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Sarah et son frère soumis à une mère abusive

Chapitre 8

Mon frère me baise... enfin !

Inceste
Lucas ne tarde pas à sortir de son placard, le sexe plus dressé que jamais. J’ai suffisamment appris à connaître mon frère ces derniers jours pour me douter qu’il ne renoncera pas à me baiser malgré ce qui vient de se passer, et même que la violence de la scène l’a probablement excité !
— Ça va ? me demande-t-il quand même, sans que je parvienne à déterminer s’il s’agit d’une inquiétude sincère ou d’une question dictée par les circonstances.— Je crois que ça va... réponds-je d’une petite voix, pas très convaincue moi-même.
Il semble visiblement soulagé.
— Ouf, j’ai eu peur qu’il t’ait fait mal et que tu ne veuilles plus... enfin tu vois quoi !
Je vois très bien, oui. En fait tout ce qui inquiète mon frère, c’est que je puisse avoir mal au point de ne plus pouvoir coucher avec lui !Quelle sympathique attention fraternelle...Lucas me dévore des yeux, à tel point que je réalise tout à coup que je suis nue. Avec tout ça, je l’aurais presque oublié !
— Tu es belle Sarah… me dit-il.
Comme c’est mignon ! Cela ressemblerait presque à une parole sympa et innocente d’un petit frère, si ce n’est que son regard est pointé sur mes seins, qui semblent le fasciner.
— Tu peux toucher… tout ce que tu veux, lui rappelé-je.
Ses yeux pétillent, c’est à peine si la bave ne lui coule pas des lèvres. Il paraît constamment hésiter, comme s’il se demandait s’il n’était pas en train de rêver. Il semble pourtant bientôt décider que non, puisqu’il tend les mains dans ma direction et qu’il attrape ma poitrine endolorie par le cruel malaxage de Monsieur Lanfourne.
— Hmmm, elle est douce, elle est grosse… soupire-t-il de plaisir.— Tu aimes ?— Oh oui, beaucoup !
Ma question est un peu bête, si j’en crois la bosse qui déforme son caleçon. Je pose doucement ma main sur sa queue tendue, que je devine à travers le vêtement, ce qui le fait sursauter.
— Chuuut, tout va bien… susurré-je à mon frère.— Oh Sarah… laisse-t-il échapper pour toute réponse, tout en caressant mes seins de plus belle.
Il fait courir ses mains sur les mamelons, puis il agace de temps en temps les tétons du bout des doigts, ce qui contribue à les rendre tout durs et tendus. J’aimerais tellement qu’il les prenne dans sa bouche !Je fais descendre son caleçon à ses pieds, puis je m’empare de sa verge que je masturbe lentement. Il soupire d’aise, il semble apprécier de se laisser guider. Très bien, cela me convient.Je lui indique alors de s’asseoir à côté de moi, ce qu’il fait sans un mot. Tandis que je continue de le branler, je pose mon autre main derrière sa nuque et je l’attire doucement vers mes seins. Il comprend vite le message et il commence à me les suçoter tendrement.
— Oh oui Lucas, tète ta sœur... j’adore ça !
Il ne me répond que par un gémissement de plaisir, tandis que ses deux mains sont toujours posées sur ma lourde poitrine, qu’il malaxe tranquillement. Il semble énormément apprécier mes seins, ce qui me convient très bien : je suis très sensible des tétons, surtout quand les caresses sont prodiguées par mon propre petit frère !Soudain, mon frère s’arrête et il se redresse pour me regarder droit dans les yeux.
— Je t’aime, Sarah, me dit-il.
Cette déclaration me laisse sous le choc : pourquoi dit-il cela ? C’est sans doute l’excitation qui le fait parler…
— Mais non Lucas, tu aimes ce qu’on fait, c’est tout.
Ses yeux sont plongés droits dans les miens, et ce que j’y lis ne fait que confirmer ses paroles : il n’y a pas seulement de l’excitation, mais de l’amour.
— Non Sarah, je t’aime, répète-t-il. Tu es belle, c’est vrai, et j’aime beaucoup ton corps, mais si j’ai autant envie de te faire l’amour, c’est pas juste pour ça. Tu es gentille, tu es drôle, tu as toujours été là pour moi… Je t’aime Sarah, je t’aime vraiment. Comme un fou. Je veux passer ma vie avec toi, je veux te faire l’amour tous les jours, je veux que tu portes mes enf…
Je ne le laisse pas finir, je me jette sur ses lèvres pour l’embrasser. Je ne me domine plus. Je ne comprends pas ce qui se passe, mais je m’en fiche : je le veux en moi.Je viens m’asseoir sur lui, puis je guide son sexe que je tiens toujours dans ma main jusqu’à ma vulve brûlante. Son gros gland gonflé écarte doucement mes chairs, puis il commence à s’insérer en moi, ou plutôt je m’empale doucement sur lui.Que c’est bon !Quand son membre est entré tout entier dans mon ventre, je commence à monter et descendre pour insuffler moi-même le rythme du coït. Je vais presque jusqu’à le faire sortir, puis je le réinsère en moi brusquement. Lucas soupire de plaisir, apparemment pas malheureux de se faire chevaucher par sa grande sœur.Mais quel que soit son bonheur, je suis sûre qu’il n’a rien à voir avec le mien : les sensations de cette baise incestueuse sont merveilleuses ! J’éprouve un tel sentiment de plénitude à me faire remplir par mon frère que je pourrais presque en jouir dans l’instant.
Mais il n’en est pas question, je veux faire durer le plaisir…Lucas s’empare de nouveau de mes seins, puis il recommence à les caresser avec douceur. J’aime beaucoup ses caresses, et plus encore sa tendresse. Quel contraste avec ces derniers jours !
— T’es tellement belle, Sarah... soupire mon petit frère.
Ça peut sans doute sembler bête, mais ces mots me touchent énormément. J’ai toujours trouvé Lucas mignon, mais maintenant je le trouve touchant. Et même plus ? Je ne sais pas, les sentiments qui se mélangent en moi sont trop forts et contradictoires. Quoi qu’il en soit, je n’ai jamais éprouvé autant de plaisir à coucher avec un homme, alors que j’apprécie d’habitude plutôt la domination et la rudesse, voire la violence.Mais avec Lucas, ce n’est pas pareil...
— Toi aussi tu es beau, petit frère, glissé-je à son oreille. J’aime beaucoup ce que tu me fais, continue...
Je réalise en le disant que mes paroles sont assez hypocrites : pour le moment il ne fait pas grand-chose, c’est plus moi qui le baise que l’inverse ! Je vais et viens sur lui, de plus en plus vite, et il se contente de me laisser faire en haletant de plaisir.
— Oh Sarah, j’adore quand tu bouges ton petit cul sur ma queue...
Ses encouragements décuplent mon plaisir, j’accélère donc légèrement la cadence en ondulant dans tous les sens. Si j’en crois l’extase qui se marque sur son visage, il a effectivement l’air d’apprécier !
— Et comme ça, tu aimes ? lui demandé-je.— Si tu savais... J’ai jamais connu une fille aussi bonne que toi, et surtout j’ai jamais connu une fille qui baisait aussi bien ! Je t’aime Sarah...
Touchée par ses paroles, j’approche mes lèvres des siennes et, avant d’avoir pu y réfléchir, je l’embrasse avec passion. Nos langues se mêlent tandis que ma main se glisse dans ses cheveux, je caresse ses mèches blondes avec une sorte de frénésie. Jamais je n’ai connu un désir tel que celui qui me dévore actuellement.
— Sarah, je vais jouir... me susurre Lucas.
Je suis tentée de le laisser faire, parce que briser la passion qui nous lie et mettre fin - même temporairement - à son plaisir me fait mal au cœur. Pourtant, je n’hésite pas une seconde : je voudrais que cette baise dure toute la nuit, alors hors de question de la laisser finir aussi vite !Mon petit frère va découvrir les joies de la frustration...J’arrête tous mes mouvements, puis, avant que l’incompréhension qui se lit sur le visage de Lucas ait le temps de se transformer en reproches, je me retire de sa si douce bite, sur laquelle j’avais eu tant de plaisir à m’amarrer.
— Qu’est-ce que tu fais ? me demande-t-il. Je t’ai dit que j’allais...— Je sais, l’interromps-je, mais il est hors de question que ça se termine aussi vite. Ne t’inquiète pas, tu me remercieras plus tard.
À la tête qu’il fait, c’est évident qu’il est sceptique. Peu importe, je sais que j’ai raison et qu’il finira la nuit éperdu de gratitude.En attendant, je m’assieds en face de lui et je le regarde avec espièglerie, un brin provocatrice.
— Qu’est-ce que tu fais ? répète Lucas.— Je te laisse récupérer un peu, pour que la tension diminue et que tu puisses me baiser plus longtemps.— Mais j’ai envie de continuer ! s’insurge-t-il.— Je sais, mais crois-moi c’est encore meilleur quand on prend son temps...
Il ne proteste pas, il se doute probablement qu’il n’a pas le choix. Pour le faire patienter, et parce qu’il n’y a pas de raison que je ne prenne pas du bon temps moi aussi, je m’allonge sur le dos et j’ouvre les cuisses, pour lui laisser un vaste accès à ma chatte totalement dépourvue de poils.
— Lèche-moi, lui demandé-je.
Lucas sourit, puis il s’approche de moi sans un mot. C’est avec gourmandise qu’il se jette entre mes jambes pour me dévorer le sexe.À peine sa langue a-t-elle effleuré ma fente trempée que je commence déjà à soupirer de plaisir. Je suis follement excitée par la situation ! Contre toute attente, je découvre même que mon petit frère est plutôt doué : s’il montre un peu de brutalité et d’impatience, comme tous les débutants, il est pourtant plus doux que je ne l’imaginais.Et c’est tant mieux !
— Doucement mon amour... lui susurré-je tout de même, tandis qu’il attrapait mon clitoris entre ses lèvres pour le suçoter.
Comme beaucoup de filles, je suis essentiellement clitoridienne et donc sensible à ce genre de caresses, mais cette sensibilité a aussi ses points faibles : il faut être tendre avec mon petit bouton d’amour !Lucas ralentit, bon élève. Je le guide ensuite par de petites directives précises, qu’il applique avec patience et obéissance. Au bout de quelques minutes, c’est un cunnilingus délicieux qu’il me prodigue !Et j’adore ça...Il est si absorbé par cette nouvelle tâche qu’il en oublierait presque qu’il doit me baiser. À la limite ça me convient, mais je ne veux pas lui faire ce coup-là. Je me recule donc légèrement, puis je caresse doucement sa joue tandis qu’il me regarde avec étonnement.
— Tu n’aimes pas ? me demande-t-il.— Oh si, justement ! Tu ne vas pas tarder à me faire jouir, mais je n’oublie pas qu’on doit coucher ensemble...
Il fronce les sourcils.
— Ça t’embête de faire l’amour après avoir joui ?
Sa question me surprend, toute bête de simplicité.
— Euh... non.— Alors où est le problème ?
Et il reprend son œuvre avec application.Je ne dis rien, mais mon petit frère vient de marquer un sacré point : loin de me sauter dessus pour me baiser sans attendre, il préfère prendre le temps de me donner un orgasme avant.Mon Dieu comme je l’aime !Et il n’y a pas que lui que j’aime, il y aussi ce qu’il me fait. Ses coups de langue, l’action douce et précise de ses lèvres, les caresses que ses doigts me prodiguent avec parcimonie mais générosité... chacun de ses gestes me rend dingue !
— Hmmm, j’adore ce que tu me fais... gémis-je.
Il ne répond pas, mais il accélère légèrement.
— Oh oui comme ça, continue !
Je le sens qui s’agite, mon excitation... l’excite. Comme je commence à me tortiller de plaisir, il sait que la jouissance n’est pas loin.Soudain, ses lèvres se referment autour de mon clitoris, puis sa langue vient le titiller en même temps. La sensation est merveilleuse et me provoque un orgasme presque immédiat.
— Oh mon Dieu oui ! Bouffe-moi bien la chatte petit frère, c’est tellement bon !
Je me tortille en tous sens et je lui attrape les cheveux, comme pour l’inciter à aller plus vite encore.
— Hmmm continue, lèche-moi encore...
Mon orgasme n’en finit pas, les vagues de plaisir se succèdent et me rendent complètement folle de plaisir.
— Je t’aime petit frère, je n’ai jamais rien ressenti d’aussi fort !
Et c’est la vérité. J’en ai connu des partenaires, des bons et des moins bons. J’en ai fait des choses, des bonnes et des moins bonnes. Pourtant, aucune de ces expériences ne m’a fait ne serait-ce qu’approcher le plaisir que je ressens actuellement.Est-ce parce qu’il est doué, ou est-ce parce que... je l’aime ?La question me perturbe suffisamment pour que je la chasse dans un coin de mon esprit, tandis que je reprends lentement contenance.
— C’était bien ? me demande Lucas, qui relève tout juste la tête alors que je commence seulement à me calmer.— C’était merveilleux, merci petit frère.
Un vaste sourire s’étale sur son visage, il semble ravi de s’en être bien sorti.Et encore, si tu savais...
— Maintenant je veux que tu viennes me baiser... lâché-je dans un souffle.
Son sourire s’élargit.
— Tu préfères comment ? Tu as une position favorite ?— C’est toi qui vois, je veux juste que tu me baises comme on ne m’a jamais baisée !
Il se redresse, sa bite plus dressée que jamais, puis il s’approche de moi.Sa si belle bite... Je rêve de la prendre dans ma bouche, mais pour le moment je suppose que ce n’est pas ce qu’il veut.
— Je... j’aimerais bien que tu te mettes à quatre pattes, me demande-t-il timidement.
Je m’exécute en souriant.
— Ne me demande pas, ordonne-moi ! lui dis-je quand même.
Je vois ses yeux figés sur ma croupe, alors que son sexe est si proche du mien. J’imagine la vue qu’il a sur ma vulve ouverte et dégoulinante de mouille...Que ressent-il à voir sa grande sœur ainsi offerte, totalement soumise à son plaisir et à ses caprices ? Je n’ai pas trop de mal à l’imaginer...Il ne réfléchit pas beaucoup plus longtemps, et je ne peux pas retenir un nouveau gémissement de plaisir tandis que son gland se fraye de nouveau un chemin en moi. Inondée comme je le suis, la pénétration se fait sans problème, si bien qu’il est bientôt entré en entier. Je sens son ventre buter contre mes fesses, puis il se retire presque complètement pour se réintroduire d’un coup sec.Comme je l’espérais, il me baise sauvagement.Il m’attrape par les hanches, puis utilise mon propre corps pour aller et venir en moi. Je l’entends haleter pendant qu’il me besogne, chacun de ses coups de rein me procurant un plaisir inexprimable.
— Hmmm c’est trop bon, sœurette... Tu aimes ?— J’adore ! Mais ne ralentis pas, défonce-moi bien...
Il s’exécute en accélérant encore, puis il va même jusqu’à m’attraper par les cheveux pour me baiser plus vite.
— Oh oui petit frère, traite-moi comme une chienne, chevauche-moi ! lui lancé-je.
Je sens bien que mes paroles le rendent dingue, il gémit de plus en plus fort.
— T’es vraiment une salope, ma grande sœur ! me dit-il.
Ce qui est "drôle", c’est qu’il me l’a dit avec timidité, presque en s’excusant. C’est évident qu’il tâte le terrain, il se demande comment je le prendrais.S’il savait comme j’aime qu’on me parle mal...
— Je suis TA salope Lucas, je suis ta pute... Fais de moi ce que tu veux, je t’appartiens...
Rien qu’en entendant cela, mon petit frère se met à crier de bonheur, et je sens bientôt des jets de son sperme m’inonder le vagin.
— Oh putain, t’es vraiment qu’une sale chienne ! me dit-il, subjugué de plaisir.— Je sais, remplis-moi la chatte... le supplié-je. Vide-toi en moi, petit frère, vide-toi bien...
Il gémit de bonheur à tel point que sa voix se brise, il ne semble pas loin de pleurer de joie. Cela ne l’empêche pas de continuer à m’insulter copieusement, ce qui me ravit.Il se retire au bout de quelques secondes, vidé dans tous les sens du terme.
— Tu prends bien ta pilule ? me demande-t-il, soudain un peu inquiet.— Pas depuis qu’on est ici, non.
Ses yeux s’agrandissent d’effroi, mais je lui réponds par un grand sourire.
— Je m’en fiche, lui dis-je. Je veux que tu me fécondes, petit frère. Si j’ai un enfant, alors je veux qu’il soit de toi...
Il hésite, le temps de réfléchir à la chose, mais je vois vite que l’idée ne lui déplaît pas tant que ça.
— Si tu savais comme ça m’excite... me dit-il, tandis que son sexe se dresse effectivement déjà de nouveau.
Je lui souris, puis je l’attrape par le pénis pour l’attirer à moi. Et si on remettait ça ?

— Allez, viens engrosser ta sœur !
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