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Sandrine, ma femme, en stage de soumise

Chapitre 1

SM / Fétichisme
L’histoire que je vais vous raconter date de juin 1994. Nous habitions alors dans le sud-ouest, étions un couple libertin. Après avoir varié les plaisirs dans le domaine sexuel, mon épouse Sandrine, 36 ans à l’époque, jolie petite blonde avec ce qu’il faut de seins et de cul, cheveux mi-longs allait connaître une nouvelle aventure... J’avais conversé avec un couple dominateur, très branché et expérimenté sur le sujet. Couple qui habitait dans le pays de Loire. Après avoir échangé longuement, décision fût prise d’envoyer Sandrine en stage pour un week-end, stage de perfectionnement à la docilité et l’obéissance...
Je préparai alors un « carnet de bord » à remplir par le formateur et la formatrice, où ils devaient consigner scrupuleusement le contenu du stage, noter de nombreux points érotiques. Ce qui fût fait, avec également l’envoi d’un jeu de photos très... « explicites » ! M’aidant de ce carnet et des photos, je vais donc vous conter cette histoire, qui mélangera roman et réalité, car c’est une histoire vraie. A noter que je n’ai pas reçu, malheureusement, toutes les photos de ce qui s’est passé lors de ce stage. A l’époque, la photo était argentique ! Le grand jour arriva. Sandrine partit le jeudi en fin d’après-midi, faisant une escale à l’hôtel le soir avant de prendre une correspondance le vendredi matin pour sa ville de destination et de stage. Les consignes données par Philippe et Caroline (les prénoms ont été modifiés) étaient strictes.
Sandrine devait se présenter à lui en manteau, et dessous une robe légère, sans soutien-gorge et sans culotte, juste des bas, et talons hauts obligatoires bien sûr. Je la déposai à la gare. Elle m’appela le soir depuis l’hôtel, assez angoissée à l’idée de rencontrer ce couple qu’elle ne connaissait pas, surtout au vu du « programme » qui lui était destiné. Elle fût récupérée à la gare le lendemain matin par Philippe. Ils roulèrent jusqu’à une forêt où le véhicule s’arrêta. La première épreuve commençait. Sandrine dût ouvrir sa portière, se tourner vers l’homme qui la prenait en photo, et prouver qu’elle était bien fesses nues sur le siège. Elle retroussa sa robe pour montrer que c’était fait, et pivota, la robe toujours retroussée, la chatte rasée à l’air devant l’objectif. Il ordonna rapidement de la retrousser au-dessus de la poitrine, et Sandrine se retrouva bientôt seins et chatte à l’air, tenant sa robe, impudique. La séance photos prit fin.
Arrivés à l’appartement, Philippe présenta brièvement Sandrine à Caroline.
Celle-ci lui ordonna immédiatement de se déshabiller, d’enlever manteau et robe mais en gardant ses bas et escarpins. Une fois « en tenue », eut lieu le traditionnel « examen » de la soumise : debout au milieu du salon, bras à l’horizontale, commentaire sur les seins, la chatte, le cul, les jambes. Puis un examen plus « détaillé » : palpation et pelotage des seins, caresse du sexe, pelotage des fesses, par Caroline, puis Philippe, avec toujours des commentaires appropriés. Sandrine n’échappa pas à l’humiliation : obligée de se pencher en avant, et d’écarter ses fesses avec ses mains. Et d’attendre ainsi, en cette position, l’anus largement offert, avec les commentaires que l’on imagine. Puis à quatre pattes par terre, s’exhiber, marcher...
Elle déjeuna après eux, en cette tenue. L’après-midi, Philippe lui fit porter un corset de cuir et des bracelets de cuir reliés entre eux par une chaîne assez large lui permettant de marcher. A quatre pattes, elle dût lécher les jambes gainées de bas à Caroline, qui lui ordonna très vite de lui lécher la chatte. Puis pose d’un collier et promenée en laisse dans la maison. Le soir, on lui fît porter d’autres bas, mais elle resta seins, sexe, cul à l’air, juste vêtue de ses bas. Après le repas, de nouveaux exercices, toujours nue, en bas.
Sandrine n’échappa pas à plusieurs masturbations manuelles, de Caroline et Philippe, jusqu’à l’orgasme. Alors que Caroline branlait vigoureusement une dernière fois chatte et clitoris à Sandrine, Philippe bût tranquillement une bière à la célèbre bouteille verte. Une fois terminée, il posa la bouteille vide sur la table basse du salon. Sandrine avait terminé de jouir une nouvelle fois, épuisée, assise cuisses écartées sur le canapé, totalement impudique. Caroline lui désigna la bouteille en lui montrant du doigt :
— Tu as vu la bouteille ?
Sandrine, haletante, opina de la tête.
— C’est pour toi. Tu vas la prendre dans le cul !
Le carnet de bord indique que Sandrine a émis un faible « oh non ! » toujours épuisée sur le canapé, les cuisses toujours largement écartées. Caroline est alors chercher une paire de pinces et les donna à Philippe.
— Avant de te faire enculer, je vais te poser ça. Tu vas voir, ça va décupler ton plaisir pendant la sodomie.
Il s’approcha.

— Tu as les tétons qui bandent, c’est encore mieux !
Pose des pinces, reliées entre elles par une chaînette. Caroline joue avec la chaîne, la tire vers le bas, ou vers elle. Sa main plonge vers le sexe à Sandrine et lui caresse les lèvres rapidement...
— Elle est trempée ! Elle est « prête »...
Philippe prend la bouteille de bière et la tend à Sandrine.
— Tu vas nous faire voir comment tu suces... Tiens là sur l’accoudoir et suce là !
Sandrine obéit et commence la fellation.
— Voilà... C’est bien... Fais comme à une queue... Bien en bouche... Sors la langue sur le goulot !
Pendant qu’elle s’active sur le phallus de verre, Caroline lui prend la main gauche et la dirige vers son sexe...
— Caresse-toi la chatte en même temps ! Et ne fais pas semblant !!
Au bout d’un moment...
— Lèche la base de la bouteille, comme des couilles !
Puis...
— Ca suffit ! Recommence à pomper !— Et puis accélère sur la chatte ! Tu te chatouilles, là !! Plus vite sur ton clito !!
Le couple apprécie le spectacle...
— Tu arrêtes ! Maintenant, mets-toi la bouteille dans la chatte ! Allez !!
Sandrine obéit. Le goulot pénètre son intimité.
— Plus loin ! Enfonce le mieux !!— Eh bien ? Qu’est-ce que tu attends ? Baise-toi !!
Imaginons le spectacle de ma femme, assise sur le fauteuil, cuisses largement écartées, pénétrée par une bouteille de bière, se donnant du plaisir toute seule devant un couple...
— Arrête et lève-toi !
Sandrine retire la bouteille de sa chatte, se lève. Philippe la fait pivoter, face au fauteuil.
— Grimpe là-dessus ! Mets-toi à genoux et cambre-toi bien ! On va te la mettre dans le cul maintenant !!
Sandrine proteste mollement, mais obéit et se met en position. Caroline intervient.
— Tends-ton cul ! Mieux que ça ! Offre-toi !!
Une fois en position, Philippe arrive avec la bouteille, ouvre les fesses, pose le goulot sur l’anus... Sous la poussée, Sandrine gémit, le goulot entre dans son petit trou. De plus en plus profondément. Caroline, la main sur une fesse, l’encourage.
— Doucement... Calme-toi... Tu as tout pris dans le cul... Maintenant, Philippe va te baiser, et tu vas apprendre à prendre du plaisir par derrière...
Aussitôt dit, aussitôt fait. Philippe commence le va-et-vient. Doucement... Puis accélère doucement. Sandrine gémit. Le mouvement s’amplifie et trouve rapidement son « rythme de croisière ». Sandrine crie, maintenant. Et tout à coup, tout en criant et gémissant, supplie Philippe « d’aller plus vite ». Ce qui est fait immédiatement. Sandrine subit la sodomie. Pendant plus d’un quart d’heure. Et soudain, c’est l’orgasme. Elle se tord, donne des coups de bassin et s’empale sur le vît de verre. Elle crie, hurle. Elle vient de jouir. Le couple, satisfait, la contemple, penchée en avant sur le fauteuil, avec ses pinces aux seins, le cul tendu, la bouteille de bière toujours fichée en elle, dans l’anus, à fond. Ils la laissèrent récupérer juste quelques minutes. Caroline se plaça derrière elle pour lui susurrer à l’oreille...
— Philippe vient de prendre des photos... Pense à ton petit mari quand il va te voir nue, à genoux sur le fauteuil, avec une bouteille de bière enfoncée bien à fond dans le cul... Tu imagines ça... ??
Elle l’embrasse délicatement dans le cou...
— On va remettre ça... J’ai envie de t’enculer aussi, tu sais...— Oh non...— Tais-toi !! Et cambre-toi bien ! Offre-toi !— Tu vas voir, je vais te faire jouir... Je veux t’entendre crier et hurler, plus fort que tout à l’heure !!
Caroline empoigne le corps de la bouteille de bière et commence à aller et venir, arrachant des gémissements à Sandrine. Gémissements qui font bientôt place aux cris...
— Tu vois que tu aimes ça... ! Tu en veux !! Tu aimes en prendre dans le cul !— Ahh..... Oui, j’aime...ça...— Eh bien, prends tout ! Prends bien la bite de verre dans ton cul !
Caroline alterne les allers-retours et varie leur intensité, accélérant brusquement quand elle sent Sandrine au bord de l’orgasme. Sur un fauteuil, Philippe boit une bière et se masturbe en regardant le spectacle. Le couple échange des remarques salaces...
— Défonce-la bien ! Fais-là jouir !!— Plus vite !
Sandrine crie. Hurle. Caroline retire la bouteille.
— Regarde-moi ce cul, Philippe, béant !!— Ma petite, tu as le trou du cul complètement ouvert !! Apparemment, le métier commence à rentrer !— Allez, on remet ça !!
Caroline provoque à Sandrine des orgasmes à répétition. La laissant récupérer quelques instants, la bouteille toujours fichée dans l’anus, puis recommençant le va-et-vient... Au bout d’un moment, alors que sa femme active toujours la bouteille dans le cul de la mienne, Philippe se lève, se masturbe au-dessus des fesses offertes... Bientôt, il jouit. Le sperme macule les fesses de Sandrine de longues traînées blanchâtres et crémeuses. Caroline retire enfin la bouteille tandis Sandrine, épuisée, reste « en position », fesses enspermées, tendues, offertes... Quelques minutes après, le couple décide d’aller se coucher.
— Lève-toi et vas te laver le cul et la chatte ! Tu as les fesses pleines de sperme, enlève-moi tout ça !
Caroline entraîne Sandrine à la salle d’eau.
— Enlève tes bas et prends une douche !
Caroline assiste à la toilette très intime de Sandrine, qui a toujours les pinces à ses tétons. Ensuite, direction les toilettes. Sandrine doit faire pipi, porte ouverte, devant elle. Elle conduit Sandrine au salon.
— Allonge-toi sur le canapé ! Tu restes nue ! Et tu gardes tes pinces toute la nuit !
Caroline revient avec une cordelette.
— Tes mains derrière le dos !!
Sandrine est bientôt attachée.
— Voilà ! Ainsi tu ne pourras pas te caresser ! Tu as assez jouit pour ce soir, pas la peine de te fatiguer pour rien ! D’autant que demain, tu as un programme plutôt « chargé » !!
Elle lui plaça un oreiller sous la tête, pas même une couverture, éteint la lumière et se retira dans sa chambre. Le lendemain matin, c’est Philippe qui réveilla Sandrine par plusieurs claques sur les fesses. Levée, les mains détachées, elle fût conduite à la cuisine où Caroline préparait le petit-déjeuner.
— Va te laver la chatte et le cul !
A son retour à la cuisine, Caroline examine Sandrine.
— Ecarte tes lèvres ! Mieux que ça !— Tourne-toi ! Ecarte tes fesses ! Montre-moi ton cul !— Ca va !
Philippe appela Caroline au salon. Quand elle revînt à la cuisine, elle donna un ordre à Sandrine.
— Tu vas rejoindre Philippe au salon, à quatre pattes. Une fois arrivée devant lui, tu vas essayer de le faire bander en utilisant seulement ta bouche. Si au bout d’un quart d’heure tu n’y es pas arrivée, tu seras punie. Allez !!
Caroline lui enleva les pinces des tétons, lui arrachant un cri. Puis elle se mit à quatre pattes, et marcha vers le salon. Une fois arrivée devant Philippe, elle dût ouvrir la braguette, sortir le membre du slip, remettre ses mains au sol, puis engloutir et téter le membre. Ma femme a toujours été une bonne pompeuse. Aussi, le membre à Philippe commença à raidir, à prendre de la consistance, ce qui rendît la fellation plus facile pour Sandrine. Philippe était très endurant. Ce qui fait que l’exercice a duré plus de 20 minutes, Sandrine prenant la queue bien en bouche, titillant et léchant le gland. Philippe se leva, baissa pantalon et slip, se rassit et montra son sexe à Sandrine qui l’engloutit à nouveau. Caroline arrive à ce moment de la cuisine. Sandrine a le sexe dressé en bouche.
— Alors Philippe, elle suce bien au moins ??— Oui ! Ca fait un quart d’heure qu’elle me pompe le jonc, et regarde le résultat !
A ce moment, Sandrine sort le membre de sa bouche et titille le gland avec sa langue, pour bien montrer à Caroline l’état du phallus... Puis elle reprend le vît en bouche.
— Tu vas lui jouir dans la bouche ??— Oui, mais elle doit encore me pomper ! Je veux aller au bout de ce qu’elle est capable de faire !
Il faut dire que ce couple de dominateurs applique les principes stricts du monde SM. Pas de rapports sexuels avec la soumise, la fellation restant autorisée. Sandrine continue son « travail »...
— Dépêche-toi de faire jouir Philippe ! Quand tu auras terminé, tu mangeras les cookies du petit-déjeuner à quatre pattes par terre, comme une chienne !!— Et quand je jouirai, tu avales tout !! Je ne veux pas voir une goutte de sperme par terre ou sur le fauteuil !
La savante fellation dure encore un moment. Lorsqu’elle titille le gland, Sandrine voit qu’il est rouge vif, prêt à exploser. Ce qui survient quelques instants plus tard. Philippe commence à soupirer, à émettre quelques petits cris. Puis soudain se cabre. Sandrine a la queue toujours en bouche. Le mec se vide. Sandrine reçoit les jets de sperme chaud, nombreux. Et se dépêche de déglutir au fur et à mesure et d’avaler le sperme, pour laisser la place dans sa bouche à de nouveaux jets.
— Ahhh... ah..... Oh.........— Ouvre la bouche et sors ta langue !
Sandrine obéit.
— Très bien ! Tu as tout avalé dis-donc !! Une vraie petite bouffeuse de foutre ! Une pompe à sperme ! Maintenant, nettoie-moi bien la queue et le gland avec ta langue !!
Sandrine s’active et fait ce que l’homme lui dit. Il reste du sperme sur le méat. Elle lèche et aspire. Lèche la queue sur la longueur, les couilles. Caroline est arrivée avec le plateau du petit-déjeuner. Elle dispose une assiette avec des cookies cassés en petits morceaux qu’elle dispose par terre. Philippe se rajuste et se met à table avec Caroline pour prendre le petit-déjeuner. Sandrine est à genoux devant le fauteuil.
— Soumise ! Tu vas manger tes cookies ! Va à ton assiette, à quatre pattes ! Et mange comme une chienne ! Tu as déjà eu ta dose de crème, tu ne dois plus avoir très faim !!
Ils rient tandis que Sandrine se rend à quatre pattes, nue, à son assiette, où elle commence à saisir les morceaux de cookies avec la bouche. J’ai les photos sous les yeux. Ma femme intégralement nue, ou plutôt seulement vêtue de son bracelet de cheville à la cheville droite, arrivant à quatre pattes sur le carrelage. On voit ses seins, son cul offert, ses ongles vernis rouges. On la voit manger les morceaux de gâteau. Je ne sais pourquoi, Philippe a fait plusieurs photos de cette situation, presque 10. Elles sont toujours aussi excitantes... Après le petit-déjeuner, Caroline s’habilla et fît habiller Sandrine, nue sous sa robe et sans bas.
— Nous sortons faire une petite promenade !
Ils prirent la voiture, Sandrine à l’arrière. La route départementale défile. Puis arrive une forêt. Ils prennent un chemin de traverse, roulent, puis s’arrêtent. Tout le monde descend de voiture. Caroline ordonne.
— Enlève ta robe !
Sandrine hésite.
— Allez ! Enlève-moi ça ! Vite !
Sandrine retire la robe. Elle est nue.
— Les chaussures aussi ! Je te veux nue. Entièrement nue !
Ce qui est fait. Il fait frais dans cette forêt. Sandrine frissonne. Le couple la guide vers un petit sentier.
— Mais... Si on rencontre des gens ??
Philippe rit.
— A cette heure, on ne risque pas d’en rencontrer beaucoup ! Et si on en rencontre, ils ont du déjà voir une femme nue, tu sais !— Et puis si ce sont des hommes, nous leur donnerons même la permission de t’utiliser comme ils le souhaitent ! Je suis sûr que tu aimerais te faire baiser à fond par des inconnus, en forêt...— Oh non, pas ça...— Tais-toi ! Je suis sûr que tu en crèves d’envie ! Tu aimes la bite, toi, ça se voit !
Ils s’enfoncent dans le sentier et arrivent à un arbre à tronc moyen.
— Arrête-toi !
Philippe lui bande les yeux.
— Tends-tes bras en avant !
Une paire de menottes claque sur les poignets.
— Très bien ! On s’en va. On va te laisser macérer là, attachée, à poil, et totalement disponible. On viendra te chercher après. Si des mecs passent par là, ça va être ta fête ! En plus, on n’est pas très loin de la route.— Oh non ! Je vous en prie, ne faites pas ça ! Non !— Tais-toi, sinon ça va être une heure de plus pour toi ici !!
Le couple est alors parti, laissant Sandrine attachée nue en pleine forêt. Je ne sais pas s’ils sont restés à proximité, mais ils ont pris la voiture pour qu’elle entende le bruit. Sandrine a raconté son « angoisse », ayant peur qu’un ou des mecs arrivent, guettant le moindre bruit. Au bout d’une heure, Philippe et Caroline sont venus la chercher, l’ont détachée et ont enlevé son bandeau. Autorisée à se rhabiller, ils sont montés dans la voiture et sont rentrés à la maison.
— Eh bien, qu’est-ce que tu attends ? A poil !
Sandrine retire sa robe et ses chaussures. Le repas se passe. Philippe prend la parole.
— L’après-midi et la soirée vont être chargés, je te préviens ! Tu as intérêt à prendre des forces !
Après le repas, Caroline conduit Sandrine à la salle de bains. Gant de toilette. Les seins, le sexe, l’anus. Sandrine enfile sa robe, ses bas, ses chaussures. Caroline reste à la maison, Philippe emmène Sandrine en voiture en ville. Il se gare, la jeune femme le suit. Ils arrivent devant un commerce. Vitres occultés faisant la publicité de « salons », « vidéos », « gadgets ». Et sur le fronton : « Sex Shop ». Sandrine a compris. Elle angoisse. Ils rentrent.
Comme dans tous les sex-shop, la lumière, rouge, est tamisée. Sur les murs, toute la panoplie de gadgets érotiques. Un mur « SM » avec cordes, masques, baillons, parures cuir et chaînes poignets, cou-poignets-chevilles, fouets, cravaches, vêtements cuir, parures à clous... Un coin « lingerie » avec nuisettes transparents, culottes fendues, mini-robes transparentes ou moulantes sur des mannequins de plastique. Un coin « vidéo » avec de très nombreuses cassettes classées par genres : partouzes, hétéros, gays, premiers essais hard, castings, zoo... Un coin « jouets » avec toute une panoplie de godemichés, de toutes tailles, roses ou noirs, de doubles godes pour femmes, de godes vibrants, d’œufs vibrants, de boules de geishas...
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