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Sandrine et mes baises insolites

Chapitre 2

Trash
Bonjour, toujours ma Sandrine, je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée il y a environ cinq ans.
Je me promène en ville quand, en passant devant la terrasse d’un café, quelqu’un m’apostrophe.
— Bonjour, Madame la prof de Maths.Je m’arrête et je me retourne qui est-ce.— Eh bien vous ne me reconnaissez pas, je suis Antoine N, vous avez fait école en quatrième.— Oh oui, Antoine excuse-moi, je ne t’avais absolument pas reconnu, eh bien tu as bien changé.— Merci, et vous, vous êtes toujours aussi belle.
Il me propose de m’asseoir avec lui et nous voilà en train de parler de lui, maintenant il a trente-trois ans, deux enfants et il travaille dans une banque, nous buvons un verre et je remarque qu’il a ses yeux souvent au niveau de ma poitrine.
— Eh bien, Antoine, que regardes-tu ainsi ?— Vous bien sûr, surtout votre poitrine, vous avez les tétons qui pointent comme quand j’étais au lycée, vous avez toujours été une femme parfaite pour moi.— Merci Antoine, mais n’oublie pas, tu es marié.— Vous aussi.
Et nous continuons à discuter de ses copains et copines qui étaient en classe avec lui, il me propose de déjeuner avec lui, j’accepte, il est vraiment charmant, nous mangeons et voilà que dans ma tête, une idée germe, j’ai cinquante ans, lui trente-trois ans il est mignon, grand, il dégage quelque chose de magnétique, tant pis, je me jette à l’eau.
— Antoine, cela te dirait d’aller se promener, car ta présence me fait du bien, à moins que tu aies quelques choses à faire.— Non je n’ai rien à faire.
Et nous voilà tous les deux en train de se promener dans le parc, c’est très agréable d’être accompagnée par un bel homme, nous trouvons un petit coin tranquille et nous nous asseyons, je le regarde de plus en plus et tout à coup, nos lèvres se rapprochent et nous nous embrassons, ses mains me caressent, elles passent sous mon polo et me tripotent les seins, les tétons, et il descend plus bas et là je m’allonge pour m’offrir à lui, les doigts me caressent mon minou épilé, un doigt rentre dans ma chatte, j’aime.
— Vous êtes toute mouillée, ton clito est dressé.
— Oui Antoine, continue, je t’offre à toi.
Il me déshabille et moi je fais pareil, quel corps il a, et un membre dur, droit, long et de bon diamètre, et des couilles bien remplies, je pense que je vais bien me faire mettre.
— Sandrine, tu as un corps parfait.Il me mordille les tétons, les roule, les pince, il tire dessus.— Oh oui continue, j’aime cela, continue.
Il me caresse le corps, ses mains sont douces et fermes en même temps, je le suce, plutôt lui aspire son membre que c’est bon, je lui lèche le gland, je le suce comme si cela faisait des mois que je n’avais pas pompé.
— Oui, Sandrine continue, oh oui j’aime comme tu me suces, continue s’il te plaît.Et je le pompe comme une folle.— Viens me prendre, j’ai encore deux trous qui t’attendent, viens.
Et là, il me pénètre ma chatte ruisselante de plaisir, il me lime, bute bien au fond de ma chatte, je gémis de bonheur et de plaisir, elle me remplit bien la bonne taille, il rentre et il ressort d’un coup, je suis au septième ciel, quel pied je prends, et il est endurant, il me possède comme cela pendant vingt minutes, j’ai la chatte en feu.
— Continue, Antoine, possède-moi à fond, vas-y, oui continue, j’aime comme tu fais.
Et tout en me limant, il suce mes seins, là le désir est monté d’un cran, je jouis sans retenue, c’est bon, mais il continue, encore et encore et dans un grand gémissement, il éjacule tout son jus d’amour dans ma chatte.Nous récupérons tous les deux et quelques minutes après, il me dit :
— J’ai encore envie de toi, surtout de ton cul, je le veux, allez retourne-toi.
Je me retourne à quatre pattes, il pose son gland contre ma rondelle et doucement s’enfonce dans mes entrailles, c’est trop bon, son membre est dur et gros, il me remplit bien mon cul.
— Oui Antoine, vas-y, j’aime aussi de ce côté, vas-y défonce-moi, je t’appartiens, oui comme cela, plus fort et plus vite.
Il me possède, je suis à lui tout entière, il me baise, quel pied encore, c’est une vraie machine, un homme, il a ses mains sur mes hanches et à chaque coup, j’avance de quelques centièmes, je suis aux anges.
— Oui Antoine, allez plus fort, oui comme cela.
Et ce traitement dure quelques minutes avant qu’il se décharge en moi, nous tombons tous les deux dans nos bras et nous nous embrassons, mais c’est déjà l’heure de se quitter, nous nous disons au revoir et peut-être à une prochaine fois, et effectivement depuis ce temps, nous nous voyons de temps en temps, mais ceci est une autre histoire.
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