Mes yeux noyés de larmes sous l’effort fourni, mon regard croise celui de mon frère qui avec une expression de victoire et de honte mêlées me sourit d’un air complice...Je ne me souviens que trop tard de l’information d’Audrey : c’est un homme-fontaine… il se branle avec vigueur et des jets d’une puissance folle très rapprochés s’expulsent copieusement de ce braquemard avec cadence. Les spectateurs comptent : 1 ; 2 ; 3…7 ; 8 ; 9. Il lui a fallu un temps fou pour se vider une deuxième fois les burnes. J’ai la tête et les cheveux couverts d’un sperme épais. Ceux et celles qui s’étaient approchés trop près ont aussi profité de la manne ainsi que le sol.-C’est pas humain ça ! S’écrit une fille. Putain de bordel de merde ! Vaut mieux pas avoir de la moquette chez soi sinon il faut la changer à chaque fois qu’il vient te baiser !Suite :Mais Audrey vient rompre le charme et attire notre attention :-Maintenant que vous avez sorti la bite de votre bouche et vidé la deuxième cartouche de leur chargeur, vous allez passer l’une après l’autre dans la pièce d’à coté et prendre la robe qui correspond au numéro que vous avez acquis après ce dernier exercice de la soirée. Le choix de la robe s’est amoindri après la disqualification de vos compères, mais il reste les plus belles pour le bal d’intronisation des bizutes. Et si votre « cavalier » le veut bien, vous pouvez lui demander son 06 ou son adresse-Hein Satine…Je lance un regard à Patrice dont le sens ne lui échappe pas: "Pas un mot. Ils n’ont pas besoin de savoir que nous sommes frère et sœur" Il acquiesce en hochant imperceptiblement la tête. Audrey reprend :-Les six restantes remplaceront les maitresses de chambrées parties à la fin de l’année dernière vivre leur vie d’adulte dans le vaste monde. Une ultime sélection est à faire mais pour ne pas risquer de porter préjudice à notre sororité, elle aura lieu en dehors du campus de l’université. N’oubliez-pas de prendre la pilule et une bonne provision de capotes de L à XXL.Nous nous retrouvons donc quelques jours après; six garçons et six filles plus nos tourmenteurs dans une maison cossue en dehors de la ville. Je me doute de la suite, enfin je crois… Audrey nous présente son alter-égo masculin, Jean, tout aussi imbu de sa personne aimant rouler des mécaniques sur le campus au vrai et au figuré avec sa voiture de frimeur. Audrey nous explique ce qui va se passer : -Les filles ! Pour savoir donner des ordres et se faire respecter, il faut savoir les recevoir et ne jamais remettre en question ceux de son supérieur, avoir une foi aveugle jusqu’au fanatisme. Vous êtes six candidates pour une seule place de seconde dans la sororité. Votre abnégation à ce qui va suivre va en décider. Les unes après les autres vous testerez les bites qui se présenteront et ce sera aux garçons de décider. Ils font comme ils veulent sous notre surveillance pour ne pas aller trop loin quand même. La première à y passer est Claire. Les filles, saisissez-vous d’elle !Et avant que Claire ne puisse protester, deux filles lui bandent les yeux puis lui saisissent les bras. Elle commence à s’affoler et se débattre mais deux autres tortionnaires viennent seconder les premières pour l’immobiliser complètement...-Calme-toi petite salope, lui intime Audrey, dis oui ou non de la tête, tu te doutes que si tu dis non, tu peux partir immédiatement et ce qu’il en découlera dans la sororité. La prétendante entourée de ses consœurs gloussantes déjà à moitié nues, anone de la tête.... Je parie que tu n’attends que ça, d’écarter les jambes, six jeunes mâles qui crèvent d’envie de te prendre à la queue leu-leu! Et vous, les autres filles, arrêtez de glousser comme ça, ce sera votre tour après…Le reste des filles approuvent en réalisant le défi qui les attend... Bientôt, Claire se retrouve nue, dévêtue par ses consœurs.-Vous avez cette salope pour faire la fête les garçons, faites-lui passer du bon temps mais pensez à vous réservez un peu pour les suivantes !Les jeunes coqs agressifs matent le corps dénudé de Claire avec une faim de loup, la bite déjà en main et commencent les uns après les autres à la saillir mais Claire se met à brailler, changeant d’avis :-Laissez-moi, arrêtez! Ca va trop loin pour moi et j’en ai plus rien à foutre de votre sororité de merde! Audrey ordonne aux garçons d’arrêter et Claire quitte l’arène. L’une après l’autre, nous subissons un assaut rapide de ces jeunes mâles en rut avant qu’Audrey ne donne de nouvelles directives. Ils passent dans un ordre croissant par rapport à la taille de leur teub, ce qui fait que nous acceptons toutes sans trop nous en rendre compte les deux blacks et le « poney ».-Bien… Nous éliminons aussi ce garçon qui n’a pas eu assez de volonté et s’est déjà vider les burnes. Il ne reste donc plus que cinq filles et cinq garçons, dont nos deux blacks, bien membrés et notre « petit poney ». Les filles… Vous allez vous asseoir et présenter vos chattes aux bouches des garçons. A eux de montrer leur science.Certains sont plus expérimentés que d’autres et je dois dire que j’apprécie beaucoup. C’est enfin le tour de mon frère de se retrouver entre mes cuisses. Il s’agenouille entre mes longues jambes, écarte mes cuisses pour offrir à sa bouche le meilleur accès à ma fente dégoulinante. Je me mords les lèvres et frisonne à la première pression de la langue de mon frère qui pointe entre les plis parfumés de mon intimité. J’espère qu’il apprécie le goût de la chatte rose et juteuse de sa sœurette. J’aime la sensation de sa langue qui s’active dans ma chatte. Je suis à la fois ravie et terrorisée en réalisant la scène incestueuse. Comment vais-je me comporter ? Mais je suis tellement excitée quand Patrice commence à me lécher. -Ungggh! C’est si booonn ! Unggh! Unnggh! Tu ne devrais pas me lécher la chatte, mais j’en ai trop envie !Comme sourd, Patrice écarte les lèvres de ma vulve avec ses doigts pour permettre à sa langue de s’introduire encore plus profondément dans mon minou humide et parfumé. Grâce au travail préparatoire de ses copains, ma mouille continue de venir des profondeurs de mon vagin et mon clitoris est toujours aussi gros et gonflé, dépassant au-dessus de la fente fournie de ma moule.Patrice déplace l’attaque de sa langue plus haut et commence à taquiner mon clitoris, prouvant sa compétence et donne de petits coups de langue qui me font couiner. Je saisis sa tête des deux mains et ondule du bassin, frottant avec insistance mon minou sur son visage en le suppliant d’une voix rauque:-Oh ouuuiii ! Suce-moi! Aaaggggh! Lèche mon clito! Aaahhh ! Bouffe ma chatte, fais bien jouir ta soe… !Merde ! J’ai failli trahir notre secret. Mais Patrice ne s’est rendu compte de rien et continue de lécher, de sucer, y ajoutant même ses doigts qu’il pousse dans l’étroit canal intérieur de ma grotte d’amour. J’en frissonne et coule sur ses doigts pendant qu’il titille mon clitoris entre ses lèvres. Il le suce doucement mais avec force, bavant dessus, en même temps qu’il coulisse ses doigts rapidement dans et hors de ma fente. Je sens monter l’orgasme du plus profond de mon être, annonçant ma future jouissance, durcissant encore mes mamelons et contractant mon vagin, des sensations affolent mon corps. Je me mets à jouir de façon incontrôlable, je ne sais pas si c’est parce que mon frère broute ma chatte.— Unnggh! Lèche-moi bien ! Bouffe-moi la chatte ! Je jouis, je jouuuiiiiis !"A suivre…
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