, je méritais mieux ! Il en profita donc pour m’inciter (pour m’imposer ?) ses goûts en matière de tenues féminines : pour le sport, c’était désormais des shorts courts et très moulants, ainsi que des brassières minimalistes. Il autorisait toutefois le port d’un coupe-vent et des gants lorsque la météo n’était pas clémente. Par contre, quand vint le printemps et que les jours s’allongèrent, mes tenues raccourcirent : mes shorts étaient les mêmes que ceux portés par les filles qu’on voit sur les pistes d’athlétisme ou les joueuses de beach-volley, autrement dit minuscules. L’expression favorite d’Alex était :
— Tu as un corps magnifique, montre-le.
Je le montrais, on me regardait, ça m’amusait et ça m’excitait qu’on puisse mater mon ventre plat, mes jambes fuselées et mon petit cul ferme. Je travaillais un peu pour ça tout de même, mince !Seule ombre à ce beau tableau : mes seins. Alex adorait mes petits nénés en poire, 85B, les tétons sensibles, mais moi, j’aurais préféré une, voire deux tailles de plus. Cependant, ma frêle poitrine me permettait de ne pas porter de soutien-gorge, et j’étais adepte du "no bra" quelles que soient les circonstances et les tenues (presque).
Un midi, alors que je déjeunais avec des collègues, je reçus un SMS d’Alex :
— Rendez-vous 18h30, pont de Grenelle, ta tenue est sur le lit.
Il nous arrivait souvent de nous rejoindre quelque part pour aller courir. Lui partait de son bureau situé à la Défense, et moi, de l’appartement. Par contre, jamais il ne m’imposait une tenue comme cela.Il ne me fallut que vingt minutes pour rentrer, j’avais hâte de voir ce qui m’attendait.Etalé sur notre lit, un ensemble entièrement blanc composé d’une brassière, un minishort et une jupette forme trapèze comme celles portées par les filles au tennis. Je m’habillai, enfilai mes baskets et sortis.Des tas de questions vinrent à mon esprit. Je me demandais notamment pourquoi une jupe sur le short ? Je ne trouvai pas de réponse et ça me frustrait.A l’approche du pont, j’aperçus Alex. Il portait un cuissard noir et un débardeur léger bleu. Il transirait à grosses gouttes. On s’embrassa.
— Ça fait longtemps que tu es arrivé ? — Non, pas vraiment. Tu es superbe.— Merci, mais pourquoi cette jupe ? Je croyais que tu aimais mater mes fesses.— Bien sûr, et c’est bien ce que j’espère faire. Suis-moi, on descend.
Nous primes un des escaliers pour descendre sur l’île aux cygnes.
— Retire ton short.— Quoi ?— Tu as bien entendu, retire le short.— Ici ?— Oui ! Tiens, mets-toi dans ce coin et donne-moi le short.
Je m’exécutai et lui donnai le vêtement qu’il mit dans une poubelle.
— Tu seras plus à l’aise comme ça.
Plus à l’aise ? Ce n’est pas le sentiment que j’avais, car la jupette recouvrait tout juste mes fesses.
— Mais on va voir mon cul !— Personne ne va s’en rendre compte, et puis c’est moins indécent que tes shorts qui te rentrent entre les fesses ou dans la chatte ! Bon, on y va ?
En remontant les escaliers, Alex me tenait par la main. Inutile de préciser que, si une personne s’était trouvée derrière nous, elle aurait eu une vue directe sur mes intimités ! Mais ce ne fut pas le cas (je n’arrêtais pas de scruter derrière nous).
— Allez, détends-toi.— Plus facile à dire qu’à faire.
Il nous a fallu quinze minutes pour rejoindre le bois de Boulogne. Un quart d’heure durant lequel deux sentiments s’opposaient : la honte, parce que persuadée que tout le monde reluquait mes fesses et mon sexe, et l’excitation, parce que, mine de rien, j’y trouvais beaucoup de plaisir. Mon entrejambe, de plus en plus humide, certifiait mon état d’exaltation.
Nous fîmes le tour du lac. Alex se plaçait soit à mes côtés, soit derrière moi. Sur le chemin du retour et quand il se trouvait dans mon dos, je m’amusais à relever un peu ma jupe de façon à bien exposer mon derrière. Il me complimentait, je lui "donnais des idées" selon ses termes, il me traitait de "petite allumeuse".
— On va prendre à gauche, me dit-il.
On bifurqua pour délaisser le "confort" du bitume et poursuivre sur un chemin de terre serpentant à travers la forêt. Au bout de quelques dizaines de mètres, ce chemin n’était plus qu’un sentier étroit où l’on ne croisait plus personne.
— Tu sais où on va là ? demandé-je.— On s’arrête deux minutes.
J’ai cru qu’il avait besoin de souffler un peu, mais sans rien dire, il me prit une main, m’entraîna dans le sous-bois, me plaqua contre un arbre, les mains en l’air, appuyées sur le tronc.
— Mais qu’est-ce que tu fais ?— J’en peux plus de voir ton cul, j’ai trop envie de te baiser, relève ta jupe.
Je remontais le tissu d’une main puis sentis des doigts s’insérer ma chatte.
— Putain, mais tu es trempée !
Je ne répondis rien, je me laissais faire et je mouillais de plus en plus.
— Penche-toi.
Je me suis exécutée, et sitôt, j’ai senti son gros membre raide me pénétrer. Il me labourait le sexe tout en me traitant de salope bonne à baiser avec un cul de pute. Je ne l’avais encore jamais vu dans cet état, ni aussi obscène dans ses propos, mais cela me grisait et je répondais "oh oui vas-y" ou "baise-moi comme une putain" ou encore "je suis ta pute, défonce-moi".Ses mains sur mes épaules, il me besogna avec ardeur pendant quelques minutes, jusqu’à ce qu’il me dise "je veux jouir dans ta bouche, retourne-toi".J’étais agenouillée face à lui, bouche ouverte, lorsque les jets de sperme ont atterri sur ma langue et au fond de ma gorge. J’ai tout avalé. Je me suis relevée, il m’a prise dans ses bras, on s’est embrassé.
— Mais qu’est-ce qui t’a pris ?— J’en ai envie depuis que tu as retiré ton short.— Tu aurais pu m’en parler.— Ça n’était pas calculé, t’as pas aimé ?— Si, beaucoup.
Nous sommes repartis.
A suivre...
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