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Sandra, volupté et insouciance

Chapitre 2

Erotique
Chapitre 1 – Episode 2
Jusqu’à cet épisode, nous avions une sexualité plutôt classique, mais qui nous convenait bien. On faisait l’amour régulièrement, on baisait même souvent. J’aimais m’occuper de son sexe que je trouvais plus gros que ceux que j’avais connus auparavant. Je le suçais méticuleusement et je prenais même son jus en bouche. Lui adorait me caresser, me doigter et me lécher longuement avant de me prendre soit par la chatte soit par le cul, en variant les positions. En résumé : on aimait le sexe et on en profitait bien.
Avant de rencontrer Alex, j’avais eu quelques relations plus ou moins longues, mais jamais plus de six mois. Lui était un séducteur et collectionnait les aventures d’un soir ou de quelques jours.Ma docilité pendant l’aventure du bois encouragea Alex. Il me demanda de ne porter que des jupes ou des robes courtes (jusqu’à mi-cuisses maximum) et plus de petite culotte, car je devais être toujours "facilement accessible". Les collants étaient proscrits sauf pendant les périodes de froid donc je portais des bas autofixants ou avec un porte-jarretelles. Ça ne me déplaisait pas, au contraire même. Au bureau, le tailleur strict style "working girl" était ma tenue de rigueur. Je devais toutefois faire attention pour ne pas exhiber involontairement ni mes seins ni mon entrejambe. En ce qui concerne mes chaussures, la règle était simple : pas de talons de moins de six centimètres. De toute façon, même avant Alex, je raffolais des talons hauts démesurés qui vous donnent une cambrure à faire damner tous les saints.
Les voyages furent notre seconde passion commune. Avant lui, je partais souvent en week-end ou pour des "midweeks" soit avec l’homme de l’instant soit entre copines. J’avais visité pas mal de capitales ou grandes villes européennes. Avec Alex, nous partions souvent, très souvent, trop souvent peut-être ! Et quand nous ne parcourions pas le monde, nous étions invités chez des proches.
C’était quelqu’un de très généreux. Il gagnait très bien sa vie. Pas pingre du tout, il disposait de son argent selon ses envies et en faisait profiter. Il appréciait le confort et le luxe sans pour cela vouloir frimer ni même épater son entourage ou en mettre plein la vue à qui que ce soit. L’été, nous louions une villa sur la presqu’île de Saint-Tropez ou à Sainte-Maxime. Une maison suffisamment spacieuse pour y accueillir familles et amis. Nous y passions des vacances magnifiques autour et dans de la piscine ou sur la plage. Des moments simples, de rires, de fraternité, de bonne humeur et de complicité.
Les retours à Paris furent toujours empreints de mélancolie. Cependant, le blues de la rentrée s’effaçait rapidement, nous retrouvions nos habitudes, nos collègues, notre petit train-train quotidien et nos projets. Nous avions toujours envie de découvertes et nous échafaudions un road-trip aux Etats-Unis ou alors en Afrique du Sud.
— J’aimerais faire des photos.
La demande d’Alex, alors que nous étions tranquillement étendus sur le canapé à regarder la télévision, me surprit.
— Des photos de ?— De toi !— De moi ? Mais tu en fais déjà des photos de moi.— Oui, mais c’est quelque chose de particulier. Je te montre un truc.
Il pianote sur son téléphone.
— Des photos comme ça par exemple.

Il me montre une jolie fille, blonde, peu habillée et qui s’exhibe.
— Euh... Tu regardes souvent ce truc ?
C’est un site où des couples, des femmes et des hommes se montrent, il y a même un forum pour discuter, échanger.
— Un truc de cul quoi !— Pas que.— Ah bon ? Y a aussi des recettes de cuisine peut-être ? — Ha, ha, ha, très drôle, oui c’est très orienté, mais pas forcément pornographique. — Et tu veux publier les photos ?— Oui, on crée un compte et on poste des photos. Regarde ce que certains font.
Il me donna le téléphone et je visitai quelques albums. Des filles aux physiques hétéroclites posaient dans diverses positions parfois très suggestives, en intérieur et en extérieur. Je consultai aussi rapidement le forum qui comprenait pas mal de sujets différents.
— Alors, qu’en penses-tu ?— Pourquoi tu veux faire ça finalement ?— Pour faire des choses nouvelles, trouver d’autres sources d’excitation.— Ne me dis pas que tu penses qu’on en est arrivé au point de savoir, euh... comment dit-on déjà ? Ah oui, comment rallumer la flamme c’est ça ?— Mais non, loin de là, au contraire même, il ne faut justement pas en arriver là avant de se poser cette question. — Tu veux faire des rencontres aussi ? Baiser d’autres femmes ?— Pas du tout, on partage ça ensemble, mais si tu ne veux pas, il n’y a pas de problème, on en parle plus.— Tu veux faire quels genres de photos ?— Pas hard pour commencer, mais plutôt de charme, provocant, sexy quoi.— Pas hard pour commencer ? ça veut dire qu’on va en faire quand même ?— On verra comment ça évoluera.— Et toi aussi tu veux en faire ?— Pourquoi pas ?— Par contre, on ne montre pas nos visages.— Bien entendu, ça doit rester anonyme.— Tu crées le compte ?— C’est vrai, tu veux ?— Oui on peut tenter !— Cool.— Faut un pseudo.
Facile à dire, moins facile à trouver. Fallait quelque chose pas trop ringard suffisamment tape-à-l’œil. On choisit finalement les noms de deux divinités de la mythologie antique arrangés à notre sauce. Alex a ouvert le compte, écrit une description succincte et indiqué divers renseignements demandés.
— On les commence quand les photos ?— Demain, non ?— OK.— Ça doit rester assez simple et naturel, pas trop de mise en scène, juste comme on est dans la vie quoi. On peut commencer un premier album pour montrer la tenue du jour.— Ça te trotte dans la tête depuis combien de temps cette histoire ? J’ai l’impression que tu as déjà réfléchi à ce que tu veux faire, non ?— Depuis quelques semaines. On commence par ta tenue ?— Ma tenue ?— Oui, le thème "tenue du jour".— OK.
Nous avons passé le reste de la soirée à regarder le site en question, pour nous faire quelques idées. Inutile de dire que de photos en vidéos, de témoignages croustillants en histoires coquines, l’excitation est tellement montée qu’on a baisé comme des dingues.Le lendemain matin, Alex me mitraillait avec son portable alors que je m’habillais dans la chambre. Je pris différentes poses qui suggéraient plus que je ne montrais vraiment histoire de stimuler les visiteurs. Pour cette première séance, je portais un tailleur bleu nuit, jupe courte et moulante, bas "Dim-up" noirs et Clair, chemisier blanc, pas de lingerie.
— Je les posterais ce matin, on verra si ça intéresse.— Et si personne ne regarde ?— On arrêtera !— Ah bon ?— Le but c’est d’avoir des amateurs, non ?— On verra !
A midi, Alex m’envoya ce texto : < Tu as du succès !Je consultai notre compte : plus de cent visites et de nombreux commentaires :
— Wow quelle beauté;— Splendide;— Hum super sexy;— Très désirable.
Beaucoup dans ce style, mais d’autres, par contre, plus obscènes :
— Quelle salope;— Belle pute;— Très envie de te baiser;— Montre ce que tu portes en dessous, pétasse.
J’étais surprise par tant d’intérêt et, en même temps, très excitée. J’échangeai quelques textos avec Alex :[SMS Alex, Sandra]> En effet, quelle surprise< Ça te fait quoi ?> Plaisir< Que ça ?> C’est excitant< Tu pourrais en montrer plus> A voir< On en reparle ce soir> Oui !
Au fil des jours, les photos s’accumulaient. Après l’album "tenue du jour", nous en avons ouvert d’autres : celui intitulé "sport" présentait mes tenues pour courir et, forcément, les commentaires salaces furent nombreux. Certains demandaient où ils pouvaient me rejoindre, juste pour m’accompagner bien sûr. D’autres albums comme "essayage" présentaient des photos prises dans les cabines lors de nos achats dans les boutiques de vêtements ou de chaussures. "Promenade" était consacré à nos flâneries sur les bords de Seine notamment.
Nous décidâmes d’ouvrir une section "privée" pour des photos plus hot sur lesquelles on pouvait voir nos intimités, mais aussi nos visages non floutés. Nous les réservions à nos visiteurs qui s’affichaient également sans filtre.
Au fil des semaines, les fidèles étaient de plus en plus nombreux. Avec certains, nous avions un lien privilégié sans toutefois basculer vers un désir de rencontres, même amicales. Nous souhaitions conserver cette distance afin de ne pas rompre le charme. Toutefois, certains de nos "voyeurs virtuels" reconnaissaient les lieux que nous fréquentions. Nous nous demandions souvent comment on réagirait si on nous abordait en nous parlant de tout ça...
Nous dinions quand une idée me traversa l’esprit, enfin une idée... pas complètement parce que c’était plutôt prémédité.
— J’ai envie de faire la pute.
J’ai cru qu’Alex allait s’étouffer quand je lui annonçai ça.
— Quoi ?— J’ai envie de faire la pute.— Comment ça faire la pute ?— Bah sur le trottoir !— Mais pourquoi tu veux faire ça ?— Je plaisante mon amour, mais pas tout à fait.— Tu peux m’expliquer ?— Alors j’aimerais qu’on fasse une série de photos où je jouerais le rôle d’une pute.— Une pute de quel genre ?— Sur le trottoir.— Tu veux faire ça où ?— Sur les maréchaux.— Le soir ?— Plutôt en début de soirée.— Comment vois-tu ça ?— On irait en voiture, je serais sur le trottoir en train de tapiner et tu prends des photos.— Et s’il y a du monde qui s’arrête ?— On avisera. Et puis tu seras avec moi.— Tu l’as l’air bien décidée.— Tu veux voir ma tenue ?— Ah parce que tu as déjà une tenue ?— Bah oui !— OK montre alors.— Ça va prendre un peu de temps.
Evidemment que tout cela était anticipé et mon "costume" commandé sur internet attendait dans le dressing depuis quelques jours. Je suis allée dans la chambre pour m’habiller : combinaison toute en résille et ouvert à l’entrejambe, ensemble en vinyle rouge, blouson et micro jupe dont la glissière s’ouvrait de bas en haut de façon à permettre une ouverture selon les envies, des bottes rouges vernies à talons aiguille de douze centimètres qui montaient au-dessus des genoux et, pour compléter l’ensemble, une perruque brune à frange.
— Suis prête !— Montre.
Je débarquai dans le salon en faisant claquer mes talons. Quand Alex me vit, la stupeur se lut sur son visage : sourcils relevés et yeux grands ouverts.
— Alors, qu’en penses-tu ?— Euh... T’es sûre que tu veuilles sortir comme ça ?— Oui, c’est bien non ?— Pas de doute sur ton activité. — Je suis bien dans le thème alors ?— Ah oui, complètement. Tourne-toi.
Je me suis exécutée.
— Excuse-moi d’insister, mais... T’es sûre de toi ?— Mais oui enfin, pourquoi tu dis ça ?— Parce que là, c’est un appel au viol !— C’est juste pour des photos, je ne vais pas traîner toute la soirée sur le trottoir. Ça ne te plaît pas ?— C’est très particulier, mais j’aime beaucoup. T’as quoi en dessous ?— Une combinaison.— Fais voir.— Tu ne mettras pas de culotte.— Non bien sûr ! — On frise l’exhibition sexuelle alors.— Mais non, pas plus que lorsque je cours en minijupe sans culotte.— Cette jupe-là est beaucoup plus courte, elle cache à peine tes fesses.— C’est normal pour une pute. Si je t’accostais, tu me suivrais ?— Je ne sais pas... vous êtes quand même très indécente Mademoiselle.— C’est fait pour que vous bandiez cher Monsieur, et je constate que ça ne vous laisse pas de marbre.
Je me suis avancée pour caresser la grosse bosse qui déformait son pantalon.
— Oh, mais qu’est-ce donc ? Vous ne pouvez pas rester dans cet état Monsieur.
J’ouvris la braguette et me saisis de la queue grosse et raide. Je l’ai branlée tout en frottant mes seins contre sa poitrine. Il cherchait à m’embrasser, mais j’esquivais ses tentatives.
— Une pute n’embrasse pas Monsieur, par contre, elle fait bien d’autres choses avec sa bouche.
Je m’accroupis et passai plusieurs fois ma langue sur toute la longueur de la bite dans les deux sens puis je l’engouffrai dans ma bouche. Je le suçai quelques minutes.
— Tu vas me faire jouir salope, si tu continues comme ça, dit-il d’un ton autoritaire loin de me déplaire. Mets-toi debout, je veux te baiser.
Je me redressai. Il me fit pencher sur la table et introduisit deux doigts dans mon sexe déjà tout trempé. Il me claquait les fesses. Je ne m’exprimai que par des "hum", des "oh", des "oui".Il enfonça sa queue d’un coup, jusqu’à la garde. D’une main, il me tenait les poignets dans mon dos tandis que de l’autre main, il me tirait les cheveux. Il me baisa ainsi un long moment puis je sentis un doigt s’introduire dans mon cul. C’était fort, c’était bon. Je criai mon plaisir et ma jouissance, par deux fois.
— Relève-toi, je vais jouir dans ta bouche, une pute ça avale tout.
Je lui obéis. Agenouillée, je tendis la langue pour recevoir son foutre qui ne tarda pas à inonder ma bouche.
— C’était ton fantasme de faire la pute ? — Non, juste une idée comme ça.— On les fait quand ces photos, demain ?— Chiche !
Il faisait beau et les jours s’allongeaient, conditions parfaites pour sortir s’exhiber.
— On s’organise comment ? — Moi je peux terminer plus tôt donc être là vers seize heures.— Moi idem.— On va comment là-bas ?— Tu veux prendre le métro ?— Non, on va en voiture !
Finalement, j’avais pu me libérer dès midi et, de ce fait, j’en profitais pour passer chez mon esthéticienne pour une petite retouche dépilatoire.Une fois celle-ci terminée, je rentrai à l’appartement pour me préparer. Alex arriva une heure après, je l’attendais impatiemment. Une excitation particulière m’enveloppait : ce sera la première fois que j’irai m’exhiber en extérieur et ça m’émoustillait.
— T’es rentrée plus tôt ?— Oui, j’ai pu partir en fin de matinée.— Bon très bien, tu es prête ?— Oui.— Tu mets quelque chose sur toi ou tu vas comme ça ?— Je vais mettre un trench court. Tu sors la voiture ?— On ne va pas prendre la voiture finalement.— Tu veux y aller en métro ?— Non, j’ai appelé un Uber.— Ah bon ?— Oui ce sera plus simple, surtout pour se garer. Tu te sens comment ?— Excitée !— Moi aussi ! Tu ne fermes pas ton imper.— Ah !— Par contre, tu peux refermer un peu le blouson, juste pour aller à la voiture. A l’intérieur, tu ouvriras tout en grand.— Bien Monsieur.
Nous primes l’ascenseur. Mon imper couvrait tout juste la minijupe. Alex mit une main entre mes cuisses et glissa des doigts dans ma fente complètement trempée.
— Eh ben dis donc, tu as l’air bien excitée.— Excitée et nerveuse, c’est une première.— Au moindre problème, on rentrera.— Sans voiture, ça ne va pas être facile.
La voiture attendait devant l’immeuble. Une belle et grosse allemande noire. Le chauffeur, un grand brun d’une quarantaine d’années, patientait debout. Quand il nous aperçut, il ouvrit la portière arrière.
— Madame, Monsieur, bonjour, je vous en prie.— Bonjour Pascal, merci.
Je fus surprise qu’Alex connaissait le prénom du chauffeur. Il me fit entrer la première et me demanda de m’assoir au milieu. Il s’installa près de moi et nous partîmes.
— On va avenue Foch, près de la place Dauphine.— Bien Monsieur.
Alex a ouvert mon blouson de façon à ce que ma poitrine se révèle. Ensuite, il a écarté mes jambes et posé mes mains sur mes cuisses. Je voyais que le chauffeur tournait sa tête souvent vers le rétroviseur intérieur. Que pouvait-il voir exactement ? Alex lui a-t-il expliqué la raison de notre escapade ?
— Pascal... vous ferez le tour de la place de Tassigny pour prendre la contre-allée et stationner dès que ce sera possible.— Bien Monsieur.
La manœuvre effectuée, j’eus un moment d’hésitation, mais Alex ne me laissa pas le temps de trop réfléchir :
— Retire ton imper et attends-moi dehors.
A suivre...
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