Bonjour, il s’agit de ma première histoire érotique, soyez indulgents ! Commençons donc par une légère description, je m’appelle Léa, j’ai 22 ans. Je suis brune avec les yeux clairs, je fais un 95D, 1m70 le corps pulpeux avec de belles fesses. Je ne suis pas l’archétype d’une fille mince mais j’assume mes formes généreuses. Mes expériences amoureuses ont été désastreuses jusque-là, et je réalise petit à petit que je préfère le sexe sans sentiment pour le moment. Pourtant je suis une grande romantique, je suis très fleurs bleues, coups de foudre etc. Mais c’est ce qu’il me faut pour m’évader un peu, une partie de jambes en l’air sans sentiment. Encore faut-il trouver la bonne personne, qui vous respecte. Un soir, je décide de rejoindre un très bon ami au bar, on a toujours été très proches mais il n’y a jamais rien eu entre nous. Il s’appelle Louis, il a également 22 ans, châtain aux yeux noirs, il est d’un naturel calme et rassurant. Il est aussi très à l’écoute. Je le rejoins donc ce soir-là, je m’habille simplement, un jean un pull et des baskets, je me maquille légèrement. Après tout on va simplement boire un coup ensemble et discuter donc pas besoin d’en faire trop. On a toujours eu l’habitude de se raconter nos problèmes mais j’hésite encore à lui parler du mien. Il est plutôt intime. J’arrive au bar et le rejoins au niveau d’une grande table en hauteur. On parle de tout et de rien pendant des heures. Je remarque quelques effleurements mais l’alcool est déjà bien présent pour que ce soit plus qu’une coïncidence. Au moment où on décide de revenir dans le monde réel, le bar est vide et ils sont en train de fermer. On rigole et on tombe au sol l’un sur l’autre en essayant de se lever. Apparemment on a bu plus de bières que prévu, on se chatouille et on est de nouveau morts de rire, toujours au sol. Le propriétaire du bar nous reconnaît et nous aide à nous relever. Il décide aussi de nous appeler un taxi. Au moment de donner nos adresses, on se regarde. — Viens chez moi, j’ai encore des choses à te dire, dis-je sans arrière-pensées Et sans réfléchir il me suit et on monte dans ce taxi. A l’intérieur de celui-ci, il me tient la main amicalement. Je frissonne, l’effet des bières et sa main chaude sur ma main glacée me procurent comme un électrochoc. Je décide de ne pas lui montrer ma réaction. — Tu vas bien Léa ? me demande-t-il avec sa petite voix douce Je le regarde et réponds : — Oui oui t’en fais pas, tu voudras dormir avec moi ? Question stupide vu qu’il a accepté de venir chez moi à une heure aussi tardive.
— Bien sûr, tu as encore des choses à me dire apparemment On arrive chez moi, on se met en pyjama, lui en simple caleçon et moi en pantalon et tee-shirt. Je ferme les rideaux et je viens me caler dans le lit. Aucun contact entre nous. Il me regarde — Raconte-moi tout Léa. Je décide de me lancer et de lui dire — Alors voilà j’ai remarqué qu’en ce moment je cherchais juste un plan cul, j’ai beaucoup de mal à faire l’amour avec quelqu’un avec qui j’ai des sentiments. Et en continuant de parler, on se rapproche mutuellement l’un de l’autre, je pense sentir la tension monter entre nous deux. Je me cale contre lui et ça devient presque naturel quand je pose ma tête contre son épaule. Il me dit quelque chose qui me fige : — La dernière fois que j’allais faire l’amour avec une fille, je ne pouvais pas me concentrer Léa, je pensais beaucoup trop à toi. C’était toi que je voulais dans mon lit. A ce moment j’étais dos à lui et il vient se coller à moi en cuillère, j’attrape sa main pour qu’il reste bien contre moi. Son câlin me fait du bien mais continue à me perturber après ses paroles.Je tente de lui répondre mais il se rapproche encore plus de moi, en mettant bien son érection contre mes fesses et ajoutant : — Et maintenant je suis dans ton lit. Tu es toute à moi Je bouge doucement mes fesses contre sa bite toute dure à travers son caleçon en guise d’acquiescement. Il vient mordre et embrasser mon cou Je gémis doucement — Tu n’aurais jamais dû faire ça, tu sais Louis— Pourquoi Léa ? — Je vais avoir envie de tes lèvres sur tout mon corps— Parfait, parce que je ne comptais pas laisser une parcelle libre sur ton corps magnifique, et je veux commencer par tes lèvres A ces mots, je me retourne dans ses bras et pose mes lèvres doucement sur les siennes. Et pour me faire comprendre qu’il veut encore plus il passe ma main dans mes cheveux et pousse sur ma tête pour me mordiller les lèvres et les embrasser plus sauvagement. De mon côté je frôle du bout des doigts son érection dans son caleçon, instantanément il attrape ma main et me force à l’attraper à pleine main.Je l’attrape et la malaxe bien, toujours à travers le tissu sans lâcher ses lèvres et sa langue. Sa deuxième main se place doucement sur mes hanches, passe dans mon dos et descend sur mes fesses et finit par me les empoigner fermement. Je gémis doucement entre ses lèvres en amplifiant mes caresses à travers son caleçon mais cela ne suffit plus. Je passe ma main dans son caleçon et attrape son sexe dur à pleine main. Au même moment, il lâche mes lèvres, me regarde — Léa, j’ai tant eu envie de toi ces dernières années— Inconsciemment moi aussi tu sais Au moment de lui répondre je commence à le masturber fortement en attendant de voir cette flamme de désir dans ses yeux. J’avais envie de lui, là maintenant, qu’on ne fasse plus qu’un. Je continue mes va-et-vient avec ma main et il commence à grogner en mordillant mon cou. Il remonte ses lèvres au niveau de mon oreille et me chuchote : — Léa, j’en veux plus, je te veux tout entière A ces mots je décide de le surprendre et de me glisser sous la couette, son érection se trouve juste devant mon visage et je pose doucement ma langue sur son gland. Je le regarde dans les yeux en passant ma langue de haut en bas sur sa queue bien tendue. Il continue de grogner en caressant mes cheveux — Suce-moi Léa je t’en supplie Et encore une fois ses mots me transportent et je commence à prendre son gland dans ma bouche, en y mettant des petits coups de langue. Je le suce, en aspirant bien et en serrant mes lèvres au moment de remonterJ’accélère, je le branle en même temps, je prends sa grosse queue au fond de ma bouche et reste comme ça quelques secondes avant de remonter sur son gland avec un filet de salive pour pouvoir bien le masturber. Il grogne, gémit, retient ma tête sur sa queue, me regarde m’étouffer quasiment et finit par me donner un rythme avec ses mains. Il jouit au fond de ma gorge, en déposant son jet de sperme chaud que j’avale avec plaisir. Je lèche une dernière fois son gland pour ne pas en laisser une goutte. Je remonte doucement contre lui — Merci Léa, mais crois pas que j’en ai fini avec toi ma belle, tu es à moi pour toute la nuit.