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Sauna Chic 2

Chapitre 2

Sauna Chic 3

Voyeur / Exhibition
C’était une belle journée de novembre, le centre bien-être se réveillait seulement, venant d’ouvrir ses portes quelques minutes auparavant. Je suis en général dans les premiers à déambuler dans cet espace, dont j’apprécie le calme et la quiétude. De plus, il n’est pas rare d’y observer plus de dames que d’hommes dans les premières heures de la matinée, à croire qu’elles sont plus matinales. Je ne vous le cacherai pas, outre le fait de pouvoir m’exhiber nonchalamment, ma grande passion c’est d’observer ces dames. Comme les hommes, chacune est différente, certaines timides se cachant dès qu’elles sortent du bain à remous par exemple, ou d’autres, beaucoup moins pudiques, déambulant sans complexes totalement nues dans le centre. Ce qui ne manque pas d’attirer le regard de ces messieurs.
Ce matin-là, une d’entre elles était même très provocatrice, je dis, était, car je ne l’ai plus revue après cette journée de novembre.
Il est donc tôt ce jour-là, et l’espace est quasiment désert. Néanmoins, je remarque dès mon arrivée, une jeune femme d’environ 35 ans, sortant du bain à remous. Elle est magnifique, plutôt petite, un mètre cinquante-cinq ou soixante, fine voire menue, des seins petits et fermes, tout comme son joli petit derrière, ainsi que sa jolie petite chatte totalement glabre. Son attitude à la sortie de l’eau m’indique immédiatement qu’elle est spéciale. Elle feint de ne pas me voir, et se dirige vers le sauna à 45 degrés. Celui-ci a pour particularité d’être réparateur pour les lombaires endolories.

C’est une pièce d’une quinzaine de mètres carrés : une entrée par une porte vitrée sur un des murs, deux murs occupés par six sièges surélevés (environ 1 mètre du sol) et un dernier mur occupé par un dernier siège identique au précédent, mais situé à hauteur du sol. Ses sièges sont pourvus, dans leur dossier, de longues armatures en métal protégeant une résistance électrique destinée à procurer une douce chaleur à l’ensemble du dos, à condition d’y appliquer correctement ses lombaires. Pour ma part, je prends systématiquement le siège à hauteur du sol, les autres étant trop près du plafond, vu ma grande taille. Le deuxième avantage est que les autres sièges étant surélevés, mon visage est hauteur des genoux des autres participants.
J’entre donc dans cet espace à la lumière tamisée une ou deux minutes après elle, et prends place sur mon siège favori. Elle est installée sur un des sièges à ma gauche, le buste collé à l’armature du siège pour un maximum de confort, les jambes collées l’une à l’autre, les yeux clos. Nous sommes seuls.
Je m’installe, colle mon bassin au dos du siège, les jambes légèrement entrouvertes. D’où elle est, elle ne peut voir que mon buste. Mes jambes, mon pubis et mon sexe au repos pendant entre mes jambes, elle ne peut les voir. Une minute se passe et elle commence lentement à effectuer quelques mouvements d’assouplissement de ses épaules et du haut de son dos. Ce dernier étant parfaitement collé au dossier, cela met en valeur sa poitrine. Ses seins sont petits, mais très fermes et pointent fièrement.
Je suis extrêmement bien placé pour ce spectacle que je déguste. Ses mouvements s’accentuent, toujours lentement, elle écarte légèrement les cuisses et commence à se masser le haut de la poitrine, un sein après l’autre, les yeux toujours clos. Ses mouvements sont lents et précis, elle semble éprouver un certain bien-être. Autant vous dire qu’avec ce spectacle, je ne suis pas resté de marbre, mon sexe a commencé à se redresser, sexe que j’ai essayé de soustraire à sa vue.
Deux ou trois minutes plus tard, après une pause, elle ouvre les yeux, regarde devant elle, effectue quelques mouvements de cou, toujours pour l’assouplir, puis remonte tranquillement ses jambes l’une après l’autre sur l’assise avant du siège, ses fesses toujours sur celui-ci, dans une sorte de position du "Lotus". Imaginez alors le spectacle s’offrant à ma vue, chacune de ses jambes remontées à hauteur de son bassin " dévoile immanquablement l’intégralité de son intimité. Son sexe entièrement lisse est à présent visible et dénué de rempart à ma vue. Mon cœur s’emballe, le sang afflue dans ma hampe et je me retrouve devant elle avec une érection spectaculaire.
La jeune femme, sans aucun complexe, reste comme cela, les cuisses ouvertes, le sexe en pâture à mon regard, elle feint de me voir, mais reste les yeux grands ouverts.

Comprenant sa provocation, je réagis immédiatement sans vouloir la brusquer. J’avance mon bassin au bord de mon siège, le dos toujours collé au dossier, remonte mes fesses de manière à lui montrer mon sexe tendu à tout rompre. Toujours impassible, elle caresse doucement le dessus de ses pieds de ses deux mains, contourne ses jambes en les effleurant, passe les deux mains sous ses fesses et tire celles-ci lentement vers l’arrière, le regard dans le vide. La pression imprimée par ses mains à ses fesses a pour effet immédiat de tendre la peau de son sexe. Ses grandes lèvres n’ont pas d’autres choix que de suivre le mouvement et s’ouvrent délicatement.
Je suis littéralement fou. Les yeux exorbités, j’ai saisi ma bite que j’astique mécaniquement de plus en plus vite. J’en oublie totalement que je suis en face de la porte vitrée de l’entrée et que d’un moment à l’autre une personne pourrait entrer, ou me voir en passant devant. Je vais pour me lever et me rapprocher d’elle, lorsqu’elle me regarde avec un léger sourire, et m’indique de ne pas bouger de la tête.
Ses mains ont tellement distendu sa peau que ses grandes lèvres et petites lèvres sont à présent écartées dévoilant au grand jour l’écrin de son clitoris perché en haut de son sexe. Elle imprime des mouvements réguliers à son sexe qui s’entrouvre et se referme lentement. Ses lèvres luisent de cyprine. Elle sourit et gémit doucement. Doucement, une de ses mains quitte ses fesses, et elle commence à effleurer son clitoris gonflé de sang. Elle me fixe effrontément d’un regard, doux et néanmoins vicieux.

Dans mon coin, les yeux rivés sur sa chatte béante, je me masturbe avec frénésie, tant et si bien que ce qui devait arriver arrive. De longues giclées de sperme s’échappent de mon sexe, pour retomber sur mon ventre. Je suis épuisé.
C’est à ce moment que, satisfaite, elle se lève agilement, dévale l’escalier tel un félin, passe devant moi, sa main droite le long du corps passe devant mes yeux frôlant mon vit encore dur. Elle sort rapidement sans m’adresser un regard.
Ceci est de nouveau une histoire vécue, très légèrement retouchée, je l’avoue. Il y a des jours où il ne se passe quasiment rien dans ce sauna, mais lorsqu’il s’y passe quelque chose, cela vaut le détour.
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