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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Sandrine

Chapitre 1

Divers
Je m’appelle Léo, j’ai vingt cinq ans et je tiens à vous raconter une des aventures les plus érotiques que j’aie pu vivre, j’étais alors adolescent et je vivais bien évidemment chez mes parents. Nous recevions fréquemment la famille pour des repas, et plus particulièrement Sandrine, la plus jeune des s?urs de mon père, laborantine de son état. J?avais, à l?époque quatorze ans et elle, dix de plus. Je me souviens d’une fois où le chauffe-eau étant tombé en panne chez elle, elle est venue prendre un bain chez nous. Mes parents étaient absents et, comme tout adolescent qui se respecte, j?avais ma petite méthode pour pouvoir mater dans la salle de bains, au cas où? Je partis donc dans la salle de bains pour la ’ préparer ’, un peu de savon sur la vitre de la fenêtre évitant le dépôt de buée, les rideaux derrière la vitre me permettraient de mater sans être vu, ce qui est bien le but du mateur !
Une fois en position sur le mur, ladite position était inconfortable, mais tellement bien placée, le spectacle commença? Elle entama la séance de strip-tease privée par sa longue jupe. C?est à ce moment là que je compris la nécessité qu?elle avait de toujours mettre des jupes aussi longues. En effet, en défaisant les boutons un à un, elle laissa apparaître ses longues jambes gainées de bas noirs, oui, des bas, moi qui croyait - à l?époque - que c?était réservé aux putes !!! Et non seulement, elle portait des bas à couture, mais lorsqu?elle arriva au dernier bouton, le spectacle fut autant superbe qu?inattendu, car si elle mettait des jupes longues, c?était parce qu?elle ne portait pas de culotte ! Au nombre de fois ou je me rappelais l?avoir vue avec de telles jupes, j?en déduisit donc qu?elle devait n?en porter que très rarement. Une fois ces jambes et cette chatte (tiens, c?est une vraie rousse !) exposées, elle attrapa le bas de son t-shirt moulant blanc et, en le relevant, apparurent deux superbes seins, les plus beaux que j?aie jamais vus, et même si, à l?époque, je n?en avais jamais touché, j?en avais vu une bonne tonne de livres échangés sur les bancs des vestiaires. Ses seins, donc, lourds, fermes, possédaient une auréole de couleur marron clair avec les taches de rousseur qui caractérisent les femmes de cette couleur de cheveux. Une fois ses bas retirés, elle se plongea dans le bain et s?enduisit le corps de savon, ce qui fit briller sa peau, ses seins étaient vraiment? à croquer ! Je ne pus me retenir de sortir ma bite et me masturber frénétiquement, je voulais jouir en regardant ce superbe corps. Elle s?enduisait de savon, cela brillait, j?étais dans un vrai rêve lorsque le téléphone sonna, ’ Merde ! ! ! ’ me dis-je, et je courus décrocher, en rentrant tant bien que mal ce matériel que j?avais à l?air libre. C?était une copine à qui elle avait dit qu?elle allait rester quelques heures chez nous. Je l?appelais et faillis lui sauter dessus quand je vis que le seul peignoir qu?elle avait trouvé était celui de ma petite s?ur, il n?arrivait même pas à masquer le pli de ses fesses. Je ne pus m?empêcher de rester et la regarder. Lorsqu?elle eut raccroché, elle me demanda un brin agacé : ’ Tu n?as jamais vu une femme ? ’ Ma réponse négative parut l?étonner, puis elle rajouta : ’ Ah, c?est vrai, tu n?as que quatorze ans?’ Ce à quoi je dus répondre : ’ Ce n?est pas une raison pour que ça me prive de telles beautés ! ’ Elle ne répondit pas mais repartit finir son bain sans claquer la porte, ce qui m?évita de reprendre ma position inconfortable pour profiter du spectacle. Je suppose qu?elle l?avait fait exprès. Le soir même, je lui jouais un bien mauvais tour, en effet, au moment de partir, je dis à ma s?ur : ’ on va jouer à la mariée ’ Et la voici qui attrape la jupe de ma tante pour la porter comme une longue traîne, étant encore bien petite, elle m?appela à l?aide, ce que je fis sans rouspéter, et m?engouffrais la tête pour jeter un dernier coup d??il. Sandrine eut beau nous demander d?arrêter, ma s?ur eut raison d?elle, et nous pûmes la tenir jusqu?à sa voiture, ce qui était déjà bien honorable ! Mon anniversaire arrivait à grands pas et tout le monde me demandait ce qui me ferait plaisir. Lorsqu?elle le fit, je lui répondis juste : ’ Une après-midi de ton précieux temps. ’ Elle parut surprise mais nous prîmes rendez-vous pour le dimanche suivant. C?est dans son appartement que nous nous retrouvimmes. Sa longue jupe était en cuir noir, et son haut en voile noir permettait de voir le soutien-gorge qui mettait en valeur sa poitrine généreuse. Nous nous installâmes sur le canapé et parlâmes de tout et de rien une heure durant en buvant quelques verres. Je décidai de la mettre sur la voie? ’ Dis-moi, belle comme tu es, on ne t?a jamais proposé d?être modèle ? ’ - ’ Si, répondit-elle, mais c?était une proposition un peu? scabreuse, et j?ai fini pas très habillée dans un garage glauque. ’ - ’ Ah ? Et tu les as là ? ’ - ’ Non, je n?ai même pas voulu les voir ! ’ - ’ Dommage? ’ Puis, comme elle attendait que j?agisse — J?avais provoqué le rendez-vous, quand même ! — je sortis un paquet, sa surprise était flagrante.
J?avais passé assez de temps à emballer le tout pour que cela soit un très beau paquet. Elle m?interrogea, mais comme je ne répondais pas, elle déballa un porte-jarretelles avec des bas de résille rouge, des collants noirs sans aucune couture (de type Nu Absolu de DIM pour les initiés) et un bustier rouge, mais pas de culotte. Elle parut surprise, gênée, et ses yeux interrogateurs me laissèrent comprendre que je devais m?expliquer. ’ Tout d?abord, je n?ai pas mis de culotte parce que je sais très bien que tu n?en mets pas. ’ Elle rosit. ’ Et puis, je pensais que? pour mon anniversaire? Ben, euh? Enfin, je pourrais profiter d?un petit défilé? ’ Je me mis aussi à rougir, mais l?excitation me poussait à insister. Elle essaya bien de m?expliquer que ce n?était pas bien, qu?il ne fallait pas, mais elle paraissait flattée et je lui dis que ce n?était qu?un petit défilé (ce que je n?espérais pas du tout !) et que, quitte à voir le corps d?une femme pour la première fois, autant qu?il soit aussi beau que le sien. Je pense qu?elle n?a pas été insensible à mes compliments ou bien était-ce l?alcool, le fait est qu?elle a commencé à défaire doucement sa jupe en me regardant droit dans les yeux. J?essayai de soutenir son regard, mais, mes yeux durent basculer vers sa petite chatte lorsqu?elle apparut. A première vue, elle devait passer beaucoup de temps à s?en occuper, si l?on en croit la manière méticuleuse dont était épilée sa chatte, de manière à ne laisser qu?un petit c?ur de poils roux. L?effet sur ma bite fut immédiat et comme je l?avais supposé, celle-ci souleva et gonfla le cycliste que je portais ce jour-là. Avant d?enlever le haut, elle marqua une courte pause, cette fois, c?étaient ses yeux qui se baissaient. Elle semblait être surprise de la déformation de mon cycliste. Alors qu?elle découvrait les deux pommes juteuses qui lui servaient de seins, je commencai à me carresser. Elle attrapa le bustier rouge , l?enfila prestement, bordel! Qu?est-ce qu?elle était sexy! Même nue, elle dégageait une classe impressionnante. Elle se leva, vêtue uniquement du bustier et de bas. Elle commença à défiler, et moi à applaudir. Elle enfila d?abord les collants, qui mettaient en valeur ses fesses admirablement bombées, comme celles de certaines femmes de couleur très sportives. Le tissus accentuait les reliefs de ses courbes, je me régalais. Elle passa et repassa devant moi pendant encore une heure et trois tenues et je ne voyais pas comment aller plus loin, à chaque fois que je me rapprochais, je sentais qu?elle s?éloignait et m?esquivait. Je regrétais de ne pas avoir de quoi conserver ces images! Je faillis la violer lorsqu?elle me dit qu?elle venait de finir de me donner mon cadeau d?anniversaire, mais j?avais déjà assez profité. Je mis alors tout en ?uvre pour essayer de lui demander de m?enseigner l?art du sexe, mais elle resta, malgré sa tenue — je vous rappèle qu?elle ne porte en tout et pour tout qu?un bustier, un porte jaretelle et des bas rouges sang !!! — elle resta donc totalement opposée à tout contact, pas la moindre possibilité de caresse?
J?aurais du en profiter tant que l?alcool faisait encore de l?effet ! Elle changea de pièce pour se rhabiller, me laissant seul dans sa chambre. Je me retrouvai donc seul, sur son lit, face à une vieille armoire. Quelque chose dépassait de la porte, on aurait dit un morceau de tulle noire que quelqu’un aurait coincé dans la porte en fermant le placard, intrigué et poussé par je ne sais quel sixième sens, je me levais et, me dirigeais vers le tissu prisonnier, j’ouvris discrètement la porte et je libérai un bas noir à couture, cette vision me fit un effet troublant, je décidais alors de continuer mon investigation, découvrant ça et là, un porte-jarretelles, des guêpières rouges et noirs, des bas de soie, de hauts talons aiguilles, Sandrine était une femme de goût qui devait avoir conscience du désir masculin, je tombai en arrêt devant des sous-vêtements en cuir noir, plutôt du latex quand soudain j’entendis ses pas, je refermai la porte du placard en catastrophe, et me jetai sur le lit, elle entra, à ce moment là, un bruit se fît entendre dans le placard, ’ qu’est-ce donc ? ’, s’étonna-t-elle, Je suppose que j’avais dû fermer le placard trop violemment et, sous le choc j’avais déstabilisé une étagère qui était tombée au mauvais moment. Elle s’approcha du placard et mon c?ur se mit à battre de plus en plus vite, je rougis malgré moi, elle ouvrit le placard et ramassa tous ces dessous qui étaient tombés, elle remarqua mon embarras. Alors qu’elle rangeait les porte-jarretelles, les guêpières, l?unique string et les bas, elle se retourna et me dît, ’ cette armoire est si vieille, ce n’est pas la première fois que cela arrive ’ puis elle rit en me voyant rougir. J’essayai de remettre l’étagère sur son emplacement et? patatras tout retomba, cette fois-ci la lourde étagère m’entraîna dans la chute et également Sandrine qui tentait de me retenir. Sandrine tomba à califourchon sur moi et dans la chute, son peignoir s’ouvrit, dévoilant le bustier, les bas que je lui avais offerts, et également ses seins magnifiques et bombés qui, dans la chute, étaient sortis du bustier rouge qui les emprisonnaient. Nous restâmes quelques interminables secondes en nous regardant dans les yeux, puis Sandrine m’embrassa à pleine bouche, nouant ses bras dans mon cou, la bosse de mon cycliste était si énorme, son souffle était si chaud, son corps tellement offert, j’étais dans un autre monde. ’ Nous allons faire une bêtise, Léo, il ne faut pas... tu es mon neveu... ’ Elle tenta de se dégager mais étant plus fort, je la retins et ouvris son bustier révélant deux seins lourds, énormes, elle était devenue gênée, elle qui réalisait que son petit défilé était allé trop loin, comme elle se cachait la poitrine, je la forçait à baisser les bras, elle finit par céder, j?étais comme fou. Elle baissa les yeux en dégageant mon sexe et écarta les bras de sa poitrine, me révélant des seins fermes et énormes, ils étaient aussi beaux que dans mes souvenirs; je pris un téton entre mes dents, Sandrine ne réagissait pas, je choisis de pincer l’autre entre mes doigts, et au bout de quelques instants, je sentis son ventre aller et venir. La scène était folle, Sandrine était debout, appuyée contre la vieille armoire, le peignoir à ses genoux, j’étais recourbé sur elle en train de dévorer ses seins, mes mains courraient de partout, sur ses bas, son sexe etc. Soudain, j’entrepris d’écarter sa chatte, je découvrais un sexe inondé, et moelleux, elle émit un petit cri lorsque j’y glissai un doigt. Entre temps la main de Sandrine s’affairait sur mon sexe comme une experte, elle me procurait un bien immense, je crois que j?aurais pu jouir rien qu?en regardant la scène. Comme elle nous entraîna vers le lit, j?en profitais pour dégager mon sexe, je la pris par les cheveux pour la mettre à genoux, Sandrine hésita, puis m’adressa un regard coquin, un sourire entendu puis se mit à genoux, ouvrit la bouche, puis goba mon sexe, commença à le travailler avec ses mains, et d’un coup se déchaîna dessus allant et venant au plus profond, sa salive coulant sur ma bite, sur ses lèvres, elle s’arrêtait de temps à autre pour enrouler sa langue agile autour de mon gland puis le ravalait jusqu’à la racine, elle léchait la totalité du pieu et il ne fallut pas trois minutes pour que je sente le plaisir augmenter en se rapprochant du point de non-retour, je découvrais des sensations insoupçonnées je lui grognai de faire attention, d?arrêter, que j?allais venir, mais elle était comme folle ! elle continua malgré mes avertissements, je sentais ma semence monter pour finalement exploser dans sa bouche, je me contractais sous les spasmes successifs en entendant qu?elle avalait, ELLE AVALAIT TOUT LE SPERME !!! Je n?en revenais pas, mais commençais à voir, après les premiers spasmes, qu?elle n?avalait pas tout et que des gouttes coulaient le long de ses lèvres, il faut savoir que ça devait bien faire 5 jours que je ne m?étais pas branlé en attendant ce spectacle? Je revois encore son visage rayonnant de salope quand elle m?a regardé, la bouche encore garnie de mon sperme, et quelques filets le long de son menton. Elle m?embrassa, mélangeant nos salives à mon sperme, j?étais tout retourné, je sentais maintenant son excitation, elle était comme une furie? Elle se releva s’appuya contre l’armoire ; objet de tous les délits, me tournant le dos qu?elle cambra au maximum, elle me présenta sa croupe, imaginez la scène ; cette magnifique femme de vingt-cinq ans entièrement nue, excepté sa crinière rousse, ses bas et ses talons aiguilles, son corps épanoui était dans cette position, elle se pencha, fit saillir sa croupe en avant, et par dessus son épaule m’adressa un ’ baise-moi ! ’ ; j’approchai mon sexe encore tendu de ses fesses et la pénétrai d’un seul coup de reins, elle cria ’ oooh ’. J’entrepris dès lors un mouvement lent de va et vient, les deux mains crispées sur cette croupe magnifique, Sandrine haletait, suppliait de ne pas m’arrêter ; de temps à autres je me retirais complètement pour pouvoir profiter de la scène, mateur invétéré, puis la pénétrais à nouveau, chaque fois, cela s’accompagnait de râles profonds de la part de cette somptueuse femelle. Un miroir renvoyait l’image de notre coït, mes mains crispées sur ses mamelles et mon sexe qui allait et disparaissait dans sa toison rousse. Elle m?attrapait régulièrement les fesses pour que je m?enfonce encore plus profondément. La chevauchée de cette belle pouliche dura un bon quart d’heure, elle jouit dans un cri dévastateur, je la croyais épuisée (excusez-moi, mais j?étais puceau avant ça, et oui !) lorsqu?elle se mit à marcher sur le lit à quatre pattes en me disant : ’ Sais-tu comment les chiens enculent les chiennes ? ’ Je n?en croyais pas mes oreilles ! Je me mis à genoux derrière elle et essayait de le pénétrer comme cela. Elle gémit. Je ressortis mon gland, puis elle m?expliqua qu?il fallait lubrifier, elle se mit à prendre dans la bouche ce gland que j?avais sorti de son anus, elle me semblait être la plus salope de l?univers en faisant cela, mais je me mis à lui lécher le petit trou de mon mieux sur ses conseils, le lubrifiant avec ma salive, dardant cet orifice étroit de ma langue, je le sentais se décontracter pendant qu?elle se branlait frénétiquement. Cela lui procurait un plaisir non dissimulé. Je m?escrimai donc à faire le plus de trucs possibles avec ma langue, puis lui introduisit un doigt, en continuant, ma langue allait d?un orifice à l?autre, je rencontrais d?un côté mes doigts, de l?autre les siens, jusqu?à ce qu?elle me dise, avec trois doigts dans le cul : ’ Je suis prête ! ’ Comprenant instantanément, je me redraissai pour pénétrer son cul de toutes mes forces, la déchirant littéralement. Je m?agrippais à ses fesses en lui assénant des coups de butoir les plus forts possibles, croyant lui faire plaisir, mais je pense que ça devait être terrible pour elle, du moins au départ, parce qu?après quelques coups, elle se branlait et devait avoir orgasme sur orgasme, je la sentais trembler de tout son corps. Après quelques minutes supplémentaires, je sentis la jouissance arriver mais, ne voulant pas passer pour un éjaculateur précoce, je m?immobilisai en embrassant son cou. Comprenant très bien la situation, elle se mit à remuer son cul de son mieux, j?eus beau lui dire que j?allais venir, elle réagit en attrapant mon sexe et me masturbant pendant que je l?enculais. Et lorsque je commençai à crier ma jouissance, elle serra mon sexe encore plus fort entre ses doigts, attrapa mes bourses de l?autre main et je commençais à lui remplir le cul, elle me regardait dans les yeux, profitant elle aussi de ma jouissance. En me retirant, un filet de sperme me reliait à son anus qui se vidait? Je me rassis sur mes mollets en arrière pour profiter de ce spectacle, voir ma tante à quatre pattes devant moi, nue son cul en face de moi se vidant sous les à-coups d?un nouvel orgasme qui commençait déjà à resserrer son anus, le vidant de mon sperme, c?était irréel, mais tellement excitant !!! Elle se retourna, s?allongeant en maculant ses draps, m?ouvrit ses bras, m?invitant à la rejoindre et commença à m?embrasser, je m?aperçus qu?elle avait encore mon goût, nous partageâmes ce baiser pendant qu?elle se frottait à moi tendrement. Elle me regarda, les yeux brillants me dit : ’ C?était génial ! ’ Me trompant sur son ton, je répondis : ’ Oui, vraiment inoubliable, mon plus beau cadeau, un souvenir qui restera gravé là toute ma vie, fantastique, mais toi ? ’ ’ Non, me répondit-elle, je te disais juste que j?avais trouvé ça génial ! Mais merci quand-même. ’ Ce qui m?a évidemment rassuré, pour une première fois. C?était vraiment super ! Nous sommes restés dans les bras l?un de l?autre pendant une bonne demi-heure avant que je ne rentre chez moi. J?espérais que nous allions devenir amants pour qu?elle m?apprenne à la satisfaire, mais elle rencontra un homme divorcé avec un petit garçon au cours de la semaine qui suivit et? Elle est maintenant mariée avec, je crois que je peux dire que j?ai enterré sa vie de jeune fille ! Tatie, si tu lis ça et que tu remets les vrais prénoms, sache que, malgré les années, je suis d?accord pour recommencer quand tu veux.
Hubert Riendeau
bilbo137@hotmail.com
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